En début de semaine, Trump a annoncé une suspension temporaire de l’immigration, pour protéger les emplois des américains, alors que 22 millions d’entre eux ont perdu leur travail en un mois. Voila une mesure claire, ferme, et l’on peut compter sur lui pour l’appliquer avec opiniâtreté. En Europe, les médias semblent se demander pourquoi une telle mesure, alors que les États-Unis sont en pleine pandémie et que les flux migratoires ne sont pas forcément intenses en ce moment précis. Et de pointer, comme toujours, le prétendu populisme compulsif et pulsionnel du président Américain, sa démagogie préélectorale.
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Immigration : Trump anticipe, l’Union européenne tergiverse et sera bientôt submergée
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Agression de Zemmour: où est passé l’esprit #JesuisCharlie?
Eric Zemmour ne peut plus faire ses courses dans son quartier, un jeune homme l’insulte, lui crache dessus, le filme en train de porter ses victuailles dans la rue puis se met en scène : défenseur on sait de quoi, il tombe le masque et dès le lendemain recommence son numéro sur les réseaux sociaux.
« Je ne suis pas d’accord avec Zemmour, mais … »
On a connu une justice plus réactive car, en ces temps de coronavirus, cracher sur quelqu’un est un acte loin d’être anodin. Mais je m’attendais surtout à une révolte de tous ceux qui défendent les libertés à longueur de temps, les journalistes défendant un confrère, les directeurs de chaîne qui ont besoin de commentateurs de talent, les femmes et les hommes politiques, le défenseur des libertés, les membres du gouvernement… Je lis les commentaires, dont certains sont assortis de la précaution « je ne suis pas d’accord avec Zemmour, mais … ». Parce qu’il faut être d’accord avec Zemmour pour lui permettre d’aller faire ses courses comme tout Français ?
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L’offensive des immigrationnistes contre les centres de rétention administrative
La rétention administrative permet de maintenir dans un lieu fermé un étranger qui fait l’objet d’une décision d’éloignement, dans l’attente de son renvoi forcé. Ce lieu est le plus souvent un centre de rétention administrative (CRA), gardé par la police.
Ces centres, dont l’existence et le fonctionnement sont indispensables au traitement des déboutés du droit d’asile et à la lutte contre l’immigration illégale, constituent des structures lourdes et onéreuses. Ils offrent un confort indécent à des délinquants lorsque l’on pense au sort des SDF français. Leur gestion est partagée avec des associations immigrationnistes qui sont loin de respecter le principe de neutralité qui leur est prescrit.
On ne peut également pas dire que l’administration des CRA et l’éloignement des personnes retenues par le ministère de l’Intérieur constitue un modèle d’efficacité et de sérénité.
Enfin, la pandémie du Covid-19 conduit les pouvoirs publics à vider les CRA des retenus qui sont ainsi largués dans la nature et contribuent au désordre public actuel.
Même si le Conseil d’État a refusé de les fermer à titre temporaire, leur fermeture définitive demeure à terme un objectif des associations gauchistes et immigrationnistes afin de détruire un instrument de la lutte contre l’invasion clandestine.Éloignement et centres de rétention administrative (CRA)
La loi permet au ministère de l’Intérieur de prendre des mesures d’éloignement forcé des étrangers illégaux ou déboutés du droit d’asile hors du territoire français. Leur application est généralement précédée d’un placement en CRA.
Un CRA n’est pas un établissement pénitentiaire. La rétention ne doit durer que le temps d’organiser matériellement cette reconduite à la frontière.
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La gauche perdant son emprise sur la vie intellectuelle, il lui reste la haine ou le discrédit
Tandis qu’Eric Zemmour a été pris à partie dans la rue, le gouvernement annonce la création d’une plateforme labellisant les informations sur le Covid-19. Dans Valeurs Actuelles, le Père Danziec analyse :
[…] La domination de la gauche sur la vie intellectuelle française, on l’observe, ne fonctionne plus. Faute de renouvellement, son logiciel apparaît plus que jamais périmé. Le réel, qui finit toujours par parler, a repris le dessus. Ils nous avaient promis un monde sans barrière, un univers sans classe, du plaisir sans limite. Le résultat fait peine à voir. Les pays sont confinés chez eux. La crise économique s’annonce sans précédent. Et, comme l’a montré le mouvement des Gilets Jaunes, la société crève de l’injonction à jouir sans entraves. Les pavés n’ont pas découvert une plage mais conduit à une impasse. Dans ce contexte de faillite de la gauche, le dialogue devient menaçant pour qui veut conserver sa place ou délétère pour qui refuse de se remettre en cause. Le progressisme l’a bien compris, à trop jouer avec le dialogue il pourrait finir par s’y brûler. Pour éviter la confrontation, il lui reste deux grands moyens : la haine ou le discrédit.
