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lobby - Page 1889

  • Excellent autocollant anti franc-mac !

    Lu sur le site du Renouveau français :

    « Il faut mettre les « pieds dans le plat » et attaquer le Système en son centre.
    Le RF lance une campagne de dénonciation de la secte maçonnique, qui est au cœur de la République comme le rappelait récemment Français Hollande.

    autoc-FM.jpg

    On peut d’ores et déjà se procurer ce nouvel autocollant, en allant sur cette page. »

    http://www.contre-info.com/

  • Constat accablant pour l'Union européenne

    L'historien François Kersaudy dénonce cette Europe, qui a préféré l'élargissement à l'approfondissement, le gigantisme à la taille humaine, et le centraslisme à la subsidiarité :

    "[...] L'élargissement démesuré de l'Union et des compétences de la Commission, résultant principalement de la démission des gouvernements, s'est fait au nom de "la paix". Il faut en déduire qu'en l'absence d'une Commission omnipotente, de réglementations aberrantes et de sentences juridiques délirantes, la France serait en guerre contre le Danemark, tandis que la Finlande aurait depuis longtemps attaqué l'Allemagne. C'est oublier que ce n'est pas l'Europe qui a fait la paix, mais la paix qui a fait l'Europe..., et surtout que, de mémoire d'homme, les démocraties ne se sont jamais fait la guerre - même en l'absence de tout meccano institutionnel supranational. Mais que peut faire ledit meccano pour assurer la paix aux frontières de l'Est ou du Sud ? Niente !Il s'est pourtant doté d'une "haute représentante de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité", madame Ashton, non élue, résolument unilingue, sans expérience des affaires étrangères, mais ayant rang de ministre, 1 600 fonctionnaires à disposition et un budget faramineux. Que fait-elle pour promouvoir le début du commencement d'une politique extérieure européenne ? Niets !

    Le Traité sur l'Union européenne de 1992, dit Traité de Maastricht, précise que "la Commission promeut l'intérêt général de l'Union".Mais qui, dans cette Commission hors-sol entourée de 30 000 lobbyistes, est capable de définir l'intérêt général de 28 pays ?Coïncide-t-il avec celui de l'Allemagne qui refait brûler des tonnes de charbon, ou avec celui de la France qui protège encore timidement son industrie nucléaire ? Est-ce celui de la Hongrie qui maltraite ses Roms, de la Roumanie qui les chasse, de l'Italie qui les exploite ou de la Belgique qui peine à les accueillir ? Est-ce celui de la Finlande qui protège sa nationalité, ou celui de Malte qui la vend pour 650 000 euros ? Ou encore celui de la France qui traque les paradis fiscaux, ou celui du Luxembourg qui en est un ? Que dit la Commission sur tous ces sujets ? Ingenting !

    Le principe de subsidiarité, réaffirmé par l'article 5 du Traité de Lisbonne, établit clairement que l'Union "n'intervient que si et dans la mesure où les objectifs de l'action envisagée ne peuvent être réalisés de manière suffisante par les États membres". Est-ce à dire que ces États sont à présent si décadents qu'ils ne peuvent statuer eux-mêmes sur la dimension de leurs concombres, le diamètre de leurs cuvettes de W-C ou la quantité de cannelle dans leurs pâtisseries ? Qu'ils sont si impotents que la Cour de justice européenne peut leur interdire d'expulser de leur propre territoire les plus dangereux terroristes étrangers ? Qu'ils sont si incompétents que la Commission doit leur dicter la façon de gérer leurs budgets ? Qu'ils sont si déliquescents qu'ils ont entièrement abandonné à la Banque centrale européenne le contrôle d'une monnaie commune surévaluée ? Qu'ils sont si insignifiants que leurs parlements nationaux n'ont plus guère que le pouvoir de transcrire en lois nationales les 17 000 textes émanant de la Commission ? Et en définitive, devant qui cette Commission, cette Cour de justice et cette Banque centrale européennes sont-elles responsables ? Qu'en disent les traités ?Semmi ! [...]"

