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lobby - Page 946

  • Antisémitisme : la désinformation comme acte de guerre contre la France

    Elle monte en puissance et s’étale, elle cause dans le poste, se montre à la télé, elle rampe jusque dans les écoles via les facs, les rédactions de journaux, et bien sûr les réseaux sociaux.

    Elle est infiniment plus puissante et toxique que celle des années du Mur de Berlin, ce pour une raison fort simple : ce n’est plus de l’extérieur que la France est attaquée mais bel et bien de son propre sol.

    La désinformation s’installe dans notre quotidien.

    Il n’est de jour, de nuit, sans qu’elle surgisse de ci ou de là, portée par des voix sans cesse nouvelles, inscrite sur des visages jusque là inconnus. Sur le ton du « débat » comme sur celui de la rhétorique « spécialisée », elle s’insinue dans les cerveaux, corrode la mémoire, agite les consciences tout en déviant l’attention des vrais enjeux. 

    Nous en donnerons plus bas quelques exemples. Ils sont centaines, les dépister va devenir un jeu de société.

    L’un des buts avoués de la désinformation est de casser l’image que les gens ont d’eux-mêmes, de leur culture, de leur passé, de leur faculté de réfléchir. On nomme cela organisation du chaos. Nous avons connu, identifié et contré les tentatives de l’étranger communiste via ses complices, agents et idiots utiles. Nous subissons aujourd’hui les assauts massifs, je pèse et répète le mot, massifs, de nos propres compatriotes, à l’intérieur même de ce qui nous reste de frontières. Mortel constat.

    Nos bons camarades musulmans s’engouffrent avec des délectations orientales dans ce gruyère dont les trous semblables à ceux du cosmos, avalent toute forme de pensée cohérente. 

    Alors, oui, nous sommes entrés, sous la présidence d’Emmanuel Macron, dans l’ère du chaos programmé-organisé.

    (Lire en annexe le texte magnifique que Zineb El Rhazoui adresse au citoyen Kbibech, du CFCM. Au passage, on notera la confirmation de ce que nous ne cessons de dire ici : l’extrême-droite (terreau choisi ces jours-ci par la désinformation) telle que nous la définissons en France depuis le XIXe siècle est désormais tout entière dans les mosquées, hébergée corps et âmes par l’Islam en mode conquête).

    DE LA DÉSINFORMATION COMME ARME DE GUERRE

    Terroristes du Hamas contre Français supposés mal orientés. Comment on met lourdement sur une supposée extrême-droite « années 30 » le fardeau d’un anti-sémitisme évoqué du bout des lèvres comme originaire du monde musulman. La manœuvre est aussi grossière que la dame est cauteleuse.

    Un renfort lui est offert, dans ce qui est une véritable montée au front. Le jeune Potier (Dilcrah) dont la chasse aux chemises brunes de Sologne ou du Cantal est aussi le gagne-pain. Bref, c’est l’instrumentalisation générale, de la part de ceux qui nous collent au cul les pires antisémites qui soient, enfants d’Allah, « hezbollés » et autres revenants des charniers du Calife. Potier : agent conscient ou crétin utile ?

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  • Le visage inquiétant de “la nouvelle citadelle de l’Internationale”

    BABEL.jpgLe strauss-kahnien Ismael Emelien, « concepteur du mouvement en marche », «  chef de la start-up Macron.», auteur des « formules qui claquent ( les ‘premiers de cordée’, ‘le pognon de dingue’…) », défendra désormais la macronie… d’un peu plus loin  rapporte Europe 1.  Conseiller spécial jusqu’à ces dernières heures  d’Emmanuel Macron , « adepte fervent du dégagisme, courant qui prône la sortie de tous les aînés du système politique »,  M. Emelien quitte donc  le navire.  Officiellement parce qu’il publie un livre, mais plus vraisemblablement  du fait de sa mise en cause dans l’affaire Benalla : «  C’est Ismaël Emelien qui persuade l’équipe présidentielle, au printemps dernier, que l’affaire (Benalla) ne sortira pas. Aujourd’hui, il est visé par l’enquête sur les agissements d’Alexandre Benalla. Et cette fois, à l’Élysée, on a tiré les leçons : on anticipe des ennuis à venir plutôt que les subir (…).» En réalité, affirme de son côté Marianne, « Ismaël Emelien semble n’avoir jamais été tout à fait à son aise rue du Faubourg Saint-Honoré. En juin, un de ses proches confiait ainsi à Marianne qu’ il n’avait jamais réussi en fait à se positionner, oscillant entre conseiller politique et conseiller en communication. Dès les premiers mois du quinquennat, à l’automne 2017, des tensions nous avaient déjà été rapportées entre le jeune Emelien, 30 ans, et Brigitte Macron (…). Aujourd’hui, le départ de la jeune éminence grise s’ajoute aux sérieuses tempêtes déjà essuyées par le Château ces derniers mois, avec notamment les démissions fracassantes de Nicolas Hulot puis de Gérard Collomb. L’équipe élyséenne s’est par ailleurs déjà vidée de la plume du président de la République, Sylvain Fort, annoncée début janvier. »

    L’avocat d’extrême-gauche Juan Branco soulignait dans l’entretien qu’il a accordé récemment àL’Incorrect que pour arriver au pouvoir « Emmanuel Macron  « s’est contenté  de piller les anciens réseaux DSK » et de s’appuyer « sur d’autres réseaux : les réseaux Jouyet, les réseaux Descoings, une partie des réseaux Moscovici, le tout avec l’appui de Bernard Arnault et de son gendre Xavier Niel, et quelques autres affidés. » Chez Macron notait-il,  « l’idéologie est subordonnée à une logique d’intérêts, en un système économique plus général qui, dans les grandes lignes, en faisant de l’intégration à la mondialisation libérale son seul credo nous a de fait amenés à fonctionner comme une sorte de néo-colonie américaine… »

    Néo-colonie américaine qui est aussi une des définitions données à  cette union européenne dont le puritanisme quaker-hygiéniste extrémiste de certains de ses cadres bruxellois   laisse pantois. Euractiv rapportait ainsi cette réflexion du commissaire européen à la santéVytenis Andriukaitis qui,  lors d’un récent  discours prononcé Athènes,  « a montré une photo du vice-premier ministre grec de la santé, Pavlos Polakis, en train de fumer dans un lieu public.  C’est déplorable , a commenté Anriukaitis, arguant que le parlement grec devait traiter ce problème de toute urgence. Ce n’est pas une question de volonté propre : fumer dans un lieu public est une atteinte aux droits de l’Homme», a conclu le commissaire à la santé…».

