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lobby - Page 1911

  • 1 homme, 4 femmes, 46 enfants

    A Bobigny, Fanta Sangaré accompagne des familles polygames dans leurs démarches, longues et ardues, de "cohabitation". Une volte-face culturelle et matérielle.

    Avec ses quatre femmes et ses 46 enfants, Adama (1) était un homme heureux. Ce quinquagénaire, capable de réciter dans l’ordre les prénoms de sa descendance, régnait sur son pavillon de banlieue. Entre les cinq chambres de la maison, "la vie s’organisait comme elle pouvait", confie-t-il au téléphone. D’abord agent d’entretien, il a cessé de travailler quand le montant des allocations familiales est devenu suffisant pour nourrir son monde (2). Dans le village du nord du Mali où il a grandi, on parle de sa réussite avec admiration. Il voudrait que ça continue. Il n’a donc pas donné d’écho particulier au bouleversement qu’il vient de connaître : deux de ses femmes ont déménagé, une troisième songe à les imiter. Elles sont engagées dans une "décohabitation", le terme administratif qui désigne la sortie de la polygamie.

    "Il nous a fallu dix ans pour en arriver là", raconte Fanta Sangaré, énergique présidente de l’Association des femmes relais de Bobigny, en Seine-Saint-Denis. Sa première rencontre avec Adama a eu lieu à la demande des services sociaux. Avec les autres ménages polygames qu’elle accompagne, le point de départ fut comparable: des enfants attirent l’attention d’une assistante sociale ou d’un enseignant ; mais leurs parents fuient les institutions et ont toutes les peines du monde à parler français. Difficile de les aider.

    Il se trouve que tous sont originaires du Mali. Fanta Sangaré aussi. L’ancienne institutrice de brousse comprend les digressions en soninké, les confidences en bambara. Elle discute, apprivoise. Entend la fierté du mari, les disputes des coépouses, la fatigue des enfants. Les réveils à pas d’heure pour prendre une douche avant l’école. Le ballon d’eau chaude toujours vide. La queue devant la porte des WC. Les repas pris chacun son tour. Les devoirs faits dans la cage d’escalier. Les lits partagés. Le bruit permanent. L’absence d’intimité. Fanta Sangaré écoute ces histoires qui se ressemblent toutes. Puis elle rappelle la règle de la République : la nécessité de rompre avec la polygamie pour obtenir un renouvellement des titres de séjour. Effroyable perspective pour ceux auxquels on a toujours enseigné que cette tradition était un idéal d’organisation sociale doublé d’une exigence divine. Il s’agit de mariages traditionnels arrangés, célébrés un été "au pays", où l’amour ne s’est pas toujours installé, mais tout de même: "Quitter son mari est impur", rabâchent les femmes. "Dieu n’a pas demandé que vos enfants soient entassés à vingt dans une même chambre", réplique alors Fanta Sangaré.

    Semaine après semaine, l’idée fait son chemin. Jusqu’au jour où les femmes s’approprient le désir d’avoir leur propre logement. En signe de bonne foi, elles doivent le chercher dans une autre commune. Les mains retenant son voile noir et violet, Aminata raconte les trois années de démarches qui lui ont été nécessaires pour régulariser sa situation. Elle a quitté La Courneuve pour Bobigny avec ses quatre plus jeunes enfants. Lorsqu’une épouse part, la honte s’abat sur son mari. "Sa femme a volé son pantalon, maintenant il porte le pagne!", entend-il dans son dos. Adama préfère ne pas y penser. Il prend désormais le RER pour honorer les mères de ses enfants. Une décohabitation hypocrite? "Bien sûr, admet Fanta Sangaré. On nous reproche aussi de créer des familles monoparentales. Mais si ça aide les enfants à s’épanouir et les femmes à devenir autonomes, ça vaut le coup."

    Ces femmes, en effet, n’ont jamais vécu seules, n’ont jamais eu d’emploi ni géré de budget. Elles ne savent pas se servir d’une carte bancaire ni remplir un chèque. C’est leur mari qui touchait les allocations familiales, payait les factures et faisait les courses. "Elles ont toujours été infantilisées", insiste Fanta Sangaré. "C’était très compliqué au début de vivre chez moi", confirme Salli, jeune maman de huit enfants. Elle a laissé son mari à sa coépouse et est devenue femme de ménage. Pour être tout à fait "comme les autres", elle essaye de perfectionner sa maîtrise du français. Les mystérieux "couvre-lit", "hippocampe" et "igloo" qu’elle découvre au cours d’alphabétisation lui donnent l’impression d’être encore loin du but. Mais ses amies lui connaissent un nouveau sourire. 

