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lobby - Page 1887

  • L’arroseur arrosé : quand des « renois » attaquent les anti-FN…

    Les généreux lycéens remplis de bons sentiments et de générosité se font casser la gueule par ceux qu’ils souhaitent défendre.   

    Les  « marches contre le FN » organisées jeudi 29 mai 2014 n’ont eu qu’un très faible succès, réunissant difficilement quelques milliers de protestataires à travers la France. Nous étions donc bien loin des longues files de 2002. Le gros des troupes était constitué d’adolescents boutonneux, les fameux « babtous fragiles », ainsi que les caricaturent les jeunes durs de la diversité banlieusarde. Ce « monôme de zombies » (pour paraphraser le titre d’un admirable éditorial de Louis Pauwels dans Le Figaro des années 80) était cornaqué par quelques professeurs « engagés » à l’unisson d’organisations « antifascistes ». Le cortège était pourtant censé être « apolitique ». Curieux, pour une manifestation qui appelait à protester contre un parti qui a réuni 25 % des voix au cours d’un scrutin démocratique… Mais passons.

    Le plus amusant restait pourtant à venir. Nous avions déjà eu droit au bide « Leonarda » et aux lycéens portant des jupes sur ordre de l’académie de Nantes, ces « marches contre le FN » pouvaient donc paraître fort classiques. Mais l’époque est riche en rebondissements délicieux : pas un jour sans une nouvelle rigolade, pas un jour sans que la gauche autoproclamée progressiste ne se fracasse la tête contre le mur du réel.

    Le « buzz » Internet du vendredi suivant la manifestation consista en la réaction d’une jeune marcheuse, que je prénommerai ici Bécassine. Notre sainte laïque, opposée aux propagateurs d’idées nauséabondes qui souhaitent réguler l’immigration et assurer la sécurité des Français, s’insurgea pourtant contre les casseurs qu’elle désigna dans son message comme étant « rebeus » et « renois ». Voici ce que Bécassine disait sur la page Facebook « Face à l’extrême droite : tous unis pour la solidarité » : « Je tiens à remercier la BAC qui est restée bien sagement le cul dans ses camions pendant que des jeunes se faisaient casser la gueule par des enfoirés de casseurs (pour la plupart renois ou rebeus, il faudrait m’expliquer là ?? Inutile de leur demander s’ils ont lu le programme du FN). »

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  • Le CRIF a fait ses propositions au Ministre de l’Education nationale Benoit Hamon

    Benoit Hamon, Ministre de l’Education nationale, a promis à Roger Cukierman, président du CRIF, la nomination prochaine d’un Conseiller sur les questions de discriminations, de racisme et d’antisémitisme au sein de son cabinet. L’entretien s’est déroulé le lundi 19 mai 2014. Le ministre Benoit Hamon recevait une délégation du CRIF composée de Roger Cukierman, Robert Ejnes et Jean-François Bensahel. L’entretien a porté essentiellement sur l’antisémitisme à l’école.

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  • La mairie de Bordeaux soutient la GayPride

    BPlacardés sur les murs et parcours de tramway de leur ville, les bordelais découvrent cette affiche de la "marche des fiertés" (Gay Pride) promouvant cette année la "famille pour tous" ! Le plus choquant est que cette communication est soutenue par la municipalité (son logo apparaît clairement sur l'affiche) !

    Michel Janva

  • L’égérie du Front homosexuel d’action révolutionnaire rappelle l’objectif : détruire le mariage et la famille

    L’émission «Les Matins» de France Culture avait invité Marie-Josèphe Bonnet ce vendredi 30 mai pour débattre de la «loi famille». Marie-Josèphe Bonnet est une vieille égérie du Mouvement de Libération des Femmes (MLF) et du Front homosexuel d’action révolutionnaire (FHAR). Dans les années 1970, le FHAR militait ouvertement contre la normalité. Le journal du FHAR s’intitulait L’antinorm et le FHAR publiait en 1971 un Rapport contre la normalité.

