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lobby - Page 950

  • Du djihad à la guérilla urbaine, le pas est-il franchi ?

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    C’est avec consternation que les autorités ont constaté que, malgré leurs efforts (15.000 policiers mobilisés, autant qu’au Texas pour lutter contre la vague migratoire !), les incidents du 31 octobre (s’il est possible d’appeler « incidents » des voitures incendiées, des forces de l’ordre caillassées, un centre commercial pris d’assaut), non seulement avaient eu lieu, mais s’étaient étendus à nombre de quartiers jusque-là sans histoire, et qu’ils étaient le fait de jeunes de plus en plus jeunes (treize-quinze ans), que les médias complaisants appellent des enfants. Il « n’y a eu que » 116 interpellations qui, probablement, seront sans suite. La veille, pourtant, « la purge », c’est-à-dire l’appel à s’attaquer à tout ce qui représente l’autorité et l’État, avait été lancée. Plus tôt, des rappeurs appelaient à assassiner tous les Blancs – hommes, femmes et enfants. Excusez du peu. Bien entendu, on a crié au canular. Surtout pas de vagues, les moutons doivent être égorgés sans bêler.

    Ces appels sont, en clair, des « fatwas » citoyennes, des appels, au niveau national, à la guérilla urbaine avec constitution de groupes par quartiers. Plus besoin d’attentats djihadistes, plus besoin de kamikazes, plus besoin de se radicaliser.

    Car, aujourd’hui, ce sont certains jeunes, radicalisés ou non, qui mènent le combat. Pourquoi ? Parce qu’ils n’ont rien à perdre et qu’ils ne croient pas aux valeurs qui rassemblent la nation. Nos peuples faits de vieux et de fatigués espèrent toujours qu’ils auront disparu avant de voir les réalités. Sauf que les prédictions se réalisent. En 40, on espérait que la guerre n’arriverait pas devant chez soi. Les habitants de Nîmes ou de Gaillac faisaient semblant de vivre comme si de rien n’était ; et puis, un jour, ils sont arrivés…

    Les djihadistes sont en train de gagner. La violence s’étend maintenant partout, dans les quartiers, à l’école, dans les rues. Leur bras armé ? Les jeunes déboussolés, livrés à eux-mêmes et sûrs de leur impunité. La nature fait naître des fauves, l’éducation, des citoyens. La théorie rousseauiste de l’angélisme est malheureusement une fable. Des dizaines de cités en France, présentant, comme le disait pudiquement en 2016 un ministre de Hollande, des « similitudes potentielles avec Molenbeek », sont, de fait, devenues des zones où ce n’est pas la loi de la République qui est en vigueur. Désormais, la cible est claire : s’en prendre à l’ordre et à la culture occidentale.

    Mais que font nos élites ? Sont-elles autistes ? Attendent-elles un embrasement pour agir ? Ou pensent-elles pouvoir se sauver, comme les aristocrates de 1789, si cela tourne mal ?

    Leurs remèdes sont toujours les mêmes. Rien qui fâche les sphères mondialistes et internationalistes : discours compassionnels, déclarations tartarinesques, réunions interministérielles, décrets et lois. Comme les concernés ne reconnaissent ni les lois ni les règles de la République, il s’agit de cautères sur une jambe de bois.

    Alors, quoi faire ? Certains, défaitistes, nous disent : c’est trop tard, l’inversion est devenue impossible. Il n’est jamais trop tard. L’exemple de l’Italie, des pays de l’Est et même des États-Unis prouve le contraire. Certes, ce ne sera pas facile, car c’est toute une frange de la population qui a fait sécession. Il faut des mesures fortes et de masse : interdiction et arrestation des manifestants qui se cachent derrière masques et foulards. Pour les récidivistes, envoi dans des camps de rétention où civisme, discipline militaire et cours tout court essaieraient, pour les moins violents, de les réinsérer dans la société.

    Tout cela demande un courage que nos dirigeants, occupés à leurs petites affaires, n’ont pas. Dans ce vide politique, l’apparition d’un gouvernement autoritaire ne peut être exclue. Si cela arrivait, nos dirigeants actuels, qui nous affirment le craindre, en seraient les premiers responsables et les vrais coupables.

