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CLIMAT - YOUTUBEURS, GILETS JAUNES & CULPABILISATION - QUI PROFITE DE NOS DIVISIONS ?
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Opération « Gilets jaunes » le 17 novembre – Un Macron, ça pompe énormément
Depuis le début de l’année, le prix du gaz a augmenté de plus de 23%. Principale conséquence ? Un récent sondage de l’IFOP révèle que deux Français sur trois (66%) affirment avoir déjà eu froid dans leur logement, en dépit du chauffage allumé.
Le prix du gazole affiche 1,52 euro en ce début novembre 2018 (contre 1,16 euro deux ans plus tôt) et celui de l’essence SP95 tourne à 1,54 euro (contre 1,39 euro deux ans plus tôt). Résultat : 78% des Français, selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting, soutiennent l’appel au blocage des routes, le 17 novembre prochain.
On le constate à travers ces deux exemples, sous le prétexte fallacieux de la « transition écologique », Emmanuel Macron et Edouard Philippe entendent ponctionner encore davantage les Français, au premier rang desquels les plus modestes, afin de financer leur politique sans frontières. En 2018, les taxes sur l’énergie représentent plus du tiers du montant total des factures de gaz naturel (de même pour l’électricité). Quant aux carburants, les taxes représentent à elles seules 1 500 euros annuels pour un parcours d’environ 25 000 kilomètres. Les prélèvements constituent désormais 60% du prix du carburant et rapporteront, en 2018, 13,3 milliards d’euros à l’Etat.
Totalement déconnecté des réalités supportées par les Français en raison de sa désastreuse politique économique et sociale, Emmanuel Macron continue de se moquer d’eux en invoquant des gadgets comme le « chèque énergie » (200 euros par an pour 3,7 millions de personnes) et une hypothétique défiscalisation de l’aide au transport. Autant dire : rien.
Antisociaux, le président et le gouvernement sont également de fantastiques menteurs, affirmant que les recettes de leur racket fiscal sont destinées à la fameuse « transition écologique ». En réalité, en 2019, seuls 19% des recettes (7,2 milliards) lui seront consacrées (dont le remboursement de la dette d’EDF relative aux achats d’électricité renouvelable), le reste étant ventilé ainsi :
– 17 milliards pour le budget général de l’Etat ;
– 5,9 milliards pour les Départements ;
– 5,8 milliards pour les Régions ;
– 1,2 milliards pour l’Agence de financement des infrastructures des transports de France.
Plus grave encore, à force de matraquage, la consommation de produits pétroliers baisse. Ainsi, l’Union Française des Industries Pétrolières (UFIP) indique que de septembre 2017 à septembre 2018, « la consommation française de carburants a atteint 50,40 millions de mètres cubes, en baisse de 1,7% par rapport à la consommation des douze mois mobiles précédents ».
Le racket gouvernemental va se poursuivre dès janvier prochain : +6,5 centimes sur le diesel et +2,9 centimes pour le super.
Avec Emmanuel Macron, le pire reste toujours à venir !
Arnaud Robert
Article paru dans Présent daté du 9 novembre 2018
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La France et Facebook vont collaborer dans la censure
Tout ce qui ne pense pas printemps est condamnable et doit donc être censuré :
Emmanuel Macron a annoncé ce lundi 12 novembre, dans un discours au Forum sur la gouvernance de l’Internet, la mise en place d’un groupe de travail commun avec Facebook. Le groupe de Mark Zuckerberg a donné son accord à une expérience de six mois, dans laquelle des représentants des autorités françaises devraient pouvoir accéder aux outils, aux méthodes et au personnel de Facebook chargés de faire la chasse aux contenus incorrects.
Ce groupe, d’une petite dizaine de personnes, sera composé pour moitié de salariés de Facebook. Et pour l’autre moitié de membres – ingénieurs, juristes… – sélectionnés par le secrétariat d’Etat au numérique, et issus d’autorités et ministères français : l’Arcep, chargé des télécoms et de la régulation technique de l’Internet ; le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), responsable notamment des contenus des télévisions et des radios ; la Dinsic, direction interministérielle des systèmes d’information et de communication…
L’initiative est présentée comme une extension du projet français de taxation des grandes plateformes, de la loi française sur la manipulation de l’information, du règlement européen sur les données personnelles ou de la récente directive européenne sur les droits d’auteur. Ce test s’inscrit aussi dans une offensive plus vaste, pour réguler les contenus en ligne en changeant les règles établies depuis 2000 par la directive sur le commerce électronique, qui distingue les statuts d’éditeur, responsable des contenus et celui d’hébergeur.
