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lobby - Page 1973

  • Le bide des Césars ou le rejet de la classe médiatique

    Lu sur Figarovox :

    "Selon des chiffres médiamétrie, la cérémonie des César a attiré 300.000 téléspectateurs de moins que l'année dernière. Une audience en baisse que l'écrivain Christian Combaz attribue au rejet de plus en plus massif d'une certaine élite médiatique."

    Extrait de la tribune de Christian Combaz :

    "Les récompenses du cinéma français n'attirent plus, à ce qu'on dit, que la moitié du public d'il y a deux ou trois ans. La soirée des Césars, cette année, ne fut que la quatrième audience de la soirée.

     [...] Quel que soit le domaine considéré, qu'il s'agisse de faire inviter un spectacle, un auteur, un conférencier, par le Conseil Général de la Seine et Marne ou l'Institut français de Madrid, l'imagination ne déborde plus jamais du cadre consensuel. On voit circuler systématiquement les mêmes personnages qui véhiculent une pensée recommandée, parce que les programmes, les récompenses, sont soumis à la cooptation de gens qui se flairent comme les chiens de meute, et qui doivent des comptes au gardien du chenil s'ils veulent que leur pâtée soit reconduite.

    On se demande par quel miracle le Cinéma français échapperait à cette damnation puisqu'il s'agit d'un Art où, par le biais des financements et des avances sur recettes, le rôle de la pâtée est déterminant. Consensualité idéologique, équation personnelle irréprochable, reconnaissance générale de la Profession, tout concourt à donner une prime à ceux qui pensent bien, mais le décalage s'accentue chaque année entre eux et le public, lequel, pour sa part, pense de plus en plus mal.

    En tout cas on peut l'en soupçonner lorsqu'il applique, aux Césars, aux modalités du vote, le même genre de méfiance que celui qui l'anime lorsqu'il a connaissance d'un appel d'offres à la Mairie de sa ville. L'idée selon laquelle tout, dans la France d'aujourd'hui est simulacre de démocratie, de pluralisme, d'équité, l'idée que les soumissionnaires des marchés publics ne sont pas traités de manière égale, l'idée que certains élus ont ouvert les enveloppes, l'idée que la Mairie est moins aveugle que les auditions de The Voice quand il s'agit de choisir des prestataires de services ou des terrains constructibles, cette idée est très généralement partagée.

    Alors quand vient l'heure d'attribuer des récompenses, le côté convenu de l'affaire frappe de plus en plus les esprits, rappelle toujours quelque entente secrète qu'on a subie dans son propre milieu. Lorsqu' on parle désormais de la Profession les gens n'ont plus aucun respect pour ce genre de collégialité qui n'a plus rien à voir avec les compagnons menuisiers. Ils y voient surtout une sorte de syndicat de défense de certains privilèges cachés, aux prix de la réaffirmation d'une poignée de convictions qui plaisent au Ministère."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/03/le-bide-des-c%C3%A9sars-ou-le-rejet-de-la-classe-m%C3%A9diatique.html

  • Quand NKM vire LMPT de ses listes

    Nathalie Kosciusko-Morizet et la « droite des valeurs » font deux, on le savait.
    Nathalie Kosciusko-Morizet et la « droite des valeurs » font deux, on le savait. Mais il y a les hommes politiques, et les gens dont ils s’entourent… c’est cette différence qui aurait pu faire balancer le cœur des électeurs attachés à la famille en cas de duel probable entre les deux lionnes.
    Cette différence, c’était par exemple Ian Brossat pour Hidalgo, homosexuel militant récemment marié aux idées aussi charmantes que la destruction du Sacré-Cœur pour en faire un « espace dédié à la solidarité », versus Hélène Delsol pour NKM, engagée dans la Manif pour tous.

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  • Rumeur sur le genre : quand le Pr Money accusait... l'extrême-droite

    Michel Onfray dénonce l'idéologie du genre :

    "Je découvre avec stupéfaction les racines très concrètes de la fumeuse théorie du genre popularisée dans les années 90 aux Etats-Unis par la philosophe Judith Butler qui ne cache pas l’inscription de sa pensée dans la lignée déconstructiviste de Foucault, Deleuze-Guattari et Derrida.

