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lobby - Page 2274

  • Et maintenant, QUE FAIRE ?

    On l’a dit, le combat mené par la France des valeurs contre le mariage homosexuel révèle une vivacité et un esprit de résistance d’une bonne partie de la jeunesse de notre pays et plus largement des familles, ce qui en fait une mobilisation pluri générationnelle.

    La répression sauvage qui s’est abattue sur ces français habituellement silencieux révèle, non seulement l’importance des enjeux par la force de la mobilisation d’une France décomplexée mais encore le trouble de nos adversaires jamais avares de formules assassines qui ont déversés par la force des matraques et par des propos sur les réseaux sociaux et autres médias, un torrent hallucinant de haine et de ressentiment, ce qui laisse augurer de l’ambiance des prochains mois.

    Bien sûr, il ne faut rien lâcher, mais il faudra faire preuve à l’avenir d’imagination et de créativité pour organiser la résistance dans tout le pays. Le « Printemps Français » est un exemple, mais il existe de nombreuses organisations, comme les veilleurs, les mères veilleuses, mais aussi les mouvements et groupes patriotiques que l’on voit renaissants aujourd’hui, des associations laïques et confessionnelles, lesquels semblent converger vers le même but : Combattre le totalitarisme rampant et redresser le pays par la primauté des valeurs constitutives de l’humain.

    De l’autre côté la révolution semble avoir repris son cours. Tous les voyants sont au rouge : Sectarisme et autoritarisme d’état, Idéologies de la déconstruction dans nos écoles primaires, voire maternelles, poursuite accélérée du « grand remplacement » dénoncé par Renaud Camus, dans un pays qui atteint un taux de chômage record, renonciation à la souveraineté monétaire, économique et politique pour sans doute mieux se consacrer à l’application d’une idéologie suicidaire, stigmatisation outrancière des oppositions, refus du dialogue.

    Face à cela, le pays doit entrer en résistance, mot qui fait bien sûr horreur à notre président normal, comme à quelques évêques toujours en retard d’une guerre.

    Alors que l’on nous rebat les oreilles avec la démocratie, on refuse une demande de référendum avec 700 000 signatures et on fait voter à marche forcée par un parlement désormais minoritaire en termes de réelle représentativité et en dépit de manifestations monstres, des lois qui s’en prennent aux fondements de notre société.

    Nos sectateurs ne voient toujours pas qu’ils ont réveillé une force française qui coulait comme la lave dans les profondeurs de la terre et qui pourrait bien se muer en volcan furieux. Avec les cadres de l’AF d’abord, et nos partenaires les plus constructifs ensuite, nous allons proposer une réflexion cet été et à la rentrée, dans la perspective d’une mise en place d’un dispositif capable de fédérer cette force.

    Un genre de « conseil national de la résistance » s’appuyant sur la révolte spontanée de ceux qui sont le sel de la terre de France.

    La république se meurt d’avoir renié la France, débranchons les tuyaux.

    Olivier Perceval, secrétaire général de l’Action française http://www.actionfrancaise.net

  • [Vidéo] Manuel Valls dénoncé au Conseil des droits de l’homme à Genève

    Manif pour tous : la répression policière dénoncée au Conseil des droits de l’homme à Genève

    Intervention complète de M. Grégor Puppinck, directeur du Centre Européen pour les Droits de l’Homme et la Justice, au Conseil des droits de l’homme à Genève lors de la 23ème session régulière, le 6 juin 2013.

    Merci Monsieur le Président,

    Dans le cadre de l’Examen Périodique Universel, l’ECLJ souhaite attirer l’attention du Conseil des droits de l’homme sur des événements graves qui se produisent actuellement en France en matière de contrôles d’identités, d’arrestations et de détentions arbitraires ainsi que de violences policières.

    Depuis plus de huit mois, des millions — je dis bien des millions- de français manifestent pacifiquement dans toute la France pour défendre la famille et les droits des enfants contre une loi nouvelle qui crée un droit à l’adoption d’enfants et au mariage par les couples de même sexe. Ce mouvement social est le plus important en France depuis Mai 68.

