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  • FORUM POUR LA PAIX À PARIS : PROJETS DE GOUVERNANCE MONDIALE ?

  • La résistance dans le bon sens

    agora.jpgDonald Trump a apparemment pris pour lui la vive dénonciation  par Emmanuel Macron le 11novembre du nationalisme et guère apprécié  l’invitation  faite à la  chanteuse béninoise Angélique Kidjo. Celle-ci, comme nous  le notions, soutenait Obama et surtout, rappelait fdesouche, traite Trump de tyran - et accessoirement clame  sa peur du FN. Cela expliquerait selon certains les tweets visant le locataire de l’Elysée envoyés mardi par le président américain.  « Le problème écrit-il notamment c’est  qu’Emmanuel Macron souffre d’une très faible cote de popularité en France, 26%, et un taux de chômage à près de 10%.»  M. Trump suggère dans le même tweet qu’il n’est peut-être pas des plus habiles de la part de M. Macron de  pourfendre le nationalisme dans un pays aussi nationaliste que la France,  peuplé de Français fiers d’être Français…Progressistes ou nationalistes tous les occidentaux ont été cependant choqués par l’affaire Asia Bibi.  Cette pakistanaise de confession chrétienne fut incarcérée pendant neuf ans dans le centre pénitentiaire de Multan  par la justice de son pays pour blasphème, après avoir bu dans un puit réservé aux mahométans.

    Asia Bibi a   finalement été  relaxée la semaine dernière et vit actuellement    avec sa famille dans un lieu tenu  secret  car elle a été   condamnée à mort par une fatwah des islamistes. Un appel à l’assassinat  qui vise aussi son avocat, lequel  a été contraint de fuir le Pakistan,  le Pays des purs… Plusieurs personnalités qui avaient soutenu Asia Bibi sont également  menacées par les fanatiques musulmans:  le gouverneur du Pendjab qui  avait pris fait et cause pour  Asia Bibi a ainsi été tué par le garde du corps chargé de le protéger. L’émotion devant cet exemple d’hystérie antichrétienne est aussi exploitée par certains.  C’est ce que  rapportait un article de RT   qui pointait la duplicité de la dénommée  Ariel Ricker, directrice de l‘ONG Advocates Abroad (Avocats sans frontières), qui  raconte qu’elle apprend aux immigrés clandestins («migrants»)  à jouer les chrétiens persécutés pour tromper les autorités… Or, ont expliqué les médias britanniques, information relayée en France,   la peur des violences des barbus  est précisément  la cause du refus par le gouvernement de Theresa May d’accueillir en Angleterre Asia et sa famille, du fait de la forte diaspora islamiste originaire du Pakistan, du  sous-continent indien,  installée au Royaume-Uni.

    Cette information est plus éclairante qu’un long discours sur l’état de dhimmitude des élites libérales en Europe et la réalité de la colonisation démographique du vieux continent.  De Fous d’Allah,  il était encore question hier avec la délégation menée par Edouard Philippe qui s’est rendue sur les différents lieux où se sont produits les sanglants attentats revendiqués par l’Etat Islamiste le 13 novembre 2015 (130 morts, plus de 400 blessés, souvent très grièvement). Une itinérance mémorielle qui a été utilisée par le gouvernement et ses relais pour expliquer que le danger peut aussi surgir de l’extrême-droite. En attesterait l’arrestation préventive de radicalisés de cette mouvance, de quelques pieds nickelés depuis le début de l’année.

