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lobby - Page 1854

  • Taubira aime les délinquants plus que les Français !

    Feu le pénaliste Jean-Pierre Delmas-Saint Hilaire – fondateur de l’Institut de sciences criminelles de Bordeaux et le premier à y avoir institué un cours de criminologie – avait coutume d’inaugurer son cours de droit pénal en faisant observer que la lecture du Code pénal renseignait fidèlement sur l’état plus ou moins permissif de la société, tandis que celle du Code de procédure informait de la valeur que ladite société accordait aux libertés.

    A cette aune, la société préparée par Christiane Taubira s’annonce comme un véritable un enfer.

    Le déconstructivisme au service de la haine

    C’est devenu un truisme d’affirmer que depuis l’arrivée de François Hollande et de ses troupes à la tête de ce qui reste de l’Etat, c’est le déconstructivisme qui règne à tous les étages. D’abord, déconstruction des réalisations du quinquennat Sarkozy ce qui tend à démontrer que la haine ad personam tient lieu de programme de gouvernement pour ces pieds nickelés de la politique. Ensuite, déconstruction sociétale avec l’instauration d’une contrefaçon de « mariage » inverti, preuve que les lobbys, fussent les plus minoritaires, constituent le vrai gouvernement du pays (relayant efficacement leurs homologues LGBT disséminés au sein des institutions européennes). La PMA (antichambre des revendications en faveur de la GPA) ainsi que le « statut du beau-parent », achèveront de renverser la famille. Déconstruction anthropologique, dès la petite enfance, avec les « ABCD de l’égalité », cherchant à délocaliser les sexes biologiques vers des appartenances de genres librement choisies. Sans oublier la déconstruction territoriale visant à rendre nos terroirs européo-compatibles. Et en attendant la destruction du lien unissant citoyenneté et nationalité par l’adoption du vote des étrangers, la dame Taubira, grande prêtresse des ligues des vertus antiracistes, nous concocte une réforme pénale sans précédent. Arrêtons-nous un peu sur les motivations profondes de cette dernière. La vérité oblige à dire que cette passionaria indépendantiste guyanaise (jusqu’en 2012, elle présida aux destinées du parti indépendantiste Walwari, qu’elle fonda près de vingt ans plus tôt) a un sérieux compte à régler avec la France, ancienne puissance colonisatrice, blanche et chrétienne au riche passé plurimillénaire. Les injures et autres lazzis dont elle est régulièrement la cible, sont à due proportion de la haine vomitive et venimeuse qu’elle voue à notre pays.

    Sa loi de 2001 imposant la thèse de la France esclavagiste, son refus d’entonner l’hymne national (sauf à ce qu’elle soit royaliste !), sa dilection pour les éléments les plus violemment antifrançais de nos riantes banlieues, sont autant d’indices concordants de sa détestation absolue de notre pays, de son peuple, de sa civilisation. Certes, elle n’est pas la seule à adopter une telle posture antinationale au sein du gouvernement (les laïcistes Peillon, Belkacem et Hamon, les francs-maçons tels Rebsamen ou Cazeneuve, la concurrencent avantageusement), mais elle est la seule à la porter à une telle incandescence dévastatrice. Mais il y a pire. Il est impossible de la critiquer. Par une odieuse mécanique rhétorique, elle neutralise d’avance toute contestation à son encontre par une assimilation a priori de celle-ci, à une attaque à sa propre personne, donc à du racisme.

    Trop de détenus ? Vidons les prisons !

    Il faudra pourtant bien sortir de ce processus infernal et totalitaire, proprement incapacitant et de nature impolitique. Son intention délirante de vider les prisons au nom de la lutte contre la récidive, en substituant l’enfermement par une pseudo « contrainte pénale » bien mal dénommée, doit être combattue avec force, 75% des Français estimant que cette prétendue réforme serait tout simplement nocive pour la société (sondage IFOP, octobre 2013). Sur cette folle lancée, elle s’apprête également à supprimer les peines planchers instituées par la majorité précédente, et à contraindre les collectivités publiques à octroyer des aides sociales aux condamnés (RSA, CMU, CAF…). Nos habituels gangs albanais, russes, asiatiques et africains écumant nos villes et campagnes ne pouvaient mieux rêver d’une telle bienveillante complicité au plus haut niveau de l’Etat ! Chez nos a-nationaux socialistes, le « social » sublime le crime et le criminel. Tel est l’avatar de la doctrine de la Nouvelle défense sociale prônée par Marc Ancel dans les années soixante-dix, d’où jaillit la « victimologie », cette méthode consistant à donner à la victime, non pas tant la place qui lui revient d’occuper par suite d’une atteinte injustifiée à sa personne ou à ses biens, que le rôle qu’elle aurait éventuellement joué dans cette atteinte, de façon à atténuer la responsabilité de l’auteur de l’infraction. La conséquence en est que l’absurde est érigé en politique pénale, suivant le poncif selon lequel la prison serait l’école du crime.