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    Marie-Josèphe Bonnet est restée fidèle à son discours révolutionnaire. Elle est opposée à la loi Taubira parce que, selon elle, le droit au mariage pour les LGBT annihile la dimension subversive de l’homosexualité en l’inscrivant dans la «norme petit-bourgeoise». Elle semble affligée par les actuelles revendications du lobby homosexuel : «Il y a 40 ans, si on m’avait dit que notre engagement allait aboutir au mariage… On voulait assumer nos différences, être nous-mêmes sans avoir à obéir à des normes collectives. On en vient à ce que tout le monde soit pareil. Je ne comprends pas du tout cette évolution. C’est une demande d’intégration normative et petite-bourgeoise

    http://medias-presse.info/legerie-du-front-homosexuel-daction-revolutionnaire-rappelle-lobjectif-detruire-le-mariage-et-la-famille/10702

  • Mettre un nom sur une donnée

    L’immense majorité des informations que la NSA récupère ne sont pas nominatives. Un appel est identifié par un numéro de téléphone, une requête sur le web par une adresse IP... Comment remonter à l’identité de l’utilisateur ? 

         Pour le téléphone, fixe ou portable, c’est facile à grâce aux annuaires inversés. Cependant, si l’on a affaire à un terroriste prudent, la traque peut être plus délicate ; il peut par exemple utiliser le téléphone d’un ami pour un appel sensible. Il évitera alors d’emprunter un smartphone, car Ira Hunt, directeur technique de la CIA, a révélé que les nombreux capteurs d’un téléphone moderne permettent de caractériser la manière dont quelqu’un marche, et que la manière de marcher permet d’identifier une personne à 100%. 

         Un terroriste doit aussi prendre garde à changer ses habitudes s’il change de numéro. S’il continue à appeler sa mère pendant dix minutes deux fois par semaine, comme l’un des protagonistes du film Zero Dark Thirty, version romancée de la traque de Ben Laden, il sera vite identifié. 

         Pour une communication par ordinateur, c’est plus compliqué mais pas moins efficace. Votre connexion internet est identifiée par une suite de nombres appelée adresse IP, de la forme 23.86.132.226. Chaque fois que vous vous connectez à un site web, le serveur distant a connaissance de cette adresse, sans laquelle il ne pourrait techniquement pas vous répondre. Or sur bien des sites vous avez donné des informations personnelles exactes, par exemple sur Amazon ou Facebook. Dès lors que vos communications ont été interceptées lorsque vous entriez des données, vous êtes identifié. Si vous déménagez, vous changez d’adresse IP, mais vous conservez les mêmes identifiants sur les mêmes sites : dès que vous vous y connectez, vous êtes repérable.

         Nos communications laissent beaucoup plus de traces que l’on imagine, et ces traces, prises ensemble, sont comme un filet auquel même un spécialiste peine à échapper. David Petraeus, général de l’armée américaine, chef du commandement central des opérations américaines en Irak et en Afghanistan, puis directeur de la CIA, a dû démissionner de son poste en novembre 2012 après qu’il fut révélé qu’il entretenait une relation extra-maritale. Pourtant il avait pris des précautions : sa maîtresse et lui partageaient la même boîte mail dans laquelle ils s’écrivaient via des brouillons jamais envoyés. Cela a cependant suffi au FBI pour remonter jusqu’à lui. 

    Sébastien Desreux, Big Mother

    http://www.oragesdacier.info/2014/05/mettre-un-nom-sur-une-donnee.html

  • Boko Haram : le prétexte US-raélien ou le 11/9 bis, par Laurent Glauzy

    « Le groupe sanguinaire Boko Haram, de mouvance salafiste, qui revendique la création d’un État islamique dans le Nord du Nigeria, serait-il une construction des États-Unis servant à justifier une intervention au Nigeria ? Ainsi, Boko Haram ne serait qu’une répétition du fameux le 11 septembre, qui a permis, en 2001, l’invasion de l’Afghanistan et du puissant Irak de Saddam Hussein.

