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lobby - Page 1975

  • Incitation à la débauche dans l'éducation nationale

    L'enseignement diocésain de la région Pays de la Loire s'est fendu d'un courrier à l'attention du président du Conseil Régional :

    "Les lycéens et lycéennes des établissements de l’Enseignement privé sous contrat ayant demandé par voie électronique le « Pass culture » édité par le Conseil Régional et ayant, à cette occasion, coché la case « je souhaite recevoir de l’information de la part du Conseil Régional des Pays de la Loire et de ses partenaires » ont reçu directement le message suivant sur leur boîte mail en février 2014.

    « La Saint-Valentin c’était bien ou bien ?
    Votre chéri(e) vous a offert :
    - La nouvelle version du « Kamasutra »
    - Une boîte de chocolats aphrodisiaques
    - Le 3ème tome de « 50 nuances de gris »
    Pensez au Pass -prévention contraception »
    Et la mention :
    « Partagez vous aussi votre Saint-Valentin ! sur Facebook ».

    Nous souhaitons, Monsieur le Président, vous signaler notre totale incompréhension et notre indignation pour plusieurs raisons qui interrogent la politique éducative du Conseil Régional :
    1) Quel projet éducatif régional peut justifier une telle incitation à des pratiques sexuelles explicites ?
    2) Comment se fait-il que des jeunes lycéens, s’inscrivant à un dispositif culturel initié par une collectivité publique, reçoivent des messages subversifs et intrusifs, qui transforment la Saint Valentin et la politique éducative liée à l’affectivité et à la relation en un encouragement à des expériences sexuelles et à la pornographie, alors même qu’une charte éditoriale signée entre la Région et l’URADEL, relative à l’ENT, délimitait de façon explicite le champ de communication du Conseil Régional auprès des lycéens de notre réseau ?

    Votre message, qui veut du reste s’adresser à des jeunes lycéens dès l’âge de 15 ans, est irrecevable. En effet, nous vous signalons, Monsieur le Président, que certains lycéens ou bien lycéennes qui reçoivent ce message, peuvent avoir une année d’avance dans leur scolarité et être donc âgés (es) de seulement 14 ans.

    Nous vous demandons donc, Monsieur le Président, de mettre fin à cette campagne de communication explicitement licencieuse émanant d’une collectivité publique, campagne incitant par ailleurs les lycéens à partager « leur expériences » sur les réseaux sociaux.

    3) Est-il enfin besoin de préciser que la nature de cette communication n’est pas éloignée de la notion d’incitation à la débauche pour les mineurs, visée par l'article 227-22 du Code Pénal dont nous nous permettons ici de rappeler le contenu :

    « Le fait de favoriser ou de tenter de favoriser la corruption d'un mineur est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende. Ces peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et 100 000 euros d'amende lorsque le mineur a été mis en contact avec l'auteur des faits grâce à l'utilisation, pour la diffusion de messages à destination d'un public non déterminé, d'un réseau de communications électroniques ou que les faits sont commis dans les établissements d'enseignement ou d'éducation ou dans les locaux de l'administration, ainsi que, lors des entrées ou sorties des élèves ou du public ou dans un temps très voisin de celles-ci, aux abords de ces établissements ou locaux."

    Michel Janva

  • Judith Reisman apporte son soutien aux Journées de retrait de l’école.

    Les Journées de retrait de l’école ont eu l’immense honneur d’obtenir un entretien exclusif avec le Dr Judith Reisman.

    Professeur de droit à la l’université de Lynchburg, elle a consacré sa vie à dénoncer les dangereux travaux d’Alfred Kinsey, père de l’éducation sexuelle à l’école, et grand-père de la théorie du genre. En effet, il ouvrit dans les années 50 un institut rebaptisé « Kinsey Institute for Research in Sex, GENDER and Reproduction ». Elle adresse aux parents JRE un message de soutien et d’encouragement à poursuivre le combat.

