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En avril dernier, les préfectures de Corse ont appelé la population à « déposer les armes », via une opération d’abandon simplifié d’armes dans une île où leur taux de détention est plus de deux fois supérieur à la moyenne nationale. Etonnante initiative qu’on aurait plutôt vue dans le 93 ou dans les quartiers Nord de Marseille, où le « taux de détention » serait à priori encore plus élevé et sert ouvertement en plein jour, pour des règlements de compte au fusil d’assaut. Là curieusement, point d’appel à cette population qui aurait donc une autorisation plus ou moins tacite pour garder les fameuses armes, plus nombreuses sans doute qu’en Corse et encore moins légales car encore moins déclarées.
Les acteurs ne sont pas seulement des artistes, ce sont les grandes consciences de notre temps, des citoyens engagés, des militants ! Ils ne se bornent pas à incarner des rôles, encaisser des cachets mirobolants et vivre dans le luxe et la désinvolture, ils dénoncent, ils s’indignent, se scandalisent, se révoltent… mais toujours dans le sens du vent, du côté du manche et des tenants du tiroir-caisse. Nicolas Gauthier nous plonge dans l’historique du concept de « résistance » en milieu cinématographique.
Les idées, les mots, les livres, peuvent encore changer quelque chose…
Riposte Laïque : Vous venez de publier un livre au titre choc « Le racisme antiblanc », sous-titré « L’enquête interdite ». Avant d’évoquer cet ouvrage, pourriez-vous vous présenter à nos lecteurs, même si nous avons déjà relayé quelques-uns de vos écrits ?
La Clinique Sainte-Elisabeth, à Marseille, est l’un des deux établissements spécialisés en soins palliatifs de la région Sud. Elle a envoyé un argumentaire aux parlementaires pour les informer sur la fin de vie et les soins palliatifs et répondre à quelques idées reçues :
INFO LE FIGARO – Suite à une pétition lancée par l’UNI, le président de l’Université Grenoble Alpes a demandé le retrait de plusieurs inscriptions artistiques qui dénoncent les «mâles blancs» et insinuent que seuls les Blancs sont coupables de racisme.
Depuis un siècle passé, l’école d’Action française produit desrevues laboratoire d’idées. Ce furent la fondatrice Revue d’Action française dite « grise », puis les mythiques Cahiers du Cercle Proudhon, vint la célèbre Revue Universelle,suivie du prospectif Ordre Français, le très stratégique Débat Royaliste et, enfin, la brillante et littéraire Réaction. Depuis 2005, la relève est assurée parla Nouvelle Revue Universelle.Dans son premier numéro le bainvillien rédacteur en chef,Gilles Varange, s’interrogea sur les phases historiques (temps court), comme clef de compréhension des relations internationales, et sur les cycles historiques (temps long),comme marqueur civilisationnel.
Plus la bête est blessée, plus elle devient méchante donc dangereuse, c’est bien connu. Partout en Europe les tenants de l’européisme débridé, sous la houlette de la Commission européenne, d’Emmanuel Macron, de Friedrich Merz qui vient de s’allier avec la gauche allemande, trompant 14 millions d’électeurs qui avaient cru élire un Chancelier de droite, s’organisent. De Donald Tusk premier ministre polonais, en passant par Keir Starmer qui pourchasse les patriotes en Grande Bretagne, et qui impose une censure féroce contre ceux qui dénoncent l’immigration sauvage, et sous la supervision organisationnelle et financière de George Soros, ils tentent tous d’empêcher les peuples de s’exprimer et n’hésitent pas à faire annuler des élections qui avaient porté au pouvoir des hommes décidés à ne pas se laisser coloniser par les superstructures mondialistes, qui veulent abattre les nations.
La loi Garot, le dernier clou du cercueil de la médecine généraliste se plante dans l’indifférence des parlementaires, qui, en boudant l’hémicycle, se font les complices actifs du désastre final. Pour lutter contre les déserts médicaux, le législateur macroniste moderne n’a rien trouvé de mieux que de redéfinir subrepticement la notion de désert médical. Simple, efficace, démoniaque. La volonté est d’interdire aux nouveaux arrivants de s’installer, ou de reprendre une clientèle d’un praticien qui prendrait sa retraite et de reconsidérer le territoire selon des critères qui excluent de facto des villes pourtant en déficit de présence de généralistes. Ainsi dans des villes de 15 à 20 000 habitants qui ont pour beaucoup vu partir, ces dernières années, plus du tiers de leurs médecins, elles ne pourront prétendre trouver des remplaçants ! C’est de la même logique que la méthode Juppé, pour dépenser moins il fallait raréfier les thérapeutes, là c’est sous-entendu ce vers quoi nous allons. Cette fois c’est pour inciter les médecins à s’installer là où il n’y a plus personne. Le problème est pris à l’envers, comme toujours. Un jeune médecin ne pourra plus s’installer que dans les zones autorisées, ou justement il n’y a plus assez de patients pour vivre de son métier. Pour les contraindre à s’installer là où il n’y a plus personne, on va d’abord vider les endroits où il en reste encore, et dans quelques années on s’étonnera que la population soit encore moins bien suivie, tout en se demandant ce qu’il faut faire !
À l’approche du second tour de la présidentielle roumaine, prévu le 18 mai 2025, l’Union européenne tremble. Le candidat nationaliste George Simion, leader de l’Alliance pour l’unité des Roumains (AUR), a dominé le premier tour, avec 40,5 % des voix, porté par une vague de rejet des élites pro-européennes. Inquiète d’un tel score, l’eurodéputée française Valérie Hayer, présidente du groupe Renew, a jeté de l’huile sur le feu en assumant une campagne active pour soutenir le centriste Nicușor Dan, perçu comme le garant des valeurs européennes.