    Tout le monde sera d’accord,  pour dire que fumer est une sale habitude dont la nocivité n’est plus à démontrer et  qu’il faut préserver autant que faire se peut la jeunesse de cette addiction. Mais  qualifier le fait de fumer sur la voie publique d’atteinte aux droits de l’homme est  quand même assez délirant…pour peu que les mots aient encore un sens. Dans ces conditions,  on peut presque comprendre les réactions hystériques de la caste européiste quand un chef de gouvernement attaque frontalement le tabou des tabous, à savoir l’idéologie  immigrationniste. A l’heure ou la Hongrie de Viktor Orban vient de lancer une grande politique de soutien à la natalité,   il est notamment prévu  le « zéro impôt » pour les  familles nombreuses hongroises,  ce même site relayait une dépêche de l’Afp consacré au lancement de la campagne européenne  du Premier ministre hongrois.

    A l’occasion de son discours annuel le 11 février  « sur l’état de la nation », M. Orban est-il rapporté, s’est inquiété « de la baisse continuelle de la part de chrétiens » en Europe et du « remodelage des pays autrefois chrétiens.  » Il  entend placer  le scrutin européen du 26 mai sous le signe de la défense des « nations chrétiennes », menacées par une « immigration (qui) conduit à une augmentation de la criminalité, en particulier contre les femmes, et laisse entrer le virus du terrorisme ».

    Il a donc invité toutes les bonnes volontés à se joindre à « la bataille finale (…) » pour s’opposer à « Bruxelles », «  la nouvelle citadelle de l’Internationale » et à son «  outil (qui) est l’immigration ».  « Il y a trente ans, nous pensions que nous avions jeté aux ordures pour de bon la pensée communiste qui avait déclaré la fin des nationsil semble que nous avions tort. De nouveau, (les euromondialistes, NDLR) proclament un monde sans nations, ils veulent des sociétés ouvertes et ils sont là de nouveau, ceux qui veulent balayer nos traditions et inonder nos pays de cultures étrangères ».

    « L’Europe a de nouveau atteint le point où nous devons défendre notre identité hongroise, notre héritage chrétien » disait encore Viktor Orbán. Héritage, relève Bruno Gollnisch,  beaucoup plus menacé en France qu’en Hongrie dans l’état actuel des choses, dans une nation française de plus en plus étrangère à elle-même, dont tous les murs porteurs sont attaqués et pas seulement par le tsunami migratoire. Tetyana PopovaBonnal au détour d’un très bon article sur le phénomène Michel Houellebecq publié sur voxnrcitait à bon escient le grand Louis de Bonald  qui écrivait que  « L’homme civilisé ne voit la patrie que dans les lois qui régissent la société, dans l’ordre qui y règne, dans les pouvoirs qui la gouvernent, dans la religion qu’on y professe, et pour lui son pays peut n’être pas toujours sa patrie. »

     L‘ensauvagement de notre  pays, symptôme parmi d’autres,  se traduit aussi  par les profanations de nos lieux de culte, le plus souvent par des  tarés satanistes et autres esprits  faibles qui   sont   généralement pour le coup  bien de chez nous.  Constat auquel se livre   le Salon beige qui relevait  hier – comme l’a fait L’observatoire de la  christianophobie–   qu’« il est  tout à fait normal de condamner les tags et actes antisémites, (mais) il est scandaleux de constater une fois de plus le deux poids, deux mesures des médias qui occultent les profanations d’églises qui se multiplient également. L’Église catholique fait face en France à une vague d’actes malveillants. Pas moins de neuf églises ont été visées entre le 28 janvier et le 10 février. Sur cette seule période, quatre ont subi des actes de profanation, cinq des actes de vandalisme». Selon les chiffres 2017 du ministère de l’Intérieur, l’Église catholique et les Églises chrétiennes détiennent le record d’atteintes aux lieux de culte: 878 sur les 978 actes recensés. Soit une moyenne de deux par jour.L’Église préfère toutefois s’en tenir à une relative discrétion sur ce sujet. On veut éviter les effets de surenchère, explique un conseiller d’évêque.». Et bien  nous qui  luttons contre la  surenchère antinationale, nous voulons résolument  que  nos compatriotes se reconnaissent encore demain dans la patrie  de leurs ancêtres . Mais  à l’évidence , c’est beaucoup  trop demander pour  nos élites mondialisées.

    https://gollnisch.com/2019/02/13/le-visage-inquietant-de-la-nouvelle-citadelle-de-linternationale/

  • Pour Benjamin Griveaux, avoir des convictions ou être lucide, c’est diffuser des “fake news”

    Pour Benjamin Griveaux, avoir des convictions ou être lucide, c’est diffuser des “fake news”

    Charlotte d’Ornellas dénonce avec talent la mauvaise foi de Benjamin Griveaux :

    Benjamin Griveaux annonce un débat hyper respectueux et sans caricature, à l’approche de la révision des lois de bioéthique : « Déjà que les européennes vont être sympas mais là, ça va être de la fake news en ébène massif sur les cellules souches, la recherche sur les embryons ou encore les accusations sur l’eugénisme généralisé. Wauquiez était d’ailleurs assez en avance là-dessus. Quant à LR, ils vous mettent François-Xavier Bellamy en tête de liste, vous avez compris. »

    Cette déclaration est intéressante pour se faire une idée du sérieux de l’appellation « fake news »…

    + Sur les cellules souches, je le laisserai développer avant de commenter.