    Michel Janva

  • Salubrité publique : les orthodoxes montrent l’exemple

    Il y a une semaine, le samedi 17 mai, des villes du monde entier ont été à nouveau souillées de l’étalage de corruption morale et de dévalorisation de l’être humain systématiquement amenées par les annuelles gay pride. Nous constatons néanmoins que l’accueil réservé par les peuples aux activistes « LGBT », promoteurs du vice et de la destruction du lien familial, n’est pas partout identique à la coupable mollesse des Occidentaux.

    Ainsi donc, une gay pride devait avoir lieu ce samedi 17 mai à Chisinau, capitale de la Moldavie. La manifestation rassemblant quelques dizaines de débauchés et des personnalités étrangères telles que des envoyés de l’Union européenne et du Conseil de l’Europe et le représentant en Moldavie du programme de développement de l’ONU (tiens tiens…) était censée déambuler sur l’artère centrale de la ville, l’avenue Stefan cel Mare. Mais bien que ce petit monde ait été escorté par une centaine de policiers (plus nombreux que les marcheurs) avec casques et matraques, quelques dizaines d’hommes déterminés et menés par des popes1 ont suffi à leur barrer la route. Sans demander leur reste, invertis et diplomates occidentaux ont pris la poudre d’escampette, se sont réfugiés dans deux bus et ont aussitôt quitté le centre-ville !

    Le même jour, c’est à Khabarovsk, en Extrême-Orient russe, qu’une gay pride a également tourné en eau de boudin. Bravant l’interdiction légale de toute promotion publique d’une quelconque pratique sexuelle non-traditionnelle, quelques militants homosexualistes se sont rassemblés avant d’être dispersés par 300 citoyens de la ville. Les tenants de la décrépitude des mœurs ne s’en sont sortis sains et saufs que grâce à l’intervention rapide de dizaines de policiers. En tout et pour tout, l’événement organisé par les « LGBT » aura duré… un peu moins de trois minutes.

    Enfin, le maire de Moscou a donné quelques occasions ces jours-ci aux milieux « LGBT » de pleurnicher sur l’injustice qui leur serait faite par cette Russie qui n’accepte pas que le péché soit consacré par la loi. Ainsi, coup sur coup, la mairie a interdit la tenue d’une « marche Conchita Wurst » et d’une gay pride, arguant que de telles actions, en plus d’être interdites par la législation russe, « portent atteinte aux sentiments religieux et moraux et à la dignité humaine ».

    Une fois de plus, un vent frais et revigorant nous vient de l’est et des terres orthodoxes.

    Baudouin Lefranc

    1 La population moldave est majoritairement de confession orthodoxe. Les paroisses orthodoxes du pays font partie de l’Eglise orthodoxe russe et le patriarche de Moscou est le primat des orthodoxes moldaves.

  • La rhétorique antiraciste ne prend plus dans l'opinion

    De Christian Combaz dans Le Figarovox : :

    "Plutôt que d'adapter leur discours à cette nouvelle donne, les spécialistes de l'intimidation dogmatique reviennent en ce moment aux valeurs sûres, le nauséabond, l'inadmissible, la haine de l'autre, le repli, le fantasme identitaire, etc. Tout ressurgit mécaniquement dans leurs propos, mais il y a quelque chose d'assez navrant dans ce flipper de l'anathème, c'est son caractère prévisible. Le joueur commence à connaître les trucs de la machine, il ne peut plus la secouer car elle tilte pratiquement de manière préventive, en outre et depuis trente ans le same player shoots again est attribué aux mêmes joueurs qui s'accrochent aux manettes du discours. Ceux qui jouent sont toujours les mêmes, et leurs coups sont toujours identiques. Le jeu n'a plus de sens, il aligne les figures imposées, il suit les lois d'une espèce de balistique du raisonnement qui n'intéresse personne.

    On mesure cette lassitude à l'accueil très tiède qu'ont reçu les indignations, les appels à la vigilance et les tentatives de protestation qui se sont manifestés depuis les élections. Il y a quinze ans la jeunesse montait sur les lampadaires de la Bastille pour glapir sa crainte d'être dépassée par des forces coalisées du capital et du fascisme international. Désormais, le développement d'une tyrannie de proximité, qu'elle a souvent subie dans la cour du lycée, la préoccupe davantage -sans parler des révélations de Snowden et de la tiédeur de l'Europe institutionnelle devant les écoutes américaines, qui représentent la menace la plus sérieuse que la Démocratie ait affrontée depuis longtemps..

