
L’Union européenne est une vielle dame un peu gâteuse envahie par une foule de commissaires, d’élus et de fonctionnaires inutiles qui vivent à ses crochets. Veuve depuis très longtemps d’un homme entreprenant et courageux, l’Européen, dont le moule semble cassé, elle se contente de se mettre en scène et de compenser par une générosité aveugle son impotence. Deux images de ce triste tableau se télescopent : pendant que la Turquie exerce un odieux chantage aux migrants sur l’Europe, la commission européenne reçoit une gamine de 17 ans venue donner une leçon d’écologie à des commissaires européens qui poussent la démagogie jusqu’à la traiter comme une personnalité alors qu’elle n’est qu’une créature médiatique inventée par le groupe de pression écologiste.
Que cette idéologie soit le faux-nez du mondialisme et de son aspiration à un gouvernement mondial, il n’est qu’à voir l’empressement des « machins » qui jalonnent le chemin vers cette utopie, l’ONU, l’Union Européenne, à la mettre en valeur, au-delà de toute proportion, pour s’en convaincre.