    Plutôt que de tenir compte de ce mouvement, le gouvernement a menacé de l’interdire, il le réprime par l’usage abusif de gaz lacrymogènes contre la foule, par des violences policières, des arrestations et des détentions arbitraires par centaines, je dis bien — arbitraires et par centaines.

    Monsieur le Président, Du 24 au 26 mai, ce sont 350 personnes qui ont été interpellées (par la Police parisienne) et détenues en garde à vue jusqu’à trois jours durant. Sur ces 350 détenus, sept seulement ont été condamnés, très légèrement. L’arrestation des 343 autres était arbitraire et politique. En plus, des centaines d’autres personnes ont été arrêtés et retenus pendant plusieurs heures au prétexte de contrôles d’identités. Souvent, elles ont été arrêtées « au faciès », parce qu’elles portent ce vêtement marqué du symbole du Mouvement.

    A aucun moment, la légalité de ces arrestations n’a été contrôlée par un magistrat indépendant.

    Ces manifestants sont à présent fichés, leurs identités et empreintes sont conservées par la police. En outre, le gouvernement a ordonné l’identification dans l’armée des officiers proche du mouvement.

    L’ECLJ documente tous ces cas de répression : nous recevons de très nombreux témoignages, notamment de victimes de brutalités policières, y compris sur des enfants et des mères de famille.

    Monsieur le Président, cette répression doit cesser et être dénoncée.Elle démontre en particulier un dysfonctionnement grave des procédures de contrôles d’identité et de gardes à vues. L’ECLJ invite donc respectueusement le Conseil des Droits de l’Homme à se saisir de ces violations particulièrement graves pour un pays qui se targue d’être exemplaire dans le respect des droits de l’homme.

    Je vous remercie.

    Manuel Valls va-t-il gazé et interpellé les membres du Conseil des droits de l’homme à Genève ?

    http://www.actionfrancaise.net

  • Altercation à Paris entre gauchistes et militants nationalistes

    COMMUNIQUÉ de la Nouvelle Droite Populaire

    Depuis ce matin, toutes les forces du Système se déchainent. Une fois de plus les sectaires de la gauche socialo communiste et les imbéciles de la droite molle ont réagi à l’unisson sans même savoir ce qui s’est vraiment passé.
    Ils jettent à la vindicte des coupables présumés, ils dénoncent sans preuve des organisations et ils racontent à peu près n’importe quoi sans même vérifier la réalité des faits. Pour eux un nationaliste est forcément un agresseur et un gauchiste forcément un agressé.
    Or, avec quelques heures de recul, il semble que la vérité soit toute autre que celle véhiculée par les tenants de la pensée unique. En fait d’ « agression commandité » et d’ « assassinat prémédité », comme on a pu l’entendre abondement sur certains médias, il semble que cette malheureuse affaire se résume à une banale altercation provoquée par des insultes prodiguées par un groupe de militants d’extrême gauche envers des jeunes  gens dont l’allure ne leur  plaisait guère  et qui faisaient des achats dans une vente privée.
    Autre élément allant à l’encontre de la première version des faits : le premier coup de poing aurait été asséné par l’un des gauchistes selon les témoins présents.  L’état regrettable dans lequel se retrouve le militant d’extrême-gauche (Ndlr-mort aujourd’hui) relève plus de sa malencontreuse chute accidentelle que de la violence des faits.
    Les Mélenchon, Valls, Kosciusko-Morizet et autres politicards en mal de sensations feraient mieux de remuer sept fois leurs langues dans leurs bouches avant  de se répandre en calomnies et exiger des lois liberticides à l’encontre des mouvements nationalistes.
  • Le mariage pour tous, mais pas avec le FN

