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lobby - Page 652

  • Mineurs isolés étrangers : tout est bon pour justifier l’invasion !

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    Lors du débat récent qui a opposé, sur Russia Today, J.-Y. Le Gallou à l’experte immigrationniste Catherine Wihtol de Wenden, directrice de recherche au CNRS, et l’avocate africaine de clandestins Danielle Babin, Mme de Wenden a invoqué la Convention des droits de l’enfant adoptée par les Nations unis en 1989 comme la référence juridique imposant des règles incontestables et incontournables concernant l’accueil des mineurs isolés étrangers-mineurs non accompagnés (MIE-MNA). Il est cependant loisible de s’apercevoir que les instances de justice nationales comme internationales ont interprété dans un esprit militant d’une manière abusivement extensive des textes et des préambules ambigus et fumeux, notamment ceux de la Convention des droits de l’enfant, afin de fournir un prétexte juridique au déferlement de MIE-MNA sur le territoire français.

    La Convention internationale des droits de l’enfant, fondement de la duperie

    Un texte onusien

    En 1989, la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE), elle-même inspirée de la Déclaration des droits de l’enfant du 20 novembre 1959, a été adoptée à l’unanimité par l’Assemblée générale des Nations unies. Elle a été signée par tous les pays, dont la France en 1990, à l’exception des États-Unis.

    C’est en se référant au texte de cette convention que les immigrationnistes ont entendu légitimer juridiquement l’accueil sans filtre de dizaines de milliers de mineurs, le plus souvent africains, très souvent majeurs en réalité. La France a signé une convention internationale et doit la respecter, clament-ils !

    Les interprétations militantes de la convention

    Trois articles de la convention pourraient être évoqués pour plaider en faveur de la politique actuelle de gestion des MIE-MNA en France :

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  • Youssef fonce en voiture sur des policiers : « Je l’ai fait pour l’Etat islamique. »

    Youssef fonce en voiture sur des policiers : « Je l’ai fait pour l’Etat islamique. »

    A Colombes (92), un équipage de la police nationale à motos, déployé pour effectuer des contrôles routiers, a pris en chasse un homme à scooter qui refusait d’obtempérer. Celui-ci a abandonné son deux-roues pour prendre la fuite à bord d’une voiture. Quand un second véhicule BMW surgit et est venu les percuter de plein fouet.

    Deux policiers sont blessés dont l’un grièvement – il s’est retrouvé coincé entre une voiture de la police municipale et celle du forcené. Le premier est conduit à l’hôpital en urgence relative tandis que le second se trouve en urgence absolue, souffrant de graves blessures, dont une fracture de la jambe.

    Le conducteur de la BMW est interpellé et se présente comme Youssef T., un homme de 29 ans domicilié à Colombes et né à Lunéville (Meurthe-et-Moselle). Il est connu des services de police pour outrages à agent en 2014 mais inconnu de la DGSI. Il a déclaré qu’il vient de voir une vidéo sur la Palestine et qu’il voulait s’en prendre aux policiers. Il indique aussi : « Je l’ai fait pour l’Etat islamique. » Une lettre expliquant son geste avec des allusions possiblement terroristes est retrouvée dans le pare-sol de sa voiture ainsi qu’un couteau. Le suspect a été placé en garde à vue au service départemental de la police judiciaire des Hauts-de-Seine.

    https://www.lesalonbeige.fr/youssef-fonce-en-voiture-sur-des-policiers-je-lai-fait-pour-letat-islamique/

  • Le gouvernement par la peur a de beaux jours devant lui, à moins que….

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    Par Dominique Muselet

    Comme chacun sait, les sentiments se divisent en deux catégories, les positifs et les négatifs. Les deux ont leur utilité et d’une certaine manière se complètent. Les sentiments positifs, l’amour (agapé), la gratitude, l’admiration, engendrent une forme de symbiose qui nous permet d’acquérir les qualités de ceux envers qui nous les éprouvons. Les sentiments négatifs nous alertent sur ce qui ne va pas, en nous ou à l’extérieur. Ainsi l’envie nous indique que nous souhaiterions jouir de ce que nous envions, mais que nous ne nous sentons pas capables ou dignes de l’obtenir. La peur, quant à elle, nous signale un danger. Cependant, le danger peut être imaginaire, il faut alors, sans paniquer, faire appel à notre jugement pour s’assurer de sa réalité.

