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Les Dollars de la Fed: une Arnaque inédite !
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Manuel Valls, Premier sioniste de France
Manuel Valls ne pouvait manquer l’occasion qui lui était offerte ce 13 mai 2014, à l’occasion du 66e anniversaire de l’indépendance d’Israël, de réaffirmer son engagement sioniste le plus complet.
À la tribune, le Premier ministre a commencé par citer des extraits de la déclaration d’indépendance de l’entité sioniste, qui ne sont évidemment que des mots et dont on remarquera que Valls s’est bien gardé de juger de leur réalité actuelle :
« Le texte de la proclamation de l’État d’Israël a une portée universelle : “liberté de culte, de conscience, d’éducation et de culture”. Et également “égalité sociale et politique pour tous les citoyens sans distinction de religion, de race ou de sexe”. »
Les Palestiniens, privés de leurs droits élémentaires et victimes chaque jour de violences physiques, sociales, politiques pour des motifs autant religieux qu’ethniques, apprécieront probablement cette belle déclaration d’intention. Manuel Valls est d’ailleurs assez bien placé pour connaître l’abîme insondable qui sépare ces phrases creuses de la réalité en Palestine, puisqu’il dénonçait encore, en 2008, le « mur honteux », « la poursuite des colonisations », « le sort des prisonniers » et autres joyeusetés imposées par l’« État juif » aux Palestiniens. Que la simple proclamation d’un « État juif » soit d’ailleurs en complète contradiction avec le texte dont il se réclame ne choque visiblement pas notre Premier ministre. Se revendiquerait-il lui aussi du Talmud, de sa « logique » et de sa double éthique, à l’instar de son homologue israélien Benjamin Netanyahu ?
Bien entendu, le discours de Manuel Valls s’adressait autant aux représentants autoproclamés de la communauté juive en France qu’aux dirigeants israéliens proprement dits. Le Premier ministre a donc veillé à rappeler son engagement sans faille dans la lutte contre « l’antisémitisme » dans notre pays :
« Vous connaissez ma vision exigeante de la République (...), celle du refus absolu des communautarismes, de l’intolérance, du racisme, de l’antisémitisme. Les juifs de France, les Français juifs ont tant contribué à édifier notre nation, et jamais la France ne tolérera, ne montrera la moindre faiblesse à l’égard de ceux qui s’en prennent aux juifs de France, car ils sont la France. Ce combat a été le mien comme ministre de l’Intérieur ; il sera toujours le mien comme Premier ministre. (...) Bien sûr, il y a beaucoup trop d’actes, de paroles antisémites. »
L’affaire Dieudonné, les attaques contre Alain Soral et les récents projets de censure de l’Internetont montré que ce combat mené soi-disant pour protéger les juifs de France est en réalité un projet politique dictatorial d’étouffement de toutes les voix dissidentes, celles qui pourraient mettre à mal un système de domination oligarchique jusque-là bien huilé. Manuel Valls a donc semble-t-il l’intention de persévérer dans une stratégie qui, pourtant, s’est retournée contre lui en révélant à beaucoup de Français la puissance méconnue du lobby israélien en France.
Une puissance qui s’appuie avant tout sur la diaspora, ce qui explique aussi, peut-être, la volonté de l’État d’enrayer la tendance à une Alya (le fameux « retour » des juifs en Israël) de plus en plus importante aux dires de la presse :
« Un journal du matin a titré il y a quelques jours que l’Alya avait atteint en France un nouveau record. On a souvent ici, d’ailleurs, une vision caricaturale, celle d’une fuite, alors que l’Alya c’est aussi l’expression d’une réalité, de notre monde globalisé. De nombreux Français juifs sont attirés par Israël. Il n’y a pas que les juifs, d’ailleurs, car Israël est un pays dynamique, inventif, qui plaît aux Français, comme la France plaît aux Israéliens. Mais la place, le lieu, le rapport charnel des juifs de France, c’est en France qu’il doit se construire et qu’il doit en permanence vivre. »
Enfin, le Premier ministre a conclu son discours en répétant la position officielle de l’État français vis-à-vis d’Israël, que l’on peut résumer ainsi : « Israël, c’est bien, mais la guerre, c’est mal. Vive la paix. » Quand même !