    En 1966, les époux Reimer consultent le docteur John Money (1921-2006), sexologue et psychologue néo-zélandais spécialiste de l’hermaphrodisme à l’université américaine Johns Hopkins. Cet homme affirme depuis 1955 que l’identité sexuelle biologique du mâle ou de la femelle ne suffit pas à constituer le genre sexuel du garçon ou de la fille la thèse cardinale de la Théorie du Genre.  Le problème des Reimer ? La circoncision de David pour des raisons médicales, un phimosis, l’un de leurs jumeaux, a raté : la cautérisation électrique a brûlé le pénis, la verge est calcinée.

    Le Docteur Money saisit l’occasion pour prouver expérimentalement la validité de ses hypothèses théoriques. Il invite les parents à éduquer David comme une fille. David devient Brenda. Il subit un traitement hormonal. Quatorze mois plus tard, on lui retire les testicules. Elle est habillée en fille, traitée comme telle. A six ans, il semble devenu une fille. John Money publie des articles et des livres pour défendre la théorie du genre avec ce qui est devenu dans la littérature spécialisée « le cas John / Joan ».

    Or David/Brenda grandit douloureusement. Sa voix mue à l’adolescence ; il est attiré par les filles. Le médecin veut lui imposer une vaginoplastie ; il refuse. Money contraint les deux jumeaux à simuler des relations sexuelles pour stimuler le désir de David. A treize ans, David menace de se suicider si ses parents continuent à lui imposer les visites à Money. A quinze ans, le jeune homme  arrête son traitement hormonal et se fait prescrire de la testostérone. Il subit une mastectomie et deux opérations de phalloplastie. Ses problèmes identitaires le détruisent. Il boit. Il suit un traitement médical pour schizophrénie.

    Devant sa détresse ses parents lui révèlent enfin la vérité. Brenda redevient ce qu’il était : David. Il épouse une femme. Mais ne trouve ni la paix, ni la sérénité. Il se suicide en 2002 par une overdose de médicaments. Son frère Brian met fin lui aussi à ses jours en 2004. Silence de Money qui avait publié Homme & Femme, Garçon & Fille en 1972 en racontant l’histoire qui prouvait selon lui la validité de ses hypothèses. Précisons qu’il défendait par ailleurs la pédophilie et stigmatisait l’hétérosexualité comme une convention à déconstruire…

    En 1997, Milton Diamond, professeur d’anatomie et de biologie reproductrice de l’université de Hawaï, découvre la falsification et la dénonce. Money réplique et dénonce… une conspiration de l’extrême-droite et des mouvements anti-féministes ! Ses partisans épousent son délire : les vrais souvenirs de David sont présentés comme relevant du « syndrome des faux souvenirs »… Autrement dit : le menteur dit vrai ; l’homme qui dit vrai, ment – mais ne le sait pas ! Effet de l’inconscient… Dénégation du réel une fois de plus chez cet homme qui croyait plus juste ses délires que la réalité qui, si la raison ne l’avait pas déserté, lui prouvait pourtant la nature délirante de ses théories.

    Judith Butler fait le tour du monde en défendant ces délires. La presse de la bienpensance française de gauche lui ouvre largement ses colonnes. De la même façon que le réel a montré les erreurs de Marx & de Lénine, de Freud & de Lacan, mais qu’il y a toujours des marxistes & des freudiens, le réel a montré en 2002 que la théorie du genre était une fiction dangereuse, mais  quantité de gens souscrivent à cette nouvelle déraison – dont Najat Valaud-Belkacem. Un jour viendra où l’on fera le compte des ravages effectués par cette sidérante idéologie post-moderne. Quand ? Et après quels considérables dommages ?"

