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lobby - Page 1889

  • En France, le spectacle, c’est maintenant !

    En France, tout est spectacle. […] On ne baisse jamais le rideau sauf – gag ! – pour les intermittents qui deviennent grévistes à temps complet. Mais ils respectent la chorégraphie nationale qui permet, au royaume de la Reine Égalité, à ceux qui jouissent déjà de privilèges de s’octroyer le droit de pourrir la vie des autres. Le régime des intermittents coûte à ceux qui ne le sont pas 320 millions d’euros. S’il s’agissait uniquement de consolider une profession précaire qui assure la continuité et le rayonnement de notre culture, comme cherche à le faire croire le ministre, on pourrait être compréhensif, mais chacun sait que les premiers bénéficiaires du système sont les grandes chaînes de télévision, et éventuellement leurs émissions débiles.

    Est-ce une raison pour les autoriser à anéantir le travail des autres et gaspiller les deniers publics qui permettent à la France de se couvrir de festivals ? J’ai assisté au massacre de ceux-ci par les intermittents en 2003, sans le moindre respect pour les organisateurs, pour les artistes et les techniciens qui voulaient travailler, pour le public, et notamment les étrangers venus spécialement à Aix ou à Avignon, aux yeux desquels on n’hésitait pas à donner la pire image de notre pays. Une minorité qui, par sa situation, peut prendre en otage une partie de la population et faire chanter la République à défaut de chanter elle-même, est-ce digne de la France ? Non, mais c’est l’une de nos mauvaises habitudes.

    Une fois de plus, la SNCF est en grève. Forts de leur sécurité d’emploi et de leurs avantages sociaux, notamment une retraite précoce, des « agents » d’un service public vont gêner les salariés des entreprises privées afin que le mammouth ferroviaire retrouve une unité qui maintienne la concurrence à la frontière. Rien n’éveille plus le patriotisme chez certains que la sauvegarde de leurs privilèges !

    Le patriotisme va pouvoir, d’ailleurs, déployer ses bannières en direction du Brésil. Les Français vont se sentir vibrer en proportion des buts marqués par les Bleus. […] Que onze millionnaires souvent employés par de grands clubs étrangers jouent en virtuoses avec un ballon n’a aucun rapport avec notre pays, sa situation ou son avenir. […]

    C’est par le spectacle que notre Président s’applique à reconquérir l’opinion. Faute d’agir efficacement sur le présent, il ressuscite le passé, il commémore. […] François Hollande s’est félicité que tout le monde soit venu et que l’Américain et l’Ukrainien aient parlé au Russe. Il faut maintenant en attendre les retombées diplomatiques réelles. La célébration du 6 Juin est aussi, pour un regard lucide, l’occasion de se rappeler que, si la scène des événements historiques était française, les acteurs essentiels étaient étrangers, même si le général de Gaulle avec la Résistance, le commando Kieffer et la 2e D.B. a permis à notre pays de sauver son honneur sur ce théâtre d’opérations.

    Une fois de plus, la SNCF est en grève.

    Il reste le cirque ou le music-hall. Ce sont les domaines de nos décidément trop chers politiciens. La débandade du PS, la guerre civile des ambitieux sans talent à l’UMP faisaient la part trop belle à un FN dédiabolisé.

    Le vieux chef, en chahuteur invétéré, fatigué déjà de jouer les seconds rôles et ulcéré par le petit tour habituel de « politiquement correct » des membres du show-biz qui veulent soigner leur réputation, s’est laissé aller à un de ces mots douteux dont il a le secret. Il s’agit d’un jeu qui se répète depuis des années. Les uns diabolisent pour détruire et pour exister. L’autre se diabolise pour ne pas disparaître. Un pays sérieux ne devrait pas accepter que son débat politique se situe à ce niveau. […]

    Christian Vanneste dans Boulevard Voltaire

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/en-france-spectacle-cest-maintenant_109690.html#more-109690