L’allocution de Manuel Valls pour le 66e anniversaire de l’indépendance d’Israël, prononcée au Pavillon Dauphine le 13 mai 2014 :
Petit rappel sur Manuel Valls :
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Manuel-Valls-Premier-sioniste-de-France-25365.html
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L'Autriche réduit son budget éducation... pour sauver une banque
Les Autrichiens sont en émoi : pour trouver les financements nécessaires au renflouement d’Hypo Alpe Adria, une petite banque nationalisée, le gouvernement a décidé de réduire le budget de l’éducation nationale.
Hypo Alpe Adria (HAA), qui a son siège à Klagenfurt, en Carinthie, le Land le plus méridional de l’Autriche, avait étendu son marché aux pays de l’ex-Yougoslavie (Slovénie, Croatie, Bosnie-Herzégovine, Serbie, et République de Macédoine) après la dislocation de ce pays, mais aussi à l’Italie, en Bulgarie et en Hongrie. Ces marchés lui ont assuré une croissance très rapide, souvent suspectée de reposer sur des activités mafieuses.
En 2007, la banque BayernLB avait acheté la moitié des parts d’Hypo Alpe Adria, mais après la faillite de Lehman Brothers en 2008, Hypo Alpe Adria ne parvient plus à se refinancer sur les marchés, tandis que les créances douteuses s’amassent dans son bilan. A la fin de l’année 2009, alors en grandes difficultés, elle est nationalisée pour un euro symbolique, mais les problèmes ne sont pas résolus pour autant, et la banque accumule les pertes.
En 2013, celles-ci s’élèvent à 2,7 milliards d’euros, alors que l’Etat autrichien a déjà injecté 3,6 milliards d’euros dans la banque. Le gouvernement souhaite résoudre le problème, mais la banque est invendable en l’état, et elle jouit d’une garantie accordée par le Land de la Carinthie de 12 milliards d’euros, qui, si elle était actionnée en cas de mise en faillite d’Hypo Alpe Adria, pourrait entraîner à son tour une faillite de la région, un évènement impensable que la Constitution n’a pas prévu.
Le 9 mars dernier, la banque centrale autrichienne propose de regrouper les 17,8 milliards d’euros de créances douteuses dans une « bad bank » pour en assurer la liquidation. Cependant, l’Etat doit trouver 1,4 milliard d'euros pour financer la création de cette structure, mais la coalition au gouvernement refuse d’alourdir le déficit au risque de dépasser la limite de 3% prévue par le Traité de Maastricht.
Le gouvernement a donc décidé de trancher dans le budget de l’éducation, et de le réduire de 57 millions d’euros pour cette année, et de 60 millions d’euros pour l’année prochaine. L’une des mesures les plus importantes pour parvenir à cette économie porte sur le nombre d’élèves par classe, qui pourra désormais excéder le nombre de 30. Mais le plan prévoit également d’autres dispositions impopulaires. Selon certains députés, le gouvernement devra trouver 200 millions d’économies au total, ce qui pourrait se traduire par d’autres mesures, telles qu’un gel des salaires des professeurs.
Cette solution ne réjouit guère les Autrichiens. Les associations de parents d’élèves sont furieuses, et le syndicat des enseignants a indiqué «ne comprendre absolument pas pourquoi nos enfants devrait payer pour les banques et les spéculateurs ». Certains redoutent que les mesures ne dégradent encore davantage le classement de l’Autriche au PISA de l’OCDE, où l’Autriche se classe moyenne.
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Les Nantais se mobilisent contre la journée de la jupe au lycée
Plusieurs actions sont proposées :
- La Manif Pour Tous organise un rassemblement aujourd'hui jeudi à 13 heures devant les grilles du lycée Clémenceau à Nantes en présence de Ludovine de La Rochère et d'Albéric Dumont pour manifester bruyamment notre détermination et demander le retrait de cette journée.