    Bérenger de Montmuel

    http://www.bvoltaire.fr/du-djihad-a-la-guerilla-urbaine-le-pas-est-il-franchi/

  • Angleterre : pourquoi les viols commis par un gang d'origine pakistanaise ont été tus par la presse

    Pour avoir parlé du procès du gang d'Huddersfield sur Facebook, le militant d'extrême droite Tommy Robinson a écopé de treize mois de prison. - Daniel LEAL-OLIVAS / AFP

    Un groupe d'hommes d'origine pakistanaise a été condamné par le tribunal de Leeds, en Angleterre, pour des viols commis contre des jeunes filles. Alors que les scandales sexuels d'ampleur se multiplient outre-Manche, le procès était sous embargo médiatique : pas un mot dans la presse. Explications.

    Les Britanniques commencent à en avoir une triste habitude : après les drames survenus à Rochdale, à Rotherham et à Telford, un nouveau scandale sexuel vient d'être éventé. Les faits, survenus cette fois-ci à Huddersfield, dans la région du Yorkshire, sont très similaires aux affaires précédentes : un gang d'hommes, très majoritairement d'origine pakistanaise, a perpétré d'ignobles crimes sexuels sur des jeunes filles. Cette fois-ci, vingt hommes ont été condamnés au cours de trois procès successifs, dont le dernier vient de se conclure ce 8 octobre à Leeds. Entre 2004 et 2011 à Hurddersfield, 22 viols ont été commis envers 11 adolescentes, dont les plus jeunes avaient 11 ans. Les filles étaient souvent droguées, puis violées par plusieurs membres du gang ; d'autres étaient amenées dans des endroits isolés où elles étaient menacées et forcées à satisfaire les requêtes sexuelles de leurs agresseurs.
    Ce n'est pas la première fois que les réseaux pédophiles indo-pakistanais frappent en Grande-Bretagne. Mais une nouveauté a cette fois-ci alimenté les tensions : alors que le premier procès a débuté en janvier, et que le dernier s'est achevé au début du mois d'octobre, le silence médiatique a été total sur la question : en effet, la justice britannique avait interdit à la presse d'évoquer l'affaire judiciaire, un embargo qui n'a été levé que ce vendredi 19 octobre. Cette décision a alimenté les soupçons d'omerta, d'autant plus que le sujet est extrêmement sensible au Royaume-Uni : les sévices commis par les gangs ont longtemps été "couverts" par une série d'acteurs trop inquiets de "stigmatiser" la communauté pakistanaise… au risque de mettre en danger les victimes, dans un pays profondément acquis au multi-culturalisme et à l'obsessionnelle volonté de ne pas "blesser" telle ou telle communauté.

    Le précédent de Telford : un silence coupable et dévastateur 

    La dernière affaire de ce type s'est produite à Telford, près de Birmingham. Dans une longue enquête, parue en mars dernier, le Sunday Mirror a montré que près de 1.000 jeunes filles issues de la classe ouvrière blanche de cette ville ont été victimes d'un réseau de pédophiles originaires du sous-continent indien… et que des institutions comme le conseil local de la ville, alertées à plusieurs reprises, ont presque systématiquement minoré les faits par crainte d'être accusées de racisme. La police aurait refusé cinq fois d'ouvrir une enquête, finalement mise en oeuvre grâce aux multiples signalements de Lucy Allan, députée conservatrice élue en 2015 à Telford. La question est d'autant plus problématique que d'après l'élue tory, "l'existence des gangs [de pédophiles] est liée à la culture pakistanaise", une assertion confirmée en mars dernier par une enquête de The Independentmontrant que les agresseurs pakistanais de Rotheram étaient persuadés que leurs sévices avaient un sens religieux - ils récitaient notamment des sourates du Coran lorsqu'ils battaient leurs victimes. L'omerta autour de Telford a été policière et politique, mais également médiatique : de grands quotidiens comme le Times et le Guardian ont fort timidement relaté les faits, pourtant choquants, en pleine période #MeeToo ! En France, L'Obs a carrément choisi d'angler son traitement de l'affaire de Telford sur un scandale qui "fait le miel de la fachosphère" et "réactive clichés et fantasmes xénophobes"...
    On comprend mieux pourquoi l'affaire d'Huddersfield, révélée ce vendredi 19 octobre par la presse britannique, avait de quoi alimenter les accusations d'omerta : l'expérience dramatique et récente de Telford, ainsi que le silence médiatique imposé cette-fois ci par la justice dans les procès du gang d'Huddersfield, incitaient à l'inquiétude. D'autant qu'un militant d'extrême droite, Stephen Yaxley-Lennon, plus connu sous le pseudonyme de Tommy Robinson, a tenté d'instrumentaliser les restrictions imposées par le tribunal de Leeds. Ce trentenaire, fondateur de l'organisation extrémiste English Defence League (Ligue de défense anglaise), a tenu un Facebook Live consacré au procès du gang d'Huddersfield en mai dernier, brisant la loi du silence. Il a été aussitôt arrêté et conduit devant un juge dans les heures qui ont suivi, avant d'être condamné à 13 mois de prison pour outrage à la justice. Pour ne rien arranger, la justice a imposé un embargo médiatique sur l'incarcération de Robinson… Mais la nouvelle s'est diffusée auprès de ses sympathisants et des manifestations à Leeds ainsi que devant Downing Street se sont tenues.

