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lobby - Page 1908

  • Les européistes bien dégonflés

    Les Français, dans leur écrasante majorité,  ne croient plus aux  promesses de François Hollande et de son gouvernement. Dans le  Journal du dimanche, le chef de l’Etat a  encore tenté  une prophétie  en prédisant l’imminence d’«un bouleversement » bénéfique,  assuré que «le retournement économique (tant attendu)  arrive». Divine surprise d’une reprise économique qui aborderait enfin nos rivages dont les  pontes socialistes eux-mêmes ne sont guère persuadés. Quant aux électeurs,   selon l’enquête  réalisée  par l’institut CSA, réalisée du 22 au 24 avril pour le groupe Nice-Matin, il s’en  trouverait même un  sur trois (35%)  ayant  voté pour François Hollande  à la présidentielle de 2012  pour affirmer  qu’il ne referait plus le même choix.  Il est aussi dans l’ordre des choses  qu’un autre candidat du parti bruxellois  comme Nicolas Sarkozy ne profite pas de cet affaiblissement du chef  de l’Etat, puisque 58% des personnes interrogées  estiment qu’il  n’aurait pas fait mieuxs’il avait été réélu en 2012.

     Les raisons de ce fossé qui ne cesse de se creuser entre les élites  euromondialistes autistes et le peuple,  ne sont d’ailleurs pas uniquement  d’ordre économique. Elles sont aussi à chercher  sur le terrain de  notre identité nationale, de  nos  valeurs helléno-chrétiennes bafouées par les « progressistes »,  de l’antinomie existant entre la véritable civilisation européenne  et sa contrefaçon  bruxelloise qui en est souvent la radicale  antithèse.

     Manuel Valls qui  intervenait  samedi soir lors d’un meeting des jeunes socialistes à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne), a pris la mesure du danger,  de la vague nationale et populiste qui peut  prendre l’allure d’une déferlante. Il a solennellement appelé à ne pas « laisser le terrain à ceux qui en veulent à l’Europe et qui l’accusent de tout pour (…) ébranler ses fondements ». « C’est à nous de porter le rêve européen »,  « l’Europe est notre destin commun ».  « Il faut battre les extrêmes dans les urnes en envoyant dans trois semaines une majorité progressiste » a-t-il encore affirmé, fustigeant les  patriotes, les souverainistes du FN, «qui n’aiment ni leur patrie ni l’Europe, car ils n’aiment pas l’avenir». « Argument dérisoire » a relevé Bruno Gollnisch.

     Alors oui, en effet, les nationaux espèrent un  autre avenir que le projet porté à bout de bras par l’UMPS.  Depuis vingt-cinq ans, élections après élections,   européistes  socialo-libéraux  ou libéraux-progressistes  promettent du  rêve , « une autre Europe »,   qui celle-là  fonctionnerait  enfin !  

     Oui, répétons-le, le  cauchemar européiste,  cette France rabougrie, ravalée au rang de petite colonie de l’Empire, encore visitée par les touristes mais dépouillée de sa grandeur,  que veulent nous imposer Valls et les cénacles planétariens n’est  pas une fatalité. Une autre voie est possible  que l’inféodation à  cette Europe mondialiste,  envahie, sous domination atlantiste,  mue par les idéologues d’un  constructivisme bruxellois désincarné, sans âme, contraire aux intérêts de la France.

     Selon le sondage Viavoice  paru aujourd’hui  dans Libération, il est clair  que cette Europedéfendue par l’UMP et le PS n’est plus considérée,  comme un modèle viable et performant  par un nombre croissant de  nos compatriotes. Si 59% des sondés estiment encore qu’il ne faut pas  sortir de l’euro 60%  que la France doit rester dans  l’Union européenne,  64%souhaitent que l’UE  se recentre sur certains pays   (les pays fondateurs).

     Signe de  la confusion existant encore dans l’esprit de nos compatriotes, résultat dedécennies de propagande intensive  sur le thème « Hors Bruxelles point de salut », les réponses aux autres questions posées par cet  institut peuvent   apparaître contradictoires avec les  précédentes.  Ainsi, pour  49% des personnes interrogées, l’Union européenne évoque « quelque chose de négatif »  (45% qui jugent le contraire). De même  52% considèrent  que  l’Europe de Bruxelles  est « une contrainte politique, pénalisante pour la France »,   moins  d’un Français sur trois  (32%)  y voit un « atout ».