    Soucieux de polir son image et de rentrer dans le rang (?) après l’épisode d’un Mélenchon factieux bousculant policiers et magistratsLFI a apporté sa pierre à l’édifice dans le lutte contre la Bête. Rendez-vous compte, des députés LFI auraient reçu des menaces dans leur courrier et Eric Coquerel s’est même fait entarter comme un vulgaire BHL par un militant de l’AF pour avoir exigé, comme le Medef, la régularisation et l’accueil des immigrés clandestins. En conséquence de quoi LFI a pris la tête d’une commission d’enquête parlementaire sur les groupuscules d’extrême-droite qui menaceraient la république. Tout cela est assez risible au regard des vrais périls qui pèsent sur notre pays, le devenir de notre nation et de notre peuple. Mais dans l’art de la diversion, le système peut souvent compter sur cette alliée de revers, la bonne vieille extrême gauche forcément républicaine elle…

    Tout cela participe, comme nous l’avions prédit, du message subliminal assez grossier adressé au bon peuple à quelques mois des élections. Une lancinante musique de fond visant à assimiler le RN à la violence et sa défense de l’identité française au mal absolu, puisque le principal mouvement d’opposition se voit lui aussi affublé de l’épithète d’extrême droite par les commentateurs.

    Extrême droite dont l’ombre maléfique planerait comme de juste sur le mouvement dit des des gilets jaunes  –  né en dehors des partis politiques mais qui  a désormais le soutien au moins tacite, du PS, de LR, de LFI. Une brusque éruption qui n’est pas rassurante pour nos élites qui voit dans cette manifestation du ras-le-bol de la France périphérique.  « Un mouvement de beaufs poujadistes et largement d’extrême droite » comme le résume sur tweeter le correspondant de Libération à Bruxelles et spécialiste des questions européennes Jean Quatremer, que l’on a connu tout de même plus finaud…

    Certes, il est exact de dire que les thèmes qui sont mis en  avant par les citoyens engagés dans ce mouvement spontané – dénonciation du racket des automobilistes et plus largement du fiscalisme confiscatoire – ont déjà été énoncés et labourés de longue date par le FN et maintenant le RN. Pour autant, Marine Le Pen  le disait hier au micro de France Inter, elle ne participera pas aux manifestations prévues le 17 novembre, pour ne pas donner le sentiment d’une récupération politique, bien qu’elle les soutienne, estimant en outre « que la place d’un chef de parti n’est pas au sein des manifestations.»

    La présidente du RN a rappelé au passage le rôle trouble des syndicats -CGT, FO, CFDT- qui ont déclaré que ce mouvement des gilets jaunes était infréquentable« La CFDT comprend l’exaspération d’un certain nombre de salariés qui pour se rendre au travail ont un coût supplémentaire, mais elle ne soutient pas ces blocages qui sont récupérés politiquement par l’extrême droite », disait le patron de cette centrale Laurent Berger, lundi, sur franceinfo. Même son de cloche d’une CGT en plein déclin  et  de FO, en crise depuis la démission de Pascal Pavageau suite au scandale du fichage de certains responsables  de ce syndicat. Pour ne rien arranger à son image, le train de vie somptuaire, très peu France d’en bas,  de ses dirigeants vient d’être épinglé par de nombreux  médias.

    Les syndicats a estimé Marine,  se sont «totalement décrédibilisés dans cette affaire (des gilets jaunes). »  « Ceci démontre de quel côté de la rive ils sont. Ils sont du côté des élites, du système, ces syndicats qui sont main dans la main avec tous les gouvernement successifs depuis des décennies. »

    Dans Le FigaroDominique de Montvalon posait la bonne question: « pourquoi les syndicats n’ont-ils pas pris eux-mêmes la tête de ce mouvement, en canalisant la colère populaire? Trois réponses: parce que leur image chez les Français est aujourd’hui terriblement affaiblie ; parce que leur poids réel dans la société n’est plus, et loin s’en faut, ce qu’il était il y a encore 15 ou 20 ans. Enfin parce qu’ils sont, eux aussi, déconnectés de beaucoup de préoccupations concrètes des Français, surtout celles des habitants – chômeurs ou pas – de la France dite périphériqueIls sont un peu abasourdis et croisent les doigts en espérant un flop le 17 novembre. » Et bien nous nous pensons avec Bruno Gollnisch que nos compatriotes ont raison de  résister!  La  parole doit être donnée au pays réel, qui a le droit de la prendre même (surtout) quand on ne lui la donne pas, même quand   cela dérange les représentants du pays légal. Tout ce qui contribue à ébranler, pacifiquement mais résolument, ce Système antidémocratique qui a peur du peuple, qui entraîne  la France vers l’abîme, va dans le bon sens.

