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lobby - Page 1890

  • Qu’ils gardent leurs leçons de morale, qu’ils balayent devant leur porte !

    Lors de son allocutin le 10 juin à Oradour-sur-Glane pour y commémorer le 70éme anniversaire du massacre, Manuel Valls a utilisé cette cérémonie avec un art de la manipulation aussi immonde qu’écœurant et sans grand respect pour la mémoire de nos compatriotes. Marine Le Pen a dit plusieurs fois qéu’elle jugeait le personnage inquiétant, les faits lui ont encore donné raison.  Il a ainsi profité de son passage dans ce village martyr  pour  délivrer un message qui se voulait d’actualité et qui dans son esprit, comme dans ceux de ses relais médiatiques, se voulait une attaque contre le FN, même s’il n’a pas osé le nommer. Peu importe que le FN ait compté dans ses rangs (et ait reçu le soutien) d’éminents résistants de la première heure. Le Premier ministre serait bien  inspiré de lire l’ Histoire critique de la résistance  de Dominique Venner ou Eric Zemmour, il y apprendrait (?) que la droite nationale a fourni l’armature de la Résistance en France et les socialistes les gros bataillons collaborationnistes. Non, montrant une nouvelle fois son vrai visage, il s’est évertué à tordre la réalité pour la faire coïncider avec sa grille de lecture malsaine et mensongère au nom de ses petits calculs boutiquiers.

      « Les révisionnistes, les nostalgiques de la collaboration, les petits agitateurs vénéneux de la mémoire. Avec leurs mots perfides, ils veulent faire mal à la France, raviver ses plaies. Mais quand on aime la France, on ne salit pas ce pour quoi tant de Français ont donné leur vie. Quand on aime la France, on ne calomnie pas son histoire »  a ainsi  déclaré  Manuel Valls.

     Certes. Quand on aime la France on ne la détruit pas en la livrant pieds et poings liés auparti de l’étranger, on ne la met pas  à la remorque d’intérêts mondialistes contraires aux nôtres. On ne l’affaiblit pas en  ravivant l’esprit de guerre civile  là où le Front National s’est lui toujours voulu le mouvement de la réconciliation et de la concorde nationale. On ne trafique pas les enseignements de l’histoire par un négationnisme malsain en grattant les plaies du passé. On ne calomnie pas des millions de Français dont la seule faute est de voter pour Marine Le Pen, pour  un mouvement patriotique souhaitant restaurer notre souveraineté.  On n’encourage pas l’invasion de notre pays par la finance internationale et une immigration de peuplement qui le tiers-mondise, la paupérise, en  détruit la substance.

     Moins que quiconque, Manuel Valls n’est fondé à se dresser  sur ses talons pour jouer au procureur et nous donner des leçons de maintien et d’histoire. L’histoire justement, jugera sévèrement les menées des complices du Nouvel ordre mondial qui en  s’attaquant aux régimes nationalistes laïcs, aux partis Baas au pouvoir en Irak et en Syrie, pour ne rien dire de la Libye,  ont entraîné les sanglantes déstabilisations et guerres civiles que l’on sait.

     En renonçant à faire entendre la singularité de la voix (voie) de la France sur la scène internationale, de  Mitterrand à Sarkozy et Hollande,  de Juppé à Fabiusles atlantistes de l’UMPS qui ont appuyé servilement  les folles menées du Nouvel ordre mondial,  portent toute leur part de responsabilité dans ce chaos.

     Les djihadistes de l‘Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), au terme d’une offensive éclair ont ainsi pris le contrôle de la deuxième ville d’IrakMossoul, d’une importance stratégique capitale en ce qu’elle donne le contrôle des champs pétroliers les plus importants du pays. Le Monde le souligne aujourd’hui, ils «ont enchaîné, ces dernières semaines, les offensives sur des villes sunnites, multipliant attentats-suicides et prises d’otages, défiant les autorités de Bagdad, qui se sont révélées complètement dépassées par l’ampleur et la violence de ces assauts. Mercredi matin, cinq cent mille civils fuyaient la ville, selonl’Organisation internationale pour les migrations ».