  • Mariage : la loi Taubira a créé dans la société une fracture sociale

    De Tony Anatrella dans Valeurs Actuelles :

    "[...] La loi du “mariage pour tous” a créé dans la société une fracture sociale et une confusion psychique sur le sens du couple générationnel et de la filiation. Parler ici de “couples” de femmes, “d’épouses” et de “mères” montre que l’on ne sait plus de quoi l’on parle en attribuant à un duo de même sexe les caractéristiques empruntées par mimétisme au couple formé par un homme et une femme. Ces derniers étant les seuls à former un couple et une famille, même si la loi civile ose dire le contraire. L’un comme l’autre sont de structures différentes, et voler le vocabulaire de l’un pour l’adapter à l’autre est une duperie psychologique et sémantique. J’ai souvent repris la formule de Camus à ce sujet qui affirme que « mal nommer les choses, c’est ajouter aux malheurs du monde ». La loi civile est ainsi un facteur de pathologies sociales qui nous conduisent à la violence.

    En réalité nous assistons à une manigance qui consiste à valider l’idée que l’enfant peut se “faire” sans sexe, puisque deux personnes de même sexe en sont incapables. En effet, on ne conçoit un autre qu’avec un autre et non pas avec du même. Il faut donc forcer la réalité pour montrer qu’il y a d’autres voies possibles et qu’il revient à chacun, selon les concepts du genre, de se construire soi-même et d’inventer la famille. De cette façon, à l’image des tribus anciennes qui, faute d’avoir une progéniture pour se survivre, pratiquaient le rapt des enfants, nous réactualisons le même phénomène par la “prise” de produits biologiques masculins pour se donner une filiation narcissique. On s’étonnera par la suite que, dans cette confusion psychologique et sémantique, des adultes s’engagent dans la recherche de leur origine à travers la généalogie et tentent de résoudre leurs troubles de la filiation. Le rapt des enfants au nom de l’unisexualité nous plonge au coeur du déni de ce qui nous humanise."

    Michel Janva

  • Persécution de la dictature grecque contre l’Aube dorée : un nouveau député emprisonné

    L’avocat Nikos Kouzilos est le septième député du mouvement nationaliste Aube dorée à être jeté en prison depuis septembre dernier.
    En plus d’emprisonner des députés, la dictature se fait désormais remarquer en incarcérant, sans motif valable, des avocats. Le militant nationaliste, âgé de 37 ans, est accusé, après neuf mois d’enquêtes, d’avoir participé à la direction d’une « organisation criminelle », à savoir un mouvement légal dont aucun dirigeant n’a jamais été condamné.

    Les juges le soupçonneraient en réalité simplement d’avoir été présent lors d’une manifestation contre un squat d’extrémistes en janvier à Athènes. Un autre député s’est vu imposer un contrôle judiciaire extrêmement sévère : il ne peut plus quitter son domicile sauf pour aller à l’hôpital, ou au parlement.

    Source JN

  • Persécution de la dictature grecque contre l’Aube dorée : un nouveau député emprisonné

    L’avocat Nikos Kouzilos est le septième député du mouvement nationaliste Aube dorée à être jeté en prison depuis septembre dernier.
    En plus d’emprisonner des députés, la dictature se fait désormais remarquer en incarcérant, sans motif valable, des avocats. Le militant nationaliste, âgé de 37 ans, est accusé, après neuf mois d’enquêtes, d’avoir participé à la direction d’une « organisation criminelle », à savoir un mouvement légal dont aucun dirigeant n’a jamais été condamné.

    Les juges le soupçonneraient en réalité simplement d’avoir été présent lors d’une manifestation contre un squat d’extrémistes en janvier à Athènes. Un autre député s’est vu imposer un contrôle judiciaire extrêmement sévère : il ne peut plus quitter son domicile sauf pour aller à l’hôpital, ou au parlement.