https://www.lesalonbeige.fr/la-france-et-facebook-vont-collaborer-dans-la-censure/
https://www.lesalonbeige.fr/la-france-et-facebook-vont-collaborer-dans-la-censure/
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Netanyahou vs Soros : les antisémites ne s’y retrouvent plus
La chronique de Philippe Randa
Autrefois, un antisémite était quelqu’un qui n’aimait pas les Juifs ; aujourd’hui, c’est quelqu’un qui est suspecté de ne pas les aimer. Donc, qui n’aime pas Georges Soros, gourou de la finance mondialisée qui encourage et subventionne généreusement l’invasion migratoire, ne peut, à l’évidence, n’être qu’un vil antisémite (pléonasme ?)…
Patatras, un de ses plus violents détracteurs n’est autre que Benyamin Netanyahou, Premier ministre d’Israël qui lui reproche « de porter atteinte aux gouvernements israéliens démocratiquement élus en finançant des organisations qui diffament l’État juif »… tout comme un vulgaire soutien de l’OLP, du Hamas ou du Hezbollah !
Par le passé, Netanyahou avait également félicité l’accession de Victor Orban à la tête de l’État hongrois… où fleurirent l’année dernière de gigantesques affiches affirmant que « 99 % des Hongrois sont contre les immigrants. Ne laissons pas Soros rire le dernier ». Depuis, Soros, un tantinet susceptible, a fait transférer en Allemagne les programmes de sa fondation Open Society, effectués jusque-là en Hongrie.De même, alors que « George » (soutien inconditionnel des Démocrates), est régulièrement taclé par « The Donald » (actuellement locataire républicain de la Maison Blanche), ce dernier est évidemment regardé avec les yeux de Chimène par « Benyamin » depuis qu’il a officiellement transféré l’ambassade des USA à Jérusalem…
Quant à Yair, fils aîné Netanyahou, il n’a rien trouvé de mieux à relayer, en 2017, qu’une caricature de Soros tenant le monde entier au bout d’une canne à pêche. Ambiance.
Ah ! Que le monde serait compréhensible pour les nuls (et même pour les autres) si les choses étaient simples. À l’évidence, pas l’antisémitisme, qu’il soit présumé ou non !
Source EuroLibertés cliquez ici
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Le Tour de France de l’intoxication médiatique
La paille et la poutre version 2018
Ils perdent chaque jour des lecteurs, des auditeurs, des téléspectateurs, des croyants. Mais ça ne les arrête pas. Jour après jour, ils nous assomment et nous intoxiquent avec leurs nouvelles qui ne sont jamais nouvelles, car elles ont toujours le même centre : les intérêts de l’oligarchie, dont ils sont les gardiens, les avocats, les informateurs. Ces médias ne sont là que pour informer les dominants de ce que pensent les dominés et de ce que les dominés doivent penser, afin de mieux leur mentir et de mieux les spolier. Le seul progrès des médias ces dernières décennies a eu lieu dans le domaine du mensonge : il s’est modernisé, formaté, car tous s’y sont mis. Mais cette unanimité a provoqué leur chute, pas une chute brutale, non, une chute inexorable, au ralenti.
Quand on arrête les images, quand on prend un instantané de la France qui ment, de cette fausse France, on prend la mesure du mensonge, de l’entreprise incroyable de destruction de la lucidité, de l’intelligence et de la culture. Rien d’étonnant alors que tout parte en vrille, dans les écoles, dans les entreprises, dans les partis, dans les têtes. Inversement, tout ce qui va dans le sens de la réparation du désastre est dénoncé, amplifié, criminalisé. Les Français sont alors pris entre deux feux : celui du mensonge qui a la puissance de la communication oligarchique, et celui de la vérité, qui n’a rien d’autre qu’elle-même. Chaque Français hésite entre la force du mensonge et la faiblesse de la vérité. Dans les périodes troublées, on en revient toujours au combat entre le Bien et le Mal. Maintenant, passons aux choses bien terrestres.