- Les Sentinelles seront vendredi 16 mai devant le lycée Clémenceau de 12h30 à 13h30 à veiller debout en silence, de préférence alignées les uns derrière les autres pour que l'effet visuel soit plus impactant.
- Les Nantais pour la Famille prendront le relais vendredi à 13H30 pour un rassemblement devant ce même lycée.
- Les Veilleurs nantais veilleront jeudi de 20H30 à 21H30, cours des 50 otages, sur un thème qui devrait intéresser l'éducation nationale et le gouvernement : "le travail".
A noter que hier, le ministre a (encore) accusé LMPT de manipulation et de mensonge. Inversion accusatoire facile. En clair, certains observateurs ou politiques accusent La manif Pour Tous d’avoir monté cette polémique de toute pièces en expliquant que non, les garçons ne seront pas obligés de venir en jupe au lycée vendredi. Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous, réagit :
« Il faut arrêter d’inverser la manipulation et le mensonge ». « Nous n’avons jamais expliqué que le port de la jupe était une obligation pour les lycéens. Encore heureux !Mais nous continuons de dénoncer une opération SCANDALEUSE soutenue par l’académie et le Ministère de l’Education Nationale qui consiste à inviter les garçons à porter une jupe au lycée. C’est déjà suffisamment grave. Alors halte là ! Que le gouvernement réponde sur le fond et cesse de se cacher derrière des attaques, des amalgames et des manipulations. Si l’Education national en est à faire du « potache » selon le mot du Ministre Benoît Hamon, c’est consternant. Cette opération doit être tout simplement annulée par le Gouvernement ».
Suite à la vague d’indignation provoquée par cette initiative qui porte gravement atteinte au respect de la masculinité et de la féminité, le dossier de presse de l’événement sur lequel figure le logo de l’académie et celui du ministère de l’Education nationale a été subitement retiré du site internet de l’académie (voir ici). Mais les équipes de La Manif Pour Tous étant habituées aux manœuvres de ce type a pris soin d’enregistrer ce dossier de presse qui est donc disponible sur son site.
Addendum : Visiblement, le dossier de presse a été remis en ligne sur le site de l'Académie.
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Nouvelle manipulation : jupes pour tous !
Une nouvelle idée en or est née dans l’académie de Nantes : jupe et rouge à lèvres pour tous au lycée.
Vendredi, élèves filles et garçons, et même professeurs (il y a quand même autorité morale, ce serait idiot de se priver…), sont invités à venir en jupe pour « lutter contre le sexisme ». Une initiative que d’autres lycées avaient déjà mise en œuvre plus discrètement en avril : cette fois-ci, 27 lycées nantais sont concernés.
Le « sexisme »… On voudrait nous faire croire que la menace qui pèse aujourd’hui sur les femmes, c’est le « cocotte » lancé par un collègue au pire un peu lourd, ou des inégalités salariales largement fantasmées ? Quelle triste « blague » pour bobos parisiens !
On peut parler tant que ces pourfendeurs d’injustice voudront : les violences envers les femmes existent, ça, c’est une certitude.
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Nouvelle manipulation : jupes pour tous !
Une nouvelle idée en or est née dans l’académie de Nantes : jupe et rouge à lèvres pour tous au lycée.
Vendredi, élèves filles et garçons, et même professeurs (il y a quand même autorité morale, ce serait idiot de se priver…), sont invités à venir en jupe pour « lutter contre le sexisme ». Une initiative que d’autres lycées avaient déjà mise en œuvre plus discrètement en avril : cette fois-ci, 27 lycées nantais sont concernés.
Le « sexisme »… On voudrait nous faire croire que la menace qui pèse aujourd’hui sur les femmes, c’est le « cocotte » lancé par un collègue au pire un peu lourd, ou des inégalités salariales largement fantasmées ? Quelle triste « blague » pour bobos parisiens !