    Les professionnels de la vigilance devraient donc suivre un stage de remise à niveau s'ils veulent garder la main sur la réalité, parce qu'elle est en train de leur échapper complètement."

    Michel Janva

  • L'immigration coûte 0,5 % de PIB à la France, d'après l'OCDE

    C'est une enquête de l'OCDE (Organisation pour le commerce et le développement économique) dont vous avez pu lire des extraits et des commentaires dans la presse ces dernières vingt-quatre heures, jeudi 22 mai. La plupart des articles qu'il nous a été donné de consulter (Les Echos, Le Figaro, Reuters sur Boursorama) ont retenu un fait majeur dévoilé par cette enquête : en 2012, l'Allemagne a accueilli 400 000 immigrés sur son territoire, soit deux fois plus qu'en 2009. A tel point que la presse allemande en a fait ses gros titres, étonnée. 

    "Les flux migratoires [en Allemagne NDLR] ont augmenté de plus d'un tiers en 2012 par rapport à 2011, en raison principalement des mouvements en provenance d'Europe centrale et d'Europe de l'Est, et - dans une certaine mesure - d'Europe du Sud" explique l'OCDE. Avec 400 000 immigrés accueillis sur son sol en 2012, l'Allemagne est en deuxième position derrière les Etats-Unis (1 milion d'immigrés). Sachant que l'Allemagne est 27 fois plus petite que les Etats-Unis, grande comme l'Etat du Montana, et compte 80 millions d'habitants contre 317 millions d'américains, l'Allemagne pourrait en fait proportionnellement à sa taille et à sa population revendiquer la première place, devant les Etats-Unis. Ce flux migratoire a représenté 0,5 % de la population allemande en 2012.

    Quid de la France ? L'OCDE ne donne curieusement pas de chiffre pour la France dans l'étude publiée, mais communique tout de même deux informations de taille : "Plusieurs autres pays européens ont également connu des flux beaucoup plus élevés de migration en 2012 par rapport à 2011, certains, comme la France, la Suède et la Finlande, atteignant même des sommets historiques." L'agence Reuters, après avoir interviewé l'auteur du rapport, annonce le chiffre de 242 000 nouveaux entrants sur le territoire français en 2012.

    Mais le rapport ne se contente pas d'estimer les flux migratoires, il essaye surtout d'en évaluer l'impact. Or, c'est cette partie du rapport qui a bizzarement été éludée ou survolée dans les articles référencés ci-dessus. Pourtant, le communiqué de l'OCDE semblait limpide. Le troisième point mis en exergue sous les "principales conclusions pour la France" était : "ramener le taux d’emploi des entrants au niveau de celui des travailleurs natifs représenterait un gain fiscal notable et un impact budgétaire sur le PIB de 0,5% en France." Le rapport de l'OCDE ne dit pas autre chose, et nous citons ici in extenso le paragraphe sur ce sujet : "L'emploi est le déterminant le plus important de la contribution fiscale nette des migrants, en particulier dans les pays avec des États-providence généreux. Augmenter le taux d'emploi des immigrés au niveau des personnes natives du pays entraînerait des gains financiers substantiels dans de nombreux pays européens de l'OCDE, en particulier en Belgique, en France et en Suède, qui verraient un impact budgétaire de plus de 0,5 % du PIB. Il pourrait également aider les immigrés à atteindre leurs propres objectifs : la plupart des immigrés, après tout, ne viennent pas pour des avantages sociaux, mais pour trouver du travail et améliorer leur vie et celle de leurs familles. Les efforts visant à mieux intégrer les immigrés devraient donc être considérés comme un investissement plutôt qu'un coût." 