    Pour Taubira, le problème réside moins dans la pénurie des centres d’incarcérations que dans le nombre pléthorique de détenus. Comme le rappelle Philippe Bilger, « ce n’est pourtant pas la prison qui crée le crime, mais le criminel », expliquant que « ce qui permet à la gauche de s’abandonner à son penchant idéologique pour ceux qui troublent et transgressent (…) tient à cette banalité progressiste que, la condamnation édictée, les victimes ont eu leur dû ». Partant, Taubira est véritablement le symbole de cette gauche éthérée nourrissant une dilection particulière pour les superstructures idéologiques, tout en négligeant volontairement les infrastructures contingentes, c’est-à-dire, in fine, le substrat humain qui sous-tendent les premières. Sa (non) politique est tout simplement contre-intuitive, l’utopie achoppant inexorablement sur le réel.

    Aristide Leucate - L’AF 2890 - lactionpolitique.hautetfort.com

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Taubira-aime-les-delinquants-plus

  • Dhimmitude : pas seulement à Mossoul

    Lu ici :

    • "Le 6 juin, un État islamique "auto-proclamé" s'empare de Mossoul (Irak). Le 16 juillet, il décrète, avec hauts parleurs et minarets,
    • que les chrétiens de Mossoul ont à choisir entre trois possibilités :
    • - soit de se convertir à l'Islam,
    • - soit de payer la jiziah (impôt d'assujettissement imposé aux dhimmis),
    • - soit d'être tués "par l'épée" s'ils ne partent pas.
    • Leurs maisons sont "taguées" avec un "N" (nazaréen !).
    • Les chrétiens qui n'étaient pas encore partis (entre 100 et 200 familles… ils étaient 100000 il y a dix ans !) ont quitté la ville précipitamment. Ce qui n'a pas empêché qu'ils soient molestés aux barrages en sortant de la ville. Certains ont été pillés, frappés, dépouillés de leurs argent, bijoux, téléphones portables. Des passeports ont été déchirés… [...]

    Où sont les réactions des organismes officiels de l'islam ? Entend-on la voix des musulmans "modérés" ?  En fait l'épuration de "Mossoul" est tout à fait conforme aux "us et coutumes" de l'islam. Entre la conversion forcée et l'élimination physique ou l'obligation de fuir, il est proposé le statut de dhimmi : celui qui n'a pas voulu se convertir, on le "protège" à condition qu'il paie un impôt spécial (jiziah) et subisse discriminations, vexations, restrictions de libertés (à géométrie variable selon que l'on a plus ou moins besoin des dhimmis…).

    Un musulman, même plus on moins modéré, ne peut pas aller franchement contre cette stratégie que l'islam applique depuis quatorze siècles en s'appuyant sur ses textes de référence. D'où ces silences.

    Ici : incubation

    Il faut savoir que cette stratégie est déjà appliquée de façon feutrée en France. Ainsi, dans certaines zones urbaines (grands ensembles, zones pavillonnaires...) où musulmans et non musulmans cohabitent, la dhimmitude se met en place en douceur. Une opération "porte à porte". Deux ou trois musulmans sonnent chez des non-musulmans avec un Coran. Proposition faite : "vous vous convertissez... en échange, nous allons vous protéger". Exactement le schéma "protection-assujettissement" de la dhimmitude."

    Michel Janva

  • L’incroyable double discours de François Hollande sur le conflit israélo-palestinien

    Le chef de l’Etat aurait-il des problèmes de cohérence pour donner la position de la France sur le conflit israélo-palestinien ?