    https://gollnisch.com/2018/11/14/la-resistance-dans-le-bon-sens/

  • Malgré les résistances identitaires, l’ONU veut imposer son Pacte mondial pour les migrations

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    Par André Posokhow, consultant ♦ Pour André Posokhow – fidèle contributeur de Polémia et précieux lanceur d’alerte sur la question du Pacte mondial pour les migrations – l’ONU veut prendre le pouvoir.
    L’institution mondialiste ne veut plus être le « machin « brocardé par le général de Gaulle. Elle veut être à la tête d’un gouvernement mondial voulue par l’oligarchie globaliste à l’aide de son archipel de satellites comme l’Organisation Mondiale pour les Migrations (OIM). L’ONU veut recréer une nouvelle humanité, celle d’individus indifférenciés, sans racines, sans passé, sans attachement à leur sol.

    Le Pacte mondial pour les migrations qui devait être adopté par 192 pays constituait pour l’ONU une étape décisive.
    Devant la fronde de plus en plus de pays qui refusent ce Pacte depuis trois mois et les réticences d’autres plus discrets, l’ONU est conduite à lancer dans l’urgence une stratégie de contournement : condamnations par des experts prétendument indépendants, judiciarisation en cas de non soumission et appel au gouvernement des juges.

    L’alerte a été lancée depuis plusieurs mois

    Polémia, ainsi que d’autres sites, a vivement insisté au cours du premier semestre sur la démarche onusienne en faveur d’un Pacte mondial des migrations (d’ailleurs couplé avec un Pacte mondial sur les réfugiés) appelé à être adopté en décembre 2018 par 192 pays membres de l’ONU après des années de négociations. Ont également été rappelés le danger pour la souveraineté des peuples que représente l’invasion migratoire.

    Le plus alarmant réside dans le souhait  d’établir à terme un droit supranational des migrations et l’espoir implicite et parfois formulé de l’ONU d’avoir à accepter et gérer les immenses flux des migrations d’origine climatique que son secrétaire général juge bien entendu, « inévitables » et bienfaisantes.

    Des divisions grandissantes au sein du prétendu consensus du Pacte mondial des migrations

    L’adoption du Pacte mondial en décembre 2018 peut être tenue pour acquise

    Il apparaît évident qu’à Marrakech, dans un mois, ce Pacte sera adopté par une écrasante majorité des 192 pays qui participent au processus en cours et dont les gouvernants, soit y voient un avantage – comme par exemple les pays africains -, soit se soumettent avec zèle au politiquement correct.

    On est au regret de constater que la Suisse, en principe nation éprise de liberté et d’indépendance, fait partie de ces derniers. Notre voisin a joué un rôle majeur dans les négociations qui ont précédé le sprint final. Malgré l’opposition vigoureuse de l’UDC, le conseil fédéral helvétique a approuvé ce Pacte le 10 octobre dernier  avec quelques réserves.

    Il est vrai que les pressions sont fortes de la part de l’ONU et de l’OIM. Elles le sont  surtout de la part des associations immigrationnistes qui ne se contentent pas de diffuser un livre jaune sans frontières de 500 pages traduit en quatre langues, destiné à servir de guide aux migrants en Europe et « développer l’empathie » avec les Européens envahis.

    Les nations dissidentes

    Dans un précédent article nous avons noté que les Etats-Unis, en 2017 et la Hongrie en juillet 2018, ont fait défection en se retirant du Pacte mondial et de son élaboration.