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  • Immortalité, égalité, liberté : fin des illusions !

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    Le délire transhumaniste de l’homme immortel, augmenté, prolongé, remplacé pièce par pièce, se fait plus discret face au retour de la mort dans une société qui s’évertuait à l’oublier. La mort arrive en moyenne plus tard, la médecine peut en reculer la date, mais elle demeure tellement inéluctable qu’on permet même au médecin d’en adoucir la venue, sinon de la précipiter. Le lien statistique évident entre l’âge des malades et le risque mortel introduit une inégalité naturelle qu’on avait tendance à oublier dans les idéologies obsédées par la non-discrimination.

    Cette discrimination naturelle est, d’ailleurs, reprise par la société amenée à être moins égalitaire qu’elle le prétend, lorsque la rareté des moyens, des lits ou des respirateurs, par exemple, amène à faire un « tri » entre les malades que l’on va soigner et ceux pour lesquels on choisit d’arrêter les thérapeutiques actives. Cette inégalité n’est, d’ailleurs, pas la seule qui apparaît crûment dans la parenthèse désenchantée que nous vivons. Le choix du médecin, de l’hôpital, du traitement, le lieu où l’on est confiné, les obligations professionnelles ou encore les conséquences sociales de la cessation d’une activité créent de nombreuses variations sur le thème du confinement égal pour tous. Faut-il ajouter que l’État n’est manifestement pas capable de le faire appliquer à tous et partout !

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  • Halte à l’hypocrisie des juges et des media : le racisme est très différent de ce que l’on dit !

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    Bernard Plouvier

    Une vidéo prise à Paris, ces dernières heures, aurait ému les milieux immigrationistes, dans laquelle un policier aurait émis - le conditionnel est de rigueur quand l’on connaît la virtuosité de certains truqueurs - des propos « racistes ».

    Si la chose était avérée, ce serait regrettable : toute manifestation de racisme est une stupidité, en plus de tomber sous le coup de la loi – du moins théoriquement, car certains propos racistes sont occultés par nos talentueux hommes et femmes des media et nos remarquables juristes.

    En l’occurrence, la « victime » serait un honorable voleur issu d’Afrique, opérant au sein d’une bande, qui se serait jeté dans la Seine pour échapper aux policiers puis aurait hurlé quand on l’a repêché... et les hurlements ne témoignent pas obligatoirement de « mauvais traitements », à moins de qualifier ainsi des gestes visant à éviter une noyade.

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  • Banlieues hors-la-loi – La partition en deux de la France officialisée

    Nous le savions déjà depuis longtemps : malgré les affirmations du gouvernement selon lesquelles la loi républicaine s’appliquerait partout et de la même manière sur le territoire français, les banlieues ethniques font de toute évidence, et depuis des années, l’objet d’un traitement particulier en ce sens où l’Etat a renoncé à y mettre de l’ordre et a capitulé face aux délinquants et aux islamistes. Une constatation qu’est venue prouver samedi la révélation dans les médias d’une note interne aux forces de l’ordre dans laquelle la direction de la police du Calvados demande ouvertement à ses agents de ne pas intervenir dans les quartiers « à forte concentration de population suivant le ramadan » afin d’éviter que la situation ne dégénère.
    Eviter un surcroît des émeutes ethniques

    Adressée vendredi dernier, jour du début du ramadan, à l’ensemble des commissaires du département, cette note interne est en effet on ne peut plus claire. Appelant les policiers à « faire preuve de discernement », le chef de la direction départementale de la sécurité publique du Calvados leur demande de ne pas « intervenir dans des quartiers à forte concentration de population suivant le ramadan, pour relever un tapage, contrôler un regroupement de personnes rassemblées après le coucher du soleil ». La note va même jusqu’à préciser que, « sauf atteinte aux personnes ou atteinte grave aux biens, il faut éviter qu’un manquement aux règles de confinement ne dégénère et provoque un trouble supérieur de violences urbaines » !

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  • Quoi qu’il en coûte !

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    Pieter Kerstens 

    Lors de son allocution au peuple Français le 12 mars dernier, le docteur Micron avait affirmé à trois reprises qu’il fallait soutenir l’économie française, pour éviter la grande crise, « quoi qu’il en coûte ». C’est donc l’Etat Providence qui se chargera de distribuer des revenus, des aides, des subventions, des dons et des prêts, aux sociétés comme aux personnes physiques, afin de sauver l’économie, victime des erreurs de stratégie et des mauvais choix du pouvoir en place.