    Quand le chef de l’Etat conseillait à Israël de se défendre par tous les moyens

    Il semblerait que François Hollande oublie un peu vite le contenu de ses communiqués de presse. Dans un communiqué publié sur le site de l’Elysée le 9 juillet intitulé « entretien avec le Premier ministre israélien », il est écrit : « Le Président de la République a eu ce soir un entretien téléphonique avec le Premier ministre israélien, Benyamin NETANYAHOU (…) Il ui a exprimé la solidarité de la France face aux tirs de roquettes en provenance de Gaza. Il appartient au gouvernement israélien de prendre toutes les mesures pour protéger sa population face aux menaces ». Certains mots ne laissent pas indifférents. « Toutes les mesures » … dont une offensive armée ?

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  • Cazeneuve conchie les chrétiens d’Irak

    Alors que l’actualité internationale met en lumière le sort désastreux réservé aux chrétiens de Mossoul(et dans le « califat » en général), le sinistre de l’intérieur insulte les chrétiens d’Irak et de France par son silence.

    Ce matin il a tweeté « Quand on est Républicain on ne distingue pas entre les enfants de Gaza, les chiites de Mossoul et les jeunes Syriens»

    Si à priori il distingue les chrétiens des musulmans en omettant volontairement de faussement s’émouvoir du sort des irakiens fidèles à la foi, il ne fait effectivement pas de distinction entre les syriens , les chiites de Mossoul et les gazaouites.

    La République maçonnique soutient Israël contre la Palestine, elle finance et équipe les djihadistes qui massacrent les chrétiens et les chiites de Syrie et d’Irak.

    Ce gouvernement doit tomber et vite.

    http://www.contre-info.com/

  • Silence médiatique sur l’agression des rugbymen à Millau…

    À Millau, dans les Midi-Pyrénées, des rugbymen clermontois ont été agressés sans raison par une bande armée de couteaux, sabres et machettes.   

    Méthode de propagande numéro un : l’occultation. Principe de base : communiquer l’information sous des dehors objectifs, tout en dissimulant les éléments délicats, même (et surtout) s’ils mettent en lumière l’insoutenable complexité de l’être : ceux qui écorchent le mythe de la société plurielle baignant dans la béatitude du Grand Mélange, ceux qui pourraient réfuter la thèse de l’immigration providentielle et toute-bienfaisante, etc.

    Les faits : à Millau, dans les Midi-Pyrénées, des rugbymen clermontois ont été agressés sans raison par une bande armée de couteaux, sabres et machettes. L’ « altercation », qui a mené trois sportifs à l’hôpital, « serait due à la volonté d’un des trois joueurs blessés de s’interposer pour éviter une dispute conjugale ». Point. Ne rien ajouter à cette relation qui serait de nature à réveiller les démons populistes. Ne pas s’étendre sur la forme de cette agression « d’une rare violence ». Ne pas épiloguer sur l’usage tout pyrénéen de la machette. Éluder. Tronquer. Couper au montage.

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  • Le gouvernement en remet une couche sur la famille

    La loi famille, dite « loi APIE », a été adoptée le 27 juin par l'Assemblée nationale, au terme d'un feuilleton législatif révélateur des véritables priorités politiques du gouvernement socialiste. Elle crée le statut de « beau-parent » qui, dans les familles recomposées et, bien sûr, dans les ménages « homoparentaux » qui eux aussi ont vocation à se recomposer, se verra reconnaître des droits de plus en plus proches de ceux des parents biologiques.

    Cyniquement intitulée « loi sur l'autorité parentale et l'intérêt de l'enfant », la loi socialiste sur la famille a subi bien des reports, à commencer par l'édulcoration du projet à la suite de la mobilisation contre le « mariage pour tous ». On annonçait l'arrivée de la procréation médicale et même de la gestation pour autrui ; elles ont été abandonnées.

    Cela ne suffisait pas à rendre la loi APIE consensuelle. Elle prévoyait un assouplissement - encore un - de l'accès au divorce. A peine la « Manif pour tous » de février dernier s'était-elle achevée que, désavouant le projet défendu par le ministre de la Famille d'alors, Dominique Bertinotti; le gouvernement socialiste annonçait la remise du texte aux calendes grecques. Il fallait laisser passer les élections municipales...

    Mais dès la mi-mai, la proposition PS-écologiste, délestée de quelques-unes de ses dispositions - sur le divorce notamment - revenait devant les députés. Ce fut l'occasion pour l'Entente parlementaire pour la famille de monter au créneau, non sans panache. Ce qui passait pour un texte technique ayant pour objectif de régler des problèmes pratiques a été dénoncé avec force et raison comme un plan lourd de conséquences néfastes pour la famille, pour l'enfance, pour les libertés.

