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lobby - Page 655

  • Aux origines de la cathophobie

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    L’hostilité de la société moderne à l’Église catholique ne date pas d’aujourd’hui. Au-delà de ses aspects les plus démonstratifs, ses raisons sont liées à la vocation même de l’Église.

    Simple aperçu sur une réalité mal connue selon une note de la direction générale de la gendarmerie nationale, publiée par Le Figaro le 22 septembre 2010, il se commet en France une profanation antichrétienne tous les deux jours. Encore ce chiffre paraît-il minoré si l'on se réfère aux indications que Brice Hortefeux a fournies le 4 novembre au Conseil de l'Europe, dans lesquelles le ministre de l'Intérieur évoque 410 dégradations de sites chrétiens (cimetières et lieux de culte) entre le 1er janvier et le 30 septembre 2010 soit plus d'une par jour. En regard, 40 sites musulmans et 35 sites israélites ont été vandalisés au cours de la même période.

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  • Sur Sud Radio avec André Bercof, Serge Rader -"7 milliards de personnes à vacciner, c'est un pactole inimaginable !".

    Ancien pharmacien, Serge Rader est auteur de plusieurs études sur les médicaments est l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Philippe Vardon : « Tout est prétexte à l’émeute, à l’embrasement et aux attaques contre les forces de l’ordre »

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    Philippe Vardon réagit à la multiplication des scènes d’émeute dans les cités.

     
  • Covid-19 : Alain Bauer recadre Apolline de Malherbe sur les mensonges du gouvernement

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    Sur BFMTV, Alain Bauer a recadré Apolline de Malherbe au sujet des nombreux mensonges du gouvernement dans la gestion de la crise sanitaire qui touche le pays.

    https://fr.novopress.info/217447/covid-19-alain-bauer-recadre-apolline-de-malherbe-sur-les-mensonges-du-gouvernement/

  • Les élites du Pays légal, par Germain Philippe (La technocrature, maladie sénile de la démocratie : 6/8).

    Résumé : En 2017 la technocrature à pris le pouvoir pour sauver la démocratie disqualifiée par son élite politique. Ne pouvant se satisfaire de la dénonciation complotiste de l’ultragauche, ni du référentiel populiste, l’Action française analyse la technocrature comme un phénomène de physique sociale. Utilisant la loi historique « du développement d’oligarchies nouvelles », elle découvre que Bonaparte a crée une nouvelle classe de privilégiés, nommée suivant les époques : Oligarchie ou Nomenklatura ou Pays légal. Cette classe est soudée par l’enrichissement résultant de le maîtrise de l’appareil d’Etat.

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  • Le petit Alan Kurdi, otage médiatique : de l’image choc à l’arrière-plan

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    Le 2 septembre 2015, en pleine crise des migrants, la publication d’une photo d’un enfant de 3 ans dénommé Alan Kurdi, échoué mort sur la plage turque de Bodrum, a changé le cours des événements. À l‘occasion du récent épilogue judiciaire de cette affaire intervenue le 13 mars 2020, le recul permet de passer du gros plan sensationnaliste à un arrière-plan plus complexe.

    La photo bouleversante en gros plan d’un enfant mort sur une plage a été reprise à l’époque dans de nombreux médias. Elle a été un élément majeur dans l’ouverture des frontières de plusieurs pays européens à l’immigration clandestine. Une ouverture amorcée par l’annonce un peu plus tôt de la chancelière Angela Merkel de son souhait d’accueillir jusqu’à 800 000 migrants en Allemagne. Depuis cette date, si la route des Balkans vers l’Europe de l’ouest est plus difficile à emprunter, ce sont néanmoins des millions de migrants extra-européens qui se sont installés en Europe. Le temps a permis d’en savoir plus sur les circonstances de ce drame excessivement médiatisé.

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  • La technocrature, maladie sénile de la démocratie La technocrature, maladie sénile de la démocratie, par Germain Philippe.

    Oligarchie-Nomenklatura-Pays légal

    En 2017 la «  technocrature  » à pris le pouvoir politique pour sauver le Système disqualifié par l’élite politique. La pertinente dénonciation de ce coup de force technocratique a  été réalisée par l’ultra-gauche mais dans l’approche complotiste des «  gros contre les petits  ». S’étant également intéressé au schéma explicatif proposé par le populisme, les maurrassiens préfèrent pourtant analyser la technocrature comme un phénomène de physique sociale au travers la distinction Pays légal/pays réel

    Pour cela ils doivent traiter de l’oligarchie, ce concept  mis en avant depuis 2010, par le monarcho-gaulliste Bertrand Renouvin  : «  Il faut lire Alain Minc. Non pour apprendre quelque chose sur l’économie et la finance. Mais pour savoir comment ça pense, un oligarque. Ou plutôt, comment ça regarde le monde et la société française. Ecoutons Alain Minc comme on écoute une radio ennemie, pour savoir ce qui se trame dans l’élite au pouvoir.  » Ce même  Alain Minc sera en 2017 un soutien farouche au technocrate Macron et à l’oligarchie.

