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[MIGRANTS] Fidèle à elle-même, l'UE abandonne la Grèce à son sort
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La principale victime du coronavirus ? 30 ans d’idéologie dominante…
Rues vides, bars et restaurants fermés, usines à l’arrêt au point de faire basculer le pays dans la récession, Bruno Le Maire annonçant une croissance à -1% pour 2020 (même causes mêmes effets pour la zone euro)… Il y a pourtant des tonnes d’enseignements à tirer sur cette crise sanitaire qui va créer une crise économique dont les conséquences risquent d’être pires que celles de 2008.
Tout d’abord d’un point de vue sanitaire, cette crise est le symbole de la faillite totale des politiques menées depuis des décennies.
Notre pays vieillit, chose prévisible depuis des années, et une épidémie qui ne nécessite l’hospitalisation que de 5% des personnes touchées par le virus met nos hôpitaux en surtension au point de devoir mobiliser un hôpital militaire en Alsace. Un seul chiffre explique la submersion de nos hôpitaux par les malades : nous avons supprimé 100 000 lits d’hôpital sur les 20 dernières années. Première faillite de l’idéologie dominante de ces dernières années.
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Et maintenant la fin de la CEDH
L’ECLJ nous informait récemment que, par une double décision rendue publique jeudi 12 mars, 3 juges de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) ont privé les sages-femmes européennes de la garantie de leur droit à l’objection de conscience face à l’avortement. Cette décision peut s’appliquer, par extension, à toute la profession médicale.
L’ECLJ est notamment l’auteur d’un rapport sur les relations existant entre plusieurs juges de la Cour européenne des droits de l’homme et des ONG actives devant cette Cour. Rapport explosif qui n’a pas provoqué la crise judiciaire que nous serions en droit d’attendre.
Mais c’est le coronavirus qui semble avoir la peau de la CEDH. La Lettonie, la Roumanie, la Moldavie et l’Arménie viennent d’activer l’article de la Convention européenne des droits de l’Homme qui permet d’y déroger en état d’urgence et d’autres pourraient suivre. Ces quatre Etats membres du Conseil de l’Europe (sur 47) ont “officiellement notifié” ces derniers jours se trouver en état d’urgence et activer la dérogation prévue par l’article 15 de la Convention. La France n’a à ce jour pas notifié de dérogation au secrétaire général du Conseil de l’Europe.
L’article 15 prévoit qu'”en cas de guerre ou en cas d’autre danger public menaçant la vie de la nation”, un Etat membre
“peut prendre des mesures dérogeant aux obligations prévues par la CEDH, dans la stricte mesure où la situation l’exige et à la condition que ces mesures ne soient pas en contradiction avec les autres obligations découlant du droit international”.
https://www.lesalonbeige.fr/et-maintenant-la-fin-de-la-cedh/
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Ils sont ignobles [Addendum]
Le sénateur Laurence Rossignol a déposé un amendement au Projet de loi Urgence covid-19, profitant de la crise sanitaire pour tenter de faire passer de nouvelles transgressions éthiques, sans aucun scrupule :
Par dérogation aux articles L. 2212-1 et L. 2212-7 du code de la santé publique, jusqu’au 31 juillet 2020, l’interruption de grossesse peut être pratiquée jusqu’à la fin de la quatorzième semaine de grossesse.
Elle explique :
Déjà, des services d’orthogénie constatent que les restrictions de circulation à l’intérieur et à l’extérieur du territoire français combinés aux bouleversements de l’activité hospitalière fragilisent les conditions d’accès à l’IVG et renforcent les inégalités territoriales.
Le CNGOF a adressé le 17 mars à ses membres des recommandations pour assurer la continuité tout en limitant leur durée et leur complexité de la prise en charge et pour accueillir « les patientes possible COVID-19 ».
À la demande de plusieurs professionnels de santé, par anticipation des risques d’impossibilité d’assurer les IVG dans les délais légaux, cet amendement vise à permettre au Gouvernement d’allonger de deux semaines les délais légaux et de supprimer l’exigence d’une deuxième consultation pour les mineures.
