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Crépol : encore une preuve que notre système d'information médiatique est médiocre, sans doute manipulé. La tradition anglo-saxonne du "speak with data" n'a pas encore franchi l'Atlantique.
Les technologies électroniques de communication créent aujourd’hui une saturation du récepteur que nous sommes.
Il faut une forte volonté pour échapper au flux informationnel. Si nous pouvons couper radios et télés, nos proches et amis ne peuvent s’empêcher de nous faire part des dernières nouvelles afin de partager et diluer leurs angoisses.
@zoesaganPour liquider ses actifs médias, Patrick Drahi voulait au début taper 2 milliards d’euros à Bernard Arnault, qui lui a répondu en lui envoyant son beau-fils avec une valise de seulement 600 millions pour reprendre @BFMTV et @RMCInfo.
Il a refusé. Ensuite, il y a eu Rodolphe Saadé envoyé par Emmanuel Macron, avec une enveloppe de 800 millions. Il a refusé.
La façon dont l’attaque de Crépol est traitée par le Système, ses politiciens, ses procureurs et ses médias, illustre une fois de plus cette réalité tragique : les premiers ennemis des Français de souche sont des Français de souche eux aussi. Nos premiers ennemis sont nos dirigeants et tous ceux qui les approuvent, les élisent et exécutent leurs ordres. Nos premiers ennemis sont des Blancs.
C’est ainsi que, comme à l’habitude, loin de prendre le parti des Français de souche et des règles de vie en vigueur dans une France française, le Système a pour seul souci d’empêcher que l’attaque de Crépol n’aboutisse à la mise en cause de sa politique d’immigration massive.
Xavier Patier qui a notamment exercé des fonctions de dirigeant au service de l’État et en entreprise et publié de nombreux ouvrages, vient de sortir La confiance se fabrique-t-elle ? Essai sur la mort des élites républicaines (à commander chez Artège) présenté ainsi par son éditeur :
« Plutôt la barbarie que l’ennui ! » En écho à Théophile Gautier, voilà l’acte de résignation qui menace aujourd’hui la France, avec l’inconscience aveugle de ceux qui n’ont jamais connu les épreuves. Avec la mort des valeurs universelles, c’est désormais la violence qui impose en effet son Diktat comme une évidence, nous dit Xavier Patier.
Depuis ce qu’il est convenu d’appeler « le drame de Crépol », les politiciens de tous bords se succèdent sur les plateaux de télévision. Certains jouent toujours la même partition (presque tous, à vrai dire). D’autres n’hésitent pas à « dire les termes », comme disent les jeunes, quitte à faire ce que l’on pourrait appeler de la surenchère (Reconquête, par la voix de Marion Maréchal, ou Éric Zemmour) : ils participent à la popularisation des expressions « Français de papiers » ou « racisme anti-Blanc » et n’hésitent pas à relativiser la « menace » que représentent les 80 patriotes sans armes venus à Romans-sur-Isère, dont l'un a été lynché par des racailles sans que cela n'émeuve plus que cela. D’autres, encore - c’est le cas du RN -, font du crypto-macronisme, comme Jean-Philippe Tanguy sur LCI, ce 1er décembre. Le RN a un boulevard devant lui. On a compris qu’il était définitivement dédiabolisé. De là à approuver Gérald Darmanin quand il dissout des groupes identitaires, de là à considérer que ces groupes sont une menace pour quiconque, il y a tout de même un pas. Espérons que cela leur serve, au moins…
Le sénateur de Loire-Atlantique Joël Guerriau, soupçonné d’avoir drogué le député Sandrine Josso en vue de la violer, avait été placé en garde à vue. L’élue Renaissance du Loiret Caroline Janvier révèle que ce n’est pas un cas isolé :
«Il y a des soirées où de la drogue circule.» «Comme il y a des dîners ou des fins de sessions parlementaires où il y a une consommation excessive d’alcool».
«Il faut aussi analyser ce phénomène comme un système, sans rien excuser.»