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lobby - Page 2297

  • Français en colère à la Sorbonne

    Des flics en civil tentent d'attraper un manifestant et sont repoussés par la foule

  • Interpellations : selon que vous manifesterez contre le mariage gay ou que vous serez casseur

    Interpellations : selon que vous manifesterez contre le mariage gay ou que vous serez casseur

    PARIS (NOVOpress via Bulletin de réinformation) – Avant-hier soir, les manifestants opposés à la destruction du mariage n’ont une fois de plus, rien lâché. Un premier rendez-vous était donné près de l’Hôtel Matignon pour débuter la soirée. Déjà sur place, les forces de l’ordre ont rapidement appelé les CRS et gendarmes mobiles en renfort.

    Avant même d’avoir pu déployer une banderole, les manifestants étaient traqués

    La centaine de manifestants s’est rapidement déplacée vers les Invalides. Une dizaine d’interpellations ont eu lieu. Puis des groupes se sont constitués dans différents lieux parisiens. Un premier est parti de la gare de Lyon pour rejoindre la place de la Bastille en bloquant la rue de Lyon. Sept personnes ont été alors interpellées. Puis un deuxième groupe s’est formé devant le Lutetia, manifestant bruyamment sur le carrefour Sèvres-Raspail. Environ quinze personnes ont encore été interpellées. Les deux groupes ont ensuite convergé vers la rue de Rivoli où une quinzaine de manifestants ont à nouveau été raflés par les forces de l’ordre.

    Au total dix camions de gendarmes mobiles et cinq à sept cars de CRS traquaient ces manifestants pacifiques.

    Une cinquantaine d’interpellations pour avoir déployé une banderole et marché sur les rues parisiennes. Par comparaison, lors des émeutes de lundi (image en Une) suite à la victoire du PSG, seuls trente-six casseurs ont été interpellés.

    Crédit photo : DR.http://fr.novopress.info/

  • Convention entre le ministère de l'éducation nationale et une association raciste

    Bulletin officiel de l'éducation nationale du 16 mai :

     

    "Partenariat entre le ministère de l'éducation nationale et l'association « Le Planning familial » [...]

    Article 1 - Objet de la convention
    Par la présente convention, les deux parties s'engagent, en cohérence avec les objectifs des politiques publiques mentionnés ci-dessus, dans la construction de projets. Ces derniers porteront tant sur l'éducation à la sexualité, l'amélioration de l'information en matière d'accès à la contraception ou à l'interruption volontaire de grossesse (IVG) que sur la lutte contre les stéréotypes de genre, les comportements sexistes et homophobes. [...]"

     

    Pour mémoire, l'idéologie du Planning familial, centrée sur la culture de mort, appelait, jusque dans les années 50, en des termes violents à la ségrégation et à la stérilisation des "incompétents", des "asociaux" et des "races génétiquement inférieures". Le Docteur Marie-Andrée Lagroua Weill-Hallé, fondatrice en 1956 de la Maternité heureuse devenue plus tard le Mouvement Français pour le Planning familial (MFPF), s'était séparé de ce mouvement, estimant que "Le "droit de la femme" à l'avortement est une expression qui ne consacre en réalité que son esclavage."

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com

  • Esclavage : Repentances, exigences et Black mic-mac

    Une chronique de Claude Lorne -

     

    Il fallait s’y attendre : instituée par Jacques Chirac en 2006, la « Journée de la mémoire de la traite négrière, de l’esclavage et de leurs abolitions » a, cette année, donné lieu au déluge de repentances et de mensonges par omission de la part du pouvoir, et d’exigences ahurissantes de la part des « victimes ».

     

    Motus sur la traite arabo-africaine, les chrétiens razziés et l’esclavage moderne

    Le 12 mai, après ses deux prédécesseurs, François Hollande a battu sa coulpe – sur la poitrine des Français dont la quasi-totalité n’a en rien profité de la traite, au contraire des « dynasties bordelaises » (1), comme l’a rappelé le même jour Jean-Yves Le Gallou sur Polémia (2) – à l’occasion de ce nouveau « devoir de mémoire » pour ce qui a été qualifié de « crime contre l’humanité » dans la loi Taubira de 2005.