    Fraternité enfin, mais pour certaines alliances uniquement.
    Les Romains avaient déjà constaté en leur temps que ce qui est permis à Jupiter ne l’est pas aux vaches (Quod licet Iovi, non licet bovi). Au XVIIIe siècle, Voltaire critiquait lui aussi le « deux poids, deux mesures » pour l’application des droits. Aujourd’hui, notre site éponyme rapporte quotidiennement les entorses aux valeurs républicaines : liberté d’expression sauf pour ceux qui ne sont pas d’accord avec le régime, égalité mais pas dans le traitement des émeutes du Trocadéro (400 CRS et gendarmes qui n’interviendront pas) et des Manifs pour tous (4.500 agents des forces de l’ordre qui se défoulent).
    Boulevard Voltaire.

    Fraternité enfin, mais pour certaines alliances uniquement. Ainsi, dans la Somme, le militant UMP Arnaud Cléré a annoncé son intention de faire une liste commune avec le FN « car cela fait trente ans que Gamaches est géré par une municipalité socialo-communiste ». Ce brave homme pensait que le rôle d’un parti d’opposition était de prendre la place du parti au pouvoir et que la droite devait s’opposer à la gauche… Ce raisonnement a déplu à L’UMP qui a exclu Arnaud Cléré de ses rangs, car on ne doit pas s’allier avec le FN, quitte à perdre les élections.

    Nul besoin de s’allier avec le FN pour être suspecté d’intelligence avec l’ennemi : lorsqu’un candidat FN se retire au second tour, la gauche accusera la droite d’avoir pactisé avec le diable, et lorsqu’un candidat de gauche se maintient, la droite lui reproche d’avoir fait élire Marion Maréchal Le Pen. Pire : aux municipales de Béziers, Robert Ménard se déclare sans étiquette, mais vu que le FN ne présente personne, l’on s’acharnera à lui en coller une.

    À l’inverse, il est des alliances licites, quod licet Iovi : le PS ratisse large, des stalinistes jusqu’au MODEM… et désormais jusqu’à l’UMP ! En effet, dans les Bouches-du-Rhône, Roland Povinelli, maire sortant PS, se représentera avec des colistiers UMP. Monique Robineau, conseillère régionale et secrétaire départementale adjointe de l’UMP, déclare : « Dans une élection municipale, il faut aller au-delà des étiquettes politiques, s’attacher aux valeurs humaines et au travail accompli. » C’est aussi ce que pensait Arnaud Cléré… non licet bovi.

    Non contents de nous avoir habitués aux désistements de second tour au nom du « front républicain » et du « cordon sanitaire », PS et UMP organisent désormais des listes communes dès le premier tour. Le mariage pour tous, mais pas avec le FN !

    En cette période de crise, l’organisation des élections étant très coûteuse, je suggère un moyen de faire des économies aux prochaines municipales : n’autoriser que deux listes, le FN et les autres. Cela permettrait de supprimer le second tour et simplifierait le choix des électeurs. Je me demande même s’il est vraiment nécessaire d’organiser un premier tour tant le FN est diabolique. Ainsi, nous serions d’office dirigés par le PS et l’UMP. Bref, rien ne changerait…
    Jean-André Bossy Boulevard Voltaire  Le 3 juin 2013

    http://www.polemia.com

  • Un climat malsain

    Le rassemblement hier soir à Paris en hommage à Clément Méric,  militant antifa, impliqué récemment  dans des actions coup de poing contre les défenseurs de la famille traditionnelle, membre du syndicat extrémiste SUD,  n’a pas drainé les foules. Il a été cependant le  lieu  de plusieurs bagarres  place Saint-Michel dont certains médias se sont fait l’écho. Des journalistes ont  été pris à partie, notamment une jeune femme  de I télé par un individu arborant un autocollant du parti communiste,  comme le montre une vidéo relayée sur  le site du Figaro. Dénonçant, avec raison d’ailleurs, une  récupération politicienne de ce drame,  les militants de l’ultra gauche ont copieusement hué,  bousculé, traité de « vautours » et de charognards » les politiciens présents. Ont  été réduits au silence et contraints  au départ élus UMP, PC et PS, notamment  Jean-Luc Mélenchon,  la candidate bis des bobos à Paris  Nathalie Kosciusko-Morizet, sa consœur socialiste Anne Hidalgo, le commissaire politique anti FN du parti de gauche Alexis Corbière … Courageux mais pas téméraires, Bertrand Delanoë et Harlem Désir (qui avait  annoncé sa venue) ne se sont pas montrés sur place.