    (1) Les prénoms ont été modifiés. 

    (2) La Caisse d’allocations familiales verse 441,48 € par mois pour quatre enfants de moins de 20 ans, plus 158,78 € pour chaque enfant supplémentaire. Soit 1.394 € pour 10 enfants, 2.981 € pour 20 enfants, 4.569 € pour 30 enfants, 6.157 € pour 40 enfants. Sans compter d’éventuelles aides au logement.

    Source

    http://www.oragesdacier.info/

  • Londres : des milices musulmanes appliquent la charia dans les rues ! [A DIFFUSER MASSIVEMENT]

  • Google décide de censurer les sites pro-vie

    Lu ici :

    "Certains centres d’assistance “pro-vie” (contre l’IVG) pour les femmes désirant avorter avaient mis en place une véritable stratégie en ligne pour apparaître dans les premiers résultats des recherches Google sur l’avortement. Mais le moteur de recherche s’est engagé à retirer certaines publicités de ces “crisis pregnancy centers” (des “cellules de crise” pour les femmes enceintes) après qu’une enquête de NARAL Pro-Choice America, une organisation américaine qui défend le droit à l’avortement, a démontré que certaines annonces violaient la politique de Google en trompant les utilisatrices. “Nous n’avons rien contre ces cellules de crise qui font leur publicité sur internet, et nous n’avons rien contre leur existence.“, dit Illyse Hogue, présidente de NARAL. “Mais ces centres ne peuvent permettre aux femmes d’avorter, et ne devraient pas leur faire croire le contraire”, poursuit-elle. Dans ses règles de publicité, Google explique en effet que les annonces doivent être “honnêtes, précises et actualisées chaque fois qu’elles sont diffusées auprès des internautes“. [...]"

    C'est une inversion accusatoire : c'est la propagande en faveur de l'avortement qui est, le plus souvent, mensongère, en passant sous silence le meurtre de l'enfant à naître, les aides possibles pour la mère enceinte, et les conséquences de l'avortement sur la femme.

    Michel Janva

  • Europe : la liberté de cultiver entravée par les futurs traités de libre-échange

    Des centaines de tonnes de semences détruites au prétexte qu’elles n’ont pas été brevetées par des multinationales. C’est ce qui arrive aux paysans colombiens, et c’est bien ce qui pourrait se produire aussi en France et en Europe à cause du traité de libre-échange discuté entre l’Union européenne et le Canada. Cet accord commercial « brade les droits des agriculteurs au profit de l’industrie semencière », alertent de nombreuses organisations de la société civile. Alors que ce traité doit être ratifié par le Parlement européen, les candidats se positionneront-ils d’ici les élections ? Décryptage.

    Les traités de libre-échange constituent-ils une menace pour la liberté de ressemer ses semences ? C’est l’alerte lancée par plusieurs organisations associatives et syndicales après avoir analysé une version confidentielle du projet d’accord commercial entre l’Union européenne et le Canada (AECG), datée du 20 décembre 2013 [1].

    « Nous avons notamment eu connaissance du chapitre sur la propriété intellectuelle, raconte Birgit Muller du Réseau semences paysannes. A sa lecture, « il apparaît clairement que ce traité de libre échange, comme les précédents, brade les droits des agriculteurs au profit de l’industrie semencière ».

    L’article 18.3 du traité mentionne ainsi qu’un agriculteur en possession de semences d’une variété contenant un caractère breveté pourrait voir ses « biens saisis » et ses « comptes bancaires gelés » ! « S’il n’est pas en mesure de fournir des preuves formelles de la provenance des semences utilisées, l’agriculteur peut être soupçonné de “recel de contrefaçon” », explique Birgit Muller.

    L’article 16.2 précise également que cette saisie peut se faire sur simple présomption de contrefaçon. En clair, un paysan qui continuerait de faire ce qu’il a toujours fait, garder une partie de sa récolte pour ensemencer ses champs, se verrait donc menacer d’amendes et de poursuites judiciaires.