    + Sur la recherche sur les embryons : le rapport parlementaire préconise en effet d’étendre cette recherche, ou même d’autoriser la création d’embryons transgéniques :

    – Proposition 15 : allonger la durée de culture de l’embryon

    – Propositions 16 et 17 : assouplir le régime juridique de la recherche sur les cellules souches embryonnaires humaines

    – Proposition 18 : autoriser la recherche portant sur les cellules germinales de l’embryon

    – Proposition 19 : lever les interdits de création de l’embryon transgénique.

    Les embryons sont devenus une matière première traitée sans aucune considération pour le vivant. S’en offusquer relève plus de l’opposition que de la « fake news ».

    + Sur l’eugénisme : le rapport préconise bel et bien d’étendre les tests afin de mieux trier les embryons sains des embryons malades.

    Les différents diagnostics pré-conceptionnels, pré-implantatoires et pré-nataux et l’éventuelle extension du recours à certains d’entre eux (Propositions 25 et 26) ne visent qu’une chose : repérer des maladies et trier les embryons pour ne garder que des enfants « sains » (ou avoir recours à une IMG en cas de découverte pendant la grossesse). On peut se débattre dans tous les sens, mais les mots ont un sens : c’est de l’eugénisme. Il n’est pas étatisé dans la mesure où il repose un fine sur des décisions individuelles, mais il est bien réel et pratiqué. Le dire relève bien plus de la lucidité – que la pratique soit assumée ou décriée – que de la « fake news ».

     
  • LA POLICE DE LA PENSÉE VEUT FAIRE FERMER LE COMPTE FACEBOOK D'ALBAN D'ARGUIN

    Diapositive1 copie 2.jpg

    Depuis des années, Alban d'Arguin mène un combat exemplaire contre l'implantation des éoliennes en France. La parution, en 2017, de son livre-choc, Éoliennes un scandale d'État cliquez ici, a eu un énorme retentissement grâce, en partie, au innombrables relais qu'il a obtenu sur les réseaux sociaux. 

    Le lobby affairiste pro-éolien l'a bien compris et, aujourd'hui, il demande la fermeture du compte d'Alban d'Arguin. Tel Youtube fermant arbitrairement la chaine des Brigandes dont la chanson Saletés d'éoliennes va dans le même sens, Facebook risque de donner satisfaction aux saccageurs de nos campagnes.

    Nous appelons tous nos lecteurs à réagir contre ces minables manoeuvres visant à priver les combattants non-conformistes de leurs moyens d'expressions en leur manifestant leur solidarité en leur écrivant sur leurs comptes FB cliquez là ou, mieux encore, en diffusant leurs livres (ou CD) autour d'eux. Demain, il sera trop tard...

    S.N.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Macron, un libéral à l’américaine

    Numériser.jpegEmmanuelle Gave est avocate. Fille de Charles Gave, l'économiste bien connu, elle est à l'origine de l'Institut des libertés, qui diffuse la pensée de son père. Libérale, elle comprend les Gilets jaunes et critique son homonyme Emmanuel Macron, pourtant réputé lui-même libéral  Elle vient d'annoncer sa participation à la liste de Nicolas Dupont-Aignan pour les élections européennes de 2019. Sa contribution au débat politique s'annonce d'ores et déjà de grande qualité. Jugez-en.

    ENTRETIEN avec l'abbé G de Tanoùarn

    Alors ça y est : vous vous lancez en politique ?

    C'est effectivement la première fois qu'avec Nicolas Dupont Aignan, je me lance dans la politique, sur le terrain. Cette décision est radicale. Mes deux filles ont seize et dix-sept ans, il faut que je les laisse voler de leurs propres ailes, elles n'ont plus besoin de moi. Je ne suis pas du tout une politicienne professionnelle, je viens de la vie civile. Mon envie en politique, c'est de représenter les gens normaux. Je viens d'une famille de serviteurs de l’État. Je veux être au service des gens, avec le pragmatisme d'une femme et les solutions que j'ai acquises par mon éducation libérale. Par ailleurs, le moment est particulier nous sommes à un tournant de l'histoire politique du pays, après avoir assisté à la captation judiciaire de François Fillon et à la montée artificielle de Macron.

    Captation judiciaire, qu'entendez-vous par là ?

    Avec ce Parquet National Financier, créé par François Hollande et qui ne dépend de personne, on s'oriente vers un certain gouvernement des juges, qui pour l'instant ne s'en est pris, il faut bien le constater, qu'à l'Opposition. Je ne suis pas une afficionada de Marine Le Pen, mais la manière dont, par décision de justice, deux millions d'euros alloués au Rassemblement national, ont été captés à la source, de façon préventive, avant tout jugement, cela relève clairement de la persécution politique. Il est toujours dangereux d'imaginer de telles juridictions, qui, qu'on le veuille ou non, fonctionnent comme des juridictions d'exception, en maîtrisant souverainement le temps de leur intervention.

    Et que pensez-vous rétrospectivement de l'ascension d'Emmanuel Macron ?

    Elle provient de la volonté d'un petit milieu d'oints du Seigneur, qui se sont choisis un champion à qui ils ont fait porter leurs couleurs. C'est la première fois qu'un président de la République est élu sans aucun mandat électoral. C'est un pur apparatchik. On a remplacé des énarques de 60 ans par un énarque de 40 ans, qui, depuis le début de son mandat apparaît souvent comme un amateur, en jouant d'une surcommunication (comme dans l'affaire des Gilets jaunes), en prenant des poses, en cultivant un maquillage facile, qui s'efface à la première occasion. Regardez l'un des derniers épisodes, il devait aller skier dans les Pyrénées, on le retrouve à Saint-Tropez, il n'a pas pu s'en empêcher. Ce qui est très frappant, c'est que malgré sa soi-disant pensée complexe ou peut-être à cause d'elle, parce qu'il ne sait pas choisir, il n'a aucune vision et il compense cette absence de vision par une morgue invraisemblable, une fatuité qu'avaient déjà remarqué les députés présents pour le vote des lois Macron et El Khomri, sous François Hollande. Il prend les gens pour des moins que rien. Je crois que le peuple l'emmerde. Regardez ses vœux il a dit « Je veux la vérité » et lui-même ne sait qu'entretenir le flou de l'affaire Benalla qui redémarre. « Je veux le respect ». Il ne respecte pas les Gilets jaunes, embastillant Eric Drouet sans motif légal et laissant se dérouler 800 gardes à vue, sans que ces 800 GAV ne débouchent sur une seule condamnation. Le régime du respect dont se vante notre Président est en réalité le régime de l'arbitraire dans de telles circonstances. En tant que mère de famille, j'ai été habituée à une vertu, l'exemplarité. En lieu et place, avec Emmanuel Macron, on a un système qui est aujourd'hui ce que Versailles représentait au moment où se déclenche la Révolution française.