  • Expulsés de Matignon, veillée devant le Grand Orient : une soirée avec les Sentinelles

  • Affaire Lambert : des nouveaux-nés condamnés à mort

    Lu sur le blog de Jean-Yves Nau :

    "Appelé à trancher dans l’affaire Vincent Lambert le Conseil d’Etat a sculpté le tragique dans le droit. Il a décidé que le fait de nourrir (alimenter) et de faire boire (hydrater) étaient des traitements. Ou pouvaient en être. De ce fait ces gestes humains pouvaient être « interrompus » dès lors qu’ils pouvaient raisonnablement tomber sous le coup de « l’obstination déraisonnable » de la loi Leonetti sur la fin de vie. L’affaire est d’une violence extrême comme est violente la question soulevée : peut-on tuer une personne en fin de vie en la privant d’eau et de nourriture ? Mette un terme à l’AHA (l’alimentation et l’hydratation artificielle). [...]

    Jean-Yves Nau fait référence à un article paru dans Libération, qui « présente » un « document exceptionnel du centre d’éthique de Cochin ». Il y voit un témoignage « des angoisses et des questionnements des parents, médecins et personnels soignants qui ont entouré jusqu’à leurs dernières heures des enfants sans espérance de vie ». En Une : « Le dilemme tragique de laisser mourir un enfant ». 

    « Dans l’état actuel de la législation (la loi Leonetti), ces nourrissons avec ou sans sédation sont privés de nourriture et d’eau jusqu’à ce que mort s’ensuive. [...] »

    Selon Jean Leonetti : 

    « Ce qui me paraît clairement comme une évidence, c’est que l’alimentation et l’hydratation artificielle (AHA) relèvent d’une logique de soins. Ce sont des traitements : mettre un tube dans le ventre, ou poser une perfusion, c’est un traitement. Et, pour moi, c’est de même nature qu’un respirateur artificiel, qui envoie de l’air dans les poumons, puis qui l’expulse. Mais voilà, personne ne va estimer barbare – quand les conditions sont réunies – de retirer un respirateur et d’accompagner la personne vers le décès pour qu’elle ne souffre pas, alors que cette question demeure pendante pour l’alimentation. Où est la différence ? Le risque d’étouffement vaut bien celui du sentiment de la faim ou de la soif. Il faut y réfléchir. Pourquoi cela se passe-t-il ainsi ? Pourquoi tant de projections ?"

    Dans un document de 2007, la Congrégation pour la doctrine de la foi avait au contraire écrit que 

    "En particulier, je voudrais souligner que l'administration d'eau et de nourriture, même à travers des voies artificielles, représente toujours un moyen naturel de maintien de la vie, et non pas un acte médical. Sa mise en œuvre devra donc être considérée, en règle générale, comme ordinaire et proportionnée, et, en tant que telle, moralement obligatoire, dans la mesure et jusqu’au moment où elle montre qu’elle atteint sa finalité propre, qui, en l’espèce, consiste à procurer une nourriture au patient et à alléger ses souffrances. [...]

    En affirmant que l’administration de nourriture et d’eau est moralement obligatoire en règle générale, la Congrégation pour la Doctrine de la Foi n’exclut pas que, dans certaines régions très isolées et extrêmement pauvres, l’alimentation et l’hydratation artificielles ne puissent être matériellement possibles, et alors ad impossibilia nemo tenetur. Toutefois demeure l’obligation d’offrir les soins minimaux disponibles et de procurer, si possible, les moyens nécessaires pour un soutien vital convenable. Par ailleurs, on n’exclut pas que, en cas de complications, le patient ne réussisse pas à assimiler la nourriture et la boisson ; leur administration devient alors totalement inutile. Enfin, on n’écarte pas de manière absolue la possibilité que, dans quelques rares cas, l’alimentation et l’hydratation artificielles puissent comporter pour le patient une excessive pénibilité ou une privation grave au plan physique lié, par exemple, à des complications dans l’emploi d’instruments.