Addendum 20/03 : son amendement a été rejeté.
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Des jeunes caillassent policiers et pompiers en plein confinement dans le 93 et sont relâchés car les faits “étaient insuffisamment caractérisés”
A Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) dans la soirée du mardi 17 mars, alors que la France est en plein confinement pour tenter d’endiguer la propagation du Coronavirus, une vingtaine de jeune encapuchonnés ont mis en place un guet-apens, dans la cité des 3 000, rapporte Le Parisien.
Après avoir mis le feu à des conteneurs pour attirer les forces de l’ordre, les racailles ont caillassé (pierres, barres de fer) les pompiers et la vingtaine de policiers dépêchés sur place. Le secteur avait, au préalable, été plongé dans le noir. « Comme c’est le cas toutes les nuits, les compteurs électriques sont neutralisés par des individus », déplore une source policière.
Les forces de l’ordre ont du faire usage de leurs grenades de désencerclement pour se défendre, « mais personne n’est venu au contact », explique un agent arrivé sur place. « En 40 minutes, c’était réglé. A 23 heures, tout était rentré dans l’ordre », témoigne-t-il.
Six individus ont été arrêtés pour « participation à un attroupement armé »… avant d’être immédiatement relâchés par le parquet de Bobigny car les faits « étaient insuffisamment caractérisés »… ils ont simplement écopé de l’amende de 135 euros mise en place pour verbaliser les individus qui refusent de se plier aux règles du confinement.
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Sur C News, Eric Zemmour : "Nous n'avons pas fermé les frontières, nous le payons".
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Thierry Mariani dénonce la lâcheté de l'UE à l'endroit de l'islamiste Erdogan !
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Ce que Greta Thunberg devrait savoir
La professeure Claudia von Werlhof du « Mouvement planétaire pour la Terre Mère » a écrit une lettre ouverte à Greta Thunberg en octobre 2019. Elle lui demande ainsi qu’à tous ceux qui participent au mouvement des « Vendredis pour le futur » de mieux s’informer, afin qu’ils ne deviennent pas sans le savoir complices de la destruction de la Terre.
Elle prouve qu’il y a trop peu plutôt que trop de CO2 pour la croissance des végétaux. Avec seulement 0,04 % de l’atmosphère, dont seulement 3 % sont d’origine humaine, le CO2 n’a rien à voir avec le changement climatique. Le professeur von Werlhof en indique les vraies raisons : les rayonnements électromagnétiques et micro-ondes, jusqu’à la 5G, qui déjà depuis des années sont utilisés dans l’armée comme armes à rayonnement.
Les changements météorologiques perceptibles et les catastrophes météorologiques proviennent des GRS (Gestion des radiations solaires) aussi appelées chemtrails. Ce cocktail de nanoparticules d’aluminium, de strontium, de baryum, de lithium, de polymères et d’autres substances toxiques empoisonne la nature et détruit la couche d’ozone. S’ajoutent à cela plus de 2 000 explosions atomiques et guerres météorologiques, qui sont pour la plupart inconnues de l’humanité.
La lettre ouverte se termine par la conclusion : « Toi, Greta, et vous tous, vous êtes passés à côté de l’essentiel et vous avez sans le savoir raconté un mensonge au monde entier. Vous contribuez à imposer une politique qui ne profite ni à la Terre ni à sa météo ou son climat, mais qui profite seulement à certains investisseurs et à certaines multinationales. »
de ab.
Source(s): Kla TV
Sources / Liens : www.pbme-online.org/2019/10/01/greta-und-die-grosse-verwirrung-2-offener-brief-an-greta-thunberg/
www.epochtimes.de/assets/uploads/2019/09/Erster-Offener-Brief-an-Klimakabinett_Prof-Doehler1.pdfhttps://www.alterinfo.ch/2020/03/14/ce-que-greta-thunberg-devrait-savoir/
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Féministes, prostates et CRS, par Aristide Renou.
