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lobby - Page 673

  • Le contre-sens suicidaire de la prétendue « écologie ».

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    Le grand paradoxe ou plutôt l’énorme mensonge de « l’écologie » politique repose sur une idée : la vie. La pandémie du Covid-19 a accentué au-delà du raisonnable la peur de la mort. Ni le nombre de morts, ni les tranches d’âge assez logiquement les plus touchées n’auraient du conduire à pareille panique planétaire augmentée dans notre pays par la gesticulation d’un gouvernement dépassé par la question. Sans doute la priorité donnée à la protection de la vie a-t-elle facilité un glissement de l’opinion vers ceux dont le fonds de commerce se confond avec l’exploitation politique de la peur face aux menaces chimique ou nucléaire. Entre pollution et contamination, l’amalgame sémantique a été depuis longtemps utilisé par les marxistes repeints en vert qui se sont emparés de « l’écologie ». Le climat mental créé par la crise sanitaire a donc développé surtout chez les urbains des grandes villes l’idée qu’il fallait améliorer la qualité de l’air, de l’alimentation, et se méfier davantage des produits d’une grande industrie cynique prête à jouer sur notre santé pour augmenter ses profits. Le rôle des grands laboratoires pharmaceutiques dans « l’étrange défaite » de notre système de santé et en particulier dans le navrant débat autour du « protocole Raoult » a donné du crédit à cette hostilité et permis la réunion contre le capitalisme du gauchisme assoiffé de révolution et des bobos soucieux de leur santé. Le taux d’abstention avec sans doute une mobilisation plus sélective des électeurs a fait le reste. On remarquera seulement que l’autre bénéficiaire politique potentiel de la pandémie, le souverainisme, qui dénonce lui de manière plus précise,  et l’excessive circulation des biens et des personnes, et la délocalisation de notre production, qui expliquent à la fois la propagation rapide du virus et l’absence des moyens matériels pour le combattre, n’a pas su utiliser cette carte pourtant maîtresse.

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  • Conseil d'État : quand l'État se fait juge et partie

    Plus haute juridiction administrative, le Conseil D’État est censé arbitrer les conflits entre l’État et les citoyens. Mais son indépendance à l’égard du pouvoir est sujette à caution.

    Sis au Palais-Royal, à Paris, le Conseil d'État est « la confrérie la plus prestigieuse et la plus secrète de la République » selon le journaliste Yan Stefanovitch, qui lui consacre un livre très documenté, paru au mois de mars(1). Il exerce une double fonction de conseiller du gouvernement et de juge administratif en cas de conflit entre l'État et les citoyens, et la jurisprudence de ses décisions, « encadre la vie quotidienne des Français dans toutes ses dimensions » : restrictions aux droits face au terrorisme, liberté de manifester et utilisation d'armes létales ou non par la police, port du voile, mouvements migratoires, retraits de permis de conduire, permis de construire, attribution d'aides sociales, droits et libertés des fonctionnaires, réclamations pour des impôts indus... Ou liberté du culte, comme on l'a vu le 18 mai, lorsque le Conseil d'État a ordonné au gouvernement de rouvrir les lieux de culte.

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  • « Avec les éoliennes, l’écologie, c’est du vent ! » L’édito de Charles SANNAT

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    Haaaa…. l’icoulougie et le développement durable ! Qu’est-ce cela me fait rire !
    Tous les écolos me font rire. Surtout les jeunots adeptent de la jeune gourette (un gourou c’est un chef de secte), mais comme il faut tout féminiser dans ce monde de parité (même quand elle stupide) on doit dire je ne sais pas moi une gourette par exemple.
    Je pense évidemment à la Greta.
    Il y aura bien des esprits chagrins pour me dire que gourette cela fait penser à se gourer… pas faux. Mais comme Greta et ses jeunes adeptes se gourent en se fourrant leurs petits doigts jusqu’au tréfonds des yeux cela me va bien.
    Déjà ils luttent pour la planète un i-phone dans une main et en faisant la queue chez mac-do pour un hamburger à la fin.
    Ensuite ils veulent des voitures, des trottinettes et des vélos électriques, aux batteries super bonnes pour la planète.
    Bon, encore une fois pas grave.
    Les batteries sont produites en Chine et tuent pleins de petits Chinois.
    Le racisme c’est pas bien mais tuer les petits Chinois ça c’est bien.
    Puis une fois utilisées, les batteries des i-phones, des trottinettes, des vélos, et des bagnoles partent au « recyclage » et terminent sous forme de déchets « ultimes ».
    Vous savez ce que c’est un déchet ultime ?
    Je vais vous le dire moi, car un écolo cela parle de « déchet ultime », mais un déchet ultime c’est la quintessence d’une vraie merde environnementale dont on ne sait pas quoi faire à part l’enterrer, la jeter à la mer.
    Et pour ça on a l’Afrique.