    Ces cas exceptionnels n’enlèvent cependant rien au critère éthique général, selon lequel l’administration d’eau et de nourriture, même par des voies artificielles, représente toujours un moyen naturel de conservation de la vie et non un traitement thérapeutique. Son emploi devra donc être considéré comme ordinaire et proportionné, même lorsque l’"état végétatif" se prolonge."

    Michel Janva

  • Le fisc au secours des voleurs !

    Comment font-ils pour envisager de nous contraindre au nom de leurs conceptions du monde ou de la vie ? Comment peuvent-ils être suffisamment surs d’eux pour avoir envie de nous imposer leurs certitudes ?

    Tout autour de nous ce ne sont que prophètes qui n’hésitent pas appeler de leurs vœux la force pour nous imposer leurs visions. Étant entendu, qu’en plus, nous sommes fortement poussés à les remercier et à prendre bien conscience de la chance que nous avons d’être violentés par eux, pour notre bien.

    L’assurance affirmée de Sarkozy me faisait terriblement peur, celle dissimulée d’Hollande, c’est pire. Et je ne parle pas de celles de Placé, de Le Pen ou de Mélenchon, elles sont pour moi l’effroi absolu.

    Pourquoi personne ne se lève pour nous dire : « Si vous votez pour moi, je ne ferai rien. Je m’engage juste à vous emmerder le moins possible » ? Pourquoi le parti des : « On ne s’en occupe pas, démerdez-vous », n’existe-t-il pas ? Je suis persuadé qu’il ferait un tabac.

    Qui peut sincèrement accepter que l’on surveille et dirige sa vie, ses joies, ses peines, ses embrouilles, dans la mesure où elles ne concernent que lui et pas ses voisins ? Personne.

    Concrètement : tout cela est un gros mensonge, sous couvert de faire notre bien, ils font en réalité nos poches.

    Foin de philosophes, de patriotes, de religieux, il n’est que de pillards et d’escrocs, de détrousseurs, de bandits de grands chemins, qui inventent des combines pour justifier l’utilisation de la force, afin de nous voler nos biens, notre vie.

    Il leur arrive d’être presque attendrissants, tant ils sont sans surprise.

    Par exemple le G20, c’est un peu eux, fait mine de s’inquiéter de « l’optimisation fiscale ». Attention, pas celle d’Exxon ou de Total, pas celle des princes arabes ou des dictateurs en exercice, pas celle de nos belles démocraties marchandes d’armes. Non, celle des géants du net.

    Contre « l’optimisation fiscale » le G20 propose la « saloperie fiscale ». Celle qui permet de se débarrasser d’un concurrent gênant

    Internet, pour eux, il faut que ça cesse.

    Du moins dans sa version libérale actuelle. Je dis « libérale » bien que je sois conscient qu’il s’agit d’un gros mot. Mais bon, un tout petit bout de courage, c’est toujours ça de pris.

    Donc, Internet devant cesser, alors que tout le monde adore, une seule solution : la fiscalité.

    Comprenez bien qu’avec leurs énormes bénéfices et leur santé d’entrepreneurs privés, les acteurs d’Internet ont toujours plusieurs coups d’avance sur ces pauvres minables de politiques et leurs fonctionnaires qui veulent les « niquer ».

    Il leur faut la police et la justice s’ils veulent les contrer, la force, quoi. Mais, pour cela, il faut les accuser de quelque chose. La « saloperie fiscale » s’impose. Et hop, le tour est joué.

    « Mais, comment, disent-ils, des sommes non redistribuées à nos assistés s’évadent ? Qu’à cela ne tienne, nous les récupérerons, devrions nous employer la force. »

    C’est au poil, c’est facile, la « saloperie fiscale ».

    Personne ne peut s’y opposer. Qui va aller expliquer la vérité, et, surtout, qui va l’écouter, qui va l’entendre ?

    Où est la dignité dans tout ça ? Alors qu’il s’agit, tout simplement, d’enfumer l’atmosphère, qui devenait un peu trop limpide, pour pouvoir continuer à nous plumer industriellement.