    Pourquoi la justice a interdit la publicité du procès de Leeds 

    Finalement, l'ensemble du scandale d'Huddersfield et de ses répercussions a été révélé en bloc ce vendredi. Mais cette fois-ci, le délai entre les événements et le moment où ils ont été rendus publics n'est pas imputable à un silence coupable des médias et des institutions. En effet, la cour de Leeds a pris dès janvier dernier la décision d'imposer une "reporting restriction" (qu'on pourrait traduire par "interdiction de publier"), pour des motifs fréquemment invoqués dans le monde de la justice anglo-saxonne. Un acte de 1981 autorise en effet les juges britanniques à "reporter la publication de tout article relatant une procédure judiciaire", la durée de l'embargo pouvant s'étendre "aussi longtemps que la cour estime nécessaire d'éviter un risque important de porter préjudice à l'administration de la justice." La jurisprudence, inscrite dans un rapport du Judicial College datant de juin 2014, précise que "la règle générale est que l'administration de la justice soit effectuée en public", et que "les médias doivent pouvoir relayer les procédures pleinement et en temps réel". Mais ce principe, totalement inconnu en France, souffre quelques exceptions.
    Il en existe deux principales : la première est d'éviter qu'une couverture trop médiatique trop sensationnaliste, dans un sens ou dans l'autre, n'influence excessivement les jurés. Une problématique particulièrement concrète au pays des tabloïds et des unes tapageuses. C'est cette raison qui a été invoquée par le tribunal de Leeds, relate le Yorkshire Post : "Il y avait tellement de prévenus accusés d'avoir commis des abus sexuels qu'ils ne pouvaient pas être tous entendus lors d'un même procès. En conséquence, la cour a imposé de strictes restrictions de publication sur les premiers procès, dans le but de s'assurer que les jurés des procès suivants ne seraient pas influencés par la couverture médiatique." Le deuxième motif justifiant ce black-out médiatique découle du premier : il consiste à éviter de donner des arguments supplémentaires à la défense des accusés, qui pourrait se saisir du traitement médiatique pour contester le caractère équitable du procès et décrédibiliser la décision de justice.
    Dans le cas du scandale d'Huddersfield, ce sont bien ces motifs, avancés dès les débuts de la procédure judiciaire, qui ont été mis en avant par la justice. La presse , depuis la fin de l'embargo, publie d'ailleurs de nombreux papiers sur l'affaire. Le Yorkshire Post a notamment fait paraître un éditorial condamnant l'attitude du militant d'extrême droite Tommy Robinson, estimant que celui-ci "doit des excuses aux victimes du gang" : "Sa ligne était que les journaux comme le Yorkshire Post étaient trop effrayés de dire la vérité car les criminels sont tous des hommes asiatiques, écrit le quotidien local. Maintenant que les restrictions de publication sont levées, la vérité est révélée : Yaxley-Lennon (Tommy Robinson, ndlr) a placé sa notoriété personnelle devant toute pensée pour les seules personnes qui comptent dans cette affaire ; les victimes." Maintenant que les vingt criminels sont en prison, le temps est donc venu, relate le Yorkshire Post, de livrer le récit de ce nouveau drame.
  • Une Allemande prévient. Suicide de l'Europe le 10 décembre.