    Vous parliez à l'instant de votre éducation libérale...  Vous faites allusion au rôle que vous jouez depuis plusieurs années auprès de votre père, Charles Gave, que nous avons reçu plusieurs fois ici à Monde&Vie. Vous êtes par exemple à l'origine de l'Institut des libertés ?

    Disons que ma première formation est juridique,  j'ai souhaité me donner ensuite cette éducation libérale, dans une acception humaniste, avec des analystes du passé comme Frédéric Bastiat, Alexis de Tocqueville ou Jean-Baptiste Say. Plus précisément aujourd'hui je suis monétariste de l'école de Milton Friedman et des Chicago boys. Friedman n'est pas mon dieu, mais il dit des choses très bien et d'abord cette intuition de bon sens qu'il martèle la croissance vient des entrepreneurs. Ils prennent des risques, c'est leur métier. Il faut les laisser travailler. Cela suppose d'empêcher la captation fiscale, pour que les entrepreneurs soient rémunérés à hauteur des dits risques. Cela suppose aussi que l'on ne pratique pas ce que Keynes appelle l'euthanasie du rentier, quand, dans un système donné, les petits épargnants se retrouvent avec des taux d'intérêts tellement bas que cela ne vaut plus la peine de mettre de côté quoi que ce soit. L'épargne n'est plus rétribuée, c'est la mort du petit épargnant. Mais, en même temps, ne nous leurrons pas, cela fait les affaires des très gros qui peuvent se permettre toutes les spéculations, Ils empruntent sans intérêt et vivent de leurs dettes, en rachetant leurs concurrents. L'un des spécialistes de ce système est Patrick Drahi, le patron de SFR qu'a tant aidé M. Macron et qui littéralement vit d'une dette de 50 milliards d'euros. C'est ce que l'on appelle le capitalisme de connivence, j'emprunte sans intérêts grâce à mes amis et je deviens un homme important que l'on respecte à hauteur de sa dette. Évidemment pour raisonner de cette façon, il faut être dans le très haut du panier.

    Avec cette finesse d'analyse, vous vous voyez au moins ministre de l'Économie ?

    Alors écoutez, je suis peut-être une politique différente des autres, mais je n'ai pas du tout la prétention de penser que je saurais mieux gérer l'économie. Il faut des lois bien sûr, mais l'État stratège, cela n'a jamais fonctionné. Les plans de relance se sont effondrés les uns après les autres comme des châteaux de cartes. Les politiques qui croient faire de l'économie ne savent rien. Qu'ils laissent donc travailler les gens qui savent, les entrepreneurs. Il y a une violence légitime de l'État, elle doit exister, mais elle doit aussi rester d'ordre exceptionnel et toujours par délégation du peuple. C'est le problème que j'ai avec l'Europe, qui est une civilisation, mais qui n'est pas un peuple et qui ne peut pas être une économie.

    Je comprends que votre vision du libéralisme n'a rien à voir avec les pratiques de M. Macron... ni avec son européisme.

    Emmanuel Macron n'est pas un libéral à la française, mais à l'américaine « a libéral », un homme de gauche, un social-démocrate qui pratique le capitalisme de connivence, connivence pour les hommes de Davos et connivence par les hommes de Davos (qui sont les mêmes que ceux de Bruxelles). Leur idée c'est d'arriver à un monde sans nature où tout serait contractualisé. Il faut déstructurer ou comme on dit déconstruire nos lois et nos sociétés. Ces hommes de Davos rencontrent une double convergence, avec les anciens trotskistes d'une part de Jospin à Taubira, ils ont la même ambition déconstructrice, et convergence avec les écolos d'autre part, qui, eux aussi, se sont donné pour mission de reformater notre société. C'est l'image que donne aujourd'hui le Canada sous la houlette de Justin Trudeau, le « libéral », en fait un social-démocrate imbu de ce nouvel idéal déconstructeur. Cette nouvelle mentalité destructrice est particulièrement sensible dans les questions liées aux genres masculin et féminin et aux nouveaux genres, en particulier le genre indifférent. Au Canada, désormais, je dois respecter le genre indifférent. Je vois une fille mais, si je suis informée que, je dois à son sujet, employer les nouveaux pronoms indifférents, je commettrais « un crime de haine », sévèrement puni par la loi, si je m'abstenais de le faire. Une réalité aussi naturelle que le sexe devient un objet de contrat. Il n'y a plus de vrai ou de faux. L'individu peut faire plier toute réalité à sa guise. Mais surtout, on reconstruit un bien et un mal à travers ce prisme, tout redevient moral, il y a les gentils (qui acceptent ce contractualisme universel) et les méchants (ceux qui le refusent). On est gouverné selon cette nouvelle idée du bien et du mal.

    Pourquoi vous engager avec Nicolas Dupont-Aignan ? Croyez-vous encore dans ce serpent de mer qu'est l'union des droites ?