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Sur le gaz de schiste
Le 22 décembre 2017, la cour administrative d'appel de Versailles confirmait l'annulation du permis de rechercher des hydrocarbures dont le gaz de schiste dans le Sud-Est de la France. Si Total peut encore contester cette décision devant le Conseil d'État, c'est une belle victoire pour les opposants qu manifestaient en nombre à Barjac (Gard) en février 2016.
Les méfaits du gaz de schiste ont été popularisés par le documentaire américain de Josh Fox, Gasland, en 2010, malgré un contre-documentaire, TruthLand, sorti trois ans plus tard.
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Charles Prats: « La fraude sociale, c’est 30 milliards d’euros par an »
Ancien magistrat de la Délégation nationale à la lutte contre la fraude (DNLF) au ministère du Budget, Charles Prats estime que 2,5 millions d’individus « fantômes » bénéficieraient de 30 milliards de prestations sociales indues.
LE FIGARO.- L’Allemagne consacre au financement de ses dépenses de santé une part de richesse équivalente à celle de la France, affiche une pression fiscale moindre, et pourtant, son système de santé a mieux résisté que le nôtre. Comment expliquez-vous ce paradoxe ?
Charles Prats.– L’Allemagne a beaucoup plus de lits d’hospitalisation par rapport à sa population que la France, et il y a plus de médecins et moins de personnels administratifs dans les établissements de santé. Schématiquement, en Allemagne, on dépense plus d’argent pour soigner que pour administrer. En France, le débat se focalise souvent sur les impôts. On se chamaille pour savoir qui va se faire taxer et de combien. La question fondamentale devrait d’abord être: comment l’argent public est-il dépensé ?
Les spécialistes évoquent pour la France 56 % de dépense publique par rapport au PIB. Où va l’argent ?
Regardez l’état de nos armées, de notre police, de notre justice… (Suite de l’interview dans le Figaro
http://www.fdesouche.com/1370115-charles-prats-la-fraude-sociale-cest-30-milliards-deuros-par-an
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Le multiculturalisme menace-t-il notre civilisation ?
"Les éveilleurs" nous a adressé, ce jeudi, le message suivant. Nous "donnons" volontiers cette vidéo, extrêmement intéressante, qui dure un peu plus de deux heures. Ceux qui l'avaient déjà écoutée (ou qui étaient dans la salle) l'écouteront sûrement de nouveau, et avec plaisir; et ceux qui n'en avaient pas eu connaissance apprécieront sûrement, aussi, de l'avoir "en réserve", quitte à l'écouter en plusieurs fois...
La Rédaction
Chers Éveilleurs,
Le 15 décembre 2017, nous recevions Michel DE JAEGHERE, Directeur du Figaro Histoire, et Mathieu BOCK-COTE, essayiste québécois, venus analyser les ressorts et effets du multiculturalisme sur nos sociétés occidentales, en proie à une immigration massive depuis plusieurs décennies, à la lumière notamment d'un précédent historique, la disparition de l'empire romain.
Un échange passionnant entre ces deux érudits à voir et revoir !
