Monoprix a fait savoir à sa clientèle, sous forme d’un « avis à la population » placardé dans ses magasins, qu’on n’était pas obligé de réveillonner aux dates prévues par le calendrier et en famille. L’affichette, qui n’est pas sans rappeler les appels à la mobilisation générale, s’intitule : « Réveillons la tradition…. ou pas. »
« Pourquoi les 24 et le 31 seraient-ils les seuls réveillons possibles ? » demande Monoprix. Le département marketing de l’enseigne s’interroge : « Et pourquoi ne pas réveillonner aussi le 3, le 4 ou le 6 si cela nous chante ? » Et pourquoi pas le 7 et au-delà ? Quelle est cette étroitesse d’esprit qui tend à exclure le client désireux de réveillonner le 14 juillet ?