    En m'engageant à Debout la France, je montre que je crois plus en l'homme que dans le Parti. Comme on dit en anglais, NDA est « un homme qui a mis ses pieds là où sa bouche était ». Il a montré qu'il voulait l'union des droites en tendant la main à MLP. Il lui a fallu braver l'establishment politique pour faire cela. Comme l'a montré son attitude avec les GJ, il croit au peuple, il prend les intérêts de la France à cœur. Avec lui on économise les pensées d'appareil au profit d'impulsions authentiques, on est dans les commandos fusiliers marins plutôt que dans l'armée de terre. Il est vrai que les gens de droite ne sont pas d'accord sur tout. Bruno North du CNIP ou Jean-Frédéric Poisson, du PCD, tous deux participant aux amoureux de la France n'ont pas les mêmes idées sur tout. En tout cas, il y a un sujet sur lequel les droites sont toutes d'accord, jusqu'à Laurent Wauquiez, un sujet sur lequel nous faisons bloc avec Nicolas Dupont-Aignan, parce que nous sommes à la veille d'une nouvelle bataille de Constantinople, c'est de reprendre nos frontières. Nous pouvons faire l'union des droites et nous devons la faire contre le Pacte de Marrakech.

    monde&vie  17 janvier 2019

  • Italie : 15 millions d’euros dépensés pour embaucher 120 migrants, « la folie du camp du bien »

    A Milan, le projet Sprar a investi 15 millions d’euros dans des cours de formation pour les migrants, mais en 3 ans, il n’a produit que 120 embauches. Silvia Sardone, conseillère régionale et municipale s’insurge: « L’intégration fonctionne uniquement dans les contes de fées« .

    « Nous avons un problème. Nous parlons des migrants, de l’intégration, de l’efficacité du système milanais dans l’accueil, etc. Pourtant, les données semblent contredire les reconstitutions enthousiastes de Beppe Sala et de ses associés.

    Le conseiller Majorino et la gauche ne font que dépeindre les projets Sprar comme un modèle d’accueil qui fonctionne – explique Silvia Sardone, – celui qui a parmi ses priorités l’inclusion des migrants sur le marché du travail. Cependant, d’après les données que j’ai reçues en réponse à ma question municipale, j’ai découvert que ce n’est pas le cas.

    Dans le document signé par Majorino, nous lisons que dans le cadre du projet Spar (activé en 2016), parmi les 414 migrants accueillis, seulement 127 ont participé à des cours de formation. Mais l’entraînement au travail ne devrait-il pas être le joyau de ce projet Sprar que la gauche a défendu avec une épée de sa main ? Eh bien, bien qu’il ait coûté à la ville de Milan un total de 15,1 millions d’euros en trois ans (2016-2018), il n’a produit que 25% environ des embauches de migrants.

    En 2017, 162 stages ont été lancés pour 414 invités Sprar – explique Sardone – et toujours 25% du recrutement ; en 2018, cependant, les 173 stages ont commencé pour 414 invités Sprar, et 30% du recrutement. Le tout contre des dépenses publiques de 4,6 millions d’euros en 2016, 5,2 millions en 2017 et 5,3 millions en 2018. Au total, en fait, faire 15,1 millions d’euros.

    […] Selon la conseillère, il est « absurde » que « les projets d’emploi liés au Sprar de Milan n’aient créé que 32 emplois en 2016, 40 en 2017 et 52 en 2018, contre 1.242 migrants accueillis au total dans les centres. Ces cours qui coûtent des millions d’euros. « Majorino et ses camarades – conclut Sardone – doivent cesser d’organiser des marches d’accueil, des tables rondes multiethniques et des manifestations de rue pour les migrants: l’intégration dont ils se vantent n’existe que dans les contes de fées« .

    IL Giornale

    http://www.fdesouche.com/1157085-italie-15-millions-deuros-depenses-pour-embaucher-120-migrants-la-folie-du-camp-du-bien

  • Permanences ou domiciles de parlementaires visés: les députés LREM paient leur trahison