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  • Revue de presse : Chronique d’une catastrophe prévue mais à laquelle on n’a su – ou voulu - se préparer…

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    Il y a quatorze ans, en 2006, en pleine épidémie de grippe aviaire (virus H5N1), l’hebdomadaire Valeurs actuelles, dans son numéro du 3 mars, publiait, sous le titre : « Le coût d’une pandémie », un article prémonitoire de la journaliste Anaïs Guilbaud. Nous vous en livrons les meilleurs passages…

    « (…) Le 11 février (2006 - NDLR), les ministres des Finances du G-8 réunis à Moscou ont insisté sur le coût d’une éventuelle épidémie de grippe aviaire – se transmettant d’homme à homme à une très grande échelle après mutation du virus – sur l’économie mondiale. Différentes estimations plus ou moins catastrophistes ont été faites, notamment aux Etats-Unis, au Canada et en Asie. Toutefois, les incertitudes quant à la virulence et à la contagiosité du virus une fois qu’il aura muté empêchent de déterminer de manière précise le nombre de personnes susceptibles de contracter la maladie, voire d’en mourir, et les impacts économiques qui pourraient en résulter.

    Deux types d’effets sont déjà envisageables, hormis les pertes de production de volaille et d’exportation.

    En cas de pandémie, l’impact le plus immédiat ne serait pas lié aux décès ou maladies mais aux efforts des individus pour éviter l’infection.

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  • Violer la loi et se faire passer pour une victime…

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    « L’homme de ce temps a le cœur dur et la tripe sensible », écrivait Bernanos, en 1936.

    Autres temps, autres circonstances, mais le constat est le même. Depuis quelques jours, nous assistons à la médiatisation larmoyante des verbatim de candidats français à la GPA, que la fermeture des frontières empêche de réceptionner la livraison du bébé commandé. On peut « admirer » la puissance du lobby pro-GPA qui leur assure une couverture médiatique de première importance. Mais n’ayons crainte, dans quelques années, lorsque les enfants achetés par GPA saisiront les tribunaux pour dénoncer la violation de leurs droits fondamentaux, ces mêmes médias pousseront des cris de vierge effarouchée comme ils le font, aujourd’hui, autour des scandales de pédophilie mondaine.

    Cœur dur et tripe sensible privent l’homme moderne de ses capacités de raisonnement. Ainsi, dans ces tristes affaires, il détourne les concepts et vide les mots de leur sens : il parle d’humanité et d’intérêt de l’enfant pour justifier des processus qui ne sont rien d’autre que de l’exploitation de la misère humaine et du trafic d’êtres humains. Il se noie dans une obsession victimaire, caractérisée par « du ressentiment, des jérémiades sans fin, un médiocre apitoiement »[1] pour des personnes qui s’autoproclament indûment victimes.

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  • Le « crime » racial est imprescriptible Où s'arrêtera la chasse aux sorcières ?

    Où s'arrêtera la chasse aux sorcières ?.jpegJusqu'où iront-ils ? « Ils », ce sont tous ceux qui se focalisent jusqu'à la névrose, sur les années 1940. Il faut en parler toujours. Trouver la phrase ou découvrir le simple mot qui permettent de recommencer l'éternel procès des acteurs de ces années qui ont dérapé, ne fut-ce qu'une fois, sur la question raciale.

    Le 8 mai 1945, l'Allemagne capitule sans condition. Exit le nazisme. Au diable Hitler. Outre-Rhin, le procès de Nuremberg rime avec condamnations et pendaisons. En France, c'est l'épuration avec son cortège de dégradations et d'exécutions. Soixante ans plus tard, chacun pourrait croire que la page est bien tournée. Il n'en est rien. Nous avions déjà eu droit aux procès à retardement des octogénaires sortis du formol pour rejoindre le banc des accusés Barbie, Touvier, Bousquet, Papon, ou la gérontologie au centre des réquisitoires.

    Les fonds de tiroir raclés jusqu'à épuisement, il faut trouver ailleurs. Les écrivains ! Beaucoup sont morts, mais leurs écrits sont restés. Il y a dix ans, le cadavre du docteur Alexis Carrel, prix Nobel de médecine et de physiologie en 1912, et auteur d'un ouvrage magistral, L'homme, cet inconnu, publié en 1935, est exhumé. Carrel a défendu des thèses eugénistes. Il a donc ouvert la porte des chambres à gaz. Les rues qui portent son nom sont débaptisées. Lyon. Paris. Rennes. Plus d'une quinzaine de villes épurent la voirie du nom de ce médecin de sinistre mémoire. Philippe Marini, le maire de Compiègne, qui s'obstine à vouloir conserver sa rue Alexis-Carrel, est dénoncé par les ligues de vertu.

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