    Extrait du chapitre sur la propriété intellectuelle de l’AECG :

    Des réglementations européennes et nationales contournées

    Si l’accord entre l’Union européenne et le Canada est ratifié en l’état, « il annulerait les avancées que nous avons obtenues en France dans le cadre de la loi sur les contrefaçons », souligne Roxanne Mitralias de la Confédération paysanne. Pour rappel, ce projet de loi discuté au Sénat en novembre 2013 a suscité de vives réactions en France (nos articles sur ce sujet)). C’est à la suite de menaces de grèves de la faim par des paysans, que les députés ont finalement adopté en février 2014 un amendement stipulant qu’un agriculteur qui multiplie et ressème des graines récoltées à partir de variétés sélectionnées par l’industrie semencière ne peut pas être poursuivi pour contrefaçon.

    Selon Birgit Muller, le projet d’accord commercial contient des dispositions qui ont également été refusées par le Parlement européen en juillet 2012 dans le cadre de l’ACTA, l’Accord commercial anti-contrefaçon. Ce dernier visait à renforcer l’application des droits de propriété intellectuelle et la collaboration des États dans la lutte contre les contrefaçons, en les mettant directement au service des entreprises. La mobilisation citoyenne contre cet accord, au-travers de nombreuses manifestations et d’une pétition ayant recueilli 2,8 millions de signatures, a finalement conduit au rejet massif de l’ACTA par les eurodéputés (478 contre, 39 pour, 165 abstentions).

    La ratification de l’accord commercial entre l’UE et le Canada permettrait donc de contourner la réglementation européenne et française.

    Monsanto et Syngenta s’imposent en Colombie

    Ce type d’accord commercial bilatéral favorise les prérogatives des entreprises et s’impose au droit national. Les paysans colombiens l’ont découvert à leurs dépens : en 2011, 1167 tonnes de semences, principalement de riz, mais aussi de pommes de terre, de maïs, de blé, de plantes fourragères et de haricots rouges, sont retirées de la circulation. L’année suivante, l’Institut agroalimentaire colombien (ICA) confisque ou détruit près de 2800 tonnes de semences.

    Motif : l’accord signé avec les États-Unis contient une clause qui oblige les paysans à cultiver des « semences certifiées », c’est-à-dire produites par les sélectionneurs industriels comme Monsanto ou Syngenta.

    Pour se mettre en conformité avec cet accord, l’ICA publie un texte en 2010 – la résolution 9.70 – qui rend illégale la vente de semences issues de la sélection paysanne, au motif que leurs qualités sanitaires ne sont pas garanties. La mobilisation de dizaines de milliers de Colombiens dans les rues de Bogotá à l’été 2013 conduit le gouvernement à annoncer le 6 septembre la suspension de la résolution pendant deux ans. Toutefois, « l’ICA continue à aller de ferme en ferme pour demander si les semences utilisées sont certifiées » témoigne Victoria Solano, auteure du documentaire «  9.70  ». La pression étatique sur l’autonomie des petits agriculteurs se poursuit.

    Droits des peuples à une alimentation locale

    « Les accords de libre-échange ont des effets importants sur la vie sociale et économique de pays qui devraient vraiment être discutés avec les citoyens », estime Birgit Muller. Outre les enjeux autour des semences se pose aussi la question du droit des municipalités à se fournir auprès d’un producteur local.

    « Ce droit aussi va être limité par l’accord économique entre l’Union européenne et le Canada, illustre t-elle. Au-dessus d’une certaine somme, les municipalités devront ouvrir leurs marchés publics à tous les fournisseurs européens. L’université de Toronto par exemple a un partenariat avec les producteurs locaux et biologiques. Mais si l’accord est adopté, elle devra se fournir auprès de producteurs européens si leurs produits sont moins chers. »

    La position du prochain Parlement Européen sur ces accords de libre-échange sera donc décisive pour l’agriculture paysanne et la souveraineté alimentaire. Dans un appel publié le 29 avril, 23 organisations, dont des producteurs bio, des syndicalistes des douanes, des organisations de commerce équitable [2], alertent sur les conséquences de ce traité qui sera ratifié par les futurs eurodéputés. Ce texte « comprend un important volet sur les droits de propriété intellectuelle et impacte par conséquent le droit des paysans à utiliser leurs propres semences », écrivent les organisations signataires. « Ce modèle d’accord est reproduit de traité en traité, tant qu’aucun frein n’y est mis. Vous avez le pouvoir de le stopper. » Les signataires demandent aux candidats d’annoncer, avant le premier tour des élections européennes le 25 mai, le rejet de l’accord entre l’Union européenne et le Canada. Les critiques des candidats seront-elles aussi vives que celles exprimées contre TAFTA, le projet d’accord commercial entre l’UE et les États-Unis [3] ?