    images.jpgJ’ai établi une petite liste chronologique des députés LREM menacés depuis le  17 novembre, jour où le mouvement Gilet jaune commença.
    Il y a un mois, j’évoquais la fin de la légitimité des institutions. Car des institutions qui ne sont plus reconnues par le peuple ne sont plus légitimes, on ne le répétera jamais assez. D’autant que les députés ne servent pas le  peuple qui les a élus  mais leurs seuls partis qui ne sont pas des représentants du peuple, cela conduisant aujourd’hui une bonne partie de nos élus à adopter des mesures opposées aux légitimes intérêts des Français.
    Je donnais alors quelques noms  de députés contestés et plus ou moins menacés. Aujourd’hui, leur nombre a sensiblement augmenté. J’en ai certainement oublié un certain nombre, mais la liste suivante montre que partout sur le territoire national, dans toutes les régions, du nord au sud et de l’est à l’ouest,  la contestation bat son plein. Le message est clair : « démissionnez, partez, foutez le camp, on ne veut plus de vous ». J’ai établi une petite liste chronologique des députés LREM menacés depuis le  17 novembre, jour où le mouvement Gilet jaune commença.
    Le 20 novembre  2017, il semble que ce soit  Carole Bureau-Bonnard, députée de l’Oise, qui ait été la première à se trouver contestée, lorsqu’une trentaine de Gilets jaunes vinrent scander devant son domicile  « Bonnard au placard ». On appréciera la rime.
    Deux jours après, le 22 novembre, Christophe Lejeune, député de Haute-Saône, crut sa dernière heure venue lorsqu’une vingtaine de Gilets jaunes tentèrent de forcer la porte de son domicile, finissant par la cadenasser.
    – Le même jour, Olivier Gaillard, député du Gard, eut le bonheur de voir devant sa permanence un cercueil avec la pancarte: « Macron, Gaillard, dehors ».
    – Le 23 novembre  Mireille Robert, députée de l’Aude, fut effrayée quand une quarantaine d’hommes casqués et cagoulés menaçants parvinrent à s’introduire chez elle.
    Pendant la nuit du 26 au 27 novembre à Carpentras, la permanence du député de la 3e circonscription du Vaucluse, Adrien Morenas, fut murée par des parpaings colmatés avec de la mousse expansive.
    Le lendemain 28 novembre, ce fut le  député de la Moselle, Ludovic Mendes, qui reçut un courrier d’insultes commençant par « Ludovic Mendes la petite pute de Macron ».
    Le 29 novembre, la députée LaREM de l’Eure,  Claire O’Petit,  raconta  que sa permanence de Vernon avait  été vandalisée à coups de masse après son passage sur LCI où elle critiqua les Gilets jaunes. « Mon discours n’a pas plu à certains et ils ont voulu se venger. Ce sont des actes inadmissibles ».  
    Le 2 décembre,  ce fut la députée vendéenne Patricia Gallerneau qui eut la mauvaise surprise de trouver une dizaine de poubelles déversées devant sa permanence de La Roche-sur-Yon.
    De son côté le 3 décembre  Florian Bachelier, député d’Ille-et-Vilaine  et premier questeur de l’Assemblée nationale, se plaignit  d’intimidations physiques : « vers 7 h 30 du matin,  je sortais de mon domicile à Rennes pour me rendre à ma permanence pour recevoir une nouvelle délégation de Gilets jaunes, quand un homme cagoulé posté devant chez moi me lance une mise en garde sans ambiguïté. Il me prévient que si je continue à défendre la politique d’Emmanuel Macron,  je prends des risques énormes. »
    Le même jour Élise Fajgeles, députée de la 5e circonscription de Paris, dit avoir reçu des menaces de mort  après avoir reconnu sur le plateau de CNews ignorer le montant du Smic.
    Le 5 décembre la députée de Paris Olivia Grégoire, compagne d’Emmanuel Valls, affirme avoir reçu par mail des messages d’une « violence incommensurable […] Ceux qui m’ont le plus touchée disaient que le fait que je n’aie pas d’enfant me disqualifiait en tant que parlementaire ».
    Ce même 5 décembre Matthieu Orphelin, député du Maine-et-Loire, aurait vu les numéros de téléphone de ses proches diffusés sur les réseaux sociaux.
    Le 6 décembre Émilie Chalas, députée de la 3e circonscription de l’Isère, aurait  annulé à la dernière minute une réunion publique après avoir été victime de menaces dites « sérieuses ».
    Le 7 décembre à Saint-Omer (Pas-de-Calais) le député Benoît Potterie a reçu dans son courrier une cartouche de fusil accompagnée d’un mot menaçant.
    Le 8 décembre la députée Jacqueline Dubois a vu sa voiture et celle de son époux s’enflammer devant leur domicile de Vézac (Dordogne).
    Le même jour c’est la permanence du député Marc Delatte, à Chauny (Aisne) qui a été vandalisée, et taguée avec les mots  « Démission FDP, Gilet jaujaune ».
    Dans la nuit de samedi 8 et dimanche 9 décembre, la permanence d’Anne-Laure Cattelot députée du Nord, fut également  vandalisée et taguée avec les mots « En marche racketteur », la députée se plaignant en outre que ce n’était pas la première fois. « J’ai déjà été victime d’intimidations et de menaces, lors des 80 km/h ».
    Le 15 décembre, le député de l’Eure Bruno Questel s’est plaint d’une tentative d’intimidation de 40 Gilets jaunes, de coups de feu tirés devant son domicile, et d’un cortège de  20 voitures défilant en klaxonnant.
    Dans la nuit du dimanche 30 au lundi 31 décembre, des inconnus s’en prirent  à la permanence du député de Gironde, Florent Boudié, dans le centre de Libourne, inscrivant à la peinture jaune fluo  « Bonne année islamo-collabo » .  
    Le 4 janvier le député de la Vienne Sacha Houlié annonça sur Twitter avoir porté plainte pour  dégradations commises sur sa permanence à Poitiers, avec  des inscriptions et de la paille déposée.
    Le même jour 4 janvier la députée de Paris Olivia Grégoire constata également des dégradations sur  sa permanence.
    Le 12 janvier, Élisabeth Toutut-Picard, députée de Haute-Garonne, Mickaël Nogal, député LREM de Haute-Garonne et Jean Terlié, député LREM du Tarn, se plaignirent de se sentir sans cesse menacés.
    Si l’on ajoute à cette liste non exhaustive les menaces pesant sur des ministres et un président honni de presque tous, on voit que le système est arrivé à sa fin, le dernier épisode concernant la maison de Ferrand qui aurait failli brûler.
    Certes nous ne pouvons personnellement cautionner des voies de fait, mais peut-être tous ces gens devraient-ils enfin écouter le peuple au lieu de le mépriser, de le maltraiter, et de vouloir ignorer que lorsqu’on ne fait plus qu’un repas tous les deux jours comme aux pires années du XIXe siècle pour pouvoir nourrir ses enfants (lisez ou relisez Jean Christophe, de Romain Rolland), lorsqu’on doit vivre en manteau ou en blouson dans des appartements glacials car on ne peut plus se chauffer, le coût de l’énergie étant déraisonnable, lorsqu’on laisse ses dents se gâter parce que les frais dentaires sont trop élevés, on ne s’étonnera pas de la haine que peuvent susciter les privilégiés d’un système qui a largement fait son temps.
    Louise Guersan pour ripostelaique.com

  • Christianophobie : que fait l’Etat? – Journal du mardi 12 février 2019

     

    Christianophobie : que fait l’Etat?

    Nîmes, Lavaur, Dijon, Maisons-Laffitte et Houilles, les églises saccagées se succèdent en France. De la simple dégradation à la profanation, ces actes restent la plupart du temps impunis.

    Ligue du LOL : la face cachée de la bien pensance

    C’est un petit scandale dans le monde des rédactions parisiennes. Toujours prompte à donner des leçons de bien pensance et de vivre ensemble, une trentaine de journalistes s’est fait prendre la main dans le sac. Pendant près de 10 ans, un petit entreprise de cyberharcèlement s’était constituée. Montages pornographiques, insultes, menaces physiques, des dizaines de victimes témoignent peu à peu.