  • Le carburant islamique des agressions contre les personnes homosexuelles

    Le carburant islamique des agressions contre les personnes homosexuelles

    Un tabou, décrypté par Joachim Véliocas :

    Alors qu’en moins d’un mois de nombreux homosexuels se sont fait lynchés gratuitement à Rouen, ParisLyon , La RéunionTarbes et Montpellier (avec un soin particulier des médias à camoufler le nom des auteurs) nous reproduisons le chapitre consacré au phénomène dans le livre Mosquées Radicales: ce qu’on y dit, ce qu’on y lit (éditions DMM). La doctrine musulmane est en cause, jusqu’aux juristes référencés par la Grande Mosquée de Paris qui prescrivent le meurtre. Extraits :

    Chapitre VII

    L’homophobie islamique

    Homosexualité : ce que dit la Sharia 

    Le droit musulman fait cas des homosexuels, et le consensus des juristes a toujours été limpide à leur endroit : peine de mort sans commutation possible.

    Le « Guide de l’étudiant[1] » de l’école d’imâms Grande Mosquée de Paris, préfacé par Dalil Boubakeur, programme en « référence annexe » la Risâla de Zayd al-Qayrawani (922-996), traité de droit sunnite de référence. Compendium destiné à vulgariser la charia, enseigné officiellement au Maroc ainsi qu’en Algérie, il précise la légalité de la mise à mort des homosexuels :

    «Si un homme commet l’acte de sodomie avec un mâle adulte consentant, les deux doivent être condamnés à mort, musulmans ou non» (chapitre 37, des prescriptions relatives aux délits de sang et aux peines légales).

    L’ouvrage, fondamental, est disponible en plusieurs exemplaires à l’Institut du Monde Arabe[2], aussi bien dans la « librairie boutique » du rez-de-chaussée que dans la bibliothèque. Toutes les librairies musulmanes de France le vendent.

    Parmi les savants contemporains de l’islam faisant autorité, Yusûf al Qaradawi, également cité en référence dans le Guide de l’étudiant de la Grande Mosquée de Paris, ne dit pas autre chose. Dans son ouvrage « Le licite et l’illicite » (éditions al-Qalam, 2002) il s’interroge sur la manière la plus « pratique » d’éliminer les homosexuels :

    «Est-ce que l’on tue l’actif et le passif ? Par quel moyen les tuer, est-ce avec un sabre ou le feu, en les jetant du haut d’un mur ? Cette sévérité qui semblerait inhumaine n’est qu’un moyen pour épurer la société islamique de ces êtres nocifs[3]»

    Voilà la pensée du président du Conseil Européen de la Fatwa et de la recherche, organe de prescriptions juridiques de l’UOIF, pour qui Tariq Ramadan dit « éprouver un profond respect[4] ». Ce livre  de Qaradawi était présent dans le rayon « islam » de la Fnac des Halles en juin 2015,  il faut dire que c’est une des meilleures ventes chez les musulmans pratiquants.

    Autre best-seller vendu non seulement à la Fnac, mais dans tous les hypermarchés Carrefour pour son rayon ramadan à l’été 2014, « La voie du Musulman » du ckeikh algérien El Djazairi, recommande dans son chapitre IX sur les « sanction pénales » la mise à mort des homosexuels (voir infra).

    Sur les forums internet musulmans, les avis sont souvent tranchés : les homosexuels doivent mourir. Sur le premier forum islamique de France, Mejliss, émanation du site de référence Oumma.com, on peut lire :

    « (…) le Prophète de l’Islam (bénédiction et salut soient sur lui) déclare : « Si vous trouvez des personnes en train de pratiquer la pédérastie tuez-les toutes les deux » C’est-à-dire si les deux partenaires sont consentants. » Le hadith est rapporté par at-Tarmidhi dans ses Sunan, n°1376. Les ulémas de l’Islam tels que Malick, Shaf’i , Ahmad et Ishaq soutiennent qu’on doit appliquer à l’homosexuel la peine de l’adultère , qu’il soit marié ou pas.[5]» .Une autre internaute renchérit : «il est dit que nous devons tuer ces genres de personnes[6]»

    Mohamad Ratib Nabulsi, le 28 avril 2011 sur la télévision Al-Aqsa du Hamas, affirma « L’homosexualité mérite la peine de mort [7]». Professeur de jusrisprudence islamique à la prestigieuse Université Al Azhar du Caire, savant mondialement reconnu, il connaît la charia sur le bout des doigts.  Un visa de séjour en mai 2013 lui fut pourtant délivré pour sa conférence[8]à la mosquée UOIF de Nantes financée à hauteur de 200 000 par la mairie PS en 2009[9].

