
15/04/2022
Le plan doit “réduire la possibilité qu’une entité, une personne ou un groupe ne prenne le contrôle de Twitter en accumulant des titres sur le marché sans payer à tous les actionnaires une prime appropriée ou sans donner suffisamment de temps au conseil d’administration pour prendre des décisions éclairées”, précise le groupe dans un communiqué.
Cette clause, surnommée “pilule empoisonnée” dans le jargon financier, se déclenchera si l’actionnaire hostile dépasse les 15% d’actions de la société sans l’accord du conseil d’administration (CA).