    0,5 % de PIB, c'est 10 milliards 

    Il n'y a pas besoin d'être un grand économiste pour comprendre ce que l'OCDE explique à mots couverts, sur un sujet hautement sensible. Le taux de chômage des étrangers en France, était en 2012, selon l'Insee, de 24,8 %, contre 9,2 % pour les Français, et 9,8 % au total, sachant que l'Insee appelle étranger toute personne qui ne détient pas la nationalité française. En estimant que les pays comme la France gagneraient 0,5 % de PIB (10 milliards d'euros) s'ils parvenaient à amener la population immigrée au même niveau d'emploi que "celui des travailleurs natifs", l'OCDE nous explique en fait que le taux de chômage élevé des immigrés en France coûte 0,5 point de PIB.

    Les immigrés sont-ils victimes d'une discrimination à l'embauche, qui justifierait leur taux élevé et persistant de chômage ? Non, l'OCDE explique que leur employabilité est directement proportionnelle à leur niveau d'éducation et de compétence. Si l'immigration a fait croitre de 31 % le nombre de diplômés de l'enseignement supérieur au Canada, qui pratique une immigration hautement sélective et attire des asiatiques et des européens, l'impact n'est que de 14 % en Europe explique encore le rapport. Mieux encore, l'OCDE explique dans un autre rapport publié également mardi que "les immigrés représentaient 47% de l'augmentation de la main-d'œuvre aux États-Unis et 70 % en Europe au cours des dix dernières années" et encore que "les immigrés contribuent de manière significative à la flexibilité du marché du travail, notamment en Europe". Jean-Luc Mélenchon et les électeurs du Front de Gauche apprécieront. Si l'on ajoute que l'Unedic, qui finance l'assurance chômage, annonce 300 000 chômeurs de plus en 2014 et 2015, la "recommandation" de l'OCDE oscille entre l'utopie et le delirium tremens...

    25 % de chômage chez les immigrés en France en 2012 

    Sur les dix dernières années, le taux de chômage des immigrés est tombé une seule fois sous le seuil des 20 %, à 19 %, en 2008, quand le taux de chômage des Français a atteint 7 % cette année là. Que ce soit en période faste pour l'emploi ou en pleine crise, le ratio est donc toujours de 1 sur 3. Nicolas Sarkozy, pour rédiger sa tribune publiée jeudi par l'hebdomadaire Le Point, avait il eu connaissance préalablement de ce rapport de l'OCDE, rendu public mardi soir à 20h30, quand le Point était déja chez l'imprimeur ("avant midi, le journal est définitivement bouclé et part pour l'imprimerie" explique le Point sur son site Internet) ? Il ne dit pourtant pas autre chose : " Nous ne pouvons plus continuer à faire semblant de croire qu'il est encore possible d'accueillir tout ceux qui le souhaitent. C'est une évidence qu'il faut suspendre immédiatement Schengen I et le remplacer par un Schengen II auquel les pays membres ne pourraient adhérer qu'après avoir préalablement adopté une même politique d'immigration. Ainsi serait-il mis fin au détournement de procédure qui permet à un étranger de pénétrer dans l'espace Schengen, puis, une fois cette formalité accomplie, de choisir le pays ou les prestations sociales sont les plus généreuses. Nous n'avons pas voulu l'Europe pour que soit organisé un dumping social et migratoire au détriment quasi systématique de la France. J'affirme que l'on peut être généreux et bouleversé par les évènements de Lampedusa et être dans le même temps suffisamment lucide pour ne pas accepter une absence de contrôle de notre politique migratoire qui nous conduit tout droit à la catastrophe. Si nous ne réagissons pas rapidement dans les années qui viennent, c'est notre pacte social qui va exploser".

    Source : http://www.economiematin.fr/eco-digest/item/10065-cout-immigration-france-ocde

    http://www.oragesdacier.info/

  • Présidence de la Commission européenne : les européistes ont menti

    D'Yves Daoudal :

    "Ils mentaient, et la preuve en a été donnée hier soir. Ils, c’est-à-dire tous ceux qui prétendaient que l’élection européenne permettait aux citoyens, pour la première fois, d’élire le président de la Commission européenne en même temps que les députés européens. Quelques chefs d’Etat et de gouvernement l’avaient proclamé, dont François Hollande (mais je me demande s'il n'a pas été le seul). Tous les politiciens européens qui s’étaient dit têtes de listes européennes (Juncker, Schulz, Verhofstadt, Bové, Tsipras) avaient fait campagne sur ce thème. La plupart des « spécialistes » de l’Europe dans les médias brodaient, ou plutôt matraquaient, sur le même thème.