    Michel Janva

  • L'arnaque des énergies 'propres' : L'exploitation des forces de la nature

    Nous avons récemment eu la chance d’entrer en contact avec un biophysicien qui a longtemps travaillé pour des firmes du sud-ouest des États-Unis spécialisées dans les énergies dites «renouvelables» ou «propres». Possédant une conscience de l'occulte depuis sa plus tendre enfance, il a finalement compris le pourquoi de l’effervescence autour de ces énergies soi-disant inoffensives pour la planète. Son constat est terrible.
    CROM : Pouvez-vous nous dire quelle a été votre découverte et ce qui vous a amené à la faire ?
    J. S. : Depuis que je suis conscient, je suis préoccupé par la question de la destruction de la Nature, que j’ai toujours perçue comme une attaque contre ma propre âme. Quoique ne me sentant pas d’esprit scientifique, cette préoccupation m’a incité à me spécialiser dans le domaine de la biologie et de l’écologie, et je fis partie des premières équipes de spécialistes qui réfléchissaient aux énergies «renouvelables», et cela sous toutes leurs formes (panneaux solaires, barrages hydroélectriques, éoliennes...)
    Comme beaucoup, je pensais que l’utilisation du pétrole était une aberration, et je n’étais pas plus convaincu par l’utilisation des «biocarburants», car je voyais bien que cela ne faisait qu’intensifier l’exploitation de la planète, en encourageant le développement de champs de colza gigantesques sur le globe, cela, bien sûr, au détriment des forêts, les éternelles victimes du «progrès humain».
    Mais j’ai mis longtemps à voir en quoi les «alternatives» étaient tout aussi néfastes pour la Nature, car ma formation scientifique avait fini par m’empêcher de voir qu’il n’y a aucune énergie neutre.
    CROM : Qu’entendez-vous par là ?
    J. S. : Je veux dire que la conception selon laquelle l’énergie est une force quantitative – qui peut se transférer, par exemple, de la chute d’un cours d’eau à une puissance électrique – est fausse. Elle n’est vraie que d’un point de vue strictement matériel.
    Pour les Anciens, les éléments naturels – les principaux étant le Feu, l’Air, l’Eau et la Terre – n’étaient pas que des phénomènes physico-chimiques, mais ils étaient la manifestation d’êtres réels, quoique invisibles : les êtres élémentaux. Un grand nombre de légendes anciennes parlent de ces êtres – fées, nains, sylphes, etc. – car, avant que la conscience humaine ne sombre totalement dans la matière, les gens pouvaient encore parfois les observer.
    CROM : Quel est l’incidence de ce fait en ce qui concerne les énergies dites renouvelables ?
    J. S. : Eh bien, regardez un «champ d’éoliennes». Pour un écologiste, il s’agit là d’une chose merveilleuse, non seulement pour sa civilisation, mais pour la Nature elle-même. Pourtant un œil sensible qui a résisté à la propagande scientiste voit dans cela une horreur, non seulement parce que cela «pollue le paysage» mais peut-être parce qu’une telle personne ressent ce que ressentent les élémentaux de l’air face à cet énorme vortex : il s’agit là d’un piège qui leur est destiné, qui est là pour capter leur force et la mettre au service du monde technologique par le biais de l’électricité.
    Vous avez peut-être entendu dire à quel point les oiseaux sont perturbés par la présence de ces éoliennes. C’est parce qu’ils sont profondément liés aux élémentaux de l’air, les sylphes.
    CROM : Vous voulez donc dire que ces nouvelles énergies ne sont pas «propres», et encore moins «libres», mais qu’elles sont le fruit de l’exploitation des élémentaux de la Nature ?
    J. S. : Absolument. Et les loges noires qui mettent en place ce nouvel esclavage énergétique souhaitent que toutes les forces élémentaires soient ainsi enfermées, «broyées»... Nous avons parlé des éoliennes mais le même constat pourrait être fait en ce qui concerne les barrages hydroélectriques qui captent les élémentaux de l’eau, les ondines, et les cellules photovoltaïques des panneaux solaires qui absorbent les élémentaux du feu.
    Ces loges ont lancé une grande offensive contre le pétrole, avec la participation de toute une ribambelle d’écolos bien-pensants, mais cela fut fait dans le seul but d'augmenter le budget de développement des autres technologies. Leur finalité n’est pas de rendre la planète propre – ou plutôt, si, leur objectif est de NETTOYER complètement la planète de toutes ces forces naturelles, et de les transférer vers le monde des machines.
    CROM : Cela semble cohérent. Nos propres recherches nous incitent à croire que le très large déploiement d’Internet a le même objectif en ce qui concerne les êtres humains : les transférer dans le monde des machines. Certaines thèses conspirationnistes avancent même l’idée que toutes ces nouvelles technologies sont d’origine extraterrestre, et qu’elles nous ont été données dans l’unique but de transformer notre planète en une prison électromagnétique, pour la mettre au final sous contrôle étranger.
    J. S. : Effectivement, ces technologies semblent a priori neutres, voire utiles, mais personne ne se doute que leur seule raison d’être est de transférer l’énergie vitale des hommes dans les machines. Cela a de très graves répercussions, en particulier à la mort où la conscience se trouve enfermée dans les circuits électromagnétiques. En fait, par ce biais, un nouveau monde est en train d’être créé. Sur le plan énergétique, les mondes virtuels sont réels, et ils commencent même à devenir plus réels que le monde naturel. Quant au monde naturel, il est nettoyé et le développement des sources d’énergies «propres» ne fait qu’accélérer ce processus, contrairement à ce que la vision matérialiste laisse présager. Car sans êtres élémentaux libres de faire leur travail, il n’y a plus que du désert.
    CROM : Selon vous, que pouvons-nous faire contre cette horreur ?
    J. S. : Une guerre de conquête est en train d’être menée sur le plan énergétique, il faut y participer. Les loges noires ont compris depuis longtemps que le monde matériel est bien peu de choses et qu’il faut que leurs machines réussissent à maîtriser ce plan supérieur. Tout le système financier participe déjà à cette dynamique, puisque pratiquement plus rien sur Terre ne peut se faire sans argent.
    Toutefois, les forces de la Nature sont encore puissantes, les élites le savent et c’est pourquoi elles redoublent d’efforts pour comprendre comment maîtriser le climat. Leur peur devrait nous réjouir, nous qui luttons contre les forces de mort : nous sommes assurés de bénéficier du soutien des forces élémentales. Toutefois, cette aide ne peut être effective que si nous nous hissons à leur niveau de conscience, si nous commençons à voir au-delà de la réalité matérielle. Et cette élévation de conscience est impossible tant que nous restons isolés au sein de leur labyrinthe technologique.
    Il y a 40 ans, on annonçait la naissance de la conscience écologique. J’y croyais alors dur comme fer! Mais c’était une blague de technocrates. Nous avons encore tout à apprendre sur ce qu’est fondamentalement le monde naturel !
    (Article transmis par le W.O.R.C. – World Order Research Center)
    Mise en Ligne : 16.02.10 | Extrait de Technologies du Futur
    http://crom.be/fr/documents/l-arnaque-des-energies-propres