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Réforme de la loi de 1905 : la fausse bonne idée de Macron, par Francis Bergeron
Ce pourrait être une bonne idée : cela fait très longtemps que les catholiques demandent une réforme – voire idéalement la suppression – de la loi de 1905. Elle avait été mise ne place pour priver l’Eglise de son influence. Mais telle que prévue, cette réforme permettrait surtout à l’islam de diversifier ses sources de financement, de cultiver son communautarisme, d’accroître encore son implantation.
La loi de 1905 est tout entière bâtie sur la logique de ses deux premiers articles : un article 1er qui garantit « la liberté de conscience » et « le libre exercice des cultes », avec quelques restrictions « dans l’intérêt de l’ordre public », et un article 2 qui évoque la neutralité de l’Etat et met un terme à tout financement du culte par l’Etat, c’est-à-dire par l’impôt.
A l’époque, ce dispositif, destiné à séparer, après une union de 1 500 ans (depuis le baptême de Clovis) l’Eglise et l’Etat, était présenté comme un compromis entre l’Eglise et les anticléricaux. La loi préservait la liberté de culte, mais, en supprimant toute aide publique, elle faisait des catholiques, des citoyens de seconde zone, obligés par exemple de financer les écoles publiques, et contraints en même temps de payer pour les écoles catholiques, s’ils voulaient une éducation catholique pour leurs enfants. La loi Debré de 1959 a assoupli ce principe, du moins pour l’école. Moyennant quoi cette loi de 1905 a régi cahin-caha les rapports entre l’Eglise et l’Etat jusqu’à ce jour.
Qu’est-ce qui change aujourd’hui ? L’islam. Les musulmans constituent désormais la seconde religion de France, bien avant les protestants et les juifs (deux des quatre Etats confédérés désignés par Charles Maurras). Et ils revendiquent à la fois un financement par l’Etat, et la possibilité d’obéir aux règles de leur religion, d’où les débats sur le voile, le porc, la nourriture hallal, le ramadan, la mixité dans les piscines, à l’école etc.
Mais l’islam est une religion sans structure organisée. Et l’Etat, pour des raisons d’ordre public, cherche des interlocuteurs, et veut donc structurer cette religion – ou dit plus diplomatiquement – « accompagner la restructuration de l’islam ».
Réunification de l’Etat et de la religion…musulmane
Sauf à considérer que cet accompagnement serait une ruse pour éradiquer l’islam (la complaisance des pouvoirs publics à l’égard de cette religion exclut une telle hypothèse), nous nous dirigeons donc bien vers une réunification de la religion et de l’Etat. Mais en l’occurrence, la religion ne serait pas la religion catholique…
Pour prévenir et surtout contenir les poussées islamistes, financées de l’étranger, des associations pourraient bénéficier désormais d’une « qualité cultuelle ». Des exonérations fiscales accompagneraient la mise en place de ce dispositif, et ces associations pourraient recevoir des aides de l’Etat, contournant ainsi l’article 2 de la loi de 1905. Le projet de réforme comporterait un volet consacré à la formation des imams, sans doute assorti de financements publics. Ce serait donc un sacré coup de canif dans la loi de 1905. S’y engouffreront sans aucun doute les associations islamistes pas trop marquées. Quant aux associations pro-djihad, elles refuseront ce dispositif qui demande de la transparence, et resteront, sous le seul régime des associations tel que défini classiquement par la loi de 1901. Ce faisant, la question du fanatisme islamique n’aura pas été résolue mais l’islam « présentable » sera doté d’avantages refusés aux catholiques depuis 1905. Une bonne idée…pour certains, uniquement.
Francis Bergeron
Article repris du quotidien Présent
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L’exact contraire du patriotisme c’est l’euromondialisme
L’Union européenne serait menacée non seulement par l’explosion démographique du continent africain, la superpuissance chinoise, l’isolationnisme protectionnisme de Trump, l’ogre Poutine, mais aussi par les peuples européens qui veulent défendre leur identité, recouvrer leurs libertés et leur souveraineté. Européens debouts dont le peuple polonais a donné l’exemple hier avec la marche pour le centenaire de son indépendance à laquelle ont participé à Varsovie 200 000 personnes. Un grand défilé patriotique qui a réuni notamment et majoritairement les sympathisants de toutes les chapelles et formations nationales, nationalistes, populistes- conservatrices de la droite polonaise. Une menace populiste qui inquiète plus que jamais le camp des marcheurs et le premier d’entre eux.