    Conclusion : derrière chaque prophète, chaque illuminé de la politique, qui prétend vous imposer ses vues, cherchez la façon dont il remplit son porte-monnaie et vous comprendrez pourquoi il veut absolument vous imposer sa manière de voir votre vie.

    Ne prenez pas pour de la passion ce qui n’est que de l’intérêt, pour de la foi ce qui n’est que du cynisme et pour de la compassion ce qui n’est que de l’opportunisme.

    Hélas les foules se laissent facilement convaincre, le mensonge est un grand séducteur. Qui sont les plus coupables : les princes, les courtisans ou la masse qui leur accorde sa confiance ? Je ne sais pas, mais je connais le « baisé de service » : c’est la victime de la « saloperie fiscale ». C’est nous tous.

    Henri Dumas http://francelibre.tumblr.com/

  • Intermittents du spectacle : bientôt le clap de fin ?

    Allez hop, c’est reparti comme en 2003, les intermittents sont à nouveau dans la rue. On va voir ce qu’on va voir.
    Allez hop, c’est reparti comme en 2003, les intermittents sont à nouveau dans la rue. On va voir ce qu’on va voir. Le MEDEF a dit vouloir aligner le régime spécial des intermittents du spectacle sur le régime général, mettre un terme à un système d’indemnisation par trop généreux. C’est dégueulasse. Aurélie Filippetti a immédiatement répliqué avec la finesse, la mesure et l’argumentaire habituels : « Le MEDEF veut tuer la culture. » Dit autrement, quand le MEDEF entend le mot « Kultur », il sort son revolver. Nous voilà pour ainsi dire renvoyés aux heures les plus sombres de notre histoire, comme à chaque fois que quelqu’un s’avise de remettre en cause un deux poids deux mesures dans ce pays.
    Non, mais, oh ! Z’êtes pas bien dans votre tête ? Otez vos sales pattes des dernières pépinières socialistes que l’on garde bien au chaud dans la serre, que l’on arrose amoureusement, et que l’on berce tendrement le soir. La prochaine moisson électorale sera assez mauvaise comme ça, manquerait plus qu’en sus les intermittents du spectacle mettent les bouts.

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  • Remigration : fantasme ou nécessité ?

    Paul Ariès parle de « mot-obus » pour présenter le terme de décroissance. L’expression ne serait pas exagérée en ce qui concerne le récent propos d’Eric Zemmour lorsqu’il a décidé d’employer, sans doute pour la première fois à la télévision, l’idée d’une remigration.

     

    N’attendons pas des quelques zélateurs singeant une vie intellectuelle au cœur de notre si piteuse oligarchie médiatique une réaction docte ou rationnelle, nous en serons quittes pour le foisonnement d’anathèmes et de condamnations bigarrées en appelant à l’introuvable pacte républicain ou bien à la lutte contre les sempiternelles heures les plus sombres de l’histoire. Les identitaires de s’empresser d’aller vers une feuille de route organisant le retour massif au pays et le débat de devenir impossible, les méchants ont parlé, le ban doit fermer.

    Pourtant la question mérite une attention toute particulière et ce pour trois raisons dont il est urgent de chercher les imbrications : la première tient au constat d’une réalité dont la négation devient de plus en plus irrespirable, les Français ne veulent plus d’immigration et pour des raisons identitaires et pour des questions économiques, la seconde bien plus complexe consiste à accepter que nous nous trouvons là devant un questionnement de politique d’envergure qui bouleverse nombre de nos cadres conceptuels ( assimilation, charité chrétienne, jeu d’alliances), le dernière enfin porte sur l’incroyable responsabilité européenne dans l’explosion des phénomènes migratoires, idée dérangeante mais cruciale si nous voulons proposer quelques idées, modestes, sur les troubles mus par le Grand remplacement.

    Immigration et identité. [...]