  • Loi Taubira : les médias "chrétiens" pouvaient-ils rester "neutres" ?

    ... en renvoyant dos à dos partisans et opposants au mariage inverti ? Coup de gueule d'un électeur socialiste, lecteur de l'hebdomadaire "La Vie" :

    La Vie 2

    Louise Tudy

  • Méridien Zéro : « La guerre des monnaies » (Audio)

    Communiqué de presse de radio Méridien Zéro

    Camarades, amis et auditeurs de Méridien Zéro,

    Dans la nuit de jeudi à vendredi la Cambuse, local du MAS National qui abrite également les studios de Méridien Zéro, a été incendiée et entièrement détruite.

    Si, selon l’expression consacrée, l’origine du sinistre reste indéterminée, nous avons pu constater la disparition d’une partie de notre matériel radio (ordinateur, micros, matériel d’enregistrement) non retrouvé dans les décombres.

    Nous notons que cet acte grave survient dans un climat général délétère, émaillé de dégradations constantes des lieux de la mouvance (notamment la librairie d’Emmanuel Ratier, des permanences politiques, d’autres locaux militants).

    Beaucoup d’ennemis, beaucoup d’honneurs. Nous n’avons pas pour habitude de nous apitoyer sur notre sort, aussi les fourmis sont déjà au travail pour trouver des solutions d’hébergement de notre section francilienne et de diffusion de notre émission de radio.

    Nous comptons également faire appel aux bonnes volontés et à la générosité des corsaires et pirates pour nous aider à rebâtir le vaisseau Méridien Zéro.

    Ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort, et la fourmilière tel un phénix va renaitre de ses cendres.

    Plus que jamais, en ces temps troubles, il faut faire face : C’est la mission du M.A.S. notre mouvement et la vocation de Méridien Zéro, notre émission de radio. Il semble que cela gêne nos adversaires, tant mieux ! Cela signifie que nous avons raison !

    Ce vendredi, Méridien Zéro recevait François Sainz, gérant des éditions “Le Retour aux Sources” accompagné de l’équipe du livre La guerre des monnaies – la Chine & le nouvel ordre mondial :

    Lire la suite et écouter l'émission

  • Iran : les Etats-Unis prêts à sanctionner Michelin

    Preuve s’il en était besoin que les sanctions mises en place contre l’Iran pour freiner ses ambitions en terme de nucléaire militaire seraient avant tout destinées à préserver les intérêts économiques et financiers des firmes US ….

