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lobby - Page 1972

  • Au fil de la presse

     

    Où il est régulièrement démontré que l’oligarchie, autrement appelée « les élites » (souvent autoproclamées) ont, non seulement, fait main basse sur la chose publique (« res publica »), mais encore l’ont détournée à des fins décivilisationnelles de réensauvagement de l’homme.

     

    Assurément, la fumeuse théorie du genre, longuement traitée dans ces colonnes, fait partie de ces sinistres moyens mis en œuvre par nos soi-disant dirigeants. Mais ceux-ci jouent avec le feu et constateront un jour, bien trop tard, hélas, que leurs élucubrations se retourneront contre eux. Jean-François Pasche (La Nation-Journal vaudois, 7 février) note ainsi, avec clairvoyance, que « promouvoir en même temps la fraternité avec l’opprimé, aujourd’hui l’émigré, et le genre semble incompatible. En effet, la plupart du temps, les émigrés s’opposent à l’idéologie du genre et à la défense des LGBT qui en découle. En outre, ils ne s’identifient pas à l’Européen de souche bien-pensant ; ils tiennent encore à leurs traditions. Concilier la promotion de la théorie du genre avec la liberté et l’égalité des immigrés au nom de la fraternité s’avère ainsi compliqué. A ce titre il est frappant de constater qu’en France, la résistance contre l’enseignement du genre à l’école obligatoire provient en grande partie des milieux de l’immigration. Un choc de civilisation entre les émigrés majoritairement conservateurs et les occidentaux déconnectés du réel est de ce point de vue envisageable. Ce n’est là que la principale contradiction entre idéaux modernes ».

    C’est sans doute pour cela que nos voisins helvètes ont clairement (même à un cheveu près) dit non à l’immigration de masse, soit à une immigration anarchique, considérant, à juste titre, que « la hausse du chômage et des charges sociales, la baisse sur les salaires, la criminalité, la perte d’identité culturelles dans la conduite des entreprises seraient quelques-unes des conséquences de ce flux mal maîtrisé. L’UDC a donc convaincu l’électorat qu’il fallait gérer ‘‘de manière autonome l’immigration des étrangers’’ avec ‘‘des plafonds et contingents annuels’’. Rien de plus » (Frédéric Pons, Valeurs actuelles, 13 février). Rien de plus mais c’est malgré tout beaucoup. Dans un contexte de mondialisation accrue, il n’y a pas d’autre urgence. Dans le dernier numéro d’Eléments (janvier-mars 2014), Alain de Benoist relève que « le trait essentiel de la mondialisation n’est donc pas le phénomène d’ouverture des économies nationales, qui n’est effectivement pas nouveau, mais la perte de réalité de ces entités nationales sous l’effet de la décomposition des espaces de régulation nationaux. L’ancien internationalisme ne congédiait pas les nations. La valeur marchande ne s’était pas encore imposée à toutes les autres valeurs. Aujourd’hui, on en est à la soumission totale de la vie à la logique du profit, tandis que l’économique s’impose toujours plus au politique ».

    L’oligarchie ou pays légal, s’enferrant dans un absolu déni de réalité, cloue au pilori quiconque s’aviserait d’ébrécher le totem de leurs folles idéologies. Sur Boulevard Voltaire (16 février), Paul-Marie Andréani écrit justement que « frappant du sceau du déshonneur les fonctions qu’ils occupent, ces ministres et ces journalistes sont prêts à toutes les compromissions avec la vérité, dès lors qu’il s’agit de dénigrer leurs adversaires. Même si le mal est ancien, il est cependant incontestable que cette attitude malhonnête s’amplifie depuis quelque temps. Et pour cause : le monde que ces élites ont construit est en train de s’écrouler. Ainsi, rattrapé par le réel et confronté à l’intensification de la contestation, ce ‘‘cercle de la raison’’, selon l’expression d’Alain Minc, renâcle à se remettre en cause, et préfère se replier sur ses certitudes, au risque de s’empêtrer dans le mensonge et de rompre définitivement avec les Français ».