     Bruno Gollnisch l’a dit et répété, nous l’évoquions dans nos derniers articles, il était assez évident que les sondages publiés récemment sur les intentions de vote  atteignant un niveau jamais atteint en  faveur du FN aux élections européennes, allaient entraîner une réaction du Système.

     Cela explique l’instrumentalisation  de ce drame, la volonté de « mouiller » le Front dans ce triste fait divers,  les  manœuvres indignes et autres tentatives de déstabilisation, de sidération  pour dissuader les électeurs de mettre le bulletin FN dans l’urne.

     Chien de garde des idéologues de la  République mondialiste, Jean-Luc Mélenchon  est en pointe dans cette offensive pour sauvegarder les intérêts et les prébendes des hauts dirigeants de l’UMP et du PS.

     Faisant mine d’attaquer  ses coreligionnaires,  le grand oriental  Mélenchon  a de nouveau répété sur son blog comme devant les médias que « La violence sauvage qui a assassiné Clément Méric ( …) a connu un développement particulier du fait de son impunité et de la campagne de dédiabolisation du Parti des Le Pen auxquels ces groupes (d’extrême droite, NDLR) sont liés (…).  La complaisance et la dédiabolisation systématique des Le Pen doit cesser. Nous ne devons plus être si seuls avec les militants anti-fa  à porter le poids de la résistance pendant que d’autres jouent sans vergogne l’instrumentalisation. »

     Au lendemain de ce  drame, le journaliste-militant socialiste  Jean-Michel Aphatie  recevant Marine Le Pen  sur RTL,  n’a pas manqué d’apporter sa contribution au développement de ce climat malsain. Il a relayé sans vérification les propos d’un soi-disant témoin de la bagarre qui a entrainé la chute mortelle du jeune Méric, « témoin »   faisant état d’un « agresseur »  très grand, avec… « un t-shirt du Front National ». Ce qui est évidemment totalement faux et la présidente du FN a relevé « (avoir)  déjà vu ces amalgames…Si certains se servent de cela pour salir le Front national, ils devront en répondre ! »

     Tout aussi perfide et, il faut le dire, avec la même indigence intellectuelle, l’employé de RTL   a tenté de mettre en porte-à- faux Marine au motif que si elle a dénoncé fermement la violence , elle avait rendu hommage à la mémoire de Dominique  Venner et exprimé son « respect » pour ce « geste éminemment politique ». Elle a   emporté l’adhésion des auditeurs quand elle a souligné  « La manière profondément malhonnête » avec laquelle Jean-Michel Aphatie   « (mélange) toutes ces affaires ».

     Certes,  au registre de l’affirmation  la plus stupidement grandiloquente, le député socialo-trotskyste Jean-Christophe Cambadélis, a  aussi enfoncé le mur du çon  en affirmant que le décès du jeune Méric était  « Le premier meurtre en temps de paix depuis les années 30 »

     Bruno Gollnisch constate pour sa part que la mort   de François Noguier, 22 ans,  élève-ingénieur des Arts et Métiers ParisTech, n’a pas suscité la même émotion des pleureuses professionnelles. Pourquoi ? Posez la question c’est y répondre.

      Le jeune homme a été  agressé  lors de la fête de fin d’année qui s’est déroulée dans la nuit de vendredi à samedi derniers, dans l’enceinte de l’Ensam de Châlons. Il est  décédé mardi des suites de ses blessures.  Selon la presse locale, l’étudiant  aurait refusé une cigarette à son agresseur étranger à l’école  et  « de type nord-africain » qui l’aurait frappé  très violemment,  son crâne étant  venu « heurter brutalement les pavés de la cour de l’établissement pour se fracturer au niveau de la tempe ».