    Notes :

    [1] Le 18 octobre 2013, José Manuel Barroso, président de la Commission européenne, et Stephen Harper, Premier ministre du Canada, ont annoncé la conclusion du traité entre l’Union européenne et le Canada.

    [2] Liste des signataires : FNAB, OGM Dangers, Bio Consom’acteurs, Attac, Chrétiens dans le Monde Rural (CMR), FIAN, Réseau Semences Paysannes, Les Poissons Roses, Confédération Paysanne, Fédération Nature & Progrès, Solidaires Douanes, FNCIVAM, Amis de la Terre, CNDSF, Fédération Nationale Accueil Paysan, Fondation Sciences Citoyennes, AITEC, Artisans du Monde, Syndicat Simples, Demeter France, MIRAMAP, Agir Pour l’Environnement, GIET.

    Avec le soutien de : (en région) Bio Consom’acteurs PACA, Filière Paysanne, Consommateurs pas Cobayes, UDB – Union Démocratique Bretonne, Bio de

    Provence-Alpes-Côte d’Azur et de l’Union Nationale des Fermiers du Canada

    [3] Voir nos articles à ce sujet

    Basta!

    http://fortune.fdesouche.com/337791-europe-la-liberte-de-cultiver-entravee-par-les-futurs-traites-de-libre-echange#more-337791

  • Tulle sous perfusion

    En décembre 2013, nous publions un post intitulé "Pluie de subventions à Tulle". Pourtant, la lecture des comptes financier de Tulle permet de savoir que la ville ne peut plus investir si on ne paye pas pour elle. Or, un rapport de la Cour des comptes vient d'être publié sur Tulle. On y lit que :

    "L’autofinancement demeure […]  structurellement trop faible.

    L’endettement (29,9 M€), bien que stabilisé en fin de période, demeure particulièrement élevé. Exprimé en euros par habitant, il atteint le double de la moyenne des communes comparables.

    Echéance de remboursement des emprunts : 2039

    La limitation de l’endettement étant un objectif essentiel, la commune est invitée à faire une pause dans ses investissements afin de réduire l’encours de la dette."

    Bernard Combes, le maire PS de Tulle, était venu s’entretenir avec François Hollande à l’Elysée pour parler financements et subventions. Car François Hollande est plus que généreux avec son ancienne mairie de Tulle, en Corrèze. Manuel Valls avait également accordé une subvention de 300 000 euros pour financer la rénovation du quartier de la gare de Tulle. Marisol Touraine a quant à elle accordé une subvention de 3 millions d’euros pour l’installation d’une imagerie par résonance magnétique (IRM) à l’hôpital de Tulle. L’Agence nationale de l’habitat, sous la tutelle de Cécile Duflot et de Pierre Moscovici, a accordé une subvention de 500 000 euros pour résorber les poches d’insalubrité de Tulle. Enfin, l’Etat a versé avant le 31 décembre une aide exceptionnelle de plus de 12 millions d’euros au conseil général de Corrèze, l’un des départements les plus endettés de France… Et Jean-Marc Ayrault a accordé une subvention de 200 000 euros pour l’aménagement du parvis du futur cinéma de la ville de Tulle.

    Au moins vous savez où va notre argent.