    Le PPE a, sans surprise, gagné les élections. Donc le chef de file du PPE, Jean-Claude Juncker, a été élu président de la Commission européenne.

    Eh bien non. Parce que le traité dit que ce sont les chefs d’Etat et de gouvernement qui choisissent le président de la Commission européenne. Ils se sont réunis hier. Et ils ont pris la décision de demander à Herman Van Rompuy, le président du Conseil européen, de mener des discussions exploratoires afin de dresser une liste de noms de personnalités susceptibles d’occuper le poste de président de la Commission européenne. Sans même commenter la décision de la conférence des présidents de groupes au Parlement européen, de faire de Jean-Claude Juncker le candidat officiel du Parlement…"

    Michel Janva

  • Fêter ramadan à la mairie de Paris aux frais du contribuable ? Pour le FN et l’UMP, ça suffit !

    ramadan-invitation-delanoe-2013-mpi

    Depuis 2001, la mairie de Paris a pris l’habitude d’organiser une fête dans les salons de l’Hôtel de Ville de Paris pour célébrer le début du Ramadan. C’est bien sûr le socialiste Bertrand Delanoë qui avait pris cette décision et la socialiste Anne Hidalgo qui lui succède à la mairie de Paris n’a pas l’intention d’y mettre fin. Le 9 juillet 2014, l’islam devrait une fois de plus être à l’honneur à l’Hôtel de Ville.

    Cette année, un appel d’offre prévoyant une enveloppe budgétaire de 70.000 euros a été lancé par la mairie à destination des prestataires. «Les concerts refléteront la diversité des cultures de l’Islam, avec une programmation comprenant des artistes de renom», annonce la mairie.

    ramadan-hidalgo-mpi

    Bertrand Dutheil de La Rochère, conseiller de Marine Le Pen, a réagi par un communiqué publié ce mercredi.

    Le Front national réclame l’annulation de la fête, organisée «aux frais du contribuable». Une demande partagée par Jérôme Dubus, conseiller UMP.

    http://medias-presse.info/feter-ramadan-a-la-mairie-de-paris-aux-frais-du-contribuable-pour-le-fn-ca-suffit/10618

  • Fêter ramadan à la mairie de Paris aux frais du contribuable ? Pour le FN et l’UMP, ça suffit !

    ramadan-invitation-delanoe-2013-mpi

    Depuis 2001, la mairie de Paris a pris l’habitude d’organiser une fête dans les salons de l’Hôtel de Ville de Paris pour célébrer le début du Ramadan. C’est bien sûr le socialiste Bertrand Delanoë qui avait pris cette décision et la socialiste Anne Hidalgo qui lui succède à la mairie de Paris n’a pas l’intention d’y mettre fin. Le 9 juillet 2014, l’islam devrait une fois de plus être à l’honneur à l’Hôtel de Ville.

    Cette année, un appel d’offre prévoyant une enveloppe budgétaire de 70.000 euros a été lancé par la mairie à destination des prestataires. «Les concerts refléteront la diversité des cultures de l’Islam, avec une programmation comprenant des artistes de renom», annonce la mairie.

    ramadan-hidalgo-mpi

    Bertrand Dutheil de La Rochère, conseiller de Marine Le Pen, a réagi par un communiqué publié ce mercredi.

    Le Front national réclame l’annulation de la fête, organisée «aux frais du contribuable». Une demande partagée par Jérôme Dubus, conseiller UMP.

    http://medias-presse.info/feter-ramadan-a-la-mairie-de-paris-aux-frais-du-contribuable-pour-le-fn-ca-suffit/10618

  • Les participants français au groupe de Bilderberg 2014

    Le groupe Bilderberg, aussi appelé conférence de Bilderberg ou club Bilderberg, est un rassemblement annuel et informel d'environ 130 membres, essentiellement américains et européens, et dont la plupart sont des personnalités de la diplomatie, des affaires, de la politique et des médias. Ce forum n'est pas médiatisé et ses discussions sont confidentielles.