     

    Mais pas un mot, bien sûr, de la traite négrière arabo-africaine, sujet d’ailleurs désormais tabou dans nombre d’ « écoles de la République » sous la pression des élèves et des parents musulmans ; et encore moins des « captifs d’Allah » : plus d’un million de chrétiens razziés de la Dalmatie à l’Ecosse par les Barbaresques entre le XVe et le début du XIXe siècle (3). Silence total également sur l’esclavage moderne pratiqué en France même par des résidents, voire des naturalisés, originalres du Maghreb, du Moyen-Orient ou d’Afrique noire. Bien que plus de cent vingt procès soient actuellement pendants de ce chef devant la seule Cour d’appel de Paris, pas question d’ulcérer par un rappel inopportun « ceux qui sont chez eux chez nous », et moins encore les richissimes investisseurs du Golfe arabo-persique.

     

    De l’impudence du CRAN…

     

    En revanche, le CRAN, Conseil représentatif des associations noires de France calqué sur le CRIF, Conseil représentatif des institutions juives de France, a parlé ou plutôt gueulé pour deux. Son nouveau président, le Martiniquais Louis-Georges Tin, a ainsi annoncé en fanfare avoir « assigné en justice la Caisse des dépôts et consignations, la banque d’Etat qui a joué un rôle considérable dans l’esclavage » et s’est ainsi rendue « complice de crime contre l’humanité » en encaissant « des sommes équivalant à 21 milliards de dollars » entre 1825 et 1946 en échange de l’indépendance de Haïti qui aurait ainsi été frappée d’ « une double peine » car « cette rançon a précipité Haïti dans une spirale infernale d’instabilité et de misère ».

     

    En conséquence de quoi la CDC, qui se serait également « enrichie grâce à l’exploitation colonialiste », est sommée « d’abonder à hauteur d’au moins 10 millions d’euros un fonds de dotation pour financer des recherches », sans parler du montant des « réparations », avec intérêts cumulés.

    L’agitateur Tin, par ailleurs militant homosexuel qui s’illustra dès l’Ecole normale supérieure en y créant l’association « Homonormalités » avant de diriger le Dictionnaire de l’homophobie (publié en 2003 aux Presses universitaires de France avec une préface de Bertrand Delanoë), n’oublie qu’une chose : la somme de 150 millions de francs-or que devait acquitter Port-au-Prince avait été fixée conjointement par le président haïtien Pétion et Charles X le 11 juillet 1825 en compensation de l’expropriation et de l’expulsion des colons français, consécutives à la déclaration unilatérale d’indépendance de l’île.

    Cette somme, d’ailleurs ramenée par Louis-Philippe en 1838 à 90 millions de francs, ne paraissait pas extravagante. Haïti n’était-elle pas à l’époque la colonie française la plus riche de toute l’Amérique grâce aux immenses profits résultant d’une industrie sucrière très dynamique et de celle de l’indigo ?

    … à l’hypocrisie de Christiane Taubira

    Mais qu’importent ces « points de détail de l’histoire » ? Le camarade Tin, qui a été à bonne école, celle de « l’industrie de l’Holocauste » (dénoncée par Norman Finkelstein dans le livre éponyme, paru en 2001 aux éditions de La Fabrique), tient à ses indemnisations léonines et, sous couvert de corriger le tir, sa copine Christiane Taubira a aussitôt apporté sa pierre à la stèle de la « mémoire » en préconisant une gigantesque réforme foncière.