    Ce mouvement de résistance s’est très récemment accéléré.

    La Pologne devrait dire “non” au Pacte migratoire de l’ONUa déclaré le 9 octobre dernier le ministre polonais de l’Intérieur Joachim Brudzinski qui entend recommander au Premier ministre M.Morawiecki de se retirer du Pacte. Selon lui « le projet du Pacte n’apporte pas de garanties de sécurité pour la Pologne. Il risque aussi d’encourager des migrations illégales ».

    L’Autriche vient par une déclaration de son chancelier Kurz le 31 octobre d’annoncer son retrait du Pacte. Il en souligne les menaces pour la souveraineté nationale de son pays. Le vice-chancelier a martelé que « l’immigration n’est pas et ne peut pas être un droit humain ».

    En réponse à une question posée par un journaliste de la télévision croate, la présidente croate Kolinda Grabar-Kitarovic vient de déclarer nettement qu’elle ne signera pas le Pacte mondial de l’ONU et la déclaration de Marrakech.

    Enfin il n’est pas exclu que Prague participe à cette fronde anti-migratoire de peuples fiers, libres et souverains.

    La stratégie de contournement des Etats nations par le bloc onusien

    Le constat par les immigrationnistes des obstacles au Pacte mondial

    Dans l‘état actuel des choses les objectifs du pacte mondial risquent de ne pas être atteints pour trois types de raisons :

    • La fronde qu’affronte aujourd’hui l’ONU pourrait être communicative et s’étendre à d’autres pays;
    • Fondamentalement, le Pacte mondial est annoncé comme juridiquement non contraignant ;
    • Il est probable que des pays, même signataires, s’abstiendront d’appliquer le contenu du Pacte comme on peut le voir s’agissant des accords sur le climat.

    Le bloc supranational onusien doit donc mettre en œuvre une autre stratégie.

    La stratégie que va mettre en œuvre l’ONU

    Nous avons souligné dans notre article de juillet dernier que le Pacte pourrait devenir contraignant de manière insensible et dissimulée, selon la méthode Jean Monet, grâce à des clauses discrètes de traités internationaux et des artifices juridiques. Cette méthode exige des négociations complexes qui prendront beaucoup de temps. Or l’oligarchie mondialiste est dans l’urgence car elle est sous la pression de l’extension planétaire de la défense des peuples et des nations.

    La stratégie à laquelle nous assistons depuis quelques semaines est différente. Il est symptomatique de son urgence qu’elle soit engagée avant la conférence de Marrakech.

    Visiblement elle est et sera mise en œuvre en trois étapes.

    1) Des groupes d’experts de l’ONU prononcent sans légitimité des condamnations, des interdictions et des recommandations.

    Cela a été le cas dans l’affaire Baby Loup. Après moult péripéties juridiques, dont la saisine de la Cour de Cassation, les avocats de la salariée de la crèche qui refusait d’ôter son voile au travail, ont saisi le Comité des droits de l’homme (CDH) de l’ONU en juin 2015.
    Celui-ci vient de rendre le 10 août 2018  un avis, en principe non contraignant, au terme duquel le licenciement de la salariée constituait « une discrimination en raison des convictions religieuses ». Le groupe d’experts a conclu que ce licenciement et l’obligation de « neutralité » du personnel constituent une « discrimination inter-sectionnelle (?) basée sur le genre et la religion ».

    Selon l’OIM, l’Algérie a expulsé vers le Niger 35 600 Nigériens depuis 2014, dont plus de 12 000 depuis le début 2018.
    C’est pourquoi un responsable des droits de l’homme aux Nations unies a appelé récemment l’Algérie à “cesser immédiatement les expulsions de migrants” africains vers le Niger,à l’issue d’une mission sur place du 1er au 8 octobre 2018.

