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lobby - Page 1975

  • Les homosexuels russes victimes de harcèlement... médiatique !

    Sous le titre "Les seules personnes qui harcèlent les homosexuels à Sotchi sont les journalistes étrangers, le magazine américain New Republic décrit le cirque médiatique autour de l'unique boîte de nuit pour homosexuels à Sotchi. La fuite des clients, qui aimeraient qu'on les laisse en paix, et l'incompréhension du tenancier, non concerné par la loi russe interdisant la propagance homosexuelle auprès des mineurs. Lequel conclut :

    "Chaque pays a envoyé des correspondants, sauf les Espagnols. Que Dieu les bénisse !"

    Louise Tudy

  • SNCF, RATP et autres contraints de brader des terrains pour construire des logements sociaux

    Voies ferrées, ateliers de maintenance, gares de triage, dépôts de train ou de bus en déshérence sont appelés à disparaître progressivement du paysage urbain de l’Ile-de-France.
    La SNCF, Réseau ferré de France (RFF) et la RATP sont invités par le gouvernement à brader leur patrimoine pour « contribuer à la lutte contre la pénurie de logements dans la région » : Cécile Duflot a rendu publique, lundi 17 février une liste de 40 sites qui devront être vendus avec une décote par rapport à leur valeur foncière.
    En clair, pour que les autorités puissent ériger de nouveaux « logements sociaux » à destination des immigrés.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Les Femen : imposture, bêtise et lâcheté