    Alors que début février, le secrétaire d’État américain, John Kerry a tenu à appeler directement le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius pour lui signifier ouvertement son désaccord, suite au déplacement sur le sol iranien de plus d’une centaine de patrons d’entreprises du CAC40, effectué à l’initiative du Medef, trois sénateurs républicains viennent de s’adresser au Pentagone pour lui demander de sanctionner les compagnies françaises qui cherchent à établir des relations commerciales avec l’Iran.

    En visant en tout premier lieu Michelin, lequel pourrait faire de l’ombre à Goodyear ? Il n’est pas interdit d’y penser …

     

    Selon l’Agence de presse de la République islamique (IRNA), Trent Franks, Doug Lamborn et Joe Heck ont envoyé une lettre à Chuck Hagel, le secrétaire américain à la Défense en vue de lui d’exercer des pressions sur la compagnie française de pneumatiques afin de l’empêcher d’établir des relations commerciales avec l’Iran.

    Les sénateurs ont ainsi demandé à Hagel de mettre en garde Michelin, en l’informant que dans le cas où le groupe conclurait un accord avec Téhéran avant l’accord final sur son programme nucléaire, tout nouvel accord entre le Pentagone et Michelin serait impossible. Une menace qui intervient alors qu’en 2007, Michelin a signé un accord avec les forces armées américaines d’un montant de plus de 2,4 milliards de dollars.

    Début février, John Kerry avait estimé pour sa part la visite des plus grandes firmes françaises dans la capitale iranienne était « malvenue ».

    Téhéran « ne peut être considéré comme un marché ouvert, parce que l’allègement des sanctions est tout à fait provisoire, tout à fait limité et tout à fait ciblé », avait indiqué quant à lui Wendy Sherman, la sous-secrétaire d’État aux Affaires politiques.

    L’argument – officiel – est clair : un tel empressement de la France à se rendre en Iran laisserait sous entendre que Téhéran a bel et bien redoré son blason sur le plan international. Et qu’il est donc désormais politiquement correct de commercer avec le régime iranien. « Nous avons respecté la convention de Genève, signée en novembre dernier. Il y a d’autres délégations de pays européens qui se sont rendus en Iran », avait souligné préalablement Pierre Gattaz, le patron des patrons, histoire de désamorcer toute bombe éventuelle.

    Mais l’accès au marché iranien pourrait être au final le véritable enjeu.

    Rappelons en effet que depuis le 20 janvier dernier, une partie des sanctions internationales qui pesaient jusqu’à lors sur l’Iran ont été temporairement levées. Les allègements concernent les secteurs de l’or et des métaux précieux, les produits pétrochimiques (en dehors du pétrole, du gaz et des carburants), l’industrie aéronautique et l’automobile.

    Histoire de relativiser l’importance de la visite, le Quai d’Orsay avait toutefois tenu à préciser que la visite du Medef à Téhéran avait lieu « à titre exploratoire », mais l’argument a semble-t-il été considéré quelque peu léger aux yeux des Etats-Unis.

    D’autant plus que le patronat français a frappé au cœur même des ambitions US les plus tenaces, la délégation de chefs d’entreprise à Téhéran étant conduite par Thierry Courtaigne, vice-président, directeur général de Medef international mais également Patrick Blain, président du Comité des constructeurs français d’automobiles.

    Et ce, alors même que GM tente par tout les moyens – ou presque – de bouter Renault et PSA hors d’Iran. Physiquement et commercialement parlant. En juillet 2013, le lobby United Against Nuclear Iran a ainsi à adresser à Renault, une sommation de se retirer d’Iran sous peine de sanctions américaines.

    A noter également qu’en octobre dernier, un industriel français, avait indiqué pour sa part au Figaro, que « la plupart des secteurs de l’économie américaine, y compris des sociétés cotées au Nasdaq » avaient «envoyé ces derniers mois des émissaires en Iran».

    Le journal ajoutant alors que la filière automobile iranienne était particulièrement courtisée par General Motors. Les « émissaires » de la firme US allant bien au delà du « simple repérage du marché», leurs missions étant beaucoup plus proches d’une « ébauche du contrat de reprise des activités de GM» selon les termes mêmes de l’industriel, bien au fait du dossier.

    Le Blog Finance

  • Le ministre de la rumeur se rend à des travaux du CNRS

    Lu sur Novopress :

    "Le Centre National de la Recherche Scientifique [...] a lancé en 2012, à grand renfort d’acronymes inintelligibles, son « Défi Genre » : « L’InSHS depuis 2010 a placé le genre dans ses priorités thématiques avec des résultats : lancement du RTP Etudes Genre, coloriage [ ! ] de postes de CR ouverts au concours 2011, 2012, 2013 dans 7 sections SHS, mise en place d’un Institut du Genre (GIS) regroupant 35 UMR SHS dans 30 universités et écoles ».