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  • Le poison racialiste ou l'exigence pour tous...

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    J'en ai plus qu'assez de cette obsession de la couleur de peau.

    De la part de la malfaisance des racistes comme de la dénonciation des antiracistes.

    Depuis quelque temps, au fil des polémiques, des manifestations, des haines et des approximations, à cause de la volonté perverse de minorités prétendant constituer la France en séparatismes hostiles les uns aux autres au pire ou au mieux indifférents, notre pays glisse sur une pente maléfique où l'éclatement ne se repent même plus de se greffer sur la couleur de peau mais s'en félicite.

    Affirmer qu'on appartient tous à la communauté humaine, que la France est notre bien commun et qu'elle devrait se moquer de nos origines est une banalité mais il est plus que jamais nécessaire, en ces temps chahutés où le pouvoir comme beaucoup de citoyens perdent leurs repères, de rappeler cette évidence.

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  • L’université en procès ?, par Gérard Leclerc.

    Siège principal de l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS)© Celette / CC by-sa

    Est-il vrai, comme le veut Le Monde qu’Emmanuel Macron s’est aliéné les sciences sociales, en s’en prenant au monde universitaire ? Tout est parti de quelques phrases prononcées en privé par le président de la République et rapportées par le quotidien du soir : « Il – le monde universitaire – a encouragé l’ethnicisation de la question sociale, en pensant que c’était un bon filon. Or, le débouché ne peut être que sécessionniste. Cela revient à casser la République en deux. »

    On comprend qu’une telle assertion ait provoqué un bel émoi du côté des intéressés, d’abord ceux qui se sont sentis visés à juste titre, et les autres qui ont estimé injuste le caractère général de l’accusation. Il n’empêche que le président a posé une question judicieuse et que, sur ce point précis, j’ai de bonnes raisons de penser qu’il a été bien conseillé.

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  • Chers écologistes, par Aristide Renou.

    Vous croyez à la vertu de l’exemple. Vous y croyez dur comme fer.

    Vous croyez par exemple qu’il est pertinent de réduire la vitesse maximale autorisée sur autoroute à 110km/h. Sachant que la France représente à peine 0,9% des émissions mondiales annuelles de Gaz à Effet de Serre (GES), que les transports représentent 39% de ce 0,9 et les transports routiers 80% de ces 39% et sachant enfin que, selon les savants calculs des « experts », passer au 110km/h réduirait de 20% les émissions de GES des usagers des autoroutes, il est facile de calculer que ce passage au 110km/h assurerait une réduction des émissions mondiales de GES de 0,056% - ce en supposant bien sûr que la totalité du transport routier français ait lieu sur autoroute, que tous les usagers roulent à la vitesse maximum autorisée et que par ailleurs il n’y ait aucun report du trafic vers le réseau secondaire.

    Comme cette dernière hypothèse est évidemment fausse, la réduction réelle sera très, très inférieure à 0,056. Et, tout aussi évidemment, une telle réduction microscopique ne pourrait avoir strictement aucun effet sur le « changement climatique » qui vous préoccupe tant et qui, selon vous, justifierait le passage au 110km/h.