    Alain Chouet, officier du renseignement français, ancien chef de poste de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) à Damas, avance dans la publication numérique Mondafrique (certainement avec l’approbation de ses supérieurs, dont celui de Hollande) que « Boko Haram est un monstre utile ». Concernant le chef de Boko Haram, Aboubakar Shekau, Chouet demande s’il est « un fou, un drogué irrationnel, un ancien chef de bande ? Les média l’ont décrit ainsi. Mais je l’ai entendu sur des vidéos faire ses revendications dans un arabe classique parfait. Ce qui est loin d’être commun en Afrique. »

    Le groupe armé Boko Haram existe depuis 2002. Mais, aujourd’hui, il ressemble à une armée de milliers d’hommes. Or, un fou drogué et inculte ne peut pas gérer une telle rassemblement.
    Avec l’enlèvement, à la mi-avril, de 223 étudiantes, Aboubakar Shekau donne même l’impression qu’il inscrit sa mouvance dans une logique internationale. Cette action terroriste a nécessité une importante organisation et a entraîné un coût économique.

    Alain Chouet souligne que Boko Haram possède d’importants capitaux lui permettant de rémunérer ses hommes de main, ainsi que d’embrigader et de séquestrer des personnes. Alain Chouet évoque même le va-et-vient, entre Ryad et Kano (repaire de Boko Haram), de valises pleines de dollars.

    L’officier du renseignement ajoute que des valises ont été vues, avec des porteurs différents, transiter par le Soudan, l’Afghanistan, la Lybie, la Syrie, le Mali et la Tunisie.

    Il affirme qu’« il y a une grande quantité de riches donateurs privés » en Arabie Saoudite et au Qatar prêts à fournir des fonds à Boko Haram. Alain Chouet assure que le Nigeria « est un pays où l’intégralité de la rente pétrolière est confisquée par les élites. Ce système a tenu pendant une vingtaine d’années, parce que les cadres de l’administration d’État et de l’armée étaient essentiellement des musulmans du Nord (45 % de la population est islamique), qui distribuaient une petite partie des bénéfices, assez pour calmer la colère populaire, chaque jour confrontée à la corruption du pouvoir. Cependant, à partir de 2000, la situation s’est inversée : la population du Sud a augmenté son contrôle sur le secteur public et l’armée. La finance islamique, entre les mains des banques internationales, a permis d’instrumentaliser cette colère. Jusqu’alors, Boko Haram était un mouvement de révolte locale, agité par des revendications économiques locales. Il n’était donc pas intéressé par le djihad, qui sort plutôt du moule saoudien.

    L’enlèvement des lycéennes, leur conversion de force annoncée le 12 mai par Aboubakar Shekau, et leur libération en échange de celle de prisonniers du groupe islamiste aux mains du gouvernement, ont bien entendu suscité la plus grande indignation dans le monde (à commencer par la femme du président américain Obama). Cette mise en scène sonne bien comme un prétexte orchestré pour légitimer une nouvelle ingérence « humanitaire » occidentale en Afrique. Plusieurs organisations non gouvernementales ont d’ailleurs appelé à l’intervention de l’entité supranationale Illuminati qu’est l’ONU.

    Il est à ce propos intéressant de constater que le nom officiel du groupe est Jama’atu Ahlul Sunna Lidda’awati Wal Djihad, est traduit en arabe par « la communauté des disciples de la tradition de l’Islam pour la prédication et la guerre sainte ». Quant à l’appellation de Boko Haram, qui proviendrait des populations locales du Nord-est du Nigeria, elle signifie en langue haoussa « l’éducation occidentale est un péché » : « boko », de « book », « livre » en anglais, et « haram », « interdit » en arabe - soit le rejet d’un enseignement perverti par l’occidentalisation. Dans un tel contexte terroriste, montée de toute pièce et aussi grossier que le 11 septembre, l’intervention de l’Occident devient une « nécessité ».

    Comment aussi ne pas imaginer que le président nigérian, Jonathan Goodluck a provoqué l’enlèvement de ces étudiantes pour consolider son pouvoir, et celui du pétrole anglo-américain ? De plus, Jonathan Goodluck, évangéliste baptiste – mouvance religieuse proche des États-Unis et de la CIA à laquelle appartient John Davison Rockefeller - a demandé l’aide d’agents secrets israéliens, dans le but unique de libérer les étudiantes (Nigeria News du 20/5/14) ! Voilà une belle occasion offerte à Israël pour s’ingérer dans les affaires de la première puissance économique d’Afrique, pays que connaît néanmoins Jonathan Goodluck pour y effectuer ses pèlerinages. »

     Laurent Glauzy

    http://www.contre-info.com/boko-haram-le-pretexte-us-raelien-ou-le-119-bis-par-laurent-glauzy#more-32873

  • L’échec des manifestations contre l’extrême-drôôôaate !