     Les chrétiens d’Irak qui rappelons le, jouissaient sous Saddam Hussein comme sous le régime de Bachar en Syrie, de la paix et de la sécurité,  qui ont déjà fui en masse le pays depuis  2003, sont parmi les premiers visés par les exactions sanglantes  des fous d’Allah… 

     Ce sont ces mêmes donneurs de leçons du Système qui traînent dans la boue l’honneur du FN constate encore Bruno Gollnisch,  qui ont aussi permis à Mehdi Nemmouche, le tueur fou de Bruxelles, combattant-terroriste affilié à l’EIIL lorsqu’il était en « stage » en Syrie, comme àMohammed  Merah,  de bénéficier de la nationalité française. Et ce  au nom du sacro-saintdroit du sol dont  seul le FN conteste la l, droit du sol  paré par nos tartuffes immigrationnistes de toutes les vertus (pseudo) républicaines.

     Oui, vraiment, quand mêmeles politiciens de la caste n’ont décidément aucune leçon à nous donner !

    http://gollnisch.com/2014/06/12/quils-gardent-leurs-lecons-morale-quils-balayent-devant-porte/

  • Le site FN n’hébergera plus le blog de Jean-Marie Le Pen !

    La boutade de Jean-Marie Le Pen à propos de Patrick Bruel n’en finit pas de secouer le Front National. Le blog vidéo de Jean-Marie Le Pen ne sera plus hébergé sur le site du FN, a indiqué ce mardi à l’AFP l’avocat du parti, Wallerand de Saint-Just, qui invoque des « raisons juridiques ».

    L’avocat a expliqué que par le passé, la présidente du parti, Marine Le Pen, avait été « visée par des plaintes en tant que directrice de publication du site » à la suite de propos de son père, ajoutant vouloir désormais éviter ce type de mésaventures.

    Des prétextes qui ne peuvent camoufler le différend qui oppose les Le Pen père et fille et surtout quelques « rénovateurs » du parti, tels Florian Philippot ou Maître Gilbert Collard, qui veulent depuis longtemps transformer le parti et rompre avec tout l’héritage des fondateurs du Front National.

    Du reste, la petite phrase de Jean-Marie Le Pen, sans effet sur l’électorat, n’est qu’un prétexte utilisé par ceux qui, à l’intérieur du parti, veulent se débarrasser de son leader historique. Ce n’est pas un simple conflit de génération mais un authentique conflit idéologique que traverse le parti. Et ce n’est pas neuf !

    http://medias-presse.info/le-site-fn-nhebergera-plus-le-blog-de-jean-marie-le-pen/11137

  • Généralisation des ABCD de l'égalité : la décision n'est pas encore prise

    Le député Xavier Breton a interpellé mardi le ministre au sujet des ABCD de l'égalité :

    "Monsieur le ministre, en octobre dernier, votre prédécesseur lançait une expérimentation, dite « ABCD de l’égalité », dans dix académies et plus de 600 classes. Ce programme des « ABCD de l’égalité », qui offre aux enseignants des outils pour aborder l’égalité entre les filles et les garçons, doit maintenant être évalué afin d’envisager sa généralisation dans toutes les écoles à la rentrée de septembre prochain.

    Nous partageons tous sur ces bancs la volonté de transmettre à nos enfants les valeurs d’égalité et de respect entre les filles et les garçons, entre les femmes et les hommes. Nous devons cependant constater que les « ABCD de l’égalité » ont suscité beaucoup d’interrogations. Interrogations, par exemple, sur l’opacité de cette expérimentation, puisque la liste des établissements et des classes concernés a été soigneusement cachée. Interrogations, aussi, sur le contenu de cet enseignement, car chacun sait que derrière l’objectif affiché d’égalité entre les sexes se cachent, parfois, des idéologies qui visent à nier l’altérité sexuelle. Bref, cette expérimentation a suscité des interrogations dans de nombreuses familles, d’autant que ces dernières n’y ont pas été associées.

    La question de la généralisation des « ABCD de l’égalité » est aujourd’hui posée. Beaucoup d’observateurs ont noté, monsieur le ministre, que la circulaire de rentrée publiée le 22 mai dernier se gardait bien de reprendre l’appellation « ABCD de l’égalité », et en ont déduit que la généralisation de ce programme était abandonnée. Monsieur le ministre, pouvez-vous nous rassurer, en nous confirmant que le dispositif des « ABCD de l’égalité » ne sera pas généralisé à la rentrée de septembre prochain."