    Et comme le crie véhémentement Taliesin dans la dernière livraison des Enquêtes du Contribuable (février-mars 2014), ces incapables, à défaut de nous faire taire par la seule vertu du débat public et de la liberté d’expression, s’efforcent d’instaurer la terreur, en bons émules de Robespierre : « regardez donc l’article 20 de la loi de programmation militaire : il est tout simplement liberticide ! Chacun de nos mails pourra être intercepté, décortiqué, ruminé par l’Etat français. Avec cette loi, nous sommes tous devenus suspects ».

    Aristide Leucate - L’AF 2880

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Au-fil-de-la-presse

  • Le « néo-komintern », tribune libre de Xavier Moreau

     

    “Les ennemis  [de ce « néo-komintern »] sont désormais la Russie de Vladimir Poutine, la Hongrie de Viktor Orban, la Croatie catholique, tous ces maudits pays d’Europe de l’Est qui n’ont pas subi depuis les années 50 la longue et insidieuse propagande américaine, issue des rapports Kinsey.”

     

    À la suite de la révolution bolchévique, les communistes soviétiques décident en 1919 de la création d’une troisième internationale ouvrière, qui vise à coordonner les actions des partis communistes dans le monde en général et en Europe en particulier. C’est cette structure qui, au moyen d’agents plus brillants les uns que les autres, favorisera le socialisme et le pacifisme en Europe, tout en recrutant les volontaires des brigades internationales pour l’Espagne. Ses agents d’influence se répandent en Europe et aux États-Unis et obtiennent l’adhésion de l’intelligentsia européenne au stalinisme (nous recommandons la lecture de « La fin de l’innocence » de Stephen Koch à ce sujet).

     

    Les plus connus de ces personnalités sont Otto Katz et Willy Münzenberg. C’est ce dernier qui organisa avec brio la manipulation de l’opinion publique française. C’est aussi lui qui définit les principes de l’ « agit-prop » : suprématie de l’émotion contre la raison, égalité du mensonge et de la vérité en communication, rejet du débat d’idées au profit du terrorisme intellectuel. Désormais, celui qui est contre le bolchévisme et Staline serait un fasciste.

     

     

     

    La propagande anti-russe d’aujourd’hui fonctionne sur les mêmes principes. Pas de débat, il suffit de regarder une émission sur la Russie sur les chaines de télévision françaises, « C dans l’air » en est l’exemple le plus frappant. Terrorisme intellectuel, ne pas dire du mal de Vladimir Poutine vous ferait passer pour « fasciste ». Mensonge de masse et indifférenciation entre le mensonge de la vérité, enfin et surtout émotivité, incarné par un Bernard-Henri Lévy pleurnichant sur Canal+, sans personne pour lui apporter la contradiction. Pour illustrer ces principes de propagande, il faut absolument regarder la vidéo du séminaire anti-Poutine du 16 février 2014 sur le site « La Règle du jeu », tout y est, à commencer par le mensonge de masse.

     

    Bernard-Henri Lévy n’a d’ailleurs pas vu de « fascistes ou d’antisémites » à Kiev. Il est vrai qu’au moment où il s’exprimait sur la tribune, il n’y en avait pas. Mais où est donc passé le membre le plus déterminé du trio infernal, Oleg Tiagnibok ? La question qui nous vient à l’esprit, est de savoir si le leader fasciste a refusé de poser avec un représentant d’une communauté que son électorat hait, ou si BHL a jugé de mauvais goût de s’afficher avec l’héritier de Stepan Bandera. BHL a donc eu droit à l’insignifiant Iatseniouk et à l’inénarrable, Klitschko, dont les saillies oratoires en ont fait désormais le « Jean-Claude Van Damme » de la politique ukrainienne [lien à 01 :53].