     Dans ce contexte délicat,  pontes de l’UMP  et du PS se relaient pour tirer à boulets rouges sur l’opposition nationale, n’hésitant pas,  à défaut de bilan présentable,  à mentir effrontément.  A ce petit jeu là, le  fédéraliste européen  Alain Lamassoure, tête de liste de l’UMP  en Ile-de-France,   se montre très zélé. Il a ainsi accusé la semaine dernière les députés européens FN de faire n’importe quoi, en voulant pour preuve le fait que  les députés FN  Jean-Marie Le Pen,  Marine Le Pen et Bruno Gollnisch se soient abstenus de voter  sur la révision de la directive sur les travailleurs détachés.

     France info en a rajouté une louche en écrivant sur sont site au sujet de cette abstention que  « Pour le coup, la présidente du Front National se comporte finalement comme beaucoup d’hommes politiques. Leurs votes ne sont pas toujours le reflet exact de leurs prises de positions ». En réalité,  comme l’a expliqué Bruno Gollnisch sur France Inter le 2 mai, les élus FN se sont «  abstenus sur ce texte parce qu’il avait le mérite d’organiser un minimum de contrôles. Donc nous ne voulions pas voter contre. En revanche, nous ne voulions pas voter pour parce que nous sommes contre le fait que l’on incite un certain nombre de travailleurs des pays de l’Est à venir travailler sur notre territoire à des conditions qui sont celles du droit social de leurs pays, c’est-à-dire à 50, 60 % de charges en moins que celles qui sont imposées aux ouvriers, aux artisans, aux commerçants français, que l’on ruine méthodiquement. »

     Bruno a proposé à M. Lamassoure un débat pour faire justice des mensonges de cet acabit,  colportés par lui ou d’autres…lequel a pris grand soin de ne pas relever le gant…

    http://gollnisch.com/2014/05/05/les-europeistes-bien-degonfles/

  • Des dizaines de fonctionnaires du FBI et de la CIA à Kiev

    Le journal allemand Bild, citant des sources au sein des services de sécurité allemand, affirme que des dizaines de fonctionnaires de la CIA et du FBI sont actuellement à Kiev au nom du gouvernement américain.

    Officiellement, ils ne sont pas impliqués dans les combats à l'est du pays. Néanmoins le journal écrit que "Au nom du gouvernement américain, les fonctionnaires doivent aider à ce que la rébellion cesse à l'est du pays et à établir une structure de sécurité qui fonctionne". 

    Les autres attributions, déjà connues, couvrent la lutte contre la criminalité organisée et une unité spéciale en charge de pister les actifs des anciens dirigeants du pays. Alors que le département d'état américain et la Maison Blanche ont soutenu le droit de Kiev à "rétablir" l'ordre, il était impensable que les services américains ne jouent pas un rôle en ce sens. Les médias russes et le ministère des affaires étrangères s'étaient fait écho du déclenchement de l'opération anti-terroriste le lendemain de la visite de John Brennan à Kiev. 

    Si cela ne confirme pas les dires de certains médias russes ou de députés de la Rada selon lesquels un étage entier du SBU (service de sécurité) serait inaccessible en raison de la présence des agents américains, on peut néanmoins affirmer avec une quasi-certitude que les services américains sont impliqués directement, ou indirectement (mais pas trop) dans les opérations à l'est et dans les choix de sécurité du gouvernement central. 

    Espérons néanmoins que ces agents américains conseillent le gouvernement de Kiev avec une vision moins naïve que leurs journalistes (Désolé je n'ai plus la source, mais un envoyé spécial de Fox, ou de CNN, se déclarait très surpris de l'hostilité que manifestaient les gens de l'est ukrainien envers les États-Unis)

    http://www.points-de-vue-alternatifs.com/2014/05/des-dizaines-de-fonctionnaires-du-fbi-et-de-la-cia-a-kiev-bild.html

  • Nouvelle offensive Etatsunienne contre les intérêts francais

    C’est le site Infoguerre qui nous le révèle, ici. Extraits.