     Et ce n’est pas là manifestement le premier décès  d’un Français en temps de paix depuis disons les années 70…

    http://www.gollnisch.com

  • Je suis écœuré, par Alain de Montere

    Je viens de m’imposer un marathon zapping (ce mot aussi, employé à dessein, me donne la nausée) afin d’ouïr, sinon « entendre », la glose abondante – et glaireuse - des diverses chaînes de télé, à la botte du gouvernement socialo-gaucho, dont toutes,  grouillantes de journaleux-phagocytes affamés de mal-pensants pathogènes de l’Éden «  Internationale Socialiste », ont fustigé l’agression (létale) du « pauvre » gentil garçon d’extrême-gauche qui, cette fois, a eu le malheur de perdre dans l’un de ces pugilats contre lesquels la police politique de Valls est - par ordre peut-être -, impuissante.
    Moins facile  -n’est-ce-pas ? - d’aller matraquer des « loulous » résolus que des familles manifestant – hélas de façon bonne enfant – dans les artères « surenfliquées » de la capitale !
    Et si, d’aventure, cela avait été l’un de ces « maudits » extrémistes de droite, l’un de ces skin… ( vous voudrez m’excuser de ne savoir écrire ce mot que tous vous devinez) abhorrés des gauches, l’un de ces criminels néo-nazis, l’un de ces salopards, en un mot, qui OSENT, ne pas se prosterner le cul en l’air devant Mélanchon – où l’autre crétin de service du tri postal qui semble retrouver la faculté de baver -, pour leur lécher les babouches ?
    OUI, SI CELA AVAIT ETE UN SALE FUMIER D’EXTREME DROITE ASSASSINE PAR DES EXTREMISTES DE GAUCHE ?
    Qu’auriez-vous dit, Mesdames et Messieurs les élus en place, ou qui l’avez été, ou qui êtes PRÊTS À TOUT, MEME AU PIRE, pour vous accaparer le pouvoir ?
    Qu’auriez-vous dit, vous tous des médias, lâches imitateurs de ces beni-oui-oui à qui nous sommes redevables du désastre de 1940 ? (Je ne cite que celui-là, qui a le mérite d’être connu du plus grand nombre)…
    Certes, on peut être pamphlétaire, et n’en pas faire l’apologie de la violence – moins encore du crime pour autant !
    Je souhaiterais seulement que les médias, télévisuels surtout qui ont un tel impact sur la société, sachent objectivité et mieux encore raison garder, et pour ce faire SE GARDER d’amalgames conscients ou non.
    Mais, honnêtement, peut-on croire aujourd’hui que des journalistes, à plus de quatre-vingt-dix pour cent issus du second du cycle et du troisième pour quantité d’entre eux ne mesurent pas la portée de leur propos ? Allons donc !
    Je me dois toutefois de reconnaître que madame Elkrief, sur BMFTV, a fait montre, concernant cette affaire qui, opposant les extrémistes dans la violence meurtrière - fut-ce par accident -, la terrifie, d’une relative objectivité concernant l’incrimination, par certain de ces confrères, du FN.
    Dans le concert des appels politico-médiatiques au pogrom contre ce parti, il fallait noter ce certain courage de cette personne… qui, ce me semble, ne peut être suspectée de collusion idéologique.
    Vous êtes radicalement à gauche Mesdames et Messieurs, pour l’immense majorité d’entre vous ?... Grand bien vous fasse !
    Juste une hypothèse : et si jamais Marine Le Pen se voit bientôt élire Présidente de la République Française, combien d’entre vous, comme aux lendemains du tragique été 1940, vont retourner leur réversible casaque ?
    Avez-vous la moindre idée du nombre de Français qui vous méprisent ?

