Petit à petit, ce qui ressemble à la charia fait son nid. En l’espace d’une semaine, plusieurs faits d’actualité ont fait la démonstration de l’application sanglante de la loi islamique en France. Dernier exemple en date : cette attaque commise à Bordeaux, mercredi soir. Un musulman en djellaba s’en serait pris à deux de ses coreligionnaires, accusés de ne pas respecter le ramadan. « Il semble que le point de départ soit un différend lié à la consommation d’alcool des deux victimes de coups de couteau », rapporte en effet l’AFP. Rapidement présentes sur les lieux, les forces de l’ordre ont neutralisé l’assaillant mais n’ont pas été en mesure de réanimer l’une de ses victimes. « Quand vous avez un individu en djellaba, couteau ensanglanté à la main, vous avez le sang qui ne fait qu’un tour. Il faut stopper l’individu », a réagi William Maury, délégué national nuit du syndicat Alliance.
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Montpellier, Bordeaux, Achenheim : en France, la charia installe sa loi
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Interview de Yona Faedda, porte-parole du collectif Némésis poursuivie pour avoir brandi des pancartes : « libérez-nous de l’immigration » et « violeurs étrangers dehors ».
La République française tourne à la tyrannie chaque jour un peu plus, avec une répression sidérante contre les opposants politiques et les dissidents. Dimanche 7 avril 2024, durant le carnaval de Besançon ce dimanche 7 avril, deux jeunes femmes avaient brandi des pancartes sur lesquelles étaient inscrits ces messages sans équivoque : “Violeurs étrangers dehors” et “Libérez-nous de l’immigration”.
Deux jeunes femmes militant pour le collectif féministe Némésis, qui réclame, comme Marlène Schiappa lorsqu’elle était secrétaire d’Etat sous la présidence Macron, l’expulsion des étrangers coupables de crimes sexuels contre les femmes. Insupportable pour les autorités républicaines, qui non seulement l’ont placée en garde à vue mardi 9 avril au matin à Besançon, auditionnée, mais qui ont également perquisitionné son domicile…à la recherche d’une banderole. Sa garde à vue a été levée vers 16h30 mardi.
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Crise climatique : quand le doute scientifique est évacué car interdit
Trop d’incertitudes autour de ce à quoi le climat ressemblera dans 20, 50 ou 100 ans ; trop d’incertitudes sur le niveau du réchauffement climatique ; trop d’incertitudes quant aux conséquences de ce réchauffement (fonte des glaces, montées des eaux, pluies torrentielles, inondations, tempêtes, sécheresses, feux de forêt…)
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Interpellation d’une militante de Némésis : le maire écolo-wokiste de Besançon récidive
© Capture écran X Yona_nms
« Il y a un malaise de la maire de Besançon qui constate que sa politique d’accueil des migrants est un échec. »
Au lendemain de la garde à vue de Yona, une jeune militante du collectif Némésis, interpellée pour avoir manifesté avec une pancarte anti-immigration à Besançon, Alice Cordier, directrice de l’association féministe, ne cache pas sa colère. Pour elle, les moyens « disproportionnés » déployés contre l’une des membres de son collectif, « qui n’a rien commis d’illégal », ne serviraient qu’à masquer l’incompétence d’Anne Vignot, édile écologiste à la tête de Besançon depuis 2020.
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Paris 2024, les jeux du wokisme
Chronique de Paysan Savoyard (n° 317 – Avril 2024)
Les JO 2024 ne seront pas simplement, comme d’habitude, les jeux du fric, du béton et du dopage, mais aussi ceux du wokisme. C’est ce que montre par exemple la place croissante prise par les jeux dits paralympiques.
C’est en 1960 qu’ont été organisés pour la première fois les jeux paralympiques, qui se déroulent depuis à la suite des JO eux-mêmes. Ils ne cessent depuis de monter en puissance et en reconnaissance. C’est ainsi que les affiches et les annonces officielles prennent soin désormais d’associer de façon systématique « les jeux olympiques et paralympiques ».
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[ENQUÊTE FDS] L’UE a versé + de 1,8M d’€ à l’Université islamique de Gaza, le “campus du Hamas”. Ses professeurs appelaient à “tuer les juifs, femmes et enfants” (MàJ : Le parquet européen, sans explication, classe sans suite la plainte de J.-P. Garraud)
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Gendarme Aimé Bille : "Ils ont saboté mon enquête sur Dutroux"
À voir absolument pour comprendre l'affaire Dutroux !
Ils enquêtaient trop bien. Cela dérangeait.
Chargés d’éplucher les comptes bancaires du pédocriminel Marc Dutroux, y découvrant de curieux versements après plusieurs enlèvements, constatant avec effarement qu’on avait bâclé (ou étouffé ?) l’enquête sur le meurtre sadique de Christine Van Hees (16 ans), les gendarmes Aimé Bille et Patriek De Baets exploraient avec grand soin une piste qui pouvait mener à des complicités haut placées dans la société belge.
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Voici Centuria, l’armée néo-nazie ukrainienne entraînée par l’Occident
par Kit Klarenberg
Une souche exclusivement ukrainienne du néonazisme se répand dans toute l’Europe, qui prône ouvertement la violence contre les minorités tout en cherchant de nouvelles recrues.
Avec l’effondrement de l’armée de Kiev et le récit de la trahison occidentale qui gagne du terrain, l’horreur infligée aux habitants du Donbas pendant une décennie pourrait très bientôt se produire dans une ville près de chez vous.
Centuria, une faction néonazie ukrainienne ultra-violente, s’est implantée dans six villes d’Allemagne et cherche à étendre son influence partout dans le pays. Selon Junge Welt, un quotidien berlinois, la progression de l’organisation nazie s’est faite «sans être entravée par les services de sécurité locaux».
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Le Pacte sur la migration voté : des peuples européens humiliés et contraints
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L’Université d’Angers organise une « Fête antifasciste »
Communiqué d’Anne-Laure Blin, député de Maine-et-Loire et porte-parole du groupe LR à l’Assemblée nationale :
Anne-Laure BLIN, député de Maine et Loire, apprend avec consternation l’organisation, la semaine prochaine, par la composante « Culture » de l’Université d’Angers, d’un événement « Fête antifasciste » sur le campus Saint-Serge d’Angers. Cette manifestation, à vocation purement politique, orchestrée par des groupes d’ultra gauche n’a clairement pas sa place dans un établissement public d’enseignement universitaire.