    "Cette campagne qui comprend la « France campaign » actuellement en cours, s’appuie sur le principe d’action «Name and Shame » visant à dénoncer et menacer publiquement toute entreprise implantée ou ayant des projets d’implantation en Iran. Depuis la création de UANI plus de 21 campagnes ont été menées obligeant, selon le site de l’UANI, plus de 50 entreprises à se retirer ou à suspendre leurs activités ou projets d’implantation en Iran dont Shell, Caterpillar, KPMG, ABB,  Peugeot, Renault etc. Le mode opératoire de cette campagne consiste à envoyer une lettre personnalisée aux principaux dirigeants des entreprises ciblées et à communiquer publiquement et a posteriori autour de cet envoi. L’argumentaire est toujours le même. Il rappelle les sanctions internationales à l’encontre de l’Iran et dénonce les manquements aux Droits de l’Homme du régime iranien ainsi que les liens et financements  de ce dernier au terrorisme international. A travers ce qui peut apparaître comme une diabolisation de l’Iran, l’UANI souligne les risques à la réputation pour les entreprises visées et menace les intérêts et activités de celles-ci sur le territoire américain. (...)

    A ce titre, certaines sources dénoncent les relations fortes de l’ONG avec l’administration américaine et l’accuse de n’être que le « bras armé » de Washington pour la préservation des intérêts économiques américains en Iran. En effet, la direction de l’UANI est principalement composée d’anciens membres de l’administration Bush et des services de renseignement américains, britanniques et israéliens. Le président, Mike Wallace, est l'ancien ambassadeur des États-Unis à l'ONU, sous le président Georges W. Bush. Parmi les membres de son conseil consultatif, se trouve notamment James Woolsey, directeur de la CIA du président Bill Clinton et sous-secrétaire de l'US Navy sous le président Jimmy Carter; ainsi que Meïr Dagan, chef du Mossad sous trois Premier ministres d'Israël. Par ailleurs, les actions menées dans le cadre de la « Corporate campaign » visent majoritairement des entreprises non-américaines. Enfin, alors que plusieurs entreprises européennes et japonaises ont annoncé leur retrait ou la rupture de leurs contrats et prospections en Iran, certaines entreprises américaines pénètrent et se développent discrètement sur le marché iranien."

    Paula Corbulon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/05/nouvelle-offensive-etatsunienne-contre-les-interets-francais.html

  • Enfin l’égalité : les femmes vont pouvoir pisser debout !

    Nous y sommes, enfin ! L’égalité hommes-femmes est à nos portes, et particulièrement à la porte des toilettes.   

    Dans ma lointaine enfance campagnarde, autour de mes 4 ans, j’étais fascinée par la voisine. Une femme d’une forte corpulence, rude gaillarde née sous la IIIe République à moins que ce ne soit sous Louis-Philippe. Elle avait laissé la ferme à sa fille pour monter à la ville – en l’occurrence les faubourgs de Romorantin, à 6 ou 7 kilomètres du lieu-dit « Les Étrangle-Chiens ». Un exil, en somme. Solange – elle s’appelait Solange – avait deux spécialités. L’une qui me terrorisait : une grue cendrée empaillée trônant au milieu de sa salle à manger. L’autre qui m’intriguait grandement : venant darder son regard curieux sur la vie des voisins, elle se postait au bout de l’allée, poings sur les hanches, et je voyais s’écouler d’entre ses pieds, dessous sa robe grise, une mystérieuse petite rigole qui s’en allait en serpentant jusqu’au fossé.