  • Retour sur un traitement politico-médiatique ignoble : remarques sur le 2 poids 2 mesures républicain

    • Les gros médias ont parlé toute la journée d’une agression meurtrière de l’extrême-droite (voir ici notre analyse). Maintenant qu’il apparaît de plus en plus clairement que les agresseurs sont 5 extrémistes de gauche qui ont provoqué, attendu et attaqué 4 jeunes patriotes dont une fille (comme le précise Serge Ayoub dans son témoignage sur Itélé, ci-contre). Les médias se font plus discrets. Jamais ils ne feront une campagne de rétablissement de la vérité, comme ils ont fait une campagne hystérique ce jeudi, toute la journée. Le Figaro et autres titraient « Paris sous le choc », alors que les gens ne sont émus que dans la mesure où les journalistes leur ont bourré le crâne toute la journée.

    Attention, ce ne sont pas des extrémistes de gauche, ce sont des militants.

    • Quand les journalistes désignent un jeune nationaliste, ils ne parlent que d’« extrémiste » ou à la limite de skinhead.
    Quand ils parlent d’un activiste de la gauche la plus extrême (CNT, Action antifasciste etc.), ils parlent d’un « militant ». Quelqu’un de leur camp, quoi.

    • Les politiciens qui n’ont de cesse, quand un étranger ou un islamiste commet un crime, de crier qu’il ne faut pas faire d’amalgame, pas de généralisation, s’en donnent à coeur joie contre les mouvements nationaux, alors même que les mis en cause ne semblent être militants dans aucune structure.
    Les politicards, toujours sans scrupule, se servent cyniquement de la dépouille d’un jeune manipulé, pour des objectifs minables avec une malhonnêteté intellectuelle totale. Que n’ont-ils demandé la dissolution des « Verts » et de la « Ligue des droits de l’homme » dont un membre très actif, Richard Durn, a assassiné 8 personnes à Nanterre ?

    • Comparer le traitement médiatique de cette affaire avec d’autres est très parlant : quand régulièrement de jeunes Français sont assassinés pour rien, ou, pour prendre un cas plus similaire, quand les amis de Clément Méric ont tué un patriote, Yann Lorence, près du parc des Princes en 2010. Yann a été frappé à mort par les « antifas », tabassé au sol, le crâne piétiné : ici, ce n’était pas de la légitime défense, ni un accident, et il y avait une volonté de tuer. Pourtant, on n’a pas connu l’odieuse hystérie politico-médiatique qu’on a vu hier, et la police n’a pas retrouvé (cherché) les coupables…
    Comparez dans google, les résultats pour Yann Lorence et pour Clément Méric

    http://www.contre-info.com/

  • Hervé Mariton, l’homme qui se couche plus vite que son ombre

     

    CHAPITRE I : Mariton se sépare de sa collaboratrice proche de l’extrême droite

    Le député UMP Hervé Mariton a annoncé qu’il allait se séparer d’une de ses collaboratrices à l’Assemblée nationale, Jeanne Pavard, dont Mediapart a révélé qu’elle entretenait des liens avec l’extrême droite, notamment sur Facebook.

     

    "Mme Pavard va cesser ses fonctions dans le respect des règles du droit du travail. (...) Elle m’avait déjà exprimé récemment son souhait de partir. Je ne la retiens pas", a déclaré le député de la Drôme, qui a été l’un des chefs de file de la contestation du mariage homosexuel dans son parti.

    DES LIENS ÉTROITS AVEC DES GROUPES D’EXTRÊME DROITE

    Dans son enquête, Mediapart révèle que cette collaboratrice du député affichait sur sa page Facebook, depuis modifiée, ses sympathies pour des sites Internet ou des mouvements d’extrême droite. Elle a ainsi été candidate en 2006 sur la liste du Rassemblement étudiant de droite (RED), mouvement d’extrême droite né des décombres du GUD (Groupe union défense).

    Le 21 mai, à la suite du suicide de l’essayiste d’extrême droite Dominique Venner dans la cathédrale Notre-Dame de Paris, elle avait donné rendez-vous par Facebook devant le parvis de l’église, là où quelques dizaines de militants d’extrême droite s’étaient rassemblés pour rendre hommage à M. Venner.