    Il n’y a pas de débat chez les juristes musulmans sur le sort des homosexuels. Il est donc mécanique que les homosexuels en France rencontrent l’incompréhension de musulmans radicalisés, c’est le moins qu’on puisse dire au vu de la multiplication des agressions homophobes ces dernières années.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-carburant-islamique-des-agressions-contre-les-personnes-homosexuelles/

  • Ni mondialisme, ni communisme, ni empire ou dictature européenne, juste une Europe des nations fondée sur ses racines chrétiennes

    Ni mondialisme, ni communisme, ni empire ou dictature européenne, juste une Europe des nations fondée sur ses racines chrétiennes

    Excellent discours de Viktor Orban qui sait de quoi il parle. Extrait :

    Mesdames et messieurs,

    Ceux qui dominent Bruxelles aujourd’hui sont ceux qui en lieu et place de l’alliance des Nations souhaitent un empire européen. Un empire européen dont les dirigeants ne seraient pas choisis par les peuples, mais qui serait dirigé par les bureaucrates bruxellois. Nous en sommes aujourd’hui au point que dans de nombreux pays, les partisans de l’empire européen sont au pouvoir. C’est pourquoi nous savons à quoi ressemblera ce Meilleur des Mondes si cela ne tient qu’à eux. Apparaissent en nombre croissant des hommes en âge de se battre, venus des quatre coins du monde, et qui façonnant à leur image les villes européennes de notre vivant, transformant les Européens autochtones, lentement mais sûrement, en minorité. La terreur devient partie intégrante de la vie des grandes villes. La manipulation politique se basant sur l’État de droit devient quotidienne. La liberté de parole et de presse se limitent à leur opinion.

    Mesdames et messieurs,

    Ceux qui veulent faire de l’Union européenne un empire européen sont tous sans exception partisans de l’immigration. Ils ont fait de l’acceptation de l’immigration l’étalon de l’européanité, et attendent que chaque pays et chaque peuple deviennent sans délai multiculturels. Aujourd’hui nous le voyons, malgré leurs forces policières et militaires considérables, ils n’ont volontairement pas défendu l’Europe des masses migratoires. Si nous en avons été capables, ils auraient pu l’être également. Ce ne sont pas les capacités qui ont manqué, mais la volonté. L’élite bruxelloise et autres dirigeants antinationaux considèrent l’immigration comme une chance et une option, encore aujourd’hui. Une chance pour transformer l’Union européenne des Nations en empire monolithique, multiculturel et aux peuples mélangés. Une Europe sans États-nations, une élite coupée de ses racines nationales, un consortium de multinationales, et une coalition des spéculateurs financiers. Voilà qui serait le paradis de George Soros.