    Source JN

  • Pierre Cassen (Riposte laïque) : “Notre combat se poursuivra” [Entretien exclusif Novopress]

    Pierre Cassen et Pascal Hilout de Riposte laïque viennent d’être condamnés en appel pour la publication de deux articles. Une condamnation très sévère sur la plan financier. Novopress a rencontré Pierre Cassen à cette occasion.

    Pierre Cassen, avec Pascal Hilout, vous venez d’être condamné en appel pour la publication des deux articles. Pouvez-vous nous décrire ce qu’indiquaient ces deux articles et les raisons pour lesquelles vous avez été poursuivi et condamné ?

    Je mets ces deux articles à la disposition de vos lecteurs, pour qu’ils jugent par eux-mêmes. Dans le premier, que j’ai signé au nom de Cyrano, je posais une question vieille comme le monde : comment la démocratie peut-elle se protéger de ceux qui utilisent ses faiblesses pour mieux la tuer ? Je contestais, d’autre part, une phrase souvent répétée par Mélenchon : « Ce sera eux ou nous », en expliquant au président de Parti de Gauche qu’il se trompait de « eux ». Je démontrais pourquoi les islamistes présentaient le vrai danger pour la société française, alors que pour Mélenchon, le problème, c’est le Front national. Quant à Pascal, dans un autre édito de Cyrano, qu’il a écrit, il a repris un argumentaire de René Marchand, démontrant les méthodes de conquête des islamistes : immigration, réislamisation, prénoms, ramadan, halal, voile, mosquées, communautarisme, victimisation… afin de parvenir à leur objectif : le grand califat, et donc la conquête des territoires où ils sont pour le moment minoritaires. Aucun appel à la violence, simplement l’énoncé de faits que chacun peut vérifier dans son quotidien. Selon nos magistrats, et les imposteurs de l’antiracisme, cela s’appelle de l’incitation à la haine, et c’est sévèrement puni.

     

    Au vu de la partie financière de votre condamnation, on a l’impression que la justice veut tuer Riposte laïque, ou tout au moins asphyxier votre association…

    Si ce n’est pas le cas, c’est rudement bien imité. Je vous rappelle que Pascal et moi sommes condamnés, entre amendes (4000 euros pour moi, 1500 euros pour lui) et dommages et intérêts, à un total de 21.200 euros. En plus, ce procès aura coûté très cher à Riposte laïque, entre les frais d’avocats, de témoins, et le fait que nous allons nous pourvoir en cassation. Au total, c’est une plaisanterie qui coûte 30.000 euros. D’autre part, Pascal et moi sommes des personnes qui avons travaillé toute notre vie. Nous ne sommes pas pauvres, mais les sommes qui nous sont demandées représentent plusieurs années de travail et d’économie. Quand on voit l’indulgence ahurissante de la justice avec des racailles multirécidivistes, dangereux pour la sécurité et la vie de tous, des vedettes du show biz comme Bedos et ses ivresses publiques suivies d’insultes et de menaces à des policiers, ou les Femen, on est obligé de se dire que ce verdict est politique, et, comme l’a fort bien écrit Mireille Vallette, féministe suisse, que c’est une justice « Mur des Cons ».

    Au-delà de votre pourvoi en cassation, comment comptez-vous poursuivre votre combat ?