    « Les Femen agissent en complicité totale avec un gouvernement et une idéologie dominante. »
    Ce mouvement pseudo-féministe, qui fonctionne selon la logique minoritaire bien connue de l’ « agit-prop », consiste en gros à organiser des happenings de filles aux seins nus avec des slogans antichrétiens (en anglais, pour la médiatisation internationale) peints sur leur buste. Leur cible principale est l’Église catholique, cible facile et sans défense, et leur procédé est la profanation de lieux de cultes catholiques. Avec des manifestations dont la vulgarité provocatrice détruit au fond le caractère choquant et finira par s’avérer contre productive.
    Le pouvoir actuel, dont l’idéologie est celle de la destruction en douceur de l’identité ethno-culturelle autochtone, non seulement laisse faire, ne sanctionne pas, mais aide avec complicité : en effet,  la question se pose de savoir qui finance les Femen ; de même, cette idée d’imprimer un timbre de La Poste à l’effigie de la passionaria Inna Shevchenko, égérie du mouvement, permet tous les soupçons. Essayons de comprendre.
    Tout d’abord, les Femen agissent en complicité totale avec un gouvernement et une idéologie dominante dont un des objectifs est la destruction en douceur de l’identité et des racines  de la France dont le catholicisme fait partie.
    Un timbre-poste officiel
    L’affaire du timbre-poste officiel à l’effigie d’IS est parlante. Son concepteur, Olivier Ciappa avouait dans le Huffington Post, (15/07/2013) : « Le dessin que j’ai fait met en scène une Marianne arborant les traits de la leader des Femen, Inna Shevchenko. Elle incarne le mieux les valeurs de la République, liberté, égalité, fraternité. Et la Marianne au temps de la Révolution, était seins nus, alors pourquoi ne pas rendre hommage à cette fabuleuse Femen ? »
    Retour aux affres de la Terreur
    Autrement dit, la République « laïque » incarne les valeurs des Femen, c’est-à-dire principalement la profanation d’églises, comme en …1793, sous la Terreur.
    D’ailleurs, Claude Bartolone, le président de l’Assemblée nationale, a déclaré à propos des actes des Femen que dans la loi « le blasphème n’est pas mentionné comme un délit ». Il voulait signifier par là le blasphème contre le catholicisme. Sur le compte Twitter des Femen, on pouvait d’ailleurs lire, signe d’une complicité avec l’État PS : «  Femen est fière d’être devenue un symbole officiel de la France ! Liberté, Égalité, Femen ».
    Collusion avec les Pussy Riots de Moscou
    Les Femen ne font qu’un avec les Pussy Riots qui, à Moscou, avaient profané la cathédrale du Saint-Sauveur, lieu de culte orthodoxe extrêmement important pour les Russes. (1) M. Poutine a été bien aimable de gracier les trois femmes qui avaient été condamnées, à juste titre, à de la prison ferme. On peut d’ailleurs déplorer cette mansuétude, provoquée par la communication autour des jeux de Sotchi. Leur motivation, sous des prétextes politiques bas de gamme, est uniquement de faire du buzz médiatique pour devenir des stars et gagner de l’argent, en dépit ou à cause de leur nullité artistique absolue.
    En France, le message des Femen est articulé autour de deux clichés : la lutte « antifasciste » (vieux fantasme gauchiste éculé) et la protestation contre la supposée répression sexuelle et l’antiféminisme de cette pauvre Église qui prend tous les coups dans la figure sans oser en rendre. (2)
    On est là en face du degré zéro du féminisme. La tolérance de l’État PS (dont la colonne vertébrale est la vieille lubie soixante-huitarde, comme un crocodile qui tarde à trépasser) envers les Femen  relève de la même lâcheté, de la même duplicité que ces dernières. Car enfin, imaginons que les Femen aient profané des mosquées, seins nus, et slogans débiles en anglais peints sur leur corps, elles se seraient probablement retrouvées en prison pour « islamophobie », le nouveau péché capital. Puisque la « République » peureuse et pseudo-laïque protège en fait l’islam intouchable, rusé et invasif.
    Et pourtant, s’il est bien une idéologie religieuse en pleine expansion qui prône le sexisme, le puritanisme, l’anti-féminisme, l’obscurantisme dans tous les domaines, et qui ne se caractérise pas par son amour de la démocratie, c’est bien l’islam. Et non pas le christianisme. Mais les Femen appartiennent à cette catégorie désespérante des lâches et des collaborateurs, qui n’osent pas s’en prendre aux puissants mais s’acharnent sur les faibles. En pensant qu’ils ne risquent rien. À une seule reprise, sur son compte Twitter  personnel, la passionaria Shevchenko avait posté en anglais un message dont la traduction est : «  Qu’est-ce qui peut être plus stupide que le Ramadan ? Qu’est-ce qui peut être plus horrible que cette religion ? ». Immédiatement, comprenant qu’elle avait gaffé, elle a effacé le tweet incorrect.
    Mais les Femen et l’État PS qui les protège commettent une lourde erreur : cette stratégie de provocation, d’insultes et d’humiliations sans risques peut réveiller un volcan éteint en apparence, mais dont l’éruption imprévue peut se révéler dévastatrice.
    Guillaume Faye, 8/02/2014
    Source : Synthèse nationale
    Notes :
    (1) Détruite par le pouvoir totalitaire communiste et remplacée par une piscine, la cathédrale orthodoxe du Saint-Sauveur a été reconstruite à l’identique par Eltsine, après la chute de la dictature soviétique. Elle symbolise le renouveau de la liberté religieuse en Russie et aussi l’âme d’un peuple. La profanation de l’autel central par les Pussy Riots (sous un prétexte anti-poutinien ridicule) n’a pas du tout été considérée par le peuple russe comme une affirmation libertaire mais comme une agression contre les sentiments profonds du peuple et, au fond, comme un retour masqué de l’anti christianisme communiste.
    (2) Je dis tout cela d’autant plus volontiers que je n’appartiens absolument pas à la mouvance catholique.
    Les intertitres sont de la rédaction
    http://www.polemia.com/les-femen-imposture-betise-et-lachete/

  • Municipales – Nathalie Kosciusko-Morizet fait le tour des obédiences maçonniques

    A l’approche des élections municipales, Nathalie Kosciusko-Morizet, tête de liste UMP à Paris, semble déjà perdante. Mais elle cherche à séduire les réseaux francs-maçons pour compenser ses désavantages.

    Le 11 juin 2013, NKM était l’invitée des frères du GODF, obédience classée à gauche.

    Le 22 janvier 2014, NKM s’était exprimée devant les « Enfants de Cambacérès », fraternelle maçonnique pour homosexuels.

    Et le 12 février dernier, Nathalie Kosciusko-Morizet était l’invitée d’honneur d’un dîner « de sœurs et de frères » de toutes obédiences maçonniques et de tous grades au restaurant « Chez Françoise » situé à quelques pas de l’Assemblée nationale, lieu bien connu pour les « déjeuners offerts par des groupes de pression aux élus » (dixit le journal Le Monde).

    Ce dîner était organisé par la « sœur » trois points Farida Schera Bakhouche (Droit Humain – DH), « militante gaulliste » et élue de Saint-Maurice, dans le Val-d’Oise, mais aussi par le « frère » Patrice Hernu (Grande Loge des Cultures et de la Spiritualité – GLCS) et le frère Michel Maffeosi (GODF).