     

    Notre référence au Komintern n’est pas gratuite. C’est là que se trouve l’explication du soutien de BHL aux milices fascistes, malgré ses origines. « Le petit télégraphiste » s’efforce d’accomplir pour l’administration américaine ce qu’Otto Katz a accompli pour l’URSS au moment du pacte germano-soviétique. Il soutiendra n’importe quelle alliance avec les idiots utiles des milices néo-nazies ukrainiennes, pourvu que triomphe l’idéologie américaine et que la Russie soit défaite. L’écrivain Arthur Koestler avait rompu avec le stalinisme au moment du pacte germano-soviétique, mais il n’y a pas de « Koestler » au sein du « néo-komintern », ni par le talent, ni par le courage. Il y a en revanche beaucoup de « Katz » et s’attaquer à eux est dangereux lorsqu’on est du « milieu » intellectuel. Au moment du Kosovo, il n’y eu guère qu’Elisabeth Levy et Régis Debray pour tenter de rétablir la vérité, ou, au moins, de nuancer la propagande anti-serbe.

     

    Pour BHL ou pour Médiapart, qui appelle en renfort un aréopage d’intellectuels ukrainiens américanophiles (nous n’allons pas vérifier les noms de ces illustres inconnus mais nous constatons d’emblée que sur 41 signataires, 19 sont basés aux États-Unis où dans leurs « dominions »), le recul de la Russie vaut bien une alliance avec des milices néo-nazies et un parti fasciste. Nous ne sommes pas étonnés de les voir soutenir « les héros de Maïdan » (et la fraternité blanche ?) au côté de l’extrême droite française. Les ennemis sont désormais la Russie de Vladimir Poutine, la Hongrie de Viktor Orban, la Croatie catholique, tous ces maudits pays d’Europe de l’Est qui n’ont pas subi depuis les années 50 la longue et insidieuse propagande américaine, issue des rapports Kinsey. La renaissance des Églises orthodoxe et catholique en Europe, leur réconciliation inéluctable, le rejet consécutif du modèle libertaire américain, c’est ce qui justifie le soutien atlantiste aux fascistes ukrainiens. C’est aussi et enfin un avertissement des États-Unis vis-à-vis des nations européennes, sur ce qu’ils sont capables de faire et d’organiser en cas de velléité d’indépendance. Le sort de l’Europe ne se joue pas à Maïdan, en revanche une bataille pour la liberté et la souveraineté des peuples européens se déroule bien en Ukraine.

     

    Xavier Moreau

    Source : Realpolitik.tv.

    http://fr.novopress.info/157423/le-neo-komintern-tribune-libre-de-xavier-moreau/#more-157423

  • Manifs à Nantes : Cécile Duflot ou le coup de pied de l’ânesse…

    Si les Verts n’existaient pas, il ne faudrait surtout pas les inventer. Quoique…

    Si les Verts n’existaient pas, il ne faudrait surtout pas les inventer. Quoique… Étant donné l’actuelle conjoncture, les occasions de se taper la panse de rire ne sont pas si fréquentes. Ainsi, les manifestations de ce samedi dernier, à Nantes, contre la construction éventuelle et sans cesse repoussée de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes.

    Comme souvent, le début du happening est toujours « bon enfant », comme généralement dit dans les médias. Soit un rassemblement de végétaliennes et de punks à chien, de stagiaires de l’Éducation nationale et de fanas du calendrier maya, de Bonnets rouges égarés et de joueurs de djembé. Et derrière, comme souvent et toujours, ceux qui veulent en découdre. Pourquoi pas, après tout. Prendre le pouvoir par tous les moyens, même légaux, le truc remonte à l’Action française du siècle dernier.

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  • Manuel Valls : plus dure sera la chute !

    Du capitole à la roche tarpéienne, de la Place Beauvau à l’Elysée, il n’y a qu’un pas. Manuel Valls a sans doute pensé suivre Sarkozy sur le second itinéraire, mais il a en fait pris le premier. Le chouchou a chuté dans les sondages. L’explication en est simple. Il bénéficiait à droite d’un courant de sympathie pour tenir le discours ferme du Premier Flic de France.