    Nous allons déjà devoir faire face à d’autres procès. Ainsi, dans le mois qui suit, Christine Tasin sera-t-elle jugée à Belfort – où cela risque d’être chaud -, suite à ses propos contre la religion d’amour, de tolérance et de paix, le jour de l’égorgement rituel, sur une place que le préfet leur avait accordée. La question de fond de ce procès sera le droit au blasphème. On sait que les musulmans, sous la pression de l’Organisation de la conférence islamique, veulent, pour demeurer fidèles à la charia, interdire toute critique de l’islam, assimilée par leurs complices à du racisme. Ce procès est donc capital pour la défense de la liberté d’expression. Le 8 juillet, notre rédactrice Josiane Filio sera jugée à Montpellier, en appel, poursuivie par le préfet de Valls, Bernard Boucault. Son crime : avoir qualifié le brave homme d’incompétent. En premier jugement, à Carcassonne, elle avait été jugée coupable, et condamnée à 200 euros d’amende avec sursis. N’acceptant pas d’être considérée coupable pour une simple opinion, alors que les dirigeants de l’UMP avaient été beaucoup plus virulents à l’égard du préfet Boucault, Josiane a fait appel. Nous devons également faire face à une surenchère de procès, dont certains sont invraisemblables. Par exemple, deux journalistes de La Nouvelle République nous traînent devant les tribunaux. Notre crime : les avoir qualifiés de « journaleux ». Des associations musulmanes, se livrant à une surenchère, multiplient également des procédures grotesques contre nous, avec la bienveillance de certains magistrats.

    Mais notre combat se poursuivra dans notre journal, dans nos livres, et dans la rue, avec tous les patriotes, dont les Identitaires, qui refusent l’islamisation de leur pays. Nous annoncerons, ce lundi, une initiative forte pour la première quinzaine de juillet, à Paris. Et cela devrait faire causer, au moins autant que l’apéro saucisson pinard, il y a 4 ans…

    http://fr.novopress.info/169500/pierre-cassen-riposte-laique-notre-combat-se-poursuivra-entretien-exclusif-novopress/#more-169500

  • Le viol d’Evry, ou l’étrange traitement des faits divers

    Il y a un mois s’est déroulé un fait divers particulièrement sordide et choquant, aussi bien en soi que par le silence dont il a été entouré dans les médias mainstream. Il pose à nouveau la question du traitement sélectif des faits divers.

    Dans la nuit du 29 au 30 mars dernier, une jeune fille de 18 ans sort du RER à Évry. C’est alors qu’elle est agressée par quatre adolescents âgés de 13 à 17 ans, dont trois sont de nationalité turque et le plus âgé de nationalité marocaine. Sous la menace d’un couteau, ceux-ci l’emmènent dans le parc de Courcouronnes où, après l’avoir dépouillée, ils la déshabillent, la frappent à coups de bâton (elle aura le nez et la mâchoire fracturés), puis la violent successivement et l’humilient de diverses manières. Elle est laissée en sang, à demi dénudée, après deux heures de calvaire, et récupérée par un automobiliste qui l’emmène immédiatement à l’hôpital. Grâce à la vidéosurveillance et au témoignage de la jeune fille, les coupables sont rapidement appréhendés et confondus par leur ADN. N’exprimant pas le moindre remords, ceux-ci affirmeront avoir agi ainsi « parce que les Français sont tous des fils de pute ». On aurait pu penser qu’un fait divers d’une telle monstruosité, allant jusqu’aux actes de barbarie, impliquant des mineurs dont deux ont à peine treize ans, se déroulant dans la commune de l’actuel Premier Ministre et comprenant un caractère aussi frontalement raciste, aurait un retentissement certain dans la sphère médiatique française. Il n’en fut rien. Seul François d’Orcival, dans Valeurs actuelles, relaya avec effroi l’affaire tandis que tous les autres médias se contentaient d’une brève tronquée de l’événement : on en avait en effet expurgé la dimension raciste, pourtant présentée par les auteurs eux-mêmes comme le mobile essentiel de leur acte. Mais nous sommes en 2014, si bien que cette censure un peu trop flagrante scandalisa les réseaux sociaux et donna lieu à un grand nombre d’articles dans la « réacosphère » (Boulevard Voltaire, Atlantico, 24 heures actu). Au point que Rue89 finit par publier un papier, non sur l’affaire elle-même, mais sur le « buzz » qu’elle avait provoquée sur le Net.

    Diversion ou symptôme ? [...]