    « Il faudrait envisager, sans ouvrir de guerre civile, des remembrements fonciers, des politiques foncières », expliquait le garde des Sceaux dans Le Journal du dimanche. « Il y a des choses à mettre en place sans expropriation, en expliquant très clairement quel est le sens d’une action publique qui consisterait à acheter des terres. En Guyane, l’Etat avait accaparé le foncier, donc là, c’est plus facile. Aux Antilles, c’est surtout les descendants des “maîtres” qui ont conservé les terres, donc cela reste plus délicat à mettre en œuvre. » Mais, ajoutait Mme le ministre en tablant sur la mauvaise conscience systématiquement instillée aux Français, « les temps sont mûrs pour faire cette politique intelligemment et de façon équitable… Cela fait dix ans que je le dis, je crois que c’est vraiment possible. »

    Les Antilles et la Guyane menacées de « haïtisation » ?

    En quelques décennies, du fait de la corruption, de l’impéritie, de l’incompétence et des rivalités sanglantes entre Noirs et Mulâtres, la si enviable prospérité de la « Perle des Antilles » ne fut plus qu’un souvenir et Haïti, indépendante depuis plus de deux siècles maintenant, est devenue l’un des Etats les plus pauvres du monde, ne subsistant, de manière végétative, que de l’aide internationale, des subventions des ONG et de l’argent envoyé au pays par des immigrés (au Canada, aux Etats-Unis et en France) dont l’exode est continu.

    Les « descendants d’esclaves » antillais et guyanais menacés par la redistribution des terres souhaitent-ils vraiment connaître ce glorieux destin ? Et la grande bourgeoise Taubira elle-même qui, dans sa déclaration de patrimoine, faisait état de propriétés en Guyane, est-elle prête à morceler ses terres pour les offrir aux plus pauvres ?

    Mais tout cela n’est que gesticulations même si, au final, celles-ci risquent de nous coûter très cher. Avec sa réforme foncière, le ministre de la Justice essaie de redorer son blason, bien terni en Guyane par sa défense du mariage gay auquel sont opposés presque tous ses compatriotes. Quant à Louis-Georges Tin, son coup d’éclat s’inscrit dans la sombre lutte qui se livre pour la direction du CRAN, entre ressortissants des Dom-Tom et Africains : un tel Black mic-mac (4) que Libération, caution antiraciste s’il en est, titrait le 6 mai sur « Le Cran à l’arrêt et à couteaux tirés ».

    Un front noir plutôt fissuré

    Dès l’annonce de l’assignation de la CDC, le pharmacien d’origine béninoise Patrick Lozès, ancien président du CRAN et aspirant à le redevenir, déplorait « cette dérive qui consiste à réduire la mémoire de l’esclavage à une transaction matérielle et à des considérations financières » et il condamnait solennellement « cette initiative intempestive » qui s’appelle « un rendez-vous manqué avec l’Histoire ». Et toc !

    Cette polémique constitue le nouvel épisode d’un feuilleton dont le clou avait été précédemment la tentative de Madeira Diallo, « militant historique de la cause noire, qui s’était proclamé publiquement président du CRAN » en lieu et place de Tin. Du coup, ce dernier avait, selon Libération, « qualifié la manipulation de “coup d’Etat” et immédiatement saisi en référé le Tribunal de grande instance de Paris », lequel a rendu fin avril un arrêté « faisant défense » à Madeira Diallo d’usurper la présidence sous peine d’une astreinte de 100 euros par infraction constatée.

    Pour M. Tin, le doute n’est pas permis : Diallo n’est que « l’homme de paille » de Lozès aujourd’hui menacé par une enquête de la Brigade de répression de la délinquance économique (BRDE) pour blanchiment et abus de confiance. Lui serait en effet reproché un détournement de subventions publiques, à concurrence de « 130.000 euros perçus entre janvier 2009 et août 2011 sur son compte », ainsi que des « virements de l’ordre de 240.000 euros versés sur le compte de sa société par World Children’s Fund » ; on se demande bien, d’ailleurs, quel était l’intérêt dans cette affaire de cette dernière organisation humanitaire internationale créée par  Joseph Lam, un Chinois originaire de Hong Kong, la protection de l’enfance malheureuse ne figurant pas dans les statuts du CRAN.