    Réponse du ministre Benoît Hamon :

    "Monsieur le député Xavier Breton, l’égalité filles-garçons n’est pas négociable, en particulier dans un contexte où un certain nombre de groupes contestent la simple possibilité d’enseigner cette culture de l’égalité. Cette dernière suppose que les stéréotypes ne dominent pas à l’école au point d’orienter, parfois inconsciemment, les filles davantage vers certaines disciplines et les garçons vers d’autres. Elle suppose également d’empêcher la diffusion de stéréotypes laissant penser que des métiers sont plutôt masculins, tandis que d’autres sont plutôt féminins. Pour éviter le développement de tels stéréotypes, encore faut-il enseigner le respect mutuel, qui s’apprend, à mes yeux, dès l’enseignement primaire, tant on constate aujourd’hui qu’il est parfois tentant de reproduire des stéréotypes sexistes préjudiciables à la culture de l’égalité.

    Monsieur le député, ces « ABCD de l’égalité » ont fait l’objet d’une expérimentation, elle-même soumise à une évaluation dont le rapport me sera remis dans quelques semaines. Ce qui m’intéresse, c’est moins le contenant que le contenu : je ne transigerai pas sur la culture de l’égalité. Cette culture de l’égalité doit se traduire par la nécessité de former davantage les enseignants, dans le cadre des écoles supérieures du professorat et de l’éducation, en formation initiale comme en formation continue, sur la manière de lutter contre les stéréotypes et de favoriser le respect mutuel. Nous devons encourager les initiatives visant à permettre que cette culture de l’égalité s’enracine dès l’école primaire. C’est la raison pour laquelle j’annoncerai ma décision une fois l’évaluation des « ABCD de l’égalité » rendue publique. Mais je le répète : l’objectif du Gouvernement est de faire en sorte qu’une véritable culture de l’égalité entre les filles et les garçons soit enseignée demain à l’école."

    Michel Janva

  • Le calvaire des Irakiens n’en finit pas…

    Mardi matin, des djihadistes prenaient Mossoul et sa région, assurant avoir « libéré » la ville… Une « libération » qui a immédiatement provoqué la fuite de plus de 500.000 Irakiens terrorisés… parmi eux les quelque 10.000 chrétiens encore sur place, les autres ayant déjà fui depuis des années.

    Le père Affas, aussi, est parti, lui qui n’avait jamais quitté Mossoul, même après son enlèvement en 2007. Il laisse derrière lui son église vieille de cinq cent cinquante ans et tout un patrimoine chrétien des premiers siècles… Il se confiait à Famille chrétienne : « Je ne sais pas si je reverrai ces témoignages du patrimoine chrétien d’Irak. Ca me fend le cœur. »

    S’ils ont été aussi nombreux à fuir, c’est parce qu’ils savent ce que nos médias et politiques feignent d’ignorer lorsqu’ils parlent de « rebelles » ou de « militants » pour ne pas les appeler par leur nom : des barbares islamisés. Ils tuent, pillent, volent et violent « au nom d’Allah ».

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  • L'islam, religion de guerre

    Invité au Vatican à prier pour la paix, le représentant musulman n'a pas pu s'empêcher d'ajouter un verset prônant la guerre. Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

    "Bernard Antony a été le premier francophone à le remarquer et à le commenter, et il est toujours le seul au moment où j’écris. Il avait été alerté par une musulmane convertie, qui a été stupéfiée d’entendre le représentant musulman, dans les jardins du Vatican, au cours de la prière pour la paix, réciter (bien sûr en arabe) les derniers mots de la deuxième sourate : « Tu es notre Maître, accorde-nous la victoire sur les peuples infidèles. »

    La deuxième sourate, la plus longue, est une sorte de résumé hétéroclite du Coran et de la charia. Elle prône bien sûr le jihad, mais surtout elle est violemment anti-juive et anti-chrétienne. C’est dans cette sourate qu’on trouve (verset 191) : « Et tuez-les où que vous les rencontriez (…) l’association est plus grave que le meurtre (…) et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association et que la religion soit entièrement à Allah seul. » (L’association, c’est la Trinité.)