    Le droit européen à la rescousse d’Airbnb

    Nouvelle passe d’armes entre Anne Hidalgo et Airbnb. Alors que la mairie de Paris réclame 12 millions d’euros à la plateforme de locations pour avoir mis en ligne des annonces non conformes, le géant américain invoque le droit européen pour mettre la municipalité à genoux.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/christianophobie-que-fait-letat-journal-du-mardi-12-fevrier-2019

  • La RAIE-PUBLIQUE Macroniène

    jeunes-migrantsRennes, grande ville et bastion PS et gaucho-bobo, n’en finit plus de subir les affres de l’immigration de masse. 
    Un policier de la Bac, qui vit sur place, écrit quelquefois des articles sous le pseudo de « Geronimo » dans Riposte Laïque et il cite souvent des chiffres assortis de faits divers.
    La ville, compte dit-il, 600 « mineurs isolés » qui comptabilisent 80% des délits, pour un coût de 22 millions d’euros. 
    Ils arrivent d’Albanie, du Maroc, de Tunisie, d’Algérie, d’Erythrée, du Soudan, du Pakistan, de Libye, d’Afghanistan et d’ailleurs. 
    Ils sont tous pris en charge à 100% par les services sociaux.
    Aucun papier, aucune certitude de l’âge, mentent sur leur provenance, et la majorité d’entre eux est musulmane. 
    Ils sont souvent toxicomanes. 
    Ils passent leurs soirées à voler, à agresser des noctambules, à cambrioler et à dealer.
    Rennes, ville droit de l’hommiste et bien pensante, pleine de compassion pour ces chérubins qui peuvent avoir quelquefois 25 ans ou plus, en a placé une partie dans une ancienne gendarmerie. 
    Mais comme ils n’ont pas « les bons codes », dixit une ministre En Marche, ils cassent allègrement et régulièrement les lavabos, les douches, les WC, les carreaux, comme ils se cassent la figure entre ethnies, tout en détestant en commun les locaux, qui sont assez idiots pour les loger et les nourrir.
    Ce qui n’empêche pas toute une équipe d’éducateurs formatés gauchistes de les entourer de leur compassion pédagogique.
     Ils trouvent ainsi, avec cette nouvelle migration un bon plan de carrière.
    Avec eux, ces joyeux jeunes gens ne manquent de rien. 
    Ils sont soignés comme des touristes exigeants : Petit déjeuner avec jus de fruits, croissants, café, thé, chocolat, céréales bio, de préférence, et bien sûr, les autres repas garantis le meilleur possible. 
    Alors que les poubelles des supermarchés sont régulièrement fouillées par des pauvres, biens de chez nous.
    On apprend aussi que dans une faculté de Montpellier, 2 profs ont été sanctionnés pour avoir chassés des casseurs, dont plusieurs extérieurs à la Fac, afin que celle-ci puisse reprendre les cours. 
    Cela avec peut-être des méthodes quelque peu musclées, mais efficaces.
    Un des profs est interdit d’enseigner pendant 5 ans, l’autre est carrément radié, comme s’il avait été lui-même casseur. 
    L’addition est salée : 300 000 €, compte tenu du vandalisme de ces bons à rien. 
    Portes défoncées, locaux ravagés, ascenseurs vandalisés et j’en passe. 
    Avec les slogans récurrents de ces « intellos » démolisseurs « Ce qu’on fait en Palestine c’est du fascisme ».
    Avec pour résultat, 2000 étudiants bloqués par 80 gauchos crasseux. 
    Mais pour eux, ce sera l’indulgence assurée, comme pour les petits malfrats de Rennes.
    Et comme le signale un intervenante du débat municipal de Béziers: « Je suis resté à la rue avec mon fils, alors que  des clandestins étaient logés dans des hôtels à 1200 € par mois. Quand va t’on briser le silence ? »
    Pour le moment, aucune réaction des GJ, ni des français en général. 
     » C’est comme s’ils se laissaient envoyer à l’abattoir, mais s’indignaient du prix du transport  » disait Renaud Camus.
    J’ajouterai, « Sans théorie révolutionnaire, pas de mouvement révolutionnaire ».
    Onyx

  • En toute transparence? LOL!

    cinema.jpgAh les donneurs de leçons de la gauche progressiste ! Le lièvre a été soulevé par une enquête de Libération publiée le 8 février… pour éviter peut-être que l’information ne soit diffusée par d’autres.  Un groupe facebook baptisé La ligue du LOL, regroupant une  trentaine de journalistes, de membres d’agence de communication travaillant à Paris,   a sévi à la fin des années 2000. Ils se sont livrés à des cyber-harcèlements dirigés principalement contre des femmes, et, circonstances aggravantes,   contre des militantes féministes. Patron de la rédaction de Libération, Laurent Mouchard-Joffrin s’est fendu d’un éditorial car son quotidien a été éclaboussé par l’affaire puisque au moins deux de ses journalistes (Vincent Glad et le rédac chef Alexandre Hervaud, aujourd’hui suspendus à titre provisoire) étaient affiliés à cette Ligue. « Honteux » à écrit M. Joffrin. « Le traitement infligé à plusieurs jeunes femmes ou jeunes hommes par certains membres d’un groupe informel appelé la Ligue du LOL soulève le cœur. Harcèlement, insultes, canulars graveleux, toute une panoplie d’agressions numériques a été utilisée dans cette entreprise. L’humour a bon dos. D’abord parce qu’il consiste, en principe, à se moquer de soi-même plus que des autres. Ensuite parce que, sous couvert d’une ironie qui se perd dans les limbes byzantins du 22e degré, il véhicule en l’espèce une tripotée de clichés sexistes, machistes, homophobes et parfois racistes. Enfin parce qu’au travers d’une agressivité systématique dont on proclame qu’elle constitue «une culture» alors qu’elle traduit surtout une régression de la culture, elle a blessé la sensibilité de jeunes gens honorables, souvent en situation plus fragile que celle de leurs courageux agresseurs. » Plusieurs des membres de cette Ligue ont depuis publié un mea culpa.