On peut parler tant que ces pourfendeurs d’injustice voudront : les violences envers les femmes existent, ça, c’est une certitude.
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Copé et Valls, leur tournée anti-FN
Dans cette dernière ligne droite de la campagne des élections européennes, les grands médias ont entrepris, quand même, de consacrer un nombre nettement plus important d’articles et de dossiers au grand marché transatlantique. C’est notamment le cas aujourd’hui duParisien qui titre sur cette soumission programmée aux dogmes ultra libéraux états-uniens. Un grand marché sur la genèse duquel Pierre Hillard, dans ses Chroniques du mondialisme, consacre des pages fort éclairantes, à lire pour celles et ceux qui voudraient creuser le sujet sous un angle plus «métapolitique »…Une véritable forfaiture et trahison des intérêts fondamentaux de la France et des autres pays européens, contre lequel le Front National alerte, nous le croyons avec la grille de lecture la plus complète, fondée et recevable, nos compatriotes. Partisan d’un modèle européen qui n’est pas le nôtre, même Pierre Habib-Deloncle, ancien Secrétaire Général de l’Union Paneuropéenne de France et ancien Secrétaire Général de l’Association des amis de Jacques Chirac, n’en affirmait pas moins il y a quelques jours dans une tribune publiée dans Le Figaro qu’ « on ne peut pas imaginer qu’un gaulliste puisse voter l’instauration de la zone de libre-échange transatlantique ».
Ce projet de marché transatlantique, porté à bout de bras par les partis atlanto-progressistes, le PS, l’UMP et leurs alliés européens, Jean-François Copé, à la tête d’unparti dans lequel les gaullistes souverainistes sont priés de démissionner ou de fermer leur gueule, a pris grand soin hier soir, lors du débat l’opposant à Marine Le Pen sur LCI, de ne pas en évoquer les vrais dangers ni la vraie nature. Le président contesté de l’UMP a préféré enfiler les couplets sur le danger de l’extrême droite, le péril populiste, un FN qui ferait la courte échelle au PS, et dont le programme économique mènerait la France à la ruine.
Les Français étaient en droit d’attendre un peu plus de modestie de la part d’un homme qui assume dix ans de désastreuse politique UMP au pouvoir, ses cinq millions de chômeurs, ses huit millions de pauvres, son torrent migratoire, sa babélisation-balkanisation accélérée, son insécurité galopante, sa désindustrialisation dramatique, ses délocalisations à la chaîne sur fond d’ultra libre échangisme européiste, la destruction méthodique de sa souveraineté, la mise sous le boisseau d’une politique étrangère indépendante…
Non, M. Copé qui nage dans les factures de Bygmalion et barbote dans la piscine de Ziad Takieddine, a balayé tout cela d’un revers de la main pour réciter ses pitoyables mantrasantinationaux, mille fois ressassés depuis….trente ans. Une ligne de défense caricaturale qui révèle une vraie panique, celle de voir le peuple s’affranchir du duopole gauche-droite qui assurait une confortable rente à vie à ses amis de la caste.
Sur son blog, l’éditorialiste Ivan Rioufol le soulignait le 12 mai, « PS, UDI, UMP » « se focalisent une fois de plus sur le FN, dont ils dénoncent le populisme et la démagogie (…).Rien n’est plus facile, pour la droite et la gauche, que de masquer le flou de leurs projets derrière le sempiternel discours moralisateur contre une (l’) extrême droite (…). Toute l’histoire du FN et de sa montée en puissance enseigne que la stratégie de ses adversaires, qui consiste à le dénigrer, le dénoncer, voire même à inciter à la haine sous des procès en fascisme ou en nazisme dénués de fondement, est contreproductive. Voir pourtant reproduite cette mauvaise réponse illustre le vide qui habite les partis. Quand Alain Juppédemande l’exclusion d’Henri Guaino de l’UMP au prétexte que ce dernier ne se reconnaît pas dans le programme d’Alain Lamassoure, tête de liste pour l’Ile de France, la droite dévoile un autoritarisme qui marque sa fébrilité et sa faiblesse».