    Un écrivain égypto-allemand, Hamed Abdel-Samad, a lui aussi été stupéfié d’entendre cela, et il a écrit sur sa page Facebook : « Dans les jardins du Vatican, le clerc musulman conclut sa prière par le verset : “Qu’Allah nous aide à remporter la victoire contre les infidèles !” J’appelle ça une prière pour la paix ! »

    [...] Il est inutile de se demander qui a laissé passer cet appel à la victoire contre les peuples kafir (ou koufar). Le texte des prières avait été publié en plusieurs langues, et naturellement ce verset n’y figurait pas. C’est le représentant musulman qui, au dernier moment, a ajouté ce qu’il devait ajouter pour être un bon musulman…"

    Michel Janva

  • Le Grand Traité Transatlantique (#TAFTA) expliqué aux nuls

    Bien caché derrière cette campagne européenne calamiteuse, on commence à entendre en sourdine une inquiétante mélodie… des acronymes obscures : TAFTA. GMT. TTIP. PTCI. APT. J’ai décidé de retenir le nom de TAFTA qui signifie Transatlantic Free Trade Area pour vous expliquer le plus simplement possible ce qui se cache derrière le Grand Traité Transatlantique. Âmes sensibles s'abstenir !

    Le TAFTA, kézako ? 

    Derrière le TAFTA, on retrouve l’idée tenace de mettre en place une zone de libre échange transatlantique. Déjà après la chute du mur de Berlin, la poussière n’était pas encore retombée que les États-Unis et les États européens signaient déjà une première « résolution transatlantique ». Mais le TAFTA irait bien plus loin, puisqu’il prévoit une véritable zone de libre échange total pour le commerce et les investissements entre les USA et l’UE. En gros, on veut demander aux États de se plier aux normes créées par et pour les multinationales, de l’ultra-libéralisme total. 

    Cela nous concerne-t-il tous ? 

    Ce Traité ne concerne pas uniquement les politiciens et les chefs d'entreprise. Aujourd’hui, l’économie réunit tous les domaines de la société et cetaccord mettrait dans la balance notre sécurité alimentaire, notre politique concernant l’écologie, l’énergie, la santé, la culture, l’emploi et la sécurité sociale, le secteur public en général, la liberté du web etc. Pour faire bref, il pourrait transformer le modèle « social » français en celui des États-Unis, vous savez, ce pays modèle dans lequel plus de 15% de la population vit sous le seuil de pauvreté… 

    Faut-il dire NON au TAFTA ? 

    TAFTA veut harmoniser les normes existant aux États-Unis et en Europe. A priori, dans un monde honnête et juste, rien d'alarmant... Par exemple, pour notre sécurité alimentaire, l’UE interdit certains produits car les OGM qu’ils contiennent ne respectent pas certaines normes. TAFTA pourrait permettre d'harmoniser cette décision partout dans le respect des consommateurs citoyens. Mais non, c'est l'inverse qui risque de se produire. 

    On le saurait si les accords commerciaux se préoccupaient de notre santé. C’est bien le commerce qui doit être favorisé par le Traité. 

    Accepter ce Traité, c’est ouvrir les portes à un cheval de Troie dépossédant les « élus » de leurs capacités à poser des garde-fous aux désirs cupides des multinationales. Et donc de voir les OGM débarquer dans nos assiettes en toute légalité et sans aucun recours citoyen possible ! 

    Les « élus » pourront-ils freiner le TAFTA ? 

    Cet accord garantit des conditions de commerce optimales dans toute la zone du monde dit « occidental ». Qui dit conditions de commerce optimales dit que tout État qui tentera de s’élever contre une décision d’une multinationale devra répondre de ses actes devant un Tribunal international indépendant. Qui dit indépendant des États dit non démocratique. Ces tribunaux, au nom du sacro-saint commerce, donneront donc naturellement raison aux multinationales et à leurs velléités face au désir des États de protéger leurs citoyens. Nos élus ne pourront pas freiner le TAFTA une fois celui-ci mis en place. 

    Les entreprises porteront plainte dès qu’elles jugeront qu’un État, par ses lois et règles, porte atteinte à ses profits réels ou espérés.