    Culpabiliser à tout prix les Français

    Ces sommes ont-elles été détournées pour financer la (très éphémère) campagne de Lozès à la présidentielle de 2012 sous l’appellation « Allez la France »-sic ? En tout cas, on sait qu’une partie importante a été versée en 2007 à la Sofres pour « un coûteux sondage, dans lequel 56% des Noirs de France assuraient subir des discriminations ».

    Voilà à quoi sert notre argent : à financer des opérations destinées à culpabiliser toujours plus les Français. Et tel est aussi l’objectif de Louis-Georges Tin : convaincre les descendants des « colonialistes français » qu’ils sont – et eux seuls – responsables et coupables de la faillite haïtienne et, d’une manière générale, de toutes les banqueroutes, disettes, guerres tribales et autres fléaux ravageant de manière endémique leurs anciennes possessions.

    Claude Lorne http://www.polemia.com
    16/05/2013

     Notes :

    (1) Titre d’une étude de Paul Butel parue en 1991 aux éditions Perrin. Parmi les fondateurs de dynastie : Jacques Adami, Alexandre Jacob, Jacob Azevedo, les frères Bethmann et Eschenauer, M. Hirschfeld, David et Moïse Gradis, la famille Journu-Kappelhoff, Edouard Kerstein, Jacob Mendès (ancêtre de Pierre Mendès-France), Edouard Weiss, etc.
    (2) « Descendants d’esclaves ou descendants de maîtres d’esclaves ? »
    (3) A quand une repentance pour les « captifs en Barbarie » ?
    Giles Milton,
    Captifs en Barbarie, Petite Bibliothèque Payot, 2008 :

    (4) Il ne faut voir aucun racisme dans cette expression : il s’agit du titre d’un film réalisé en 1986 par Thomas Gilou avec une kyrielle d’acteurs noirs dont Cheikh Doucouré, Sidi Lamine Diarra, Khoudia Seye.

  • La violence ne devient intolérable que quand elle est d’extrême droite

    Les supporters du PSG ont été dernièrement les auteurs de « bousculades » finalement bien innocentes à côté de la violence d’extrême droite qui s’exerce au sein de la Manif pour tous. Bousculades, en effet, vous avez bien lu, c’est le mot choisi par le ministre de l’intérieur et rapporté par Le Point pour qualifier les débordements provoqués par les bandes aux champs Elysées puis au Trocadéro pour fêter la victoire du PSG.

    Plus de vingt policiers blessés, monsieur Valls, des vitrines brisées, des véhicules fracassés, des cars de touristes pillés.

    Belle image de nos institutions suprêmes qui envoient par ailleurs la police contre des femmes, des enfants et des vieillards, seulement coupables de ne pas partager les idées du pouvoir idéologique et sectaire.

    Belle image de la République qui n’est pas capable de contenir une manifestation de trente mille personnes, parmi lesquelles un certain nombre transforme des quartiers entiers de Paris en champ de bataille.

    Belle image d’un pouvoir qui en revanche ne distille que haine pour la France réelle, laquelle à plus d’un million de manifestants ne détruit rien mais se voit agressée sans ménagement par des policiers, subit des centaines de gardes à vue ainsi que des poursuites pour « rébellion » (sic).

    Dimanche dernier un journaliste de France Info me demandait si je cautionnais les violences de l’extrême droite pendant la manif pour tous. Je le questionnais à mon tour : Quelles violences, combien de blessés parmi les forces de l’ordre, combien de voitures incendiées ? Et j’attends, côté PSG, les professionnels de l’excuse, dépêchés par les oligarques du consensus obligatoire, qui vont monter à l’assaut de nos médias pour justifier ces « incidents » par la crise économique et sociale, par le chômage et le désarroi d’une jeunesse privée de repères. Aucune allusion au grand remplacement en cours, rien à propos de la surenchère consumériste, matérialiste et individualiste. Nous connaissons tous ces discours « tarte à la crème » (et question repères, je ne suis pas certain que le mariage homosexuel apporte plus de clarté).