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  • La laïcité risque de devenir l’équivalent fonctionnel d’une religion d’Etat

    Henri Hude vient de rédiger un compte-rendu du livre du cardinal Angelo Scola, Archevêque de Milan,  traduit en français sous le titre Oublier Dieu ? Religion, violence et tolérance dans la société mondialisée. Extrait :

    "La doctrine de la liberté religieuse est entendue comme un droit civil dans l’ordonnancement juridique de la société. Elle a un caractère essentiellement juridique et négatif : cette liberté est conçue comme une immunité par rapport à la contrainte externe. Elle ne dérive pas d’une revendication d’indépendance illimitée de la pensée et de l’action, ni d’une exaltation de la créativité arbitraire. Elle dérive de la dignité de la personne humaine, dont le respect des droits fait partie de l’ordre moral objectif dérivant de la structure même de la nature humaine créée par Dieu. L’Auteur rend ainsi clair le fait que la doctrine de la liberté religieuse s’inscrit dans le cadre de la théologie catholique la plus traditionnelle. La seule limite à l’exercice de ce droit est « le respect d’un ordre public juste». Cela montre que ce droit n’est concevable qu’inscrit dans le cadre de la structure objective de la justice et en cohérence avec la vertu du même nom. Ce qui est défini là pose de nombreuses questions et bien sûr est très éloigné de la praxis concrète de la liberté religieuse, ou de la privation de liberté religieuse.

    C’est pourquoi le quatrième chapitre revient à la situation concrète de la liberté religieuse dans le monde. Il montre trois sortes de contraintes exercées à l’encontre de la liberté religieuse. La première, islamiste, est une contrainte de type prémoderne ; une contrainte de type moderne perdure dans les pays qui, comme la Chine populaire, conservent la référence au marxisme ; enfin une contrainte de type postmoderne est en train de s’établir aux Etats-Unis et en Europe. Contrairement à l’enseignement précis de Habermas ou de penseurs de la communication, libéraux tel Appel, ou plus conservateurs tel Taylor, la praxis occidentale dérive dans le sens d’un accaparement de l’espace public par un relativisme qui se transforme en dogmatisme et en principe d’exclusion. Dans le ch.5, l’Auteur montre comment la laïcité risque de devenir peu à peu l’équivalent fonctionnel d’une religion d’Etat plus ou moins persécutante au bénéfice d’une philosophie où le vide et l’amnésie se trouvent absolutisés.

    Ainsi peut-on conclure que la liberté religieuse n’a pas encore été réalisée et demeure une tâche à accomplir – le temps étant venu de l’accomplir. [...]"

    Michel Janva

  • Un syndicat ne peut pas exclure ses membres pour ses idées politiques

    Le tribunal de grande instance de Clermont-Ferrand vient d’annuler la décision de la Confédération nationale des salariés de France-Fédération nationale des chauffeurs routiers (CNSF-FNCR) d’exclure l’un de ses membres, Dominique Morel, cadre du Front national.

    En janvier 2013, Dominique Morel, alors chauffeur routier, se voit retirer sa carte et son mandat de délégué syndical au sein de la FNCR. L’organisation, qui se veut apolitique, reproche à son adhérent de confondre militantisme FN et engagement syndical.

    Or, pour la justice, saisie par Dominique Morel, la CNSF-FNCR ne peut prononcer une quelconque sanction disciplinaire et encore moins de procédure d’exclusion, dans la mesure où ni l’une ni l’autre ne sont prévues dans ses statuts. Le tribunal constate par ailleurs que le délégué syndical a été exclu le jour où la décision lui était notifiée. De fait, il n’avait pas la possibilité de se défendre.

    Michel Janva

  • La prochaine Journée de retrait de l’école aura lieu le 12 mai 2014

     

    La nouvelle Journée de retrait de l’école aura lieu le lundi 12 mai 2014.

    La prochaine Journée de Retrait de l’École sera le moment de montrer que vous voulez préserver vos enfants de la théorie du genre.

    Faites circuler la date partout ! Par courriel, sur Facebook, par texto… !

    Vaincre ou mourir !

    Si vous doutez encore de la véracité et de l’utilité des JRE, voyez cette vidéo ahurissante de collégiens réalisée en janvier 2014.

    On ne se demande plus après pourquoi ils ont de si mauvais résultats en dictée ou en math :

    http://rutube.ru/video/3e6aededfca1a909a9b52de1dc4514e4/

    Pour découvrir et rejoindre l’action des Journées de retrait de l’école de Farida Belghoul : 
    - jre2014.fr 
    - facebook.com/jre2014