    Enfin, la France, probablement considérée comme un maillon faible, vient de se voir condamnée le 22 octobre dernier par un groupe d’experts indépendants réunis au sein du Comité des droits de l’homme  de l’ONU, pour avoir verbalisé deux femmes qui portaient le voile islamique intégral, demandant à Paris de « compenser » les plaignantes et de réviser sa loi.
    Le Comité a demandé à la France de lui envoyer un « rapport de suivi » dans un délai de 180 jours sur les mesures prises pour « compenser les plaignantes » et « éviter que des cas similaires se reproduisent à l’avenir, y compris en révisant la loi incriminée ».

    Ainsi des experts « indépendants » de l’ONU dont les termes sont d’une arrogance extrême, peuvent se permettre d’interférer avec le processus législatif  français

    Humiliantes et portant atteinte à la souveraineté des nations concernées, ces « condamnations » présentent la faiblesse de ne pas être issues d’un pouvoir contraignant.

    Cependant, dans l’affaire du voile il a été objecté que la France serait dans l’obligation de se conformer à ces recommandations en tant que signataire du Pacte sur les droits civils et politiques.

    Il était donc temps de passer à la deuxième étape : l’appel aux tribunaux.

    L’appel aux tribunaux

    Une des femmes portant le voile intégral, condamnée en 2017 à une amende de 50 euros,vient d’attaquer l’Etat français pour non application des recommandations du Comité des droits de l’Homme de l’ONU rendu le 22 octobre Elle juge que l’ensemble des procédures à son encontre pour le port du voile intégral sont illégales, et a réclamé par la voix de son avocat une indemnisation de 10 000 euros.

    On ne perd pas de temps.

    La troisième étape : le gouvernement des juges

    Il est clair que le processus de judiciarisation a démarré : jugement de première instance, appel, Cassation, CEDH (Même si la CEDH  a validé en janvier 2017 l’interdiction de la burqa), etc, etc, etc.

    L’objectif est d’arriver à une condamnation des Etats qui fera jurisprudence et les affaiblira face à une autorité onusienne sans légalité mais à qui les décisions du gouvernement des juges conférera une légitimité de fait au-dessus des lois nationales

    En septembre 2018, le président de la Cour de cassation, a déclaré que « [le CDH] a constaté que notre assemblée plénière elle-même avait méconnu des droits fondamentaux reconnus par le Pacte international des droits civils et politiques dans l’affaire connue sous le nom de Baby Loup. (…) Même si cette constatation n’a pas, en droit, de force contraignante, l’autorité qui s’y attache de fait constitue un facteur nouveau de déstabilisation de la jurisprudence qui vient perturber, aux yeux des juges du fond, le rôle unificateur de notre Cour, ….. ».Ne serait-ce pas un appel à la soumission ?

    Conclusion

    Il existe depuis plusieurs années une démarche internationale insidieuse destinée à conférer à l’archipel onusien une autorité supranationale, sinon un pouvoir, qui doit se traduire par l’approbation du Pacte mondial des migrations. A terme il s’agit de constituer un gouvernement mondial et de mettre en place un droit supranational des migrations.

    Devant le refus de plusieurs pays, dont les Etats-Unis, et la réticence discrète d’autres nations, l’ONU, dans l’urgence, a lancé une stratégie de contournement :

    • Condamnations par des experts dits indépendants mais sans légitimité, qui violent les souverainetés nationale ;
    • Justification à l’aide  de traités signés inconsidérément par des gouvernants incompétents ou complices ;
    • Judiciarisation des affaires et appel au gouvernement des juges.

    Cette stratégie de l’ONU et de la peste mondialiste qui a pour objectif  la submersion migratoire des pays occidentaux est objectivement, mais aussi délibérément, l’alliée de l’autre stratégie que mène le monde islamique de destruction de la civilisation occidentale et d’islamisation des nations qui la composent.

