
Ce que Libération appelle la « contre-offense massive des anti-IVG », c’est un groupe de 12 femmes, qui ont vécu une ou plusieurs IVG et sont venues témoigner devant des sénateurs et députés. Certaines disent avoir avorté en subissant des pressions fortes, notamment de la part du père de l’enfant ; or, la société ne les protège pas de ces pressions, voire les aggrave. D’autres se sont senties libres de recourir à l’IVG, mais ont réalisé a posteriori que la société leur avait menti sur l’IVG, qu’elles n’ont pas vécue comme une simple opération médicale.