    Mesdames et messieurs,

    Nous sommes en octobre, mais tout le monde en Europe pense à mai prochain. Les élections du Parlement européen au mois de mai décideront du sort de l’Europe. Les peuples européens vont devoir décider de leur avenir. Nous autres Hongrois ne pouvons rester silencieux. Si le message n’est pas clair, il est alors impossible de se rassembler, même derrière la cause la plus importante et la plus juste. Il faut donc nous élancer en premier, et faire appel à ceux qui croient en l’Europe des Nations. Il faut faire voler haut le drapeau de l’Europe libre et forte. Choisissons l’indépendance et la coopération des Nations face au gouvernement mondial et à son contrôle. Rejetons l’idéologie mondialiste et soutenons à sa place la culture du patriotisme. Si l’univers bariolé des différentes nations peuple le monde, celui-ci en sera plus riche, et l’humanité, peut-être meilleure. Nous croyons que chaque nation est particulière, unique à sa façon, et peut illuminer le coin du monde qui lui a été confié. C’est ce en quoi nous croyons, et c’est d’ailleurs pour cela que nous nous sommes révoltés en 1956. Nous adorons notre culture, qui maintient et protège notre liberté. Nous croyons dans les familles fortes, nous considérons comme exceptionnelles nos traditions et notre Histoire, nous célébrons nos héros, et plus que tout, nous aimons notre patrie. Nous ne voulons et nous n’allons pas y renoncer pour faire plaisir à un quelconque empire ou gouvernement mondial. Nous ne voulons pas effacer nos sentiments patriotiques, mais au contraire, les renforcer, et même, les libérer, afin qu’ils permettent aux Hongrois d’exprimer les capacités et les talents qui sont en eux. L’Histoire nous enseigne que dans les pays souverains, la liberté est préservée, la démocratie dure, et la paix règne.

    Mesdames et messieurs,

    Pensons aux combattants de la liberté de 56, remémorons-nous les Gars de Pest, choisissons le futur du patriotisme et de la fierté nationale !

    En avant la Hongrie, en avant les Hongrois !

    https://www.lesalonbeige.fr/ni-mondialisme-ni-communisme-ni-empire-ou-dictature-europeenne-juste-une-europe-des-nations-fondee-sur-ses-racines-chretiennes/

  • Pierre Vial soutient le mouvement du 17 novembre

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    Pierre Vial, Président de Terre et peuple

    Le 17 novembre beaucoup de Français vont manifester leur ras le bol contre l’exploitation éhontée qu’ils subissent en tant qu’automobilistes, dont pour beaucoup l’automobile n’est pas un objet de luxe, de loisir mais bel et bien un outil de travail ou un moyen de liaison indispensable dans la vie quotidienne, en particulier dans les zones rurales, pour lesquelles les technocrates parisiens ont un souverain mépris. C’est pourquoi Terre et Peuple appelle ses membres et ses amis à participer activement aux manifestations du 17 novembre. Le peuple doit se faire entendre et respecter. Seule paie la rébellion.

    Le mouvement est aussi soutenu par Carl Lang cliquez là et par la Ligue du Midi cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • #Montpellier

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    « Il n’y a pas un jour sans que l’on ait affaire à des MNA (mineurs non accompagnés, NDLR) impliqués dans des actes de délinquance. Un phénomène très prégnant dans le centre-ville », remarque une source policière. Impliqués dans des vols à l’arraché de bijou, de téléphone portable, parfois avec violence (voire sous la menace d’un couteau) et même dans des cambriolages. Recrutés aussi comme petites mains pour la vente de drogue ou de cigarettes de contrebande.

    Sentiment d’impuissance

    Le phénomène n’est cependant pas quantifié. Les services de police ne cachent plus leur sentiment d’impuissance face à ces mineurs, souvent hébergés en hôtel, interpellés la nuit après des agressions, puis placés en garde à vue mais renvoyés quelques heures plus tard vers les mêmes hébergements sans plus de contraintes. Du fait de leur statut de mineur, soumis à l’ordonnance de 1945.

    Depuis deux ans, les services de police tirent la sonnette d’alarme sur la multiplication des infractions du fait de ces jeunes livrés à eux-mêmes, qui débarquent en continu dans l’Hérault via des réseaux de passeurs. Notamment depuis le Maroc ou l’Albanie.

    Source : midilibre.fr

    https://www.news.suavelos.eu/montpellier-la-police-se-dit-impuissante-face-a-lexplosion-du-nombre-de-mineurs-etrangers-et-de-leur-criminalite/

  • D’anciens hôtels reconvertis en centres d’accueil pour migrants

    Une cinquantaine d’hôtels Formule 1 ont été rachetés et mis à disposition pour accueillir des sans-abris et des migrants. Pour mieux reloger et faire des économies…

    http://www.fdesouche.com/1098983-danciens-hotels-reconvertis-en-centres-daccueil-pour-migrants
  • La fondatrice des Femen au Brésil demande pardon aux chrétiens

    La fondatrice des Femen au Brésil demande pardon aux chrétiens

    Sarah Winter, fondatrice des Femen au Brésil en 2012, s’est livrée dans une vidéo :