    Charles de Meyer - La suite sur Nouvel Arbitre

  • NKM se déclare favorable à la privation de filiation pour les enfants

    L'association des familles homoparentales (ADFH) a envoyé un questionnaire aux candidats aux municipales, parmi lesquelles ces 2 questions :

    • "Considérez-vous que l'adoption d'enfants par les couples homosexuels soit un progrès social ?"
    • "Considérez-vous que l'adoption intraconjugale homoparentale (adoption de l'enfant du conjoint) soit un progrès social ?".

    A ces deux questions, Nathalie Kosciusko-Morizet (NKM) répond "oui".

    Par ailleurs, NM n'a pas signé la charte de La Manif Pour Tous, ce qui est cohérent avec son idéologie.

    Aux Parisiens d'être cohérents dans leur vote. C'est un mauvais calcul pour NKM qui se met à dos les défenseurs de la famille, mais ne gagne pas pour autant les électeurs LGBT, car elle reste opposée à la PMA, contrairement à Anne Hidalgo.

    Parmi les autres candidats à Paris, Wallerand de Saint-Just et Charles Beigbeder ont signé la charte de La Manif Pour Tous.

    Michel Janva

  • Les antifas ou le degré zéro de la démocratie

    PARIS (NOVOpress)  – Comme nous l’avions annoncé Philippe Martel, chef de cabinet de Marine Le Pen et tête de liste FN/RBM pour le 18ème arrondissement de Paris a donné ce mercredi une conférence de presse rue Labat à Barbés (Paris) pour traiter du procès intenté par le MRAP à l’écrivain Renaud Camus ainsi que des problèmes soulevés par l’immigration de masse dans le 18eme arrondissement.

    Cette réunion a été l’occasion d’une manifestation d’antifas sur laquelle Philippe Martel a donné des détails hier dans un communiqué :

    “Des affiches insultantes, diffamatoires et menaçantes, me traitant entre autres de “facho, escroc et mytho” avaient été placardées par les “antifas” aux alentours du lieu de rendez-vous.” Pour qu’elles ne soient pas décollées ces affiches avaient été recouvertes d’acide au mépris de la sécurité des passants.

    “Une demi-heure avant le début de mon intervention, une quarantaine d’”antifas” étaient rassemblés à proximité immédiate de la rue Labat. Scandant des slogans agressifs.” P. Martel explique que de ce fait la police a du bloquer la rue, empêchant ainsi la plupart des médias d’accéder à la conférence de presse.

    Il conclut :  “Au débat démocratique et au verdict des urnes, quelques agités ne représentant qu’eux-mêmes, préfèrent manifestement l’insulte, l’intimidation et, dés qu’ils en ont l’occasion, la violence.” Mais que loin de le décourager ceci l’incite à continuer à “aller au devant des habitants du 18eme arrondissement pour leur exposer nos idées et nos propositions.”

    http://fr.novopress.info/

  • L’inquiétant rétrécissement des libertés publiques

    Petit tour d’horizon de ces dangereux reculs...

    Quand il commença « son droit », l’auteur de ces lignes était tout à la fois étonné et fasciné que le génie juridique français ait pu, d’une part, édifier un socle granitique de droits et libertés que l’on aurait espéré indestructible

    ...d’autre part, que cette œuvre colossale reposât sur une fragile mais non moins habile construction jurisprudentielle. En l’occurrence celle du Conseil d’Etat contribuant au double mouvement simultané, tant d’émancipation du juge administratif de l’emprise du Prince que d’autonomisation d’une discipline, le droit administratif, occupant désormais une place à part à côté des traditionnels droit civil et droit criminel.

    C’était il y a vingt ans…

    Aujourd’hui, on ne peut qu’être frappé d’un inquiétant rétrécissement des libertés publiques en France, celle-ci semblant subir la néfaste influence outre-Atlantique du Patriot Act et de ses codicilles, édictés au lendemain du 11-Septembre. [...]

    Aristide Leucate - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-inquietant-retrecissement-des