    S’il y a de quoi s’indigner, ce genre de pratiques existe déjà : le cigarettier Phillip Morris a attaqué l’Uruguay et l’Australie à cause de leur législation anti tabac, une société américaine a attaqué le Canada parce que le pays refuse l’extraction du gaz de Schiste, plusieurs pays européens ont attaqué l’Égypte parce que le pays à augmenté le salaire minimum… (vive la mondialisation économique !) 

    Demain avec le TAFTA, l’Europe dira bonjour aux médicaments testés on ne sait comment aux États-Unis, aux OGM, à l’exploitation du gaz de Schiste, au poulet chloré, au bœuf aux hormones, au porc à la ractopamine etc. En revanche, elle pourra dire adieu au salaire minimum, à la neutralité du net, à la sécurité sociale, à l’exception culturelle etc. 

    Le TAFTA retirerait le peu de souveraineté politique qui restait au peuple. Cette souveraineté ira toute entière aux plus gros groupes économiques du monde. Le rêve ! 

    Pourquoi vouloir du TAFTA ? L’arnaque du CEPR 

    Après avoir lu tout cela, vous devez vous demander pourquoi nos chers élus veulent de ce Traité puisqu’il a l’air si mauvais ? Voilà pourquoi. 

    Selon un rapport du CERP, le Traité provoquera un essor économique en Europe et permettra à tous les ménages de gagner la bagatelle de 500€/an en plus à partir de 2029 ! Mais comme je sais que vous êtes intelligents vous devez vous dire : Oui, mais d’ici 15 ans avec l’augmentation du coût de la vie, ces 500€ ne vaudront plus grand chose ! Et puis attendre 15 ans, pour ça, la belle affaire ! Et vous avez raison. 

    L’arnaque va beaucoup plus loin, car savez-vous qui a dirigé l’étude du CERP (Center of Economic Research Policy) ? C’est Guillermo de la Dehesa, un conseiller de la magnifique banque Goldman Sachs, entouré entre autres d’un conseiller d’un laboratoire pharmaceutique et d’un ancien dirigeant de Coca-Cola. D’autres puissantes multinationales poussent en faveur de la validation du TAFTA : Walt Disney, Michelin, Nestlé, Unilever, la Warner, Microsoft etc. 

    Comme un malheur n'arrive jamais seul, on retrouve aussi dans les ardents défenseurs du TAFTA Michael Taylor, ex vice-président de la multinationale à boycotter, Monsanto. Il s’exprime désormais au nom de la FDA, Food and Drug Association. 

    Ce monde tourne à l’envers non et j’ai mal à la tête, pas vous ? 

    Voyez au grand jour le visage de ce que l’on appelle la « démocratie occidentale » : un traité opaque dont les médias ne parlent pas sciemment et dont les citoyens n’ont pas connaissance, soutenu par les plus grosses entreprises du monde, pourrait venir supplanter les souverainetés étatiques afin de porter l’ultra-libéralisme à son paroxysme. Injustice total(itair)e ! 

    Conclusion 

    Le TAFTA sera LE moyen LEGAL pour les lobbies et autres groupes d’influence de faire valider en Europe toutes les « saletés » qu’ils ont cherché à faire passer sans succès depuis une quinzaine d’années. Il est encore temps d’empêcher ce désastre et cette future tyrannie des multinationales sur les États et les peuples. 

    Soyez-en sûrs, une fois mis en action d'ici fin 2015 ce Traité sera indestructible. Alors il faut agir, et maintenant ! Faites tourner le message ! 

    NB : Voici les différents noms utilisés pour faire référence au Traité transatlantique (pour mieux tromper l'ennemi - le peuple -, la meilleure technique est de lui faire ignorer jusqu'au nom de ce qu'il veut combattre ! 

    TAFTA - Transatlantic Free Trade Area 

    TTIP - Transatlantic Trade and Investment Partnership 

    GMT - Grand Marché Transatlantique 

    APT - Accord de Partenariat Transatlantique 

    PTCI - Partenariat Transatlantique de Commerce et d'Investissement.