    Pourtant il faut se souvenir que le Président français avait déclaré le 12 juin 2018 que les services sociaux dans l’Hexagone, « cela coûte un pognon de dingue » alors que les gens restent quand même pauvres. Il fallait selon lui, les responsabiliser davantage.

    Et on a pu se rendre compte que les assistants du docteur Micron sont mauvais, qu’ils mentent à longueur de temps à propos des « masques inutiles », des tests de détection pour les malades contaminés, des appareils respiratoires, des mesures de distanciation ou encore des fermetures des lieux de loisirs à ciel ouvert. Les ministres sont de piètres clowns au sein du Coronacircus.

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  • L’ONG Reporters Sans Frontières (RSF) publie son rapport 2020 sur la liberté de la presse. La France occupe la 34e place

    OJIM – L’ONG Reporters Sans Frontières (RSF) vient de publier son classement annuel mondial de la liberté de la presse 2020. Il revient sur la situation de cette dernière durant l’année précédente (vous pouvez retrouver notre article sur le rapport de 2019 ici).

    Ce classement est “une photographie (subjective, NDR) de la situation de la liberté de la presse, fondée sur une appréciation du pluralisme, de l’indépendance des médias, de la qualité du cadre légal et de la sécurité des journalistes” dans 180 pays du monde.

    UNE DÉCENNIE DÉCISIVE POUR LE JOURNALISME” ET UN IMPACT CERTAIN DU CORONAVIRUS SUR LE CLASSEMENT 2021

    Ce rapport commence sur de la prospective pour la nouvelle décennie qui vient de s’ouvrir, considérée comme “décisive pour le journalisme”. Cela est la conséquence des nombreuses crises auxquelles font face les journalistes : “crise géopolitique (agressivité des modèles autoritaires), technologique (absence de garanties démocratiques), démocratique (polarisation, politiques de répression), de confiance (suspicion, voire haine envers les médias d’information) et économique (appauvrissement du journalisme de qualité)”.

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  • Le 1er trimestre 2020 est l’un des moins meurtrier de ces cinq dernières années

    Le 1er trimestre 2020 est l’un des moins meurtrier de ces cinq dernières années

    Un lecteur, qui travaille sur les chiffres de l’INSEE depuis plusieurs années, a mis à jour le tableau récapitulatif des décès sur le 1er trimestre des 5 dernières annéesdéjà publié ici. Du factuel qui nous change de l’hystérie collective, avec ce principe de précaution donnant lieu à des situations ubuesques.

    Nota 1: Il s’agit des chiffres bruts téléchargeables sur le site de l’INSEE sans contrôle des éventuels doublons.

    Nota 2 : Un décès enregistré au mois de février 2020 peut correspondre à un décès survenu en 2019. Les chiffres donnés ici sont bien ceux correspondants à un décès survenu le mois dont il est question quel que soit la date où il est recensé par l’INSEE.

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  • Covid-19, Europe, mondialisation : et si nous achevions “l’ordre libéral international” ?, par Pierre-Yves Rougeyron.

    Source : https://www.valeursactuelles.com/

    La pandémie mondiale de Covid-19 semble avoir emporté avec elle, le libre-échange, les mythes européistes et la mondialisation. Pierre-Yves Rougeyron, conférencier et spécialiste des relations internationales, fait le deuil de cet ordre international qui depuis 30 ans allait à sa perte.

    Il y a des morts que l’on ne compte pas dans la pandémie actuelle, de peur peut-être que nul ne les pleure. Parmi ces défunts ou ces cacochymes, on trouve la mondialisation, le mythe européen, et maintenant « l’ordre libéral international », selon les mots d’Henry Kissinger en début de mois dans le Wall Street Journal. Le grand historien et praticien des relations internationales exhortait les États du monde à ne pas tourner le dos à la prospérité qui se trouverait au coin de la rue, entre le libre-échange mondialisé et la mobilité internationale.

    La dévotion légitime à l’une des intelligences les plus pénétrantes du XXe siècle ne doit pas nous empêcher de prendre du recul face à une défense sans mesure d’un ordre international qui n’en fut pas un. Au lieu de lui tresser des éloges funèbres ou de penser devoir le « préserver », peut-être est-il temps de l’achever ou de le laisser mourir.

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