    « Ce n’est pas une chose facile à faire, mais je demande pardon aux chrétiens pour nos protestations féministes… Nous sommes allées trop loin. » Répercutée quelques jours après Noël par le site LifeSiteNews, la repentance dans une vidéo YouTube de Sarah Winter, pseudonyme de militante de Sara Fernanda Giromini, fondatrice des Femen au Brésil puis militante du mouvement pro-bisexualité « Bastardxs », remonte au mois d’octobre dernier. Un mois après la naissance de son deuxième enfant, elle a exprimé son repentir pour l’avortement de son premier enfant, et a reconnu que la récente naissance du deuxième avait changé son regard sur le droit à la vie.

    https://www.lesalonbeige.fr/la-fondatrice-des-femen-au-bresil-demande-pardon-aux-chretiens/

  • Combien de temps avant la « Purge » ?

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    Gérard Collomb ne pouvait être plus clair. Exhumé par Valeurs actuelles, le constat de celui qui fut notre ministre de l’Intérieur est sans appel. À la question du journaliste qui lui demandait ce qu’il craignait, « une partition ou une sécession », Collomb répondit ceci : « Oui, je pense à cela. C’est ce qui me préoccupe, d’ici cinq ans, la situation pourrait devenir irréversible. » Ces mots nous parviennent quelques jours après que le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a exprimé en direct ses craintes en observant une « colonisation à l’envers« .

    On peut souffler, tempêter, on peut laisser l’amertume nous ronger en pensant que cela fait trente ans que certains prophètes alertent sur l’épilogue inévitable. Nous en avons eu, des Cassandre qui prédisaient la chute de Troie. Nous avons eu nos cohortes de Byzantins préférant débattre du sexe des anges pendant que les Ottomans escaladaient leurs murailles. À la différence, sans doute, que nous sommes les citoyens d’une Troie qui est fatiguée de vivre, à la différence que nous ne débattons plus du sexe des anges mais de celui assigné à nos enfants par quelque construction sociale.

    On peut, effectivement, se rasseoir en se disant qu’on l’avait bien dit. Ou alors on peut se réjouir en considérant que cette situation dramatique n’est pas encore irréversible, justement.

    Les événements de ces derniers jours ont agi aussi comme un rappel du réel. D’un côté, des racailles se servant des réseaux sociaux pour appeler à la « Purge », du nom d’un film connu en France sous le titre d’American Nightmare. Le principe ? Pendant une nuit, tous les droits sont suspendus et malheur à ceux qui seraient hors de chez eux. Bien évidemment, c’était, à la base, la blague d’un ado confondant réalité et fiction, URL et IRL. Mais tellement emblématique de l’époque que nous vivons.

    Pendant ce temps, notre Président si mal élu se remet tranquillement d’un coup de fatigue. Pendant ce temps, notre Jupiter foudroyé depuis l’Olympe alerte sur un possible retour des années 30. Péchant par ignorance, il oublie un fait important : les émeutes du 6 février 1934 n’étaient qu’une conséquence de décennies de corruption et d’atermoiements. Le 6 février 1934 et les morts ont été le fait des princes de l’époque. Ce ne sont plus des bourgeois factieux que la France affronte mais des milliers de bandes ultra-violentes non intégrées et insensibles au sort du pays qui les accueille et les nourrit. Un pays tenu par des élites qui pratiquent l’auto-détestation de ce qu’ils sont ne saurait survivre, fût-il protégé par des frontières. Plus que jamais, il est urgent de faire aimer la France.

    Dans six mois, les européennes permettront aux électeurs d’imposer un Parlement anti-technocratique et souverainiste. Dans un peu plus d’un an, les municipales permettront aux électeurs d’élire des maires compétents. Dans un peu plus de trois ans, nous aurons la possibilité d’élire un chef de l’État et des députés câblés pour répondre à l’urgence. Mais il est illusoire d’engager une transformation en commençant par le haut. Principe de subsidiarité oblige, c’est par la base que le pays se transformera. C’est ce que Macron a oublié, et c’est sans doute sa plus grande erreur. Début de réponse le 17 novembre ?

    Marc Eynaud

    http://www.bvoltaire.fr/combien-de-temps-avant-la-purge/