    Environ 150 convives ont déboursé les 40 euros pour entourer la candidate UMP.

    http://medias-presse.info/municipales-nathalie-kosciusko-morizet-fait-le-tour-des-obediences-maconniques/6710

  • 400.000 soutiens à Emmanuel Giboulot

    BEAUNE (NOVOpress) – Plus de 400.000 personnes ont adressé leur soutien au viticulteur bourguigonon Emmanuel Giboulot, traîné en correctionnelle pour avoir refusé de polluer. Emmanuel Giboulot passe en correctionnelle le 24 février prochain pour un motif ubuesque : il a refusé de déverser sur ses vignes un pesticide hautement toxique, privilégiant des solutions naturelles tout aussi efficaces (voir notre article).

    400 000 soutiens à 4 jours du procès d'Emmanuel Giboulot !
http://www.ipsn.eu/petition/viticulteur/index.php/400

    http://www.ipsn.eu/petition/viticulteur/index.php/400

    http://fr.novopress.info/

  • Halte à l'inquisition médiatique

    POLEMIQUE - Le président de l'Institut de la Parole revient sur les mises en accusation médiatiques de Frédéric Taddei, Eric Naulleau, Daniel Schneidermann, Elisabeth Levy ou Alain Finkielkraut.
    Tout est parti bizarrement d'une appréciation de Ned Rorem sur le couple que formaient le compositeur Georges Auric et sa femme peintre Nora, rapportée par Renaud Machart dans son billet du Monde : « Leur célébrité a dépassé leur valeur ».
    Ce constat spirituellement exprimé m'a semblé pouvoir être aisément généralisé : le monde médiatique notamment éprouve une dilection particulière pour les fausses gloires que son aveuglement crée et que sa paresse intellectuelle et promotionnelle fait culminer au détriment d'autres plus légitimes.
    Ce hiatus entre une réalité et sa représentation, si révélateur aujourd'hui dans les univers politique, social et culturel, explique un certain nombre de dérives moins futiles, plus préjudiciables à la démocratie, qui ont conduit un pouvoir à l'affichage ostensiblement éthique à favoriser une société d'inquisiteurs, une police de la pensée au quotidien. La proclamation exaltée d'une morale gouvernementale - et je ne parle pas que des réactions pour l'affaire Dieudonné, les manifestations de Jour de colère et celle du dimanche suivant, impressionnante et tranquille - non seulement n'a pas entravé la montée de paroles et d'actes racistes mais les a d'une certaine manière favorisés. Tant dénoncer le pire, sans cesse et avec vigueur, paradoxalement le place au centre du débat républicain et promeut ce qu'il conviendrait d'étouffer par le silence et de combattre par l'action. La politique est l'art de vaincre ce que la parole ne tue pas mais souvent conforte.
    Ce gouvernement accomplit exactement l'inverse. Pour s'en convaincre, il suffit de se rappeler la performance médiatique de Manuel Valls à «Des paroles et des actes», louée par les trois «juges» étrangement consensuels à la fin de l'émission. Je me souviens particulièrement des deux séquences, quasiment répétées mot pour mot, où notre ministre de l'Intérieur s'est abandonné à son exercice favori depuis quelques semaines : vitupérer le diable pour mieux s'attirer les bonnes grâces des citoyens conquis par cette éthique martiale et d'un président de la République paré d'une aura humaniste à défaut de l'être par une réussite éclatante.

    « une France de petits inquisiteurs, de fouineurs médiocres, de tristes sentinelles montant la garde en permanence devant la pensée d'autrui »
    Ces démarches obsessionnellement assénées ont eu pour conséquence d'amplifier ce qu'elles prétendaient détruire. L'indignation suscitée chaque jour par telle ou telle transgression indécente ou illégale suffit largement à le démontrer. C'est donc que cette méthode violemment pédagogique, ces injonctions de maître à des citoyens infantilisés, ne parviennent pas à éradiquer de la France d'aujourd'hui le fantasme abusif des années 30 mais surtout les comportements minoritaires, écrits, paroles et gestes, qui sont véritablement à proscrire.
    Le caractère hystérique du débat public - à la fois pour « la bonne cause » et par posture politique - aggrave ce qui est à abolir, autant que le pourrait une République respectant la liberté d'expression et une Justice qui n'oublierait pas l'état de droit. Mais il a aussi pour effet, ce qui est une conséquence au moins aussi dommageable que la pollution raciste et antisémite, d'avoir légitimé, en même temps que son expression paroxystique et en apparente cohérence avec elle, une France de petits inquisiteurs, de fouineurs médiocres, de tristes sentinelles montant la garde en permanence devant la pensée d'autrui et ce qu'elle pourrait exprimer non pas même de dangereux ou de sulfureux mais de non convenu et de singulier.