    Aucune étude d'impact

    Revenue sous forme de proposition, la loi a échappé du même coup aux études d'impact, à l'examen du Conseil d’État et du Haut Conseil pour la Famille. En aurait-elle était améliorée ? Ne rêvons pas. Reste que tout a été mis en œuvre pour faciliter l'avancement du texte.

    Les amendements se sont pourtant succédé par centaines. L'opposition a dénoncé un texte qui se préoccupe avant tout des adultes en autorisant le partage de l'autorité parentale avec un tiers partageant la vie de l'un des parents biologiques. Jusqu'à lui confier la garde de l'enfant.

    Est-il vraiment dans l'intérêt de l'enfant que les actes importants - ou non - le concernant soient cosignés par les deux parents ? Que l'un puisse assigner l'autre au moindre désaccord ? Que la garde alternée devienne la quasi norme en cas de séparation ? Qu'un « mandat » puisse confier au moins une partie de l'autorité parentale au « beau-parent » ? Qu'un juge puisse ne pas donner la priorité à la parentèle d'un enfant mais le confier à un étranger, en cas de placement ?

    Faux espoirs

    Le nouveau ministre de la famille, Laurence Rossignol, a dû baisser les armes. Une nouvelle fois, la loi était reportée sine die. On imaginait la partie presque gagnée : le texte ne reviendrait pas avant l'été, pensaient les observateurs.

    Le texte est tout de même revenu devant les élus, à marches forcées. Le 16 juin, le revoici à l'ordre du jour. Deux nouvelles séances de discussions s'achèvent alors que 207 des 700 amendements déposés par les élus de l'Entente parlementaire pour la famille n'ont pu être examinés. Philippe Gosselin, Hervé Mariton, Nicolas Dhuicq et d'autres bataillent ferme. Les discussions s'éternisent. Une nouvelle fois, le texte est reporté à une « date ultérieure ». Partie gagnée ?

    À marche forcée

    Non. Le 27 juin, lors d'une séance annoncée seulement quelques jours auparavant, le dernier chapitre, celui de la médiation familiale, a été voté par une poignée de députés. Beaucoup n'avaient pu - paraît-il - se libérer à temps. La gauche, unie comme toujours autour de ses projets « sociétaux », était là suffisamment nombreuse pour assurer l'adoption in extremis avant l'été. Il y a eu une escarmouche autour du projet de parler de la séparation et de la médiation lors de la cérémonie de mariage : on l'a finalement abandonné. Xavier Breton, au nom de l'UMP, a fait observer que cela risquait de « plomber la cérémonie ». Bien modeste victoire...

    Partis sabre au clair, pugnaces et lucides comme on n'a pas l'habitude de les voir - un fruit des mobilisations pour la famille de l'an dernier ? -, les députés de l'opposition n'ont pas pu tenir sur la distance. Il est vrai que la volonté des socialistes était forte et que l'avantage du nombre aidant, il n'était pas possible d'espérer autre chose que de gagner du temps.

    Une révolution « anthropologique »

    Du moins la loi a-t-elle été dénoncée pour ce qu'elle est : « Une révolution anthropologique dont on ne mesure pas encore les conséquences », comme l'a déclaré l'Entente parlementaire pour la famille, puisqu'elle fait déjà céder le parent biologique devant le « parent social » cher au rapporteur Erwann Binet. Voici l’État et le juge dotés d'un droit de regard sans précédent sur ce qui se passe à l'intérieur des familles.

    En attendant que le Sénat soit saisi de la proposition, on retiendra cet article qui la caractérise : « Les parents et les enfants se doivent mutuellement respect, considération et solidarité. » Disparaîtront du code civil ces mots quirappellent trop l'autorité parentale de papa :« L'enfant, à tout âge, doit honneur et respectà ses père et mère. » Si l'enfant, victime desstéréotypes d'un autre âge, a encore un père etune mère, ils n'auront de toute façon qu'à biense tenir...

    Agathe Basset monde & vie 

  • France : totalitarisme rouge

    On apprend de-ci de-là le limogeage d’un haut fonctionnaire. Fait divers… Or Éric Brunet de Radio Monte Carlo (RMC) à partir de divers journaux et d’une liste établie par Luc Chatel a rassemblé un incroyable écheveau. Il nous livre les données d’une effroyable épuration diligentée dans la Haute Administration ; il dénonce une stupéfiante chasse aux sorcières instituée par les socialistes depuis mai 2012 Qu’on en juge ! Que déclarait-il avec son franc-parler dans son émission Carrément Brunet du 5 février ? Il est possible d’imaginer ce que cela peut être cinq mois plus tard.