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« Désinfox » ou la démocratie libérale en question
Nous apprenons l’existence d’un dispositif officiel dont l’objectif est d’identifier et valider les informations de presse considérées comme authentiques et ainsi d’opérer un tri, dans la presse écrite ou radio professionnelle – entre les « bonnes » et les « fausses » informations – qui ne sont pas dignes d’y figurer. Un tel raisonnement correspond à une logique de censure. Il incombe à la puissance publique, érigée en garante de la vérité, de valider les bonnes informations et dès lors, en creux, d’invalider les autres qui ne correspondent pas à sa conception du vrai ou du bien, de la vérité, ce qui revient à une forme de bannissement aux yeux du public. Certains journaux, certains articles, disent le vrai, les autres non: dès lors inutile de les lire. Or, en démocratie libérale, il n’appartient pas à l’Etat d’opérer un tri dans l’information. Nous avions déjà un naufrage du régime dans le culte de la personnalité, la neutralisation du parlement, la déresponsabilisation des gouvernements devenus quasi inamovibles quels que soient les désastres, une banalisation de la suspension des libertés individuelles (confinement obligatoire de deux mois), l’acceptation de principe de pratiques qui n’ont rien de libéral, comme le traçage. Aujourd’hui, la réintroduction d’un contrôle officiel sur l’information. Et tout cela dans l’indifférence généralisée. Une interrogation profonde: ont-ils conscience de ce qu’ils sont en train de faire? Ou juste dans l’incapacité intellectuelle d’en avoir conscience? Nous nous disions, attention, la démocratie libérale est d’autant plus précieuse qu’elle est fragile. Mais nous n’y croyons pas vraiment, nous la pensions, au fond, immortelle. La preuve est faite que non.
Maxime TANDONNET
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À qui profitent les politiques publiques ?
En France et en Europe, les populations issues de l'immigration sont devenues les bons clients des politiques publiques.
La politique de la ville fête ses 40 ans, le Fonds Social Européen ses 60 ans. Vous connaissez la première avec ses avatars : zones d'éducation prioritaire, zones urbaines sensibles, plans banlieues, contrats de ville, écoles de la deuxième chance... Le second, le FSE, plus méconnu, n'en est pas moins généreux avec ses milliards déversés à tous les pays pour leurs politiques de l'emploi, de l'insertion et de lutte contre les discriminations. L'État-providence existe encore pour certaines catégories. De plus en plus, des politiques publiques à l'unisson d'une discrimination positive assez discrète, concentrent des crédits vers des territoires et certains publics.
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Mutation mondialiste du pays légal (La technocrature, maladie sénile de la démocratie : 8/10), par Philippe Germain.
Table des matières
- 1 Par Germain Philippe
- 1.1 (La technocrature, maladie sénile de la démocratie : 8/10)
- 1.2 Hégémonie du capitalisme financier
- 1.3 Désindustrialisation de la France
- 1.4 Fragilisation de l’élite politique libérale
- 1.5 L’Etablissement et la Gauche
- 1.6 La gauche et la Technocratie
- 1.7 Technocratie et internationalisation polymorphe du marché.
- 1.8 Le mondialisme par l’Europe
Résumé : En 2017 la technocrature a pris le pouvoir pour sauver la démocratie disqualifiée par son élite politique. Insatisfaite de l’explication par le complotisme d’ultragauche et celle du référentiel populiste, l’Action française analyse la technocrature comme un phénomène de physique sociale. Utilisant la loi historique « du développement d’oligarchies nouvelles », elle découvre que Bonaparte a crée une nouvelle classe de privilégiés. Ce « pays légal » est un système oligarchique circulaire où trois élites financière, politique et médiatique s’épanouissent dans le cadre du régime républicain. Les commis de l’élite politique, les technocrates se sont ensuite constituée en une élite, bientôt déstabilisatrice du système oligarchique circulaire.
Hégémonie du capitalisme financier
Le début du septennat de Valéry Giscard d’ Estaing, correspond au clap de fin des trente glorieuses. Peu d’acteurs perçoivent l’enclenchement du vieillissement de la société Industrielle. La pathologie est masquée par les mesures sociétales progressistes prises par l’élite politique de centre-droit. Encore moins d’observateurs perçoivent que la Technocratie va entamer la mutation du pays légal vers le mondialisme.
Sous Giscard (1974-1981), héritier de la nouvelle classe bonapartiste et pur produit de la Technocratie, l’Etablissement va pouvoir régner sans partage. Symboliquement le premier président de la République énarque fait appel à Jean-Jacques Servan-Schreiber, figure de proue de la Technocratie européiste. Pour s’enrichir par le pillage de l’Etat, l’élite financière va profiter des pouvoirs de la Technocratie à travers un soutien sans faille.
- 1 Par Germain Philippe