    Ledit Institut du Genre organise lundi 10 mars« une journée consacrée aux “Nouvelles sciences du genre” au siège du CNRS : 3 rue Michel-Ange, 75016 Paris » – les chercheurs, subventionnés, pardon chercheur-e-s subventionné-e-s, luttent contre les « stéréotypes sociaux », mais toujours dans les beaux quartiers. Un cocktail sera offert.

    Pour « préparer » cette journée essentielle, une matinée« Intégrer la dimension du genre dans la recherche » aura lieu vendredi 7 mars, toujours rue Michel-Ange. Y seront présentées les « Perspectives de financements CNRS, nationaux et européens (Horizon 2020) » pour la recherche sur le genre. On notera la participation d’une « Sandra Boehringer, maîtresse de conférences à l’Université de Strasbourg », qui s’était signalée parmi les pétitionnaires alsacienspour l’enseignement du « genre » à l’école maternelle. Elle ne viendra évidemment pas à ses frais.

    La matinée sera conclue par Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes et porte-parole du gouvernement."

    Michel Janva

  • Les nouveaux visages du mondialisme par Georges FELTIN-TRACOL

    Suite à ma brève étude consacrée à l’U.K.I.P. (Parti de l’Indépendance de la Grande-Bretagne) de Nigel Farage, « Poussée souverainiste outre-Manche » dans le mensuel en ligne Salut public, n° 16 de juin 2013, des lecteurs se sont étonnés que je qualifie ce mouvement souverainiste britannique de « national-mondialiste ». Il est vrai que le qualificatif paraît osé, mais cette provocation voulue entend signaler une tendance nouvelle qui témoigne de la mue du mondialisme afin de contourner et de neutraliser les réactions souvent défensives qu’il suscite.

    Le mondialisme « classique » se présente sous deux formes souvent antagonistes tant au sujet des moyens que des finalités dernières. Le premier mondialisme demeure le plus connu puisqu’il regroupe les cénacles de l’hyper-classe oligarchique planétaire et domine les médiats, la finance, la politique et les grands groupes transnationaux. Ces mondialistes-là se retrouvent régulièrement lors des réunions à Davos,  de la Commission Bilderberg ou de la Trilatérale, etc. Ces chantres de la mondialisation globale ne revendiquent pas publiquement, sauf exceptions notables, un État mondial. Ils préfèrent soutenir une « communauté internationale » régie par des normes occidentales, libérales et « démocratiques de marché » (en fait ploutocratiques et oligarchiques) qui écrase le politique au profit d’un économicisme. Pour eux, la paix universelle garantit le maximum d’affaires donc de profits. Le second mondialisme, bien plus récent, apparaît à la fin des années 1990. C’est l’« altermondialisme ». Prétextant des préoccupations sociales, environnementales et sociétales, les altermondialistes imaginent une structure politique inter-continentale dans laquelle les citoyens du monde sur-connectés exprimeraient leurs avis à des dirigeants révocables sur le champ grâce à la grande Toile numérique mondiale. Si les altermondialistes mènent souvent des combats sympathiques et nécessaires, leur dessein final d’évacuation définitive du politique et du conflit les dessert, d’où l’amenuisement perceptible depuis cinq – six ans de leur activisme.

    Ces deux versions mondialistes ne cachent pas leur objectif ultime, ce qui explique probablement la méfiance immédiate des peuples. Suite à cette défiance véritable, tel un organisme confronté à un problème de survie, l’idéologie mondialiste a commencé une entreprise de diversification morphologique, à un travestissement des idées, voire à une infiltration, avec le secret espoir de favoriser une large confusion. Le phénomène est particulièrement notable avec le régionalisme.