Le quotidien Le Monde le constatait comme ses confrères le 9 novembre, «à près de six mois des élections européennes, Emmanuel Macron tente plus que jamais de résumer l’enjeu du scrutin du 26 mai 2019 à un duel entre les progressistes et les nationalistes. Le président de la République veut fédérer les pro-européens contre les forces d’extrême droite du Vieux Continent (la Française Marine Le Pen, le Hongrois Viktor Orban et l’Italien Matteo Salvini). A-t-on oublié quel est le parti qui a gagné les dernières élections européennes en France ? Le Front National (M. Macron se refuse sciemment à utiliser le nouveau nom de Rassemblement National, NDLR). J’espère qu’il ne gagnera pas , a-t-il affirmé le 6 novembre, sur Europe 1. Pour contrer la vague populiste, il a même dramatisé l’enjeu européen ces derniers jours, en dressant un parallèle entre la période actuelle et celle de l’entre-deux-guerres. Il faut se souvenir de la précarité de la paix , a-t-il souligné jeudi 8 novembre, lors d’un entretien sur France 3. »
Une paix bruxelloise qui passerait aussi par l’accueil obligatoire de l’immigration clandestine , des « migrants. » C’est en tout cas l’opinion d’ Emmanuel Macronn qui, de plus en plus isolé notait RT, a tancé fin octobre lors de sa tournée en Europe de l’Est les pays du groupe de Visegard - Hongrie, Slovaquie, République tchèque et Pologne- qui ne sont pas assez convaincus des joies indépassables du vivre-ensemble muliticulturaliste… Ce «leitmotiv» présidentiel, pour ne pas dire cette obsession, a pollué singulièrement les commémorations du 11 novembre. Un moment de mémoire, de recueillement, d’émotion, de communion nationale, préempté par les discours idéologiques sur l’Europe de Bruxelles définie comme notre horizon indépassable, facteur de paix et de progrès.
Une pilule européiste que nos compatriotes doivent impérativement gober en mai prochain comme il a été pareillement rappelé avec bien peu de subtilité dans le texte du président de la République qui était lu hier lors des cérémonies au pied de tous les monuments aux morts de France et de Navarre.
Devant les 70 chefs d’Etat et de gouvernement réunis hier à l‘Arc de Triomphe pour commémorer l’armistice, il était normal que M. Macron dénonce dans son allocution les ravages de cette terrible guerre civile européenne, explique notre attachement commun à la paix. La dimension par définition internationale de ce conflit pouvait légitimer que l’ouverture de cette cérémonie ait été confiée au grand violoncelliste américain d’origine chinoise Yo-Yo Ma qui a joué une sarabande de Bach et que celle-ci ait été conclue par l‘orchestre des jeunes de l’Union européenne interprétant le Boléro de Ravel.
Un hommage aux troupes africaines ayant pris part aux combats de la Grande guerre était aussi dans l’ordre des choses. Il s’est incarné ici avec la prestation de l’artiste béninoise Angelique Kidjo, soutien de Barack Obama en 2009, ambassadrice de bonne volonté de l’Unicef. Cette « grande icône de la musique africaine » a interprété le morceau Blewu à la mémoire des sacrifices des soldats du continent noir. Un hommage en tout point légitime, répétons-le, pour peu qu’il ne serve pas une basse propagande en faveur de la poursuite de l’immigration de peuplement vue comme nécessaire à la bonne marche de la France et à des fins de culpabilisation du de souche. «Gloire aux Africains qui ont courageusement et même héroïquement participé aux combats de la Grande Guerre » notait Bernard Lugan sur son blogue il ya trois ans. En 14-18 soulignait-il «l’Afrique noire fournit 189.000 hommes, soit 1,6% de la population totale et 2,42% des effectifs français »; les troupes noires subirent des pertes conséquentes de 30 000 à 35 000 morts- la guerre 14 ce fut en moyenne 1000 soldats français tués quotidiennement. Pour autant durant le premier conflit mondial,« l’Afrique dans son ensemble (du Nord et subsharienne) fournit à la France 3,5% de toutes ses importations et 5,22 % de ses soldats. Ces chiffres sont respectables et il n’est naturellement pas question de les négliger. Mais prétendre qu’ils furent déterminants est un mensonge doublé d’une manipulation.»