Fébrilité, faiblesse qui ont gagné le PS depuis longtemps, à l’heure ou Manuel Valls vient d’annoncer sa nouvelle tournée anti FN qui le verra à Evry, Barcelone ( !) et Lyon, même si sa précédente, lors des élections municipales, eu des effets particulièrement contre-productifs.
Un Premier ministre qui objectivement espère non pas empêcher la déculottée électorale qui s’annonce pour le PS, mais surtout apparaître au sein de son camp comme celui quimouille le maillot pour l’Europe progressiste supranationale. Et qui pourra toujours mettre ce nouvel échec sur le compte du fait qu’il vient tout juste d’arriver aux manettes…Manuel le malin ?
Il s’agit cependant de se garder de tout triomphalisme car comme Bruno Gollnisch ne cesse de la répéter, les jeux ne sont pas faits. Les résultats du 25 mai seront directement impactés par le taux d’abstention, par la capacité de mobilisation de l’électorat patriote. Certes deux nouveaux sondages publiés mercredi placent le FN en tête devant l’UMP et le PS dans dix jours, avec 23% des suffrages selon TNS Sofres-Sopra et 24%selon le baromètre quotidien Ipsos-Steria
Mais selon cette dernière enquête si seulement 38 % des électeurs sondés estiment quel’appartenance de la France à l’Union européenne est une bonne chose (24 % une mauvaise chose, 38 % ni l’un ni l’autre), seuls 36 % à 40 % des électeurs interrogés ont l’intention d’aller voter. Parmi ceux-ci, les sympathisants de l’UMP et du PS seraient respectivement 45 % et 42 % à affirmer qu’ils vont se rendre aux urnes, pourcentage atteignant47% chez les électeurs du Front de Gauche. Or, les sympathisants du FN seraient avec ceux d’EELV les moins nombreux à déclarer avoir l’intention d’aller voter (respectivement 37% et 34%).
Cette nécessité de faire entendre sa voix le 25 mai doit donc être martelée sans relâche. Qu’y a-t-il de plus incohérent que de stériliser son indignation légitime devant les funestes orientations de l’Europe bruxelloise soutenues par les caciques de l’UMPS, en laissant les autres s’exprimer à sa place ?
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Changement climatique : Une escroquerie ?
Le réchauffement de la planète ne serait pas lié à l’activité humaine. Le Britannique Martin Durkin prend le contre-pied de l’actuel consensus sur l’évolution du climat en s’appuyant sur des interviews de scientifiques, d’économistes ou encore d’hommes politiques.
Un documentaire polémique, qui a été particulièrement controversé lors de sa diffusion au Royaume-Uni en 2007. “The Great Global Warming Swindle” est un film documentaire controversé du producteur de télévision britannique Martin Durkin, qui conteste l’avis de la majorité des climatologues selon lequel l’activité humaine serait la principale cause du réchauffement climatique.
Le film montre le témoignage de scientifiques, d’économistes, de politiciens, d’écrivains et d’autres personnes sceptiques par rapport au consensus scientifique sur l’origine anthropique du réchauffement climatique.
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La journée de la jupe au lycée est encouragée par le ministère de l'Education
Depuis que Le Salon Beige a révélé cette affaire de journée de la jupe dans un lycée de Nantes, les réseaux sociaux s'enflamment.
Des documents officiels de l'Education Nationale montrent qu'il ne s'agit pas d'un délire isolé, mais bien un délire complémentaire de l'ABCD de l'égalité visant à expérimenter l'idéologie du Gender auprès des adolescents.