    La suite sur Le Monde

    CHAPITRE II : IL VA ÊTRE RAVI DE MARIER.... DES PAIRES HOMOSEXUELLES !

    Communiqué de presse de Bruno Gollnisch, président du groupe FN de Rhône-Alpes, Député européen

    Il n’aura pas fallu beaucoup de temps à M. Hervé Mariton, député-maire UMP de la Drôme, pour annoncer qu’il se soumettait à la loi du prétendu « Mariage pour tous », et même qu’il souhaitait marier un couple de femmes dans la commune dont il est le Maire. Sa déclaration au site cadremploi.fr, dévoilée hier sur internet, est on ne peut plus claire.

    On peut se soumettre à regret à une loi, on n’est pas obligé de revendiquer de l’appliquer avec autant d’ardeur. M. Mariton pouvait dire simplement que, si la commune était contrainte de célébrer un tel mariage, et s’il ne faisait pas jouer de clause de conscience, un adjoint officierait. C’était bien le minimum que l’on pouvait attendre. …

    Les habituels reniements de Monsieur Mariton n’étonneront que ceux qui se contentent de belles paroles mais ne prennent jamais les actes comme vraie source de leurs jugements. Que les déçus, et ceux qui se sentent trahis, ne baissent pas les bras pour autant. Le Front National a la ferme volonté de défendre la famille et de combattre la décadence, avec tous ceux qui le veulent… avant qu’il ne soit trop tard !

    http://www.actionfrancaise.net

  • Des forces de l'ordre désarmées face aux veilleurs

    Mercredi soir, les veilleurs se sont rendus devant le ministère de la justice. Les forces de l'ordre ont été dépassées :

     

    "[...] Il est une heure du matin. Un policier entreprend de faire une première sommation pour disperser les manifestants, mais son mégaphone l'abandonne. Les veilleurs lui proposent le leur... Un autre mégaphone est apporté. Sommation. La jeune femme qui était en train de parler au micro s'interrompt pour répondre aux policiers : sont-ils vraiment là où est la violence ?

    Deuxième sommation "avant usage de la force". Des journalistes commencent à arriver. Médiatiquement, c'est un sacré coup, la nervosité des forces de l'ordre, pendues à leurs radio, le démontre assez. De l'une d'entre elles, on entend distinctement "Ceux qui ne partent pas, on les embarque." Dernière sommation. Axel invite ceux qui le souhaitent à se retirer. Une centaine de personnes se lèvent, et passent derrière le cordon de CRS, sans quitter la place, rejoignant un petit groupe de veilleurs qui n'avait pu arriver avant le verrouillage. Les CRS continuent d'arriver par dizaines, aménagent un corridor jusqu'aux paniers à salade, et refoulent les observateurs. Les Veilleurs demeurant au pied du Ministère, au nombre de 150 environ, annoncent qu'ils resteront jusqu'à deux heures, puis se mettent à lire un texte d'Aragon.

    Il est une heure et demi. L'ordre fuse "On va faire un rateau !" Les CRS prennent leurs dispositions, tandis qu'imperturbable, Axel entreprend la lecture d'un texte du philosophe Fabrice Hadjadj, "Pour un Manifeste des Émerveillés". Au loin, les veilleurs refoulés, rejoints par d'autres, entonnent "l'Espérance". Une fille offre une fleur à un policier.

    Les CRS ne bougent pas. Les minutes passent, une, puis deux, puis trente. Peu après deux heures, Axel annonce la dispersion dans le calme. Les veilleurs se lèvent, et quittent la place sans être inquiétés, rejoignant les quelques dizaines de personnes tenues à l'écart. Apparemment, aucune interpellation n'a lieu."

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Retour en Libye – On a notre Irak à nous

    Retour en Libye – On a notre Irak à nous

    Ci-dessus : colonne de combattants islamistes au Sahel.