    Le pouvoir « autruche », la tête dans son trou idéologique incapable de voir le réel, espérait refaire le coup de la coupe du monde « black blanc beur », pour redonner le moral aux Parisiens déprimés et par là-même se refaire un peu la cerise dans les sondages. C’est manqué…

    Je m’interroge sur la crédibilité de la République après les brillantes démonstrations des derniers gouvernements qui se succèdent tout les cinq ans. Continuez comme ça messieurs et l’alternative monarchique s’imposera d’elle-même.

    Pour une dernière mobilisation après cette année très militante , rendez-vous est pris avec tous nos amis de l’Action française le 26 mai pour peut-être enfin donner le coup de grâce à ce régime vermoulu.

    Olivier Perceval, secrétaire général de l’Action française http://www.actionfrancaise.net

  • Interpellations arbitraires : Quand la police exécute « les ordres de là-haut »…

    Témoignage d'un lecteur :

    "Le 14 mai au soir, nous sommes six jeunes professionnels qui décidons, après notre sport hebdomadaire d’ « ultimate fresbee », d’aller boire un verre au café Vauban, dans le 7ème arrondissement de Paris. En sortant de la brasserie vers 23h, nous remarquons à une centaine de mètres plus loin des mouvements de jeunes proclamant des slogans à connotation anti « mariage pour tous», mouvement auquel nous assistons fortuitement de loin, en simples spectateurs.  Une dizaine de camions de CRS se déploient sur toute la place. Les jeunes fuient en courant.

    À ce moment-là, tandis que nous sommes devant la sortie de la brasserie, un capitaine de police visiblement énervé nous demande si nous faisons partie de ce groupe de manifestants. Nous répondons que nous sortons à l’instant de la brasserie et que nous n’avons rien à voir avec ces jeunes. Le capitaine de police en prend acte et les CRS se replient, la place est vide. Quelques minutes plus tard, tandis que nous sommes toujours devant la brasserie, une vingtaine de CRS, menés par ce même capitaine de police, arrivent soudain en courant et nous encerclent tous les six, sans nous donner de motifs.

    Nous leur indiquons alors que nous sommes sortis quelques minutes auparavant de la brasserie. Nous demandons naturellement des explications de la part des officiers sur les raisons de « l’encerclement » dont nous faisons l’objet, en vain.

    Des jeunes sans doute issus de la manifestation sont ensuite amenés par des policiers en civil et rejoignent notre groupe encerclé d’agents de police. Nous demandons explicitement à plusieurs reprises aux agents de nous séparer de ces jeunes.  Le barman du Vauban, constatant tout comme nous le caractère absurde de la situation, sort de la brasserie, nous identifie tous les six, un à un, et indique aux agents qu’effectivement nous venons de sortir de son établissement, dans lequel nous étions venus en simples consommateurs. Suite à ce témoignage, nous réitérons auprès des agents de police notre demande, à savoir nous séparer en deux groupes pour nous distinguer des manifestants. Les agents de police ne veulent cependant rien entendre, et nous indiquent qu’ils ne font « qu’exécuter les ordres  venus d’en haut ».  

    Toujours privés de la moindre explication sur les raisons de notre interpellation, nous sommes emmenés par le bus des CRS dans différents commissariats de police de Paris. Nous sommes fouillés, privés de nos effets personnels (téléphone portable, portefeuilles notamment) et parqués sans explication dans une pièce fermée avec des verrous, en attendant notre libération.

    Lorsque nous sommes menés devant les officiers de police judiciaire, nous sommes enfin informés du motif de notre arrestation forcée dans les locaux de police : « participation à une manifestation illicite ». Nous sommes libérés aux alentours de 2h du matin aux quatre coins de Paris, après avoir passé trois heures en compagnie des forces de police françaises, pour un motif expressément incorrect. Les métros étant fermés, nous rentrons chez nous à pieds."

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com

  • Nantes : Manif’ pour tous, « On ne lâche rien ! »

    Nantes : Manif’ pour tous, <em>« On ne lâche rien ! »</em>

    NANTES (NOVOpress Breizh) – Bien que leurs activités soient concentrées sur l’organisation de la manifestation du 26 mai, les adversaires du mariage homosexuel maintiennent la pression à Nantes.