Manipulation sémantique avérée en tout cas de la part du locataire de l’Elysée qui lors de son allocution devant la tombe du soldat inconnu a exalté l‘UE, l’ONU, le multilatéralisme mais aussi avancé que « le patriotisme est l’exact contraire du nationalisme. Le nationalisme en est sa trahison.» Non M. Macron! l‘exact contraire du nationalisme c’est le cosmopolitisme, le transfrontiérisme, l’immgrationnisme, l’euromondialisme. Toutes choses et idéologies qui, elles, sont des trahisons de l’intérêt national quand elles sont embrassées par ceux qui ont la charge des destinées de notre pays et qui sont assurément des facteurs de chaos, de violences et de souffrances.
Enfin, les patriotes de l’espèce amoureuse que sont les nationaux ne se reconnaissent en rien dans la vision de ce nationalisme agressif, caricatural que les Macron, Soros, Juncker, Merkel prêtent à leurs adversaires. Nous ne nous identifions pas plus à cette Europe de Bruxelles qui ne parvient pas à s’extraire des chaînes de l‘Otan, combat la Russie de Poutine au lieu d’en faire un partenaire et qui est un travestissement du génie européen, une grossière et inefficace caricature de la nécessaire collaboration entre nations de notre continent. Et ce, avec un état d’esprit de la superclasse européiste «qui alimente les contre-vérités, accepte les injustices nourrit les extrêmes et l’obscurantisme» pourrions nous dire en paraphrasant Emmanuel Macron…
Cette cérémonie n’était pas le seul temps fort de cette journée puisque a débuté quelques heures plus tard le premier Forum de Paris sur la Paix qui doit durer trois jours en présence de dizaines de chefs d’Etat et de gouvernement …mais sans Donald Trump qui a boycotté ce raout et n’y a même pas envoyé une délégation. Là aussi, comme Mme Merkel débitant les mêmes poncifs sur le danger national, Emmanuel Macron, pourtant un spécialiste du pasdamalgame (à géométrie variable) a mis dans le même sac européens soucieux de la défense de notre modèle civilisationnel, culturel et les islamistes. «On a une offensive idéologique du jihadisme, de régimes autoritaires a-t-il dit, de mouvements extrêmes qui de tous côtés se dévoilent être des ennemis de la liberté (…), cherchent à contrôler, censurer, exporter leur modèle, qui lancent des campagnes massives de désinformation et qui s’attaquent aux journalistes. »
Un droit à la libre information, à la pluralité de l’expression des opinions dans le champ médiatique, auquel s’attaque pourtant aussi la Macronie en refusant notamment de donner une accréditation aux journalistes qui sont jugés pas assez dociles, comme c’est le cas de ceux de RT ou de Sputnik… Pas besoin d’être grand clerc pour prévoir d’ores et déjà avec Bruno Gollnisch que la propagandastaffel, les gros médias vont donner de la voix dans les mois à venir pour perser sur le résultat des urnes, mettre en garde les électeurs contre la lèpre populiste. Et qu’il est à craindre un certain nombre de nouveaux coups tordus pour peu que les sondages favorables à l’opposition nationale se confirment…
https://gollnisch.com/2018/11/12/lexact-contraire-du-patriotisme-cest-leuromondialisme/
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A propos de censure, Castaner veut supprimer les vidéos des réseaux sociaux
Dictature et censure vont de paire :
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Patrick Buisson : Les effets de Mai 68 jusqu'à nos jours.
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Le 17 novembre 2018, nouvelle opposition entre pays réel et pays légal
Voici le communiqué de Civitas au sujet du 17 novembre :
Le 17 novembre, nouvelle opposition entre pays réel et pays légal
Après les “bonnets rouges”, voici les “gilets jaunes” qui appellent à une action de résistance au racket organisé par le gouvernement. Nous voici devant une nouvelle illustration concrète de la fameuse opposition entre pays réel et pays légal.
C’est qu’il faut en avoir conscience, l’Etat républicain (le pays légal) est intrinsèquement antagoniste aux intérêts du pays réel.
L’Etat républicain pratique la préférence étrangère au détriment des Français.
L’Etat républicain organise la destruction de la Famille, cellule de base de la société.
L’Etat républicain, foncièrement maçonnique, combat le christianisme, la foi du pays réel indispensable au salut de la France.
L’Etat républicain est soumis aux forces occultes, aux lobbies cosmopolites et à leurs puissances d’argent apatrides.
L’Etat républicain est le vassal du Nouvel Ordre Mondial.
L’Etat républicain se maintient par le totalitarisme démocratique.