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  • CULTURE DE MORT : AVORTEMENT Le Monde de demain : c’est encore plus d’avortements selon le HCE

    Le Monde de demain : c’est encore plus d’avortements selon le HCE

    Le Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes publie, chaque semaine, depuis la fin du mois d’avril, des analyses et des propositions pour dénoncer des atteintes à l’égalité entre les femmes et les hommes et pour recommander des pistes d’action aux pouvoirs publics. Première vigilance, je vous le donne en mille : l’avortement, alors que la France compte plus de 220 000 avortements chaque année. Le sang appelle le sang…

    Le HCE constate la pénurie de médecins pratiquant l’avortement. Durant le confinement,

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  • Énergie électrique : peut-on continuer longtemps à dire des âneries ?

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    Loïk Le Floch-Prigent Contrepoints

    Quand va-t-on arrêter de prendre 65 millions de Français pour des enfants attardés à qui on peut asséner n’importe quoi ? Les masques ne vous ont-ils pas suffi ?

    Le 11 juin la ministre de l’Écologie et de l’énergie accompagnée du président de RTE responsable du réseau électrique national ont voulu rassurer les Français : ils sont vigilants, s’il fait froid cet hiver, il n’y aura pas de black-out !

    Après que les Français, désormais masqués, se souviennent des propos rassurants du début de la pandémie sur le fait que, certes nous n’avions pas de masques, mais qu’ils étaient inutiles et peut-être même nuisibles, cet avertissement du type « dormez bien mes petits », a des saveurs d’avertissement !

    Il est vrai que l’ensemble du discours qui suit montre bien l’étendue du problème. Le PPE, dont les décrets sont sortis en avril, est déjà dépassé et c’est grâce aux centrales à gaz, et aux centrales à charbon qui ne ferment qu’en 2022, que nous allons nous en sortir cet hiver 2020/2021 !

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  • Un nouveau campement de migrants à Paris pour exiger une meilleure prise en charge

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    Environ 70 migrants campent, désormais, dans un square, près de la place de la République à Paris, pour exiger de l’État une meilleure prise en charge.

    C’est un coup de force de la part de plusieurs dizaines de migrants qui se sont installés près de la place de la République. À l’initiative de plusieurs associations humanitaires comme Médecins sans frontières, Utopia56 et COMEDE, ces « mineurs non accompagnés » ont été installés dans des tentes, lundi 29 juin.

    Un recours fait par les associations

    Une action qui a pour but de demander à l’État une meilleure prise en charge des migrants. Selon eux, « environ 300 » mineurs isolés vivent à Paris et dans sa banlieue, dans des hôtels ou à la rue. « Aujourd’hui, rien n’est adapté pour héberger et accueillir dignement ces jeunes en attendant leur jugement », reconnaît Florent Boyer, coordinateur d’Utopia56 à Paris.

    Un jugement qui doit intervenir entre six mois et un an et demi, depuis qu’un recours a été fait par ces militants pour que ces mineurs soient reconnus comme « des enfants en danger ».

    https://www.bvoltaire.fr/un-nouveau-campement-de-migrants-a-paris-pour-exiger-une-meilleure-prise-en-charge/

  • Un nouveau campement de migrants à Paris pour exiger une meilleure prise en charge

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    Environ 70 migrants campent, désormais, dans un square, près de la place de la République à Paris, pour exiger de l’État une meilleure prise en charge.

    C’est un coup de force de la part de plusieurs dizaines de migrants qui se sont installés près de la place de la République. À l’initiative de plusieurs associations humanitaires comme Médecins sans frontières, Utopia56 et COMEDE, ces « mineurs non accompagnés » ont été installés dans des tentes, lundi 29 juin.

    Un recours fait par les associations

    Une action qui a pour but de demander à l’État une meilleure prise en charge des migrants. Selon eux, « environ 300 » mineurs isolés vivent à Paris et dans sa banlieue, dans des hôtels ou à la rue. « Aujourd’hui, rien n’est adapté pour héberger et accueillir dignement ces jeunes en attendant leur jugement », reconnaît Florent Boyer, coordinateur d’Utopia56 à Paris.

    Un jugement qui doit intervenir entre six mois et un an et demi, depuis qu’un recours a été fait par ces militants pour que ces mineurs soient reconnus comme « des enfants en danger ».

    https://www.bvoltaire.fr/un-nouveau-campement-de-migrants-a-paris-pour-exiger-une-meilleure-prise-en-charge/