    Une vingtaine de manifestations en France. Toutes nées grâce aux réseaux sociaux et organisées par les syndicats lycéens et étudiants qui prévoyaient environ 25 000 personnes pour une grande mobilisation nationale contre la victoire du FN aux européennes. Une marche qui veut opposer l’amour des autres, l’ouverture d’esprit et les valeurs les plus humanistes face à l’intolérance, au racisme et au replis sur soi.

    Une journée sans aucun doute réussie puisque question mobilisation on atteint à peine les 10 000 personnes selon l’Express (seulement 15 000 personnes de moins que prévu, on ne va pas chipoter !). Quant aux grandes valeurs défendues, elles ont pu s’exprimer à travers des slogans cohérents: « F comme fasciste, N comme nazi » et surtout réfléchis tels que « A bas le Front National », « Le Pen tu nous casses les urnes » ou encore « La jeunesse emmerde le Front National » .

    Au lendemain du « choc » du 21 avril 2002, c’est 500 00 personnes qui étaient venues manifester leur opposition à la montée du FN : une sacrée chute de motivation en 12 ans ! De quoi faire hurler les syndicats de gauche qui appellent déjà à une mobilisation contre ce parti « anti-républicain » pendant les trois ans à venir, jusqu’à la prochaine élection présidentielle en 2017.

    Finalement, à gauche, la démocratie, parfois on s’en passerait bien !

    Marie de Remoncourt  http://www.contre-info.com/

  • Quand les SAS britanniques attaquaient une colonne de civils serbes

    A l’antenne de TV Libertés, le colonel Hogard (ER), alors en poste au Kosovo pendant le conflit entre l’OTAN et l’UCK contre les Serbes, révèle un crime de guerre de l’armée britannique : des SAS ont attaqué une colonne de réfugiés serbes.
    C’est à 21’35, et c’est en écho à son livre L’Europe est morte à Pristina(disponible ici).

    Un crime de guerre, méconnu et impuni, par ceux qui se battent et attaquent des peuples au nom des droits de l’homme.

    http://www.contre-info.com/

  • Strasbourg : PS, UMP et UDI votent une subvention pro-gender

    Lu sur Novopress :

    "[L]ors du conseil municipal du 26 mai 2014, le conseiller municipal FN Jean-Luc Schaffhauser – qui vient d’ailleurs d’être élu député européen – a vivement dénoncé une subvention de 15.000€ pour le Planning Familial, dont les objectifs mentionnés dans la Convention 2012-2014 passée entre cette association et la ville de Strasbourg sont explicites :

    - « Intégrer la dimension du genre dans la gestion des collectivités locales »
    - « Intégrer l’approche par le genre […] par des actions d’information dans les établissements scolaires notamment »

    Cette interpellation a fait l’objet d’un vif débat au conseil municipal de Strasbourg. Seuls les deux élus FN (Jean-Luc Schaffhauser et Julia Abraham) ont voté contre cette délibération, les élus d’opposition UMP-UDI et de la majorité PS ont voté pour."

    Michel Janva

  • Benoît Hamon gêné par les ABCD de l'égalité

    Le prérapport des inspecteurs de l'inspection générale de l'Éducation nationale chargé de l'évaluation des ABCD évoque un bilan mitigé. Ce projet pédagogique ne devrait pas être généralisé.

    «On verra ce que l'on peut tirer de ce machin…» Voilà les mots employés par Benoît Hamon à l'égard des fameux ABCD de l'égalité.

    Lancés dans 10 académies, l'initiative a suscité une vive controverse. 

    Le prérapport de l'inspection générale de l'Éducation nationale évoque un bilan mitigé dans certaines académies. La contestation du dispositif a placé les enseignants en porte-à-faux. La question des limites entre ce qui relève de l'école et de la famille s'est clairement posée. 

    Le 3 juin, Benoît Hamon réunit les inspecteurs d'académie et inspecteurs de l'Éducation nationale des départements où ont eu lieu ces expérimentations pour faire le bilan et déterminer la suite des événements.

    Et cela fait un mois que la demande de rendez-vous de La Manif Pour Tous est «à l'étude» au ministère de l'Éducation. 

    Michel Janva