    Cette année, la réunion de ce groupe aura lieu du 29 mai au 1er juin. Parmi les participants, on trouve les Français :

    • Henrie de Castries, PDG d'AXA Group
    • François Baroin, député (UMP); maire de Troyes
    • Nicolas Baverez, membre du comité d'organisation de la conférence, essayiste
    • Pierre-André Chalendar, PDG de Saint-Gobain
    • Emmanuel Macron, secrétaire général adjoint de l'Elysée
    • Natalie Nougayrède, qui vient de démissionner de la direction du journal Le Monde
    • Fleur Pellerin, Secrétaire d'Etat au commerce extérieur

    Michel Janva

  • La Commission européenne bafoue les peuples d'Europe

    Comme le CESE en son temps, la Commission de l'UE a rejeté, par veto, les 2 millions de signatures de l'initiative "Un de Nous". Rappelons que les membres de cette Commission ne sont pas alus, mais désignés par les chefs d'Etat et de gouvernement des pays membres de l'UE.

    Communiqué de l'Initiative citoyenne Un de Nous :

    "Ce 28 mai, au dernier jour de son mandat, l’ancienne « Commission Barroso » a opposé son veto à l'Initiative citoyenne « UN DE NOUS / ONE OF US», la plus grande pétition de l’histoire des institutions européennes. Cette Initiative, portée par deux millions de citoyens, demande l’arrêt du financement public européen des pratiques impliquant la destruction volontaire de vies humaines avant la naissance. L'Initiative citoyenne européenne (ICE) est un mécanisme de démocratie participative créé par le Traité de Lisbonne par lequel un million de citoyens peut introduire un projet législatif dans les rouages bruxellois.

    Le Comité de UN DE NOUS exprime sa profonde déception face à une Commission sourde qui prend ce jour une décision contraire aux exigences éthiques et démocratiques. Alors que chaque projet d‘Initiative est contrôlé en amont par la Commission avant d'être ouvert à la signature, la Commission Barroso prétend en outre exercer un droit de veto en aval, à l'encontre des initiatives ayant pourtant obtenu avec succès le soutien populaire requis. Un tel pouvoir de veto est illégitime et anti-démocratique, car c’est au législateur européen qu’il appartient de se prononcer politiquement sur le fond de l’Initiative, et non pas à la Commission.

    UN VETO injustifié qui ne tient pas compte de l’objet même de la demande : La réponse de la Commission est hypocrite et dédaigneuse car elle fait semblant de ne pas comprendre l’objet de la demande et consiste en trente pages d’autosatisfaction sur sa propre politique. La Commission souhaite continuer à financer des pratiques biotechnologiques non éthiques et qui se sont révélées sans avenir et, à financer l’avortement dans les pays en développement y compris dans des pays où il est pénalement interdit.

    UN VETO injustifiable qui bafoue le processus démocratique : La Commission, plutôt que de constater le succès de l’initiative et de la transmettre au Parlement et au Conseil européens a abusé de son pouvoir de contrôle formel pour porter un jugement sur l’opportunité politique de « Un de Nous » et pour bloquer la procédure. La Commission essaie ainsi de défendre son privilège de pouvoir d’initiative, car elle était jusqu’à la création du mécanisme d’ICE la seule à pouvoir initier des procédures législatives. La Commission européenne a fait ainsi du mécanisme d’ICE un simulacre alors que les députés voulaient au contraire en faire un véritable instrument de démocratie participative. La Commission donne ainsi un nouveau témoignage de son absence de culture démocratique.

    Pour le Comité de Citoyens de « UN DE NOUS», la procédure n’est pas close : d’une part, la décision de la Commission est susceptible d’un recours auprès de la Cour de Justice de Luxembourg – qui a reconnu quant à elle le respect dû à la vie humaine dès la conception -, et d’autre part, le nouveau Parlement va auditionner la prochaine Commission, permettant de replacer le respect de l’Initiative citoyenne au cœur des débats, en demandant aux institution européennes plus d’éthique et plus de démocratie."

    Michel Janva