Réfuter une idiotie est un des grands plaisirs de l’existence. Et lorsque cette idiotie est par surcroit toxique, nuisible, malfaisante, le plaisir est encore plus grand.
De toutes les formes de réfutation possible, ma préférée est la réfutation en actes – la réfutation silencieuse mais sans réplique, et qui souvent échappe à celui qui est réfuté, cerise sur le gâteau de mon contentement.
Genre, Diogène marchant de long en large devant Zénon en train de lui démontrer par A+B que le mouvement n’existe pas ; ou bien Simone de Beauvoir, la grand-mère de toutes les féministes « radicales », se conduisant comme une serpillère avec son Jean-Paul ; ou encore un adepte de Michel Foucault se précipitant chez le médecin pour faire soigner son panaris après avoir expliqué pendant des années que la médecine n’était qu’un « pouvoir » et un « discours » comme les autres.
Or donc, ceci étant posé, comment ne pas sourire d’une oreille à l’autre en entendant des militantes féministes, tendance « on va tous leur couper les couilles au ras de poils », se plaindre d’avoir été victimes de violences policières ?
On commence par défiler en scandant : « Un homme, une balle, justice sociale ! », on déploie des banderoles sur lesquelles sont marqués de sympathiques slogans du type : « Dis à ton père, ton pote, ton frère, que la fête est finie, les féministes sont de sortie ! », on tague sur les vitrines « On se lève et on broie vos prostates » ; on se sent bien, on se sent invincibles, on en est sûre le genre est une construction sociale et on se dit que ces salauds de mâles doivent trembler dans leur slip kangourou en voyant toutes ces femmes fortes rassemblées. Ce soir, on châtre le patriarcat avec un sécateur rouillé après lui avoir enfoncé une batte de base-ball entourée de fil de fer barbelé dans le fondement. Toutes ensemble ! Toutes ensemble ! Ouais !
Mais soudain apparaissent des hommes – des hommes ! – casqués et bottés, dont manifestement « Le deuxième sexe » n’est pas le livre de chevet (savent-ils seulement lire ? Cela est douteux), et qui en quelques minutes dispersent sans ménagement les femmes fortes. La fête est finie, en effet, mais pas tout à fait comme on l’espérait.
Adieu machos castrés, prostates broyées, patriarcat pulvérisé, il ne reste plus qu’à aller soigner son orgueil blessé en allant se plaindre amèrement dans les colonnes de Libé… Le genre comme construction sociale vient d’être réfuté par un coup de pied au cul virilement administré et nos militantes dépitées pourront désormais méditer à loisir cette parole d’un grand philosophe : « L’égalité des sexes ? On en reparlera lorsqu’il faudra porter quelque chose de lourd. »
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Royaume-Uni : un « pionnier de la lutte antiraciste » exclu du parti travailliste pour s’être inquiété des abus sexuels de masse commis par des Pakistanais (MàJ)
Un militant contre le racisme, fâché avec son leader, a été exclu pour avoir critiqué des positions prises par des musulmans.
De l’aveu même d’une éminente figure du Labour, lord John Mann, la dernière affaire qui secoue le parti est «orwellienne». C’est un pionnier de la lutte contre le racisme au Royaume-Uni que les travaillistes viennent d’exclure de leurs rangs. Accusé d’«islamophobie», Trevor Phillips a été suspendu de la formation encore menée par Jeremy Corbyn, et il risque désormais d’en être expulsé.
Ce militant contre le racisme des premières heures se retrouve donc accusé d’islamophobie, notamment parce qu’il s’est inquiété d’abus sexuels sur des enfants commis par des Pakistanais musulmans dans des villes du nord de l’Angleterre. On lui reproche aussi d’avoir regretté que si peu de musulmans portent un coquelicot le Jour du souvenir, pour soutenir les familles des soldats morts ou blessés au combat. Ou encore de s’être insurgé contre le pourcentage significatif de musulmans comprenant les motivations des tueurs de Charlie Hebdo. La plupart de ces propos remontent à plusieurs années
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