    André Posokhow 06/11/2018

    https://www.polemia.com/resistances-identitaires-onu-imposer-pacte-mondiale-migrations/

  • Impartialité médiatique : "le nationalisme c'est la guerre"

  • Paris voulait subventionner une association d’aide aux immigrés… et pro-islamistes

    Paris voulait subventionner une association d’aide aux immigrés… et pro-islamistes

    Le 5 novembre, le conseil d’arrondissement du XVIIIe a approuvé l’attribution de 3 000 € à la Fasti (Fédération des associations de solidarité avec tous les immigrés). Son objectif est d’accompagner et soutenir les activités économiques d’une quinzaine d’artisans et couturiers clandestins du quartier de la Goutte-d’Or.

    Pierre Liscia, conseiller d’opposition (sans étiquette) et seul élu à avoir voté contre, dénonce :

    « C’est un coup de canif dans les principes républicains. Cette association, proche de la mouvance indigéniste, défend l’idée que la France mènerait une politique de “racisme d’Etat” et que la police organiserait des “rafles” de réfugiés. Par ailleurs, la Fasti tient un discours qui tend à valider les pires justifications des terroristes qui ont perpétré les attentats de 2015. J’invite les élus, qui seront réunis en Conseil de Paris à partir de mercredi, à un sursaut républicain. Et à voter en responsabilité ».

    La Licra demande au maire de Paris, Anne Hidalgo, de renoncer à financer la Fasti :

    « Si nul ne saurait contester la nécessité d’accueillir les migrants et de les aider à trouver en France le refuge qu’ils viennent y chercher, les pouvoirs publics ne peuvent le faire avec n’importe qui. Si le réseau Fasti a joué par le passé un rôle d’importance sur l’aide aux étrangers, ses prises de positions actuelles rendent choquante l’idée même de l’octroi d’une subvention d’argent public ».

    La Licra rappelle les réactions officielles de la Fasti aux attaques islamistes de janvier, puis de novembre 2015 :

    « Ces attentats sont la conséquence de la politique économique et sociale de la France qui paupérise toujours davantage les quartiers populaires, dans le cadre de discours médiatiques stigmatisants ».

    La Ville de Paris a pris la décision de… reporter l’examen de la délibération.

    https://www.lesalonbeige.fr/paris-voulait-subventionner-une-association-daide-aux-immigres-pro-islamistes/

  • Maggy Biskupski s’est suicidée !

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    Le plus bel hommage à lui rendre, sera de relever le flambeau qui est momentanément tombé avec elle.

    Il y a quelques heures à peine, Maggy Biskupski, porte-parole des policiers en colère, s’est donnée la mort à son domicile. Et pour commettre l’irréparable, elle a utilisé son arme de service.
    Cette jeune policière de 36 ans, affectée à la brigade anti-criminalité des Yvelines, s’était fait connaître en prenant la tête du mouvement revendicatif qui avait secoué la police nationale lors des événements de Viry-Châtillon en octobre 2016. Depuis, elle poursuivait son action en faveur des policiers, dénonçant leurs conditions de travail, ainsi que le profond mal-être qu’engendre chez eux une criminalité galopante et hors de contrôle, et le mépris de ceux qui les dirigent.

    La dernière fois qu’elle s’était montrée en public, c’était à l’occasion d’une émission de télévision sur C8, les terriens du samedi. Émission au cours de laquelle, Yann Moix avait déclenché une polémique de grande envergure en accusant les policiers « de chier dans leur froc » lorsqu’ils interviennent au cœur des quartiers difficiles. C’est avec une grande lucidité et beaucoup de professionnalisme que Maggy avait tenu tête au polémiste, l’obligeant ainsi, par la suite, à présenter ses excuses.