    En Bolivie, l’élection en 2006 de l’Amérindien révolutionnaire Evo Morales à la présidence de la République stimula le séparatisme de cinq départements amazoniens du pays. Il fallut toute l’autorité présidentielle d’Evo Morales pour éteindre ces velléités centrifuges. Ces séparatistes, souvent d’origine créole, proche des riches propriétaires des latifundia et financés par les États-Unis, défendaient-ils une culture particulière, une autonomie linguistique ou une spécificité historique ? Nullement ! Leurs motivations premières étaient la défense de leur fortune agrarienne et leur refus d’obéir à un président à la peau cuivrée. Il est intéressant de relever que certains de ces indépendantistes rêvaient que leur hypothétique État adhérât à l’A.L.E.N.A. …

    On retrouve cet exemple de « régional-mondialisme » d’une manière moins nette, plus diffuse, en Europe de l’Ouest. probable grand vainqueur aux élections législatives, régionales et communautaires l’année prochaine en Belgique, la Nouvelle Alliance flamande de Bart De Wever doit être désignée comme une formation « nationale-centriste ». Si son seul député européen siège dans le groupe commun des Verts – A.L.E. (Alliance libre européenne – régionaliste), son meneur principal et actuel maire d’Anvers ne cache pas son admiration pour le libéral-conservateur anglais Edmund Burke. Se focalisant sur la question linguistique qui exclut les minorités francophones albo-européennes et qui accepte des populations étrangères non européennes néerlandophones, la N.V.A. soutient un regrettable point de vue assimilationniste et réducteur.

    En Catalogne, l’année 2014 risque d’être décisive puisque le gouvernement autonome catalan démocrate-chrétien, encouragé par l’extrême gauche républicaine indépendantiste, prévoit un référendum d’auto-détermination par avance rejeté par le gouvernement conservateur de Madrid. Le chef de la Généralité catalane, Artùr Mas, développe une démagogie intense en faveur de l’indépendance alors que la région très autonome croule sous un endettement public faramineux. Indépendante, la Catalogne deviendrait une proie facile pour les jeunes requins friqués d’Asie et du Moyen-Orient. Comme pour les Flamands d’ailleurs, les indépendantistes catalans rêvent d’adhérer à l’Union européenne et de se maintenir dans l’Alliance Atlantique.

    Le phénomène est plus frappant en Écosse. En 2014 se tiendra un référendum sur l’indépendance validé par le Premier ministre conservateur britannique, David Cameron, et son homologue écossais, Alex Salmond, chef du S.N.P. (Parti nationaliste écossais) indépendantiste d’orientation sociale-démocrate. Dans le cas d’une Écosse libérée d e la tutelle londonienne, le nouvel État serait toujours une monarchie parlementaire avec pour reine Elisabeth II et ses successeurs. Quant à la monnaie, ce serait soit l’euro, soit la livre sterling.

    Il faut oublier les belles images du film de Mel Gibson Braveheart. Hormis une minorité indépendantiste identitaire réunie au sein d’un Front national écossais (1), les indépendantistes écossais – en tout cas leurs responsables – communient eux aussi dans le « multiculturalisme ». Dans la perspective de la consultation référendaire, le S.N.P. dispose du soutien de la communauté pakistanaise. D’ailleurs, le ministre écossais des Affaires étrangères et du Développement internationale, Humza Yousaf, est un Pakistano-Kényan. Alex Salmond déclare ainsi que « nous avons une identité attrayante, d’autant plus que nous ne mettons pas en avant un caractère exclusif. Les gens ont droit à la diversité et l’écossité en fera partie à coup sûr (2) ».

    À quoi bon dès lors une Écosse indépendante si la population n’est plus écossaise à moyen terme ? Un néo-mondialisme investit donc le champ régional sans trop de difficultés d’autant que maints régionalistes récusent toute connotation identitaire.

    Ce néo-mondialisme s’invite même chez les souverainistes anti-européens du Vieux Continent. Le cas du Parti pour la liberté (P.V.V.) néerlandais de Geert Wilders reste le plus exemplaire. Ce parti néo-conservateur et libéral défend les droits de la minorité homosexuelle face à l’affirmation d’un islam rigoriste assumé. Dans une logique de confrontation entre l’Occident, perçu comme la patrie universelle des droits de l’homme, et l’Islam, considéré comme une civilisation arriérée, le P.V.V. s’aligne sur des positions atlantistes et sionistes avec la secrète espérance de ne pas être diabolisé par les médiats. Cette démarche similaire se retrouve en Allemagne où règne depuis 1945 une incroyable terreur mémorielle. Des formations d’audience régionale comme Pro Köln (Pour Cologne) ou Pro N.R.W. (Pour la Rhénanie du Nord – Westphalie) tiennent un discours anti-musulman grossier qui confond Al-Qaïda et le Hezbollah libanais. On devine une argumentation néo-conservatrice et atlantiste du choc des civilisations…