    Mais il a révélé quatre faiblesses. La première appartient à la technique de communication. Sarkozy est un débatteur redoutable qui a rarement été dominé par ses contradicteurs, si ce n’est lors de la célèbre anaphore de Hollande. On se demande encore ce qui l’a retenu de faire un bon mot sur l’anticipation aventureuse et sur le narcissisme de la formule « Moâ président »… Philippot a éclaté Valls sur France 2. Devant le calme et la modestie de son opposant, Valls affichait un visage ulcéré qu’on lui voit souvent maintenant. Manque de technique, manque de maîtrise de soi, ça ne pardonne pas. « Le meilleur imprésario de Dieudonné », devenu incapable d’écouter son adversaire, assénait les poncifs de la gauche sur le Front National qui, l’un après l’autre tombaient dans le vide. [...]

    Christian Vanneste - La suite sur NdF

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Manuel-Valls-plus-dure-sera-la

  • La mairie de Colombes (92) soudoie les électeurs musulmans

    À Colombes le projet de deuxième grande mosquée mécontente les riverains, les Coptes qui voulaient agrandir leur église sur le terrain choisi jouxtant leur lieu de culte, et les commerçants car une galerie commerciale sera incluse dans le projet pour le financer (5,6 millions de travaux !). 300m2 seront dédiés aux commerces halal. 

    Le terrain municipal, d'une valeur de marché estimée à 4 millions d'euros, pourrait se louer 20 000 euros/an.  Il sera mis à disposition pour 1 euro symbolique par an suite à une délibération du conseil municipal dirigé par le maire socialiste Philippe Sarre. 

    Michel Janva

  • Toulouse : la manif contre l’antisémitisme interdite aux juifs, et à l’UMP !

    La rue n’appartient légalement et en toute impunité qu’à l'extrême gauche dans notre pays.

    Il y a huit jours, des tags ont fleuri dans Toulouse – immédiatement qualifiés d’« antisémites, homophobes, racistes » –, sur les murs d’un cinéma, de l’université de sciences sociales et surtout sur la « Maison des différences », créée par la municipalité. Le maire, Pierre Cohen, celui qui affirme à chaque sortie « Je ne suis pas juif » de peur, sans doute, qu’on le confonde, s’est empressé d’envoyer un communiqué à la presse, indigné : danger pour la République, campagne électorale oblige. Les autres partis lui ont rapidement emboîté le pas de peur d’être en reste ; même Valls, de Paris, a commis aussi un communiqué.

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  • Marie-Laure des Brosses: « Vouloir que toutes les femmes travaillent,ça c’est de l’idéologie »

    Le rapport Lemière sur la fiscalité française a été remis à la ministre Najat Vallaud-Belkacem le 12 décembre. Ce rapport propose d’individualiser l’impôt sur le revenu pour encourager les femmes à travailler. Le 6 janvier, le premier ministre en fait la priorité du gouvernement. Le 31 janvier, le ministre Cazeneuve ordonne la création d’une commission de travail qui doit rendre ses conclusions pour le 13 avril.  L’un de ses objectifs est bien une nouvelle fiscalité pour encourager les femmes à travailler. La volonté du gouvernement est bien dans ce sens. Cette mesure inquiète certaines femmes comme Marie-Laure des Brosses, présidente du mouvement mondial des mères France, et qui a créé une page Facebook. Elle a accepté de nous éclaircir sur le sujet.