    La suite sur La dissidence française

  • Et pourquoi ne pas supprimer les syndicats en France ?

    La grève de la SNCF qui est reconduite pose de nombreuses questions. Pourquoi les cheminots font-ils grève ? Au nom de quoi la reconduisent-ils ? Ces fonctionnaires privilégiés pensent-ils à leurs homologues du privé qui, eux, n’ont pas souvent la joie de voir leurs jours de grève payés ? Car, ne nous leurrons pas. Certes, les grévistes ne seront pas payés. Mais leurs journées d’arrêt de travail seront défrayées par le syndicat !

    Certes, depuis 2008 et le début de la crise économique, les journées de grève ont nettement diminué en France après avoir connu une croissance importante depuis 1968. Certes, les syndicats ont tendance à faire plus grève quand un gouvernement penche à droite que lorsqu’il est de gauche. Bien sûr, les syndicats peuvent être de bons garde-fous sociaux et pointer du doigt les dysfonctionnements du système. Ils ont beau nous expliquer que la grève ressemble, pour eux, au dernier argument, à l’ultima ratio regum.

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  • L'offensive perverse du lobby LGBT dans les écoles

    Lu sur Nouvelles de France :

    "Après des protestations de nombreux parents d’élèves dans plusieurs écoles du pays, la ministre de l’éducation italienne s’est engagée à ce qu’à partir de la rentrée de septembre les parents soient désormais consultés sur le contenu des programmes scolaires. Interrogée à la radio, elle a refusé de lire à voix haute un extrait d’une de ces histoires proposées aux élèves et qui avaient choqué les parents. Il s’agissait dans ce cas précis d’un livre sur une petite fille élevée par deux hommes. L’histoire, imposée aux élèves d’une école de Rome, parle entre autres choses de la relation homosexuelle d’un adolescent de seize ans avec son partenaire. Autre événement à l’origine de la décision de la ministre, en mars un collège de Modène a invité, sans en informer les parents, un activiste gay transsexuel italien qui se fait appeler Vladimir Luxuria pour parler aux collégiens du transsexualisme. La présence de militants LGBT correspond à la mise en application en Italie d’un programme élaboré en collaboration avec 29 organisations LGBT, sous prétexte de se conformer aux recommandations du Conseil de l’Europe. Cela semble aussi tout à fait conforme aux folles recommandations du bureau européen de l’OMS distribuées en 2010 à tous les gouvernements du continent. [...]

    Comme l’a exprimé en Italie le cardinal Angelo Banasco, archevêque de Gènes, la promotion de l’homosexualité sous prétexte de lutter contre « l’homophobie » est une première étape dans l’imposition de l’idéologie du genre et de ses préjugés contre la famille et la religion. Le cardinal Banasco a en effet dénoncé en mars dernier le fait qu’on cherche aujourd’hui à transformer les écoles en camps d’endoctrinement et de rééducation au service de l’idéologie du genre, faisant ainsi des enfants les cobayes de cette nouvelle forme d’ingénierie sociale totalitaire. Une ingénierie sociale qui passe malheureusement par la dépravation de nos enfants."

    Michel Janva

  • Les Américains vont-ils renforcer le djihadisme et faire disparaître les Chrétiens d’Irak?

    Les Américains sont bien silencieux ces derniers temps, eux si prompts à condamner les agissements de Poutine. Encore récemment, Hillary Clinton écrivait dans ses mémoires que Poutine était un danger pour l’ordre mondial. On en vient à se demander de quel ordre voulait-elle bien parler ? Celui qui est en train de se mettre en place en Irak ? Ou en Libye ? Actuellement, les forces de l’État islamique de l’Irak et du Levant sont à 100km de Bagdad et ils continuent d’avancer sans rencontrer pour l’instant beaucoup de résistance.