    Pour le racisme et l'antisémitisme, on a, à foison, des Elliot Ness du pauvre dont la seule occupation est de débusquer le licite et l'intéressant pour les soupçonner d'être scandaleux ou nauséabond - ils ont le goût si raffiné et l'odorat si fin qu'un rien les trouble et les met en état d'accusateurs sans mandat.
    Plusieurs exemples des pratiques de ces justiciers à plein temps. Deux membres du Parti socialiste saisissent le CSA parce qu'Alain Finkielkraut, confronté à Manuel Valls, a osé faire allusion aux « Français de souche », et c'est intolérable !
    Patrick Cohen s'en prend vigoureusement à Daniel Schneidermann et Frédéric Taddéï. Pourquoi pas? Mais était-il nécessaire de leur imputer, par pure et injuste polémique, d'avoir suscité une réaction antisémite à son encontre?
    Frédéric Haziza, journaliste sur LCP et à Radio J, a été victime de propos antisémites et a écrit un livre sur l'extrême droite loué, comme un rituel, par les ministres l'évoquant. Ces données l'autorisent-il à se camper en dénonciateur compulsif et en découvreur, chez les autres, d'antisémitisme inconnu ? Ainsi, Eric Naulleau aurait fait le geste de la quenelle. Ainsi, Schneidermann serait « l'idiot utile des dieudonnistes ». Ainsi, Causeur et Elisabeth Lévy auraient interviewé Dieudonné de manière complaisante. Ainsi, j'aurais de « curieux raccourcis de Ilan Halimi à Alain Soral en passant par Heidegger et Céline » et, sur Twitter, au sujet de mon billet sur Soral qu'il suffit de lire pour porter un jugement honnête, il s'interroge : « Complaisance, compromission ou collaboration ? » Je réponds : analyse et liberté.
    Sans oublier certains qui, toujours sur Twitter, ne sont pas loin de considérer que la lutte contre le racisme et l'antisémitisme devrait être le seul objectif d'une politique pénale, crimes et délits venant largement après les méfaits immatériels de la parole dévoyée !
    Ce monde que la gauche morale est en train de nous fabriquer devient irrespirable. Faut-il accepter, en courbant l'échine, d'hypocrites mises en cause, de piètres suspicions et de médiocres insinuations de la part de Frédéric Haziza et de quelques autres parce que l'antisémitisme les a offensés mais qu'on n'y est pour rien ? Va-t-il bientôt falloir leur demander la permission de penser, d'écrire et de parler ?

    Quel est le pire avenir ?
    Celui de comportements racistes et antisémites qui ponctuellement déchirent une société s'appuyant sur un pouvoir raisonnable et une justice efficace pour les réduire et les condamner ?
    Ou celui d'une société rendue folle par la multiplication de policiers de la pensée ? Autrui, notre voisin, notre prochain ?

    Philippe Bilger http://www.voxnr.com/cc/politique/EFAklAZVFEUFGQKdiK.shtml

    Source : Le Figaro : http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2014/02/10/31003-20140210ARTFIG00040-philippe-bilger-le-monde-que-la-gauche-morale-nous-fabrique-devient-irrespirable.php

  • Immanquable 9 : contre le gender, une conférence de presse qui fait bouger les lignes !

    Jugez-en! Etaient présents ce mercredi 19 janvier, et se sont exprimés à l'unisson de la loi naturelle: Farida Belghoul, Alain Escada, Jean-Pierre Dickès, Christine Boutin, l'abbé de Tanouarn, Béatrice Bourges, que tous nos lecteurs connaissent et plusieurs musulmans représentatifs de leurs communautés: Nabil Ennasri, président du Collectif des musulmans de France; Ahmed Miktar, président de l’Association des imams de France; Albert Ali, écrivain, membre du « Rassemblement des musulmans souverainistes » ; Mourad Salah, conseiller municipal à Melun et Ahmed Miktar, président de l’Association des imams de France.

    Voici l'intégralité de la conférence de presse.

    Media Presse Info nous propose une série de vidéos sur chaque intervention, mais pas encore exhaustive à ce jour.

    http://medias-presse.info/videos-de-la-conference-de-presse-sur-linterdiction-de-le-theorie-du-genre-a-lecole/6613