    L’aventure militaire libyenne a provoqué celle du Mali. L’intervention au Mali oblige à retourner en Libye. La France a enfin sa tempête du désert et se retrouve dans un piège de sable sur l’ensemble du monde saharien.

    On affirme bien sûr qu’il n’y aura pas de nouvelle intervention française en Libye, sauf si on y est obligé ! Car les islamistes chassés du Mali se sont regroupés en Libye, dans le sud saharien où ils menacent un pouvoir chaotique et notre sécurité au Mali et au delà.

    « Il n’y a plus un seul morceau du Mali qui puisse être sous contrôle de terroristes ». François Hollande, interrogé vendredi sur RFI, France 24 et TV5 Monde, a assuré que l’objectif de l’opération Serval de “libérer le Mali de toute emprise terroriste” avait été “atteint militairement et pratiquement”. François Hollande s’est montré cependant prudent quant à la persistance de la menace terroriste au Sahel. Si, selon lui, “une grande part” des groupes présents au Mali ont été mis hors d’état de nuire, les autres se seraient repliés “quelque part”, vraisemblablement “au sud de la Libye”. Le problème s’est déporté mais reste entier.

    Retour en Lybie - On a notre Irak à nous

    La Libye, avons-nous lieu d’être satisfaits ?

    Les forces spéciales françaises pousseraient-elles donc jusqu’en Libye pour aller pourchasser les djihadistes d’Aqmi qui s’y seraient réfugiés, comme le laisse entendre Le Parisien du 31 mai. Malgré les démentis ultérieurs, c’est une certitude puisque c’est une obligation. Les sorties aériennes au-dessus du Mali, dans le cadre du dispositif Serval, se poursuivent d’ailleurs à un rythme soutenu, en appui aux opérations au sol, a indiqué jeudi 30 mai le ministère de la défense français, faisant état de quelque 110 sorties depuis jeudi dernier, contre 120 la semaine précédente.

    Selon Le Parisien, l’état-major français s’intéresse désormais à une partie du sud-ouest de Libye, « une immense zone désertique [qui] est en passe de devenir le nouveau sanctuaire djihadiste ». « Des chefs et des sous-chefs terroristes se trouvent là », rapporte Le Parisien. « Ils recrutent à nouveau et se réorganisent. Certains ont quitté le Mali avant les combats. D’autres profitent du chaos qui règne en Libye pour aller et venir à leur guise. Nous parlons de plusieurs centaines d’activistes. » Ces combattants pourraient être responsables de l’attentat contre l’ambassade de France en Libye, le 23 avril, et des deux attaques au Niger, le 23 mai. On ne peut limiter au Mali une guerre du Sahara. On ne peut aussi prévoir de gérer le temps de cette guerre.

    Le président nigérien Mahamadou Issoufou avait indiqué que les assaillants qui ont commis le 23 mai deux attentats suicide au Niger venaient du Sud libyen. Selon lui, ils préparaient parallèlement une “attaque” contre le Tchad. Le Premier ministre libyen Ali Zeidan a démenti ces “allégations sans fondements”, répétant que son pays “ne pourrait devenir en aucun cas une source de souci ou de déstabilisation pour ses voisins” du sud, en proie eux-mêmes à l’instabilité depuis des années.

    Des experts et des diplomates occidentaux estiment toutefois que le Sud libyen serait devenu ces derniers mois l’un des sanctuaires où se sont reconstituées les cellules jihadistes après que les mouvements islamistes armés ont été délogés du nord du Mali.

    La France, qui est intervenue dans le nord du Mali contre des groupes armés islamistes en janvier, espère pouvoir passer la main aux casques bleus en juillet pour stabiliser le pays, où des élections sont prévues à partir du 28 juillet.

    Espérance illusoire.

    Jean Bonnevey http://fr.novopress.info

    Crédit photo en Une : Magharebia, via Flickr (cc). Crédit photo dans le texte : DR.

    Source : Metamag.