Cette mascarade existe dans 27 lycées ce mois de mai 2014 et veut s'étendre !La Manif Pour Tous demande l’annulation immédiate de l’opération « ce que soulève la jupe » prévue le 16 mai à Nantes avec le soutien de l’académie et du Ministère de l’Education Nationale. La Manif Pour Tous annonce le lancement d’une grande consultation nationale sur le genre et l’ABCD de l’égalité intitulée « Garçons et filles : égaux mais pas identiques ». Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous, déclare :
« Toutes les discriminations doivent être combattues. C’est une évidence. Mais on ne peut accepter tout et n’importe quoi à ce titre ». « Inviter des garçons à porter une jupe n’est pas un acte anodin. Il s’agit d’une forme de travestissement et donc de négation de l’identité sexuelle des garçons. C’est un manque de respect de la masculinité et de la féminité. Voir les logos de l’Académie de Nantes et du Ministère de l’Education Nationale sur le dossier de presse de cet événement est stupéfiant ». « Je n’ose y croire tellement c’est grave. C’est scandaleux. C’est pourquoi M. Hamon doit intervenir sans délai pour condamner fermement cette initiative et l’annuler. »
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Colonisation, esclavage… brisons nos chaînes !
Selon le nouveau sondage metronews-Clai-LCI réalisé par OpinionWay sur les européennes, 23% des personnes interrogées voteraient pour les listes UMP, 22% pour le FN, 16% pour le PS, 10% pour le Modem/ UDI, 9 % pour EELV 7% pour le Front de Gauche… Bruno Jeanbart, directeur général adjoint d’Opinion Way, explique que «l’abstention, qui sera certainement très élevée (62% selon cette enquête), est un facteur défavorable au FN. Mais ce parti n’a pas de réelle concurrence sur le créneau anti-européen, tandis que l’UMP est divisée entre souverainistes et pro-européens». «Il y a une absence totale de campagne dans l’esprit des Français, aucune thématique ne ressort. Ceci explique la stabilité des intentions de vote» affirme M. Jeanbart… Il serait plus juste de dire que seul le FN met sur la table les véritables enjeux de cette élection, évoque les dossiers brûlants comme la directive approuvée par l’UMPS sur les travailleurs détachés, la destruction de nos services publics, de notre industrie, les ravages de la monnaie unique, l’absence de réponse proportionnée à la très forte pression migratoire des pays non européens… Et bien évidement le traité sur le grand marché transatlantique, calamité d’essence purement mondialiste, concocté
secrètement sur le dos des peuples européens. Il est l’objet d’une omerta sidérante de la part des partis européistes, de droite comme de gauche et des grands médias (exception faite d’un dossier assez pâlot publié dans le Nouveau Marianne).Nous avons longuement dit sur ce blog, et depuis très longtemps, ce qu’il faut en penser.
Mondialisme en marche comme les spectateurs de l’eurovision l’ont vu avec la victoire, ô combien symbolique, d’un chanteur à barbe déguisée en femme, publicité vivante pour cette Europe qui se veut transgenre, hors-sol, sans frontières ni identité particulières. Mais aussi en constatant que 26 pays sur les 34 en compétition ont chanté en Anglais ; 4 ont chanté moitié dans leur langue nationale, moitié en anglais, et seulement 4 ont chanté uniquement dans leur langue (Italie, Portugal, France et Monténégro).
Une colonisation culturelle de l’Europe à laquelle répond en France la promotion institutionnalisée de la haine de soi, de notre histoire, l’exaltation de la repentance et du masochisme.
Le dix mai dernier, certes, il n’y avait pas foule à Villers-Cotterêts (Aisne), pour la cérémonie de commémoration de l’abolition de l’esclavage. Seuls des militants de gauche et d’extrême gauche, beuglant des slogans haineux, avaient fait le déplacement, parfois d’assez loin. Une ville choisie pour cette commémoration car elle est celle du grand écrivain populaireAlexandre Dumas, fils du premier général de l’armée française ayant des origines afro-antillaises, le général d‘empire Thomas Alexandre Davy de la Pailleterie, dit général Dumas, mulâtre de Saint-Domingue.