    Michel Janva

  • Edito de L’AF 2885 : Politique royale

    Dans ses « Enseignements à son fils », saint Louis recommandait au futur Philippe III le Hardi : « Pour justice et droiture garder, sois raide et loyal envers tes sujets, sans tourner ni à droite ni à gauche, mais toujours droit. »

     

    Est-il plus impitoyable condamnation du régime des partis qui, par définition, tourne sans cesse à droite et à gauche pour mieux tromper un peuple réputé souverain mais qui ne l’est que par dérision ? Et ce premier numéro de L’Action Française 2000 nouvelle formule pouvait-il mieux faire que de se placer sous la protection de ce saint roi ? En décidant d’orienter, au sens propre, la France vers la Terre sainte, d’où notre lys royal tient son origine, peut-être lui acquit-il le mérite de cette autre figure tutélaire, Jeanne d’Arc, sainte elle aussi, qui entreprit de bouter l’ennemi hors du royaume après avoir fait sacrer le gentil Dauphin à Reims.

    Huit siècles après, les propos de Louis IX à son fils conservent l’actualité d’une vérité politique éternelle. Nos décideurs, comme ils s’appellent eux-mêmes par antiphrase, puisqu’ils ont remis les clefs du royaume à l’étranger, cherchent, aujourd’hui comme hier, à conserver leur main-mise sur un peuple qu’ils méprisent. Mais ce peuple sait enfin que ces petits rois illégitimes sont nus. Et que leur heure a sonné. Que la double invocation de saint Louis et de sainte Jeanne d’Arc aide le pays réel à bouter hors du pouvoir ces imposteurs avant qu’ils n’aient achevé leur entreprise de mort.

    François MarcilhacL’AF 2885

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Edito-de-L-AF-2885-Politique

  • Du mariage homosexuel à la pédophilie

    marié-homo-pédophile-mpi

    Suite au dépôt de plusieurs plaintes, Daniel Thibaut, 64 ans, originaire de Compiègne, a été mis en examen pour actes de pédophilie et placé en détention provisoire à Liancourt, le jeudi 17 avril. Le parquet de Senlis est chargé de l’affaire. Le sexagénaire avait été le « premier marié gay de l’Oise ». Le mariage avait été célébré par Evelyse Guyot, adjointe au maire, le 6 juillet 2013, à l’hôtel de ville de Compiègne, en présence de nombreux médias. Curieusement, ceux-ci n’ont pas été aussi prompts (hormis la presse locale) à informer de ce nouvel épisode dans la vie du « premier marié gay de l’Oise ». Ben alors, où elles sont nos grandes chaînes de télévision et leurs équipes d’investigateurs ?

    Sans tomber dans les généralisations abusives, il convient de rappeler ici qu’Alfred Kinsey, artisan de la révolution sexuelle, écrivait en 1948 que, selon ses études, 37% des homosexuels mâles avérés avouaient avoir eu des rapports sexuels avec de jeunes garçons de moins de 17 ans.

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  • Bientôt l’Europe à 50 ? Hip hip hip hourra !

    Le socle européen est constitué d'une armée de chômeurs estimée entre 18 et 25 millions d'âmes. Les dettes cumulées des États européens se chiffrent en milliers de milliards d'euros.   

    Nous ne prétendons pas que l’Europe est ce qui suit, mais il faut avouer que, si aujourd’hui elle préfigure celle de demain…

    Selon certains reportages, l’on fait la queue, paraît-il, le lundi matin au Parlement européen, valise à la main, pour pointer, encaisser les indemnités avant de sauter dans un taxi… Les chantres de l’Europe nous vendent la disparition mécanique des frontières comme seul garant d’une paix telle que l’on n’en avait jamais connu sur le continent. Bientôt l’Europe des 50 : hip hip hip hourra, lancer de confettis ! Politiquement ingérable : le rêve pour les Américains, se murmure-t-il dans les milieux de la réinformation…

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  • Capricieux, le lobby LGBT se détourne du PS

    Plusieurs associations envisagent de boycotter les figures de la majorité présentes, en raison du "renoncement" du gouvernement sur la procréation médicale assistée (PMA) pour les femmes.

    Dans une tribune publiée par Le Monde, mardi 29 avril, l'ancien porte-parole LGBT Nicolas Gougain prévient : 

    "Les socialistes doivent s'attendre à un accueil glacial des manifestants et des associations en juin prochain lors de la Marche des fiertés." 

    Ils ont dénaturé le mariage, ignoré des millions de manifestants, réprimés des manifestants pacifiques... tout ça pour faire plaisir aux LGBT. Tout ça pour subir in fine les ressentiments de cette minorité vindicative, jamais satisfaite. 

    Michel Janva