    « Il y a des vraies questions qui se posent. Il y a une demande. Des femmes veulent travailler mais ne peuvent pas. Elles prennent un congé parental par défaut ou bien se retrouvent au chômage avec un bébé. Il est difficile de trouver un emploi. Ce n’est donc pas idiot d’y réfléchir pour permettre de trouver un travail plus vite. »  Mais ce qui donne des craintes à Marie-Laure, c’est cette volonté que toutes les femmes travaillent : « on est dans l’idéologie avec cette volonté d’égalité totale. C’est une absurdité. Cela n’existe que dans deux pays européens : la Lettonie et la Lituanie et il y a une extrême pauvreté. Je ne crois pas que cela soit des modèles enviables. » Il y a donc une part de problème réel et une part d’idéologie dans cette volonté gouvernementale. Aujourd’hui : « chaque famille s’organise librement. Il est faux de croire que la mère paie plus d’impôt sur les revenus cumulés. Si demain chacun paie l’impôt de son côté, ça risque de fragiliser le couple.  Pour les familles aisées, on a déjà les divorces fiscaux. Ils préfèrent payer une pension alimentaire qui sera déduite des impôts. » Marie-Laure considère qu’il serait injuste de n’imposer qu’en fonction des revenus : « il ne serait pas absurde de tenir compte des enfants mais aujourd’hui on a une vision plus individualiste et libertaire. »

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  • La théorie du genre : Entretien avec Yann Carrière, docteur en psychologie


    La théorie du genre : Entretien avec Yann... par Stphane_Aknin

  • Les socialistes ont lancé une nouvelle guerre civile

    C'est ni plus ni moins l'avis de Roland Hureaux, qu'on peut lire intégralement ici. Extrait.

     

    "En proposant d’alléger les charges des entreprises, sans autre contrepartie  que la fin des cotisations familiales (remplacées par quoi ? On ne sait), le pouvoir socialiste s’en prend aux familles nombreuses non seulement immigrées mais indigènes qui se trouvent au cœur de la résistance à l’idéologie dominante. Ces   familles  ont assuré à la France un renouvellement démographique meilleur que le  reste de l’Europe (qui est, elle, en voie de disparition), mais elles ont fourni aussi  les principales troupes de La Manif pour tous. Que Mme Najat Belkacem propose de sanctionner fiscalement les femmes au foyer s’inscrit dans la même logique. Une logique qu’on n’hésitera pas à appeler de guerre civile : il s’agit non seulement de punir un groupe social mal pensant  mais de l’exterminer  en le privant de moyens d’élever ses enfants.

    Voilà donc une révolution, qui, à la différence de celles du passé, ne s’attaque pas seulement au pouvoir politique ou économique mais à l’héritage européen  dans son ensemble  et même au  socle anthropologique  commun à toutes  les sociétés.

    Que cette révolution, qui n’est pas propre à la France, ait pris chez nous le visage d’un fonctionnaire sans éclat est conforme aux intuitions  de Dostoïevski selon qui les hommes à  l’air parfaitement insignifiant  pouvaient s’avérer les plus dangereux qui soient."

     

    Pour notre part, si nous dénonçons avec la même force et la même gravité la logique de guerre civile et d'extermination douce qui est celle de l'Occupant, nous ne partageons pas cette distinction, que fait M. Hureaux (en italique ci-dessus), d'une révolution socialiste libertaire qui serait nouvelle sous son aspect anthropologique. Comme le rappellent à de multiples reprises les propos de Vincent Peillon, il s'agit bien de parachever la Mère des Révolutions, celle de 1789, en érigeant dans toute sa cohérence la Religion républicaine. Cette nouvelle phase socialiste (mais aussi libérale) - libertaire est la phase d'achèvement, car avant d'être politique ou économique, la Révolution est d'abord religieuse, anti Christique, donc anti-humaine.

     

    Nous signalons une critique très intéressante de cet article de M Hureaux par Falk van Gaver, sur le site de la Nef.

    Paula Corbulon

  • 13 militants de la Dissidence Française interpellés

    Il y a quelques heures, la Dissidence Française organisait une action devant le siège parisien du Grand Orient de France (Rue Cadet), dénonçant cette république des partis, des loges et des lobbies qui broie notre patrie. Peu après cette action, 13 nos militants furent interpellés puis retenus sans raison valable dans un car de police, avant d’être relâchés après plusieurs heures.

    Nous publierons bientôt les photos et vidéos prises lors de notre action devant le GODF. En attendant, voici quelques photos prises à l’intérieur du car de police.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    http://la-dissidence.org/2014/02/21/13-militants-de-la-dissidence-francaise-interpelles/