    Source : http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-grand-traite-transatlantique-152544

    http://www.oragesdacier.info/2014/06/le-grand-traite-transatlantique-tafta.html

  • Luc Chatel, ministre de la théorie du genre, nommé secrétaire général de l’UMP

    L’UMP recycle les incompétents, les nocifs et les repris de justice. Trois anciens premiers ministres (Raffarin, Juppé et Fillon) avaient déjà repris la tête du parti et se voient confirmés dans cette mission jusqu’au congrès d’automne. Jusque là rien d’étonnant.

    La surprise, si toutefois elle en est une, vient de la nomination de Luc Chatel comme secrétaire général. Celui-ci fut ministre de l’éducation nationale du 14 novembre 2010 au 10 mai 2012 sous l’ère Sarkozy.

    Luc Chatel est discret, mais il est d’une nocivité redoutable. Il aurait été initié dans une loge de son département (Haute Marne) même s’il a toujours nié son appartenance à la Franc-Maçonnerie. Pourtant cette nomination comme secrétaire général de l’UMP a des relents de récompense pour celui qui, discrètement mais avec une grande efficacité a introduit de façon explicite la promotion de l’homosexualité ainsi que de l’idéologie du genre dans les écoles de France.

    http://medias-presse.info/luc-chatel-ministre-de-la-theorie-du-genre-nomme-secretaire-general-de-lump/11149

  • La lettre de cadrage de l'Education Nationale : un aveu de démission de l'Etat

    On savait déjà que l'Education nationale voulait réformer, transformer ou supprimer le Brevet des Collèges, au profit d'un gloubiboulga joliment nommé "évaluation des compétences". La "Lettre de cadrage" pour la rentrée 2014 du ministère de l'Education nationale aux inspecteurs de tout poil, chefs d'établissement et professeurs est très parlante, pour peu qu'on ait le courage de lire jusqu'au bout cet étalage verbeux. Une analyse très pertinente en a été faiteici, dont voici quelques extraits:

    "[...] En fait, on ne compte plus les démissions de l'Etat. Elles touchent tous les services, la santé mais aussi la Police nationale ou la Gendarmerie nationale devenue une annexe de Bercy et un simple service commandé en uniforme et, pire peut-être pour le futur, l'Education nationale.

    A ce titre, il faut absolument lire dans son intégralité et malgré la pesanteur de son jargon administratif, la lettre de cadrage de la rentrée 2014, adressée à tous les personnels de l'Education nationale par Benoit Hamon, son nouveau ministre. Là, ce n'est plus seulement une démission, c'est l'abandon. La lettre révèle en filigrane l'état présent du système et il suffit d'en souligner  les grandes orientations pour énumérer toutes ses déficiences avec l'aveu implicite qu'on ne saurait plus y remédier.[...]

    [...] nulle part, la lettre ne remet en question le Collège unique. Ensuite, la priorité est donnée à l'école primaire. Pour cela, la recette est simple : on change les programmes. Autrement dit, on les revoit à la baisse mais surtout on introduit la fumeuse pédagogie par compétences. [...] La suppression de tout redoublement est annoncée en seconde et en première comme la prise en charge totale par les parents de l'orientation en classe de troisième. [...] 

    [...] il est décidé une fois de plus de réinjecter à fonds perdus de l'argent dans les banlieues avec des REP + (Réseaux d'Education prioritaire renforcé) tout en reconnaissant au passage que le problème de la mixité sociale n'est qu'un doux euphémisme.[...]

    Collèges super-connectés (le fameux "numérique éducatif"), examens par QCM (nécessaires effectivement si les élèves ne savent plus écrire), programmes axés sur les poncifs habituels (droits de l'homme, antiracisme, lutte contre l'homophobie, laïcité, remplacement accru de l'Histoire par "l'histoire mémorielle", dite "mémoire collective", nazisme et ses corollaires), suppression des sanctions d'exclusion (vive la "sanction inclusive"), tout y passe, mais tout se passe dans la bien-veil-lance, mot d'ordre universel, qui devrait s'appliquer, à l'image de la réforme pénitenciaire de Christiane Taubira, essentiellement à l'égard des délinquants de l'école, ceux qui empêchent si souvent les élèves "normaux" de travailler. Bienveillance, donc, pour ceux qui ne sont bienveillants avec personne, et qui en réalité signifie démission.

    Marie Bethanie