    Il faut savoir que 30 % des préfets et sous-préfets ont été limogés. Que la moitié des recteurs d’universités ont été remerciés et remplacés par les « copains » socialistes souvent d’origine d’extrême-gauche ; ces derniers commencent à s’en prendre à l’enseignement catholique notamment en fermant les unités professant la philosophie et de l’histoire. Des subventions aux universités catholiques ont été discrètement supprimées.

    Mais c’est dans la police que l’épuration a été la plus importante ainsi que dans la Justice, un monde qui n’est guère connu du grand public. Il faut se souvenir de la tentative faite par Taubira pour limoger François Faletti le Procureur général de Paris.

    Selon Brunet, il est facile de retrouver ces chiffres sur les documents officiels ; ce qu’il a fait.

    On n’a jamais vu une telle épuration, depuis le début de la cinquième République en mai 1958. Nous ajouterions, depuis l’après-guerre de 1940-1945 ainsi qu’aux débuts de la Quatrième. De Gaulle en 1962 s’en était pris principalement aux cadres militaires.

    Quand on voit comment La Manif pour tous a été réprimée : plus de 1.000 arrestations, des centaines de gardes à vue. Un Premier Ministre Valls niant que des enfants aient été gazés alors que des photos sans équivoque ont circulé sur Internet. Une malheureuse fille ayant eu le malheur de comparer Taubira à un singe ; elle se voit jugée par les personnes que cette dernière a mises en place elle-même, et condamnée à neuf mois de prison ferme. On se croirait sous Ceausescu ou Castro. Pendant ce temps les délinquants « bien connus de la police » courent les rues après avoir été condamnés pour des dizaines de délits. Les casseurs après différents matches, et autres manifestations de rues (comme à Sarcelles ou a Barbès) s’en tirent avec des trois mois de sursis. Ils ne demanderont qu’à recommencer.

    Il n’y a qu’une seule conclusion à tirer. Oui, effectivement notre pays est sous une dictature qui ne veut pas dire son nom ! Oui, la Justice de Madame Taubira couvre les malfrats et va bientôt vider les prisons.

    Jean-Pierre Dickès

    http://medias-presse.info/france-totalitarisme-rouge/13333

  • L'avortement devient un "droit" sans opposition

    Lu sur le blog de Jeanne Smits :

    "Le Sénat et l'Assemblée nationale ont adopté le même jour, en seconde lecture, la loi sur l'égalité entre hommes et femmes. Le Sénat, c'était ce matin ; l'Assemblée nationale tard dans la soirée.Personne n'a voté contre. Dans l'opposition, la plus grande partie de l'UMP s'est contentée de s'abstenir, même si d'aucuns ont osé dénoncer l'introduction dans la loi d'une disposition qui fait disparaître du droit toute référence à une condition de « détresse » pour la femme qui veut obtenir une « IVG ». Ainsi l'avortement devient un droit en France sans contestation possible. Ce qui était vrai déjà dans les faits et assez largement dans la loi est entériné. Et le projet de loi est définitivement adopté.

    Texte idéologique par excellence, la loi sur l'égalité « femmes-hommes » prévoit notamment un partage obligatoire du congé parental de trois ans, droit ouvert à compter du deuxième enfant, entre les parents, le père devant en prendre au moins 6 mois. Dès le premier enfant, chaque parent pourra prendre 6 mois. Manière de souligner que papa et maman, c'est tout comme.

    Pour les couples éclatés, l'Etat-nounou prendra le relais d'une nouvelle manière, puisqu'un fonds de garantie pour pensions alimentaires impayées verra le jour.

    De nouvelles mesures pour la parité viennent compléter le dispositif déjà existant, avec des sanctions alourdies.

    Car on veut changer non seulement les mœurs, mais aussi les « mentalités ».

    La mesure symbolique qui fait disparaître la notion de détresse de la loi sur l'avortement n'est pas le seul aspect contestable de la loi, mais elle est le plus tragique. L'UMP, par la voix d'André Reichardt, a annoncé la saisine du Conseil constitutionnel sur ce point."

    Michel Janva

  • Finkielkraut, le face à face avec Maïtena Biraben & Nicolas Demorand (Canal +)

    Canal + le Supplément – 16/02/2014

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