
Qu’il me soit permis, en tant qu’ancien ambassadeur de Hongrie grandi dans la culture juridique française, d’apporter ma contribution au débat actuel sur l’État de droit. L’État de droit n’est autre que l’inverse du fait du prince.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
François Lenglet, journaliste économique, écrit dans Le Parisien :
À la fin du siècle dernier, le cauchemar d’une terre surpeuplée, épuisée par les hordes d’humains se disputant l’eau et la nourriture était vraisemblable. Ce mauvais rêve ne se réalisera pas. Alors qu’on prévoyait le pic de la population mondiale pour 2080, avec plus de dix milliards de Terriens, le point d’inflexion devrait arriver trente ans plus tôt, avec seulement 9 milliards d’habitants.
Les politiques, surtout de gauche n’ont que ce mot-là à la bouche “le modèle social” qu’il faudrait “protéger”.
Le problème et pour une fois je ne peux qu’être d’accord avec le terrible constat de Thierry Breton, c’est que le modèle social français n’est plus du tout finançable.
1% de baisse du revenu médian réel en France ! Les statistiques officielles camouflent l’appauvrissement et la précarisation des Français, avec ces moyennes déformées par l’explosion des inégalités et ce chômage de masse invisibilisation par un sondage complaisant. Mais ce qui frappe dans l’UE, c’est que notre pays est peut-être celui qui s’en sort le moins bien, du fait des choix de nos dirigeants.
Le sacrifice de la France à un rêve européen
On a bien compris que l’accord avec le Mercosur consistait à ouvrir les marchés sud-américains à l’industrie automobile allemande en sacrifiant l’agriculture française – et Mme von der Leyen n’est, en ce sens, qu’une excellente négociatrice allemande (dont seul M. Macron croit encore qu’elle défend les intérêts “européens” qui n’existent pas!).
La réalisatrice Agnès Jaoui, nous a offert un beau morceau d’idéologie gauchisante avec une tirade d’anthologie, alors qu’elle répondait à un « journaliste », soucieux comme elle de défendre la nécessité d’une immigration arabo-africaine : « Et puis j’aimerais rappeler à l’ultra-droite que, s’il n’y avait pas l’immigration, nos parents n’auraient personne pour s’occuper d’eux, beaucoup de gens n’auraient plus de femme de ménage, les restaurants ne fonctionneraient plus, tout ce qui est nettoyage ne fonctionnerait plus… Enfin, bref, il y a toute une économie qui vit – mis à part le vivre ensemble, etc., l’idée de l’accueil –, il y a toute une économie qui vit grâce à l’immigration ».
Après vingt-cinq années acquises à la cause de l’extrême gauche au sein des black blocs, il s’est repenti et témoigne dans Le Figaro :
Gaspard est un pseudonyme qu’il s’est lui-même attribué pour les besoins de cette interview. Il tient à faire référence, non sans une petite note d’humour et de sarcasme, à ses anciens camarades de «lutte».
An Jacobs
Source: Nieuwsbrief Knooppunt Delta, n°194, novembre 2024
Le problème de la censure, c'est qu'elle n'est pas aussi aveugle qu'elle est censée l'être. Comme nous l'avons vu, Meta a l'habitude de censurer des publications qui ne sont pas du tout violentes ou criminelles. Meta s'en prend souvent aux publications qui ne sont pas conformes à l'idéologie dominante. Par exemple, l'entreprise a mené une opération de censure en France vers la fin de l'été 2024 qui a touché plusieurs sites influents de droite.