    En guise de piqûre de rappel avant la manifestation nationale du 26 mai, et à la veille de la décision du Conseil constitutionnel, les adversaires de la loi Taubira sur le mariage homosexuel et de la GPA/PMA ont manifesté à Nantes hier soir de 20h30 à 22h30 (photo en Une)

    Aux cris de « François, si tu savais, ta réforme où on s’la met ! », « Un père, une mère, c’est élémentaire ! » et « On ne lâch’ra rien, rien, rien ! », plusieurs centaines de personnes ont défilé de la place Viarme à la préfecture.

    Malgré la présence d’un petit groupe de provocateurs protégés derrière un cordon de police, la manifestation s’est déroulée dans le calme. Mais pas dans le silence : le rapport décibels/nombre de manifestants était particulièrement élevé, signe d’une mobilisation qui demeure intense.

    Nantes : Manif’ pour tous, « On ne lâche rien ! »
    Photo ci-dessus. Adversaires de la loi Taubira, les “Mères veilleuses” organisent pendant toute la semaine des veillées quotidiennes dans plusieurs villes, dont Nantes, place du Pont-Morand.

    Crédit photo : NOVOpress Breizh.>/small>

    http://fr.novopress.info

  • Notre-Dame-des-Landes : nouveau front ou échec gouvernemental ?

    La chaîne humaine organisée l’autre jour autour de Notre-Dame-des-Landes pour s’opposer à la construction du grand aéroport voulu par l’ancien maire de Nantes, aujourd’hui premier ministre, a été un beau succès, en particulier médiatique : elle a aussi confirmé que la mobilisation ne faiblit pas, désormais, face à un gouvernement que l’on sent et que l’on sait, lui, affaibli, en particulier dans l’Opinion publique et dans la rue qu’il ne maîtrise qu’à grand peine…

    Alors que le front de « la Manif pour tous » est toujours ouvert et qu’il se fait pressant au point qu’aucun déplacement de ministre n’échappe à la présence d’opposants au mariage homosexuel et aux réformes dites sociétales, en attendant la manifestation du 26 mai qui s’annonce compliquée à gérer pour le Pouvoir en place ; alors que le front social pourrait bien se réveiller dans les semaines qui viennent sur la question des retraites, de leur réforme et de leur financement ; alors que la question toujours pendante de la sécurité s’invite dans les débats depuis Marseille et Paris (en particulier ces derniers soirs avec les images des échauffourées du Trocadéro et des pillages de magasins des Champs Elysées ; le gouvernement cherche à éviter l’ouverture d’un nouveau front, entre autres parce qu’il n’a plus les moyens humains et policiers d’y faire face, et qu’il s’inquiète de voir un nouveau Larzac poindre à l’horizon et dont il serait, cette fois, la victime…

    Sur l'emplacement de l'aéroport en projet...

    Pendant ce temps, Vinci, concessionnaire pour 55 ans de l’aéroport encore à l’état de projet, ne s’inquiète pas vraiment, et cela pour la simple et bonne raison que, construction ou pas, elle reste gagnante dans l’un ou l’autre des cas : si l’aéroport se fait, parce que la société en tirera quelques bénéfices ; si le projet n’aboutit pas, car l’Etat, en cas de dédit, « devra rembourser à Vinci les sommes investies et couvrir le manque à gagner, précise le contrat de concession. En clair, rembourser les sommes que les actionnaires entendaient toucher : 11 millions d’euros par an, selon le plan de financement détaillé dans les annexes du contrat. Sur cinquante-cinq ans, l’ardoise s’élèverait donc à 605 millions d’euros », comme le précise la revue Terraeco dans son numéro du mois de mai 2013. Un sacré piège financier dans lequel l’Etat s’est fourré lui-même… On comprend que M. Ayrault reste discret sur cette question et que M. Montebourg se soit emporté contre lui il y a quelques mois lors de l’affaire de Florange.