    Pour l’instant, plus de 500.000 Irakiens ont fui les zones de combat et l’avancée des djihadistes. Selon des experts, ces combattants de l’EIIL sont sur le point de créer un véritable Etat qui s’étendrait jusque dans le nord de la Syrie. Ironie du sort, Assad va encore pouvoir déclarer à juste titre qu’il lutte contre des terroristes. Une intervention en Syrie très tôt n’aurait rien changé. Les djihadistes auraient pris de l’importance tôt ou tard. Les Américains sont intervenus en Irak en 2003. Dix ans après, il semble bien que cela ait été en vain avec pour bilan des milliers de soldats tués ou blessés. Au Pakistan, les talibans viennent de mener leur plus grosse offensive et coup de force d’abord contre l’aéroport de Karachi puis contre un poste de sécurité. En Afghanistan, les forces occidentales continuent de se voiler la face mais le résultat pourrait être le même après leur départ que ce qui est en train de se dérouler en Irak. À Mossoul, le groupe djihadiste s’est emparé de 425 millions de dollars, une somme importante qui peut lui permettre de s’équiper en armements plus conséquents.

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  • Brochette, charrette, cohorte, fournée & C° …

    Il est une évidence, c’est qu’une grande partie du monde culturel, sportif ou médiatique appartient à cette engeance qui combat le F.N depuis 40 ans, exclusivement par des anathèmes, des invectives ou des procès, car ces « bobos » sont incapables d’opposer des arguments rationnels aux thèses de la préférence nationale et de la défense de notre identité.

    Ces ennemis du peuple et de la liberté d’opinion ne cessent de menacer et d’exercer un chantage envers ceux qui osent ne pas penser et s’exprimer comme eux.

    PK

    Le F.N étant donc sorti des urnes le 25 mai 2014 en vainqueur, nous attendons que Yannick Noah quitte l’Hexagone demain, comme il s’y était engagé il y a peu « si le FN devenait le premier parti de France ». Bye, bye ! Et le joueur de poker viscéral et invétéré, le sieur Benguigui, pourrait l’accompagner, il ne manquera à personne.

    Jean-Marie Le Pen a raison de recadrer le débat là où il aurait dû rester : à la richesse de la langue française et du bon usage du vocabulaire. Il suffisait aux ignares et aux handicapés des neurones, d’ouvrir un dictionnaire et de vouloir s’instruire.

    Malheureusement, les Aliot, Collard et Philippot ont envenimé la polémique et semé la zizanie au sein du F.N, comme si étrangement l’UMPS, en proie aux divisions internes, n’attendait que cela.

    Qui sont-ils donc, ces fonctionnaires issus de la bien-pensance, sans aucune légitimité, pour exiger la démission du fondateur du F.N ou envisager son exclusion, comme Dame Yade ?

    Pour qui se prennent-ils, ces donneurs de leçons, arrogants et suffisants ?

    La France d’en-bas –la majorité silencieuse- donne raison aux propos de J-M Le Pen, car eux aussi ne supportent plus les attaques de Lady Caca et du show-business hyper friqué contre les électeurs du Front National.

    NON, la déclaration de J-M Le Pen n’est pas une « faute politique », c’est au contraire une saine réaction en réponse aux agressions répétées des inquisiteurs de la Police de la pensée et des laquais du politiquement correct ! L’obligation d’autocensure est devenue insupportable.

    Allons-nous demain être désignés comme « antisémites » lorsque nous achèterons des petits fours chez le pâtissier ?

    L’hystérie des médias atteint des sommets d’intolérance et d’imbécilité. Comme c’était le cas pour la manipulation de Carpentras ….en 1990 et pour la tuerie du musée juif de Bruxelles le 24 mai dernier, quand tous ont accusé «l’extrême droite» et les grands blonds aux yeux bleus !

    « QUI VEUT TUER SON CHIEN, L’ACCUSE DE LA RAGE. »

    Pieter Kerstens

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/brochette-charrette-cohorte-fournee-c_109694.html#more-109694