Bruno Gollnisch comprend tout à fait la résonance bien légitime que
cet événement historique peut avoir pour nos compatriotes ultra- marins, antillais notamment, il serait stupide de le nier. Il rappelle au passage que c’est l’église et non la république qui mena la première le combat contre l’esclavagisme, notamment celui qui sévissait en Amérique du sud à l’époque des conquêtes espagnoles et portugaises. Mais c’est bien le détournement de cette commémoration à des fins partisanes qui est scandaleux.
Ainsi ce dix mai, outre le ministre des Outre-mer, Mme George Pau- Langevin dépêchée parManuel Valls, Claude Ribbe, président des Amis du Général Alexandre Dumas a-t-il déclaré que le maire FN
Frank Briffaut « en refusant de se joindre à cette commémoration s’est déshonoré (…) et son parti aussi en ne le désavouant pas. (…). La commémoration de l’abolition de l’esclavage est nécessaire parce qu’elle nous oblige à revenir aux origines du racisme.»
Revenir aux origines du racisme ? Vaste débat. Comme nous le confiait un ami enseignant antillais, sympathisant de longue date du FN, lui même descendant d’esclaves africains, «ses bonnes âmes n’évoquent jamais un racisme sournois bien présent aux Antilles qu’on ne peut imputer aux blancs. C’est celui qui existe entre afro-antillais, au terme d’une classification-discrimination non dite, affligeante, entre noirs en fonction de la teinte plus ou moins foncée de leur peau. Des racistes on en voit de toutes les couleurs ! ».
En attendant ce dix mai, les litanies antifrontistes se sont succédées à Villers- Cotterêts avec le passage à la tribune de représentants de coquilles vides, comme le très contesté Patrick Karam, président du Crefom (Conseil représentatif (sic) des Français d’Outre-Mer). «C’est la République qu’on honore le 10 mai, cet élu FN montre qu’il n’est pas un élu de la République » a affirmé sans rire M. Karam.
Le vice-président de SOS racisme, Ibrahim Sorel-Keita, a profité des médias présents pour indiquer la mise en en place des « comités de vigilance » dans les onze villes dirigées par un maire FN. La tête de liste EELV pour la région Nord-Ouest, Karima Dellia, a tenté de faire sa pub: «Nous ne reculerons jamais sur les questions de droits de l’homme, de mémoire collective ou juste de liberté ». Des syndicalistes étaient aussi de la partie pour dénoncer les mesures d’économies prises par la nouvelle municipalité , notamment la suppression des subventions accordées à la CGT et à la FCPE.
La palme de la déclaration la plus surréaliste revenant peut être au maire sortant socialiste,Jean-Claude Pruski qui, apparemment, n ’a toujours pas digéré d’avoir été congédié par les électeurs: « Aujourd’hui
on s’attaque aux commémorations de l’abolition de l’esclavage, demain à celles de la Shoah»!
Invitée de d’iTélé lundi 12 mai, Marion Maréchal Le Pen a regretté que notre ami Frank Briffaut n’ait pas assisté à cette commémoration, expliquant qu’il eut été à son avis « plus intelligent de faire un discours politique intelligent lors d’une commémoration plutôt que de susciter ce genre de polémique. (…). D’ailleurs il ne remet pas en cause l’existence-même de l’esclavage ».
La veille sur BFMTV, Marine Le Pen avait relevé que Frank Briffaut « n’a pas interdit la commémoration, il n’ a pas voulu y participer. Il fait partie des nombreux Français qui ont le sentiment que les gouvernants ont la volonté de (les) culpabiliser par rapport à leur passé.C’est son choix».
« Moi, je serais allée à la commémoration et j’aurais dénoncé l’esclavage actuel ». «Le président de la République s’honorerait à rompre les relations avec le Qatar, petit pays par la superficie mais grand pays par l’esclavage»,«400 ressortissants venant d’Inde sont morts dans les chantiers du Mondial de football dans l’indifférence générale de nos grandes consciences européennes !».
