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« 10 à 15 nouveaux par jour » : accompagnées par quatre associations, 400 migrants « mineurs isolés » occupent une école désaffectée du 16e arrondissement de Paris, ils étaient 169 en avril
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France 5 menace de poursuivre en justice le Rassemblement National
Excès de zèle de C dans l’air contre le Rassemblement national.
RN et France 5 en guerre, la société de production Maximal, productrice notamment de l'émission C dans l'air présentée par Caroline Roux n'a pas apprécié que lors de la "grande fête de la nation" du Rassemblement National au Havre dimanche, des images de l'émission soient montées et diffusées sur un écran géant, avant la prise de parole de Marine Le Pen. Des extraits diffusés dans C dans l'air entre le 8 janvier et le 8 février 2023
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Impasse Macron
Le billet de Patrick Parment
Qu’importe au final le nombre de participants aux défilés du 1er mai en France. En revanche, ces mobilisations montrent bien que le pays n’est pas démobilisé contre ce gouvernement. Car les manifs de la réforme des retraites (treize à ce jour) ne sont que la partie émergée de l’iceberg. C’est une France des « gilets jaunes » sans gilet qui descend à chaque fois dans la rue. Les syndicats font de cette réforme un gimmick alors qu’ils savent pertinemment que le gouvernement ne reviendra pas en arrière. Par ailleurs, les syndicats ne sont pas représentatifs de l’ensemble des travailleurs, loin s’en faut. Mais ils restent un excellent détonateur. Cependant faire la grève coûte cher aux ménages qui ont un seuil d’acceptation limité.
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Réintégration des non-vaccinés : ça grogne chez les médecins vedettes…
En visite dans la Marne, vendredi dernier, chez Axon' Cable à Montmirail, le ministre de la Santé François Braun a annoncé la signature d’un décret permettant la réintégration des soignants non vaccinés pour la mi-mai.
Officiellement, ce sont 2,7 millions de personnes qui étaient concernées par l’obligation vaccinale : tous les soignants, de même que les personnels des hôpitaux et des maisons de retraite, les ambulanciers, les aides à domicile ou encore les pompiers et gendarmes.
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Un procureur sur les casseurs d’extrême gauche : “Impossible de vérifier leur identité dans les délais. Ces procédures mobilisent toute la chaîne judiciaire et engendrent des dégâts collatéraux énormes : des pans entiers de la délinquance sont impactés”
L’État éprouve des difficultés à judiciariser ses renseignements. Mettre un visage et un nom sur une personne appartenant à un groupe est une chose. Démontrer, pénalement, que cette personne a personnellement commis une infraction en est une autre. Sur le terrain, le problème n°1, c’est l’identification. La plupart des infractions sont commises à l’abri des regards, derrière des parapluies ou des bâches spécialement déployées. Elle rend impossible la capacité de dire avec certitude qui a fait quoi. Sans cela, toute procédure judiciaire est vouée à l’échec. C’est la loi.
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Dammartin-sur-Tigeaux (77) : encadrés par une association, entre 200 et 300 migrants débarquent dans un village de 1100 habitants pour investir un château abandonné
Durant la nuit du 28 au 29 avril 2023, plus de 200 migrants sont venus entre Mortcerf et Dammartin-sur-Tigeaux pour trouver un refuge où dormir. Mais le site, un château abandonné, était très dégradé. Les gendarmes sont intervenus pour les encadrer. Selon les informations recueillies, les migrants ont repris la direction de la capitale afin de trouver un nouveau port d’attache.
La nuit a été quelque peu agitée ce vendredi 28 avril 2023 entre Mortcerf et Dammartin-sur-Tigeaux (Seine-et-Marne). Alors que le soleil venait de se coucher, les deux communes de la Brie ont vu arriver un cortège auquel elles ne sont pas habituées. Entre 200 et 300 personnes se donné rendez-vous vers 23 heures pour investir un château abandonné dans le centre-ville de Dammartin-sur-Tigeaux.
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Meurtre de Rose : politiques et juges doivent être tenus pour responsables
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Face aux journalistes de cour, Lavrov démasque méthodiquement l’hypocrisie de l’Occident
Réponses à la presse de Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie, lors d’une conférence de presse à l’issue de sa visite aux États-Unis dans le cadre de la présidence russe au Conseil de Sécurité de l’ONU.
Question : Vous avez dit que la Russie ne pardonnerait pas et n’oublierait pas le fait que les journalistes russes qui devaient vous accompagner se sont vu refuser des visas américains. Qu’est-ce que cela signifie ? Pourriez-vous expliquer ?
Sergueï Lavrov : Notre porte-parole s’est exprimée aujourd’hui au Comité de l’information. Maria Zakharova a déjà abordé ce sujet en détail. Nous trouvons scandaleux que cela se produise. Tous les « sortilèges » sur la liberté de la presse et l’accès à l’information prononcés par les dirigeants occidentaux, y compris les États-Unis, consignés dans les décisions de la Cour européenne des droits de l’homme et de l’OSCE, ont été adoptés au début des années 1990. À l’époque, l’Union soviétique était encore ouverte à de telles ententes. Maintenant, alors que l’Occident est gêné par la présence de points de vue alternatifs et la possibilité pour les habitants de la planète et les citoyens des pays concernés d’accéder à des faits qui ne correspondent pas au discours occidental, il a commencé à réprimer radicalement les médias qui ne lui sont pas soumis.
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Afflux de migrants en Alpes-Maritimes : le maire de Menton parle d’une « situation intenable », appelle Darmanin et Dupond-Moretti à venir afin de se rendre compte « de la pression migratoire »
29/04/2023
L’édile souhaite que les membres du gouvernement se rendent compte de “la pression migratoire” sur place afin de mettre en place de réelles solutions.
Pour le maire de Menton, il est grand temps que l’État “se rende compte” de la situation à la frontière. Yves Juhel a adressé ce mercredi deux lettres à Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, et Éric Dupond-Moretti, ministre de la Justice, afin de les alerter sur “la pression migratoire”.
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Fillette de 5 ans tuée dans les Vosges : chronique de Charlotte d’Ornellas explique comment un dangereux déséquilibré a pu être laissé libre (MàJ : une “marche rose” organisée)
Après le choc, le recueillement. Une marche “rose” en mémoire de la petite fille du même nom, âgée de 5 ans, retrouvée morte mardi dans un appartement, est prévue samedi à Rambervillers, dans les Vosges, où elle vivait avec sa famille.