    En France, le néo-mondialisme ne parie pas encore sur le F.N. dédiabolisé de Marine Le Pen. Outre le Front de Gauche de Jean-Luc Mélenchon, il encourage plutôt l’ancien Young Leader de la French American Foundation, Nicolas Dupont-Aignan de Debout la République. Comme d’ailleurs Mélenchon, le député-maire d’Yerre suggère comme alternative au projet européen une union méditerranéen France – Afrique du Nord ! Remarquons aussi qu’il envisagea de coopérer avec le F.N. à la condition que celui-ci abandonne son positionnement identitaire. Or c’est précisément ce choix fondamental qui permet au part frontiste d’être la troisième force politique de l’Hexagone.

    Le néo-mondialisme a enfin pris le visage du populisme en Italie avec Beppe Grillo et son Mouvement Cinq Étoiles. L’extraordinaire succès de cette force « anti-politique » aux législatives anticipées de février 2013 a mis en lumière le rôle de gourou de Gianroberto Casaleggio. Ce riche patron d’une entreprise d’informatique rêve d’un État mondial numérisé d’influence New AgeGaïa – dans lequel seraient proscrites les religions et les idéologies (3). Par certains égards, on peut considérer que Casaleggio représente le versant populiste d’un néo-mondialisme comme Wilders en incarne le versant néo-conservateur atlantiste. Dernièrement, Nigel Farage a considéré comme « épouvantable » une campagne du ministère britannique de l’Intérieur destinée à dégoûter les immigrés illégaux de venir en Grande-Bretagne (4). Farage précise même qu’il trouve cette opération publicitaire « très “ Big Brother ” […], très Allemagne de l’Est dans les années 1980, une horrible façon de lutter contre l’immigration (5) ».

    Il est intéressant de remarquer que ces partis dits « populistes » et « eurosceptiques » mésestiment, minorent ou ignorent délibérément – peut-être pour satisfaire le politiquement correct des gras médiats – la thématique identitaire. L’U.K.I.P. dénonce plus la présence de Polonais ou de Grecs que l’immigration venue du Commonwealth. Quant aux critiques du P.V.V., elles se focalisent sur l’islam et non sur l’immigration (6). Finalement, au jeu des comparaisons, l’Aube dorée grecque et le Jobbik hongrois témoignent d’un sens plus développé de l’identité ancestrale autochtone, ce qui par ces temps troublés n’est pas négligeable.

    Georges Feltin-Tracol http://www.europemaxima.com/?p=3301

    Notes

    1 : Cette formation est évoquée par l’excellent blogue de Lionel Baland, le 21 juin 2013 : http://lionelbaland.hautetfort.com/

    2 : dans The Observer cité par Courrier International du 18 au 24 juillet 2013.

    3 : Lire l’excellente analyse de Patrick Parment, « Le présent italien annonce-t-il le futur italien ? », Synthèse nationale, n° 31, mars – avril 2013.

    4 : Julien Laurens, « Shocking, la pub anti-clandestins ! », Aujourd’hui en France, 1er août 2013.

    5 : dans Le Nouvel Observateur, 29 août 2013.

    6 : À la décharge de l’U.K.I.P. et du P.V.V., reconnaissons-leur qu’ils viennent de s’opposer officiellement – et avec raison – à toute intervention militaire occidentale en Syrie. Ils rejoignent de ce fait le B.N.P., l’Aube dorée, le F.N. et les Republikaner allemands.

  • Pour un référendum sur l'immigration en France : soutien à la manifestation du 9 mars !

    Le Bloc Identitaire, qui a récemment lancé une pétition pour un référendum sur l'immigration en France, apporte son soutien à la manifestation du 9 mars 2014 organisé par Riposte Laïque et Résistance Républicaine à Paris.
    Avec un mot d'ordre très clair ("non au grand remplacement" et "non à l'islamisation"), cette manifestation doit envoyer un signal fort au gouvernement : dorénavant, le peuple français veut être consulté sur la question de l'immigration.
    Aujourd'hui, en démocratie, le peuple souverain est peu à peu remplacé par des masses immigrées sans même pouvoir donner son avis.

    C'est pour que la France reste la France, que notre peuple continue d'exister, que nous restions maîtres chez nous, que le Bloc Identitaire soutient le rassemblement du 9 mars !

    http://www.bloc-identitaire.com/actualite/3035/referendum-immigration-france-tous-paris-9-mars