Indifférence et indignations sélectives sont en effet la norme au sein de nos « élites ». Mais le FN s’honore à rappeler ces vérités là, au moment ou le monde exprime son indignation devant l’enlèvement de 200 lycéennes au Nigéria par la secte terroriste islamo-mafieuse Boko Haram. Un groupe de crapules qui par le passé a déjà rapté des jeunes filles pour les revendre comme esclaves à des réseaux de prostitution.
L’africaniste Bernard Lugan le soulignait dans L’Afrique réelle, «aujourd’hui, la traite des Noirs a repris au Nigeria, pays, au bord de l’éclatement et pourtant paradoxalement présenté par les médias comme un paradis pour les investisseurs…» Et « c’est à la veille du 10 mai, jour anniversaire du vote en 2001, de la « loi Taubira » qualifiant la traite européenne, et elle seule, de crime contre l’humanité» , que ces
enlèvements ont été commis.
Mme Taubira avait déclaré «que sa loi n’évoquait pas la traite négrière musulmane afin que les jeunes Arabes (…) ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes » !!! Or, la traite musulmane (…) a bien existé. Elle débuta au VIII° siècle de notre ère et ne prit fin qu’avec la colonisation. Madame Taubira et la totalité des députés français ont donc fait l’impasse sur la vérité historique qui est que, du Sahel à l’Afrique centrale en passant par l’Afrique orientale, ce furent les colonisateurs européens qui libérèrent les malheureuses populations noires (…) ».
« L’Afrique sud-saharienne fut en réalité victime de trois traites : la traite interafricaine, la traite arabo-musulmane et la traite atlantique. O. Pétré-Grenouilleau a donné les chiffres suivants les concernant : la traite atlantique ou traite européenne porta sur 11 millions d’individus; la traite interne ou interafricaine sur 14 millions, et les traites arabo-musulmanes, sur 17 millions. Or, pour Christiane Taubira et pour les députés français qui, et je le redis, votèrent à l’unanimité la loi du 10 mai 2001, seule la traite pratiquée par les Européens » -« qui se fit avec la complicité de pourvoyeurs noirs »- est condamnable ».
«Au XIXe siècle, l’abolition décidée par les seuls Européens ne concerna pas la traite esclavagiste musulmane, des caravanes organisées militairement continuant en effet à dévaster des régions entières de l’Afrique noire (…) Partout, ce fut la colonisation européenne qui mit un terme à ces odieuses pratiques. Certaines ethnies ne survécurent alors que parce que les colonisateurs séparèrent victimes et razzieurs, comme au Mali,comme au Niger, comme au Tchad, comme en Centrafrique, comme au Nigeria, comme enRDC, comme en Tanzanie, comme en Ouganda, comme au Soudan, comme au Malawi, comme au Mozambique etc… »
Rappelons aussi au passage comme le fit notamment Bruno Gollnich, que « la colonisation française de l’Algérie, qui a eu indéniablement
sa part d’ombre et d’erreurs, eu aussi le grand mérite de libérer ce territoire du joug de la colonisation ottomane, de l’arbitraire de ses
féodaux, de la violence des pirates barbaresques et là aussi de l’esclavagisme».
En 2006 déjà, alors président du groupe FN au Conseil régional d’Aquitaine et Conseiller municipal de Bordeaux, le secrétaire départemental Jacques Colombier avait rappelé ces mêmes vérités énoncées par le professeur Lugan lors du débat autour du rapport commandé par le maire Alain Juppé sur l’implication de la ville dans la traite négrière.
«L’honnêteté intellectuelle et la vérité historique doivent donc prendre le pas sur toute démarche anti-blanc de repentance sélective et perpétuelle » affirmait l’élu FN.
Un refus du manichéisme, de l’hémiplégie intellectuelle de médias incultes ou partiaux, des associations dites antiracistes et/ou communautaristes que le FN continuera de porter, vaille que vaille, dans ce domaine comme dans d’autres. Nous devons la vérité aux Français.
Brisons nos chaînes!
http://gollnisch.com/2014/05/14/colonisation-esclavage-brisons-chaines/