    L’on apprend ces dernières heures qu’un magazine comme Vice,  faisant la promotion de toutes les avancées sociétales  , de toutes les déviances de la contre-culture californienne,  avait lui aussi sa propre Ligue du LOL se signalant par « un déferlement de haine, de racisme, de misogynie, d’homophobie». Pour l’heure, les confrères des harceleurs ont d’ores et déjà balancé les noms de leurs petits camarades:  Stephen des Aulnois, fondateur du Tag parfait, « le magazine de la culture porno »,  Christophe Carron,  le  féministe-rédacteur en chef de Slate.fr qui expliquait que « l’écriture inclusive est  un des chemins qui conduit à l’égalité » (sic),  David Doucet, qui n’est pas, disons-le,  le plus fanatiquement  antinational de cette petite bande, rédacteur en chef aux Inrockuptibles,  Guillaume Ledit (Usbek & Rica), Renaud Loubert-Aledo (Publicis Consultants), Guilhem Malissen (Nouvelles Ecoutes), Vadim Poulet (les Inrocks), Olivier Tesquet (France Inter)…

    La  député LREM Laetitia Avia  n’a rien perdu  de son mordant  pour se saisir de cette affaire, divine surprise,  afin de légitimer le vœu présidentiel d’imposer la transparence sur internet. Le 18 janvier, lors d’une session   du Grand Débat à  Souillac (Lot),  Emmanuel Macron  s’est prononcé devant des maires  en faveur d’une « levée progressive de tout anonymat »  pour améliorer la qualité de la démocratie participative, cette tarte à la crème de la gauche.   Le 7 février,  il  prenait prétexte du   harcèlement scolaire  pour préciser   que « (le gouvernement allait) continuer à travailler avec les plateformes internet, pour sanctionner ce qui est fait sur ces plateformes ». « Moi je ne veux plus de l’anonymat sur les plateformes Internet » a-t-il ajouté, en référence de nouveau  au futur projet de loi cuisiné par Mounir Mahjoubi, secrétaire d’État au Numérique, « relatif aux propos haineux » et qui devrait être adopté par les députés LREM cette année.

    La quadrature du net, dont nous avons déjà relevé le combat légitime contre le loi Hadopi,  notait à notre avis  justement qu’ « en reprenant l’idée grotesque que l’État pourrait trancher le vrai du  fake , le gouvernement français s’est embourbé (avec sa loi orwellienne contre les fausses nouvelles,  dite « loi contre les fausses informations, NDLR)  dans une hasardeuse tentative de se faire arbitre de la vérité en ligne »… on ne saurait mieux dire!  Jean-Yves Le Gallou (Polemia) voit pour sa part derrière cette volonté des macronistes de chasser l’anonymat d’internet  une nouvelle offensive liberticide. Il a estimé   sur twitter que  « l’ anonymat ne déshonore que les régimes politiques dont l’autoritarisme, l’aveuglement et le totalitarisme vous contraignent à y recourir. »

    Dans un article consacré à ce sujet  Stéphane Ruscher, sur le site frandroid.com, relève  que « la foule anonyme virtuelle fait peur, c’est naturel. Elle peut être dangereuse. Elle peut polluer un débat avec des propositions hors sujet. Elle peut être le véhicule de fausses informations. Elle peut harceler un individu, mais aussi une entreprise, avec des conséquences parfois graves (…). Elle peut aussi commettre des actes de cyber criminalité, comme  (les) hackers (…). D’accordMais l’anonymat sur Internet… C’est aussi un des fondements d’Internet et on serait peut-être bien inspiré de s’en souvenir. L’anonymat, c’est la possibilité de ne pas être traqué à chaque coin de site, d’être un peu oublié par les algorithmes de ciblage. C’est un moyen de se protéger contre des régimes autoritaires qui répriment la liberté d’expression et qui fichent les individus. Et c’est surtout une garantie de se sentir en sécurité pour émettre une opinion qui deviendrait dangereuse si on l’écrivait à visage découvert. Parce qu’on ne peut pas toujours, par peur des représailles, et ça n’est pas qu’une question de courage. »

    La quadrature du net cité plus haut s’inquiète plus largement  que  sous prétexte de lutte bien légitime  contre le terrorisme « un nouveau projet de règlement européen (souhaite)   imposer de lourdes obligations à tous les hébergeurs, notamment le retrait en une heure des contenus signalés par la police. Il banalise la censure privée et le contournement de la justice. Il fait des filtres automatiques la clé des politiques de censure. Il fera disparaître le Web décentralisé en le mettant sous la tutelle forcée d’une poignée de géants, qui en sortiront seuls et grands gagnants (…). L’Union européenne est en train d’adopter une nouvelle directive pour imposer une censure automatisée aux grandes plateformes qui hiérarchisent les contenus qu’elles diffusent. En plus de sacraliser la surveillance généralisée inventée par les géants du Web, ce texte soumet l’économie culturelle et la presse à un modèle économique publicitaire reposant aujourd’hui sur une large violation de nos données personnelles. »

    Alors bien sûr, nos compatriotes ont des préoccupations matérielles, tangibles, immédiates qui apparaissent plus graves et/ou plus pressantes. Exemple parmi d’autres,  celui du fiscalisme confiscatoire qui a les faveurs  de ce gouvernement et notamment  de Brune Poirson, secrétaire d’Etat au près du ministre de la Transition écologique et solidaire qui milite pour le retour de la taxe carbone.   Virginie Pradel,   membre de l’Institut Vauban,  rappelait entre autres joyeusetés   qu’ «en raison des coups de rabot successifs (plafonnement des niches et du quotient familial, augmentation du taux maximal, etc) les recettes de l’impôt sur le revenu ont bondi de 40% en 7 ans, passant de 55,1 milliards d’euros  en 2010 à 77,6 milliards d’euros en 2017.»

    Mais n’en doutons pas, les menaces qui  pèsent  sur la libre expression sur internet  sont lourdes de conséquences. Elles menacent directement  les possibilités dans  l’avenir de défendre  des idées nationales qui, comme telles, sont de plus en plus criminalisées constate Bruno Gollnisch. La  dénonciation de l’immigration  massive est (déjà) considérée, malgré son coût financier abyssal et ses ravages sur le plan social,  humain et culturel,  comme une incitation à la haine, une attaque  contre le vivre-ensemble  de  la   ( plus en plus)  totalitaire société ouverte et transparente  que promeuvent  les euromondialistes, à Paris comme à Bruxelles.

    https://gollnisch.com/2019/02/12/en-toute-transparence-lol/