    J’ai néanmoins l’intime conviction que cet aéroport ne se fera pas, et je partage celle-ci avec Jean-Jacques Bourdin qui, il y a quelques mois, prédisait sur RMC l’enterrement à venir de ce projet : trop d’obstacles se sont accumulé sur la route des promoteurs de cet aéroport à la fois trop coûteux (sur le plan financier comme, surtout, sur le plan environnemental) et déjà dépassé, à l’heure où les lignes rapides de chemins de fer et les surcoûts du kérosène dans les années prochaines (sommes-nous vraiment éloignés du « pic pétrolier » ?) se conjuguent pour rendre l’avion moins attractif pour les déplacements nationaux qui sont censés constituer une large part du trafic futur de l’aéroport projeté.

    http://www.nouvelle-chouannerie.com/

  • Contre-offensive à la dénaturation du mariage et à la subversion de la famille : remarques tactiques et stratégiques

    par Sébastien de Kerrero sur Nouvelles de France.

    Depuis plusieurs semaines, la tactique choisie de fait par le Gouvernement et ses relais dans les médias mainstream pour discréditer le mouvement La Manif pour Tous (LMPT) et ses satellites (Printemps Français, Camping pour tous, Cache-cache pour tous, les Veilleurs, les Mères Veilleuses, Ta ville en action, etc.) a été d’agiter la thématique des « violences ».

    Les événements ont été très instructifs sur le niveau de technicité dont disposent les officines gouvernementales (sociétés privées de conseil appointées, services de renseignement intérieurs, think thanks communautaires, etc.) En effet, les promoteurs de la loi Taubira poursuivent deux objectifs, écorner l’image du mouvement auprès de l’ensemble de la population et décourager la France « bien élevée » qui se rend aux manifestations en agitant un chiffon qui lui fait horreur. Les agents gouvernementaux espèrent essouffler le mouvement en jouant sur les codes moraux de cette France qui – à tort, nous y reviendrons – est hostile à toute forme de violence.

    Ce que répètent les agents de propagande gouvernementale – au premier chef desquels il faut compter le ministre de l’Intérieur surnommé Manuel « Gaz » – c’est que les manifestants en faveurs de la préservation du mariage seraient « violents ». [...]

    La suite sur NdF

    http://www.actionfrancaise.net

  • Le danger de la loi Taubira pour la Famille incite d'autres pays à rejoindre la Manif pour tous

    Le 26 mai, on verra des Belges à Paris :

    "Selon le dernier sondage 54% des Français sont opposés au mariage incluant le droit à adopter des enfants pour les couples homosexuels. Pour le moment, la PMA (procréation médicalement assistée) et la GPA (gestation pour autrui) ne sont pas à l’ordre du jour, mais il sera difficile de ne pas l’inclure au nom de la non-discrimination, et ce d’autant plus que la PMA et la GPA se pratiquent en Belgique.

    Personne n’a le droit d’imposer d’emblée à un enfant d’être coupé de ses origines et d’être élevé par un couple homosexuel.

    La mobilisation pour le vrai mariage ne faiblit pas : le dimanche 26 mai, la Manif pour tous appelle à manifester massivement contre le «mariage pour tous ».

    Des cars sont affrétés au départ de Bruxelles le 26 mai. Inscrivez-vous maintenant ici

    https://docs.google.com/forms/d/1aS4JJZdEeop_MtOnfdBcc2ti...

    Ce qui se passe en France est important et concerne toute l’Europe. Pour la première fois, on voit se lever un mouvement de grande ampleur en faveur du droit de chaque enfant, dans la mesure du possible, à connaître son père et sa mère et à être élevé par eux, un droit garanti par la Convention internationale des droits de l’enfant (1989, Art. 7). Cette mobilisation est un fait sociétal majeur dont les répercussions sont considérables.

    Joignons-nous en masse à la Manif pour tous du dimanche 26 mai à Paris !"

    Lahire  http://lesalonbeige.blogs.com