    Cette épisode n’avait été que le révélateur d’un caractère hors norme. Harcelée par l’administration pour avoir dérogé au « devoir de réserve » en défendant ses collègues policiers, Maggy Biskupski s’était forgée une réputation de battante au sein de l’institution policière. Pour cela, elle n’avait pas hésité à défier, au péril de sa propre carrière, et sans doute de sa santé, un système qui n’hésite pas à broyer celles et ceux qui s’opposent à lui en dehors des procédures admises et convenues.

    Le combat que menait Maggy était un beau combat. Elle a tenté de dénoncer de l’intérieur, forte de la seule légitimité qui était la sienne, la souffrance de nombreux policiers aujourd’hui fatigués et démotivés, d’attirer l’attention des Français sur la situation réelle que connaît notre pays en matière de délinquance. Elle y est en partie parvenue, en se faisant reconnaître, malgré les nombreux obstacles dressés sur son chemin, comme la porte-parole d’un mouvement désormais installé et reconnu.
    Mais Maggy maintenant est partie. Elle a rejoint par son geste les nombreux autres membres des forces de l’ordre qui ont mis fin à leurs jours. Ainsi, 29 d’entre-eux, depuis le début de l’année, ont choisi, dans un geste de désespoir, d’attirer une dernière fois l’attention sur eux et, surtout, sur le message de souffrance qu’ils portaient tous.

    Sans doute de nombreux hommages seront-ils rendus à Maggy Biskupski. Certains seront sincères et profonds. D’autres le seront moins. Mais le plus bel hommage à lui rendre, sera de relever le flambeau qui est momentanément tombé avec elle. La cause qu’elle défendait dépasse en effet largement les policiers, les gendarmes et les sapeurs-pompiers. Elle est en vérité celle de tout un peuple qui, dans de nombreuses villes et de nombreux villages de France, est abandonné depuis des années par un pouvoir qui a définitivement baissé les bras face aux crimes, aux trafics et aux caïds, au nom d’une paix sociale qui porte les germes du désordre et de l’anarchie.

    Dans ces moments d’une infinie tristesse, nous pensons tous également à la famille, aux amis et aux proches que Maggy vient de quitter. Qu’ils soient fiers de celle qui avait fait le choix de servir une grande cause, en se mettant au service des plus humbles.

    INFO DERNIÈRE MINUTE
    Selon certains médias nationaux, il semblerait que le suicide de Maggy Biskupski pourrait être, au moins partiellement, en relation avec des malversations auxquelles elle se serait livrée au préjudice de son association. Pour l’heure, il est encore difficile de se prononcer définitivement sur de telles affirmations. En attendant, avec la plus grande circonspection, des informations étayées sur ces révélations, et afin de ne pas salir à la légère la mémoire d’une femme engagée, je me bornerais à souligner ce que son action militante a eu de positif pour une corporation sinistrée .

    Olivier Damien

    http://www.bvoltaire.fr/maggy-biskupski-sest-suicidee/

  • Poutine fustige le traitement réservé à RT par l’Elysée

    Poutine fustige le traitement réservé à RT par l’Elysée

    Dans un entretien à RT France, le président russe Vladimir Poutine a dénoncé le refus d’accréditer RT France à l’Elysée.

    «A mon avis, cela va à l’encontre et n’a rien à voir avec la démocratie et est inacceptable».

    «Si l’on n’est pas d’accord avec quelque chose, il faut présenter un point de vue opposé, donnant aux spectateurs, aux auditeurs, aux utilisateurs d’Internet la possibilité d’y voir clair par eux-mêmes, de décider où est la vérité et où cette vérité est déformée. C’est le chemin à prendre, à mon avis».

     

    https://www.lesalonbeige.fr/poutine-fustige-le-traitement-reserve-a-rt-par-lelysee/

  • L’extrême gauche du capital

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    A propos du gauchisme d'hier et du gauchisme d'aujourd'hui

    Par Denis Collin 

    Ex: https://la-sociale.viabloga.com

    Comme tout le monde, j’emploie souvent le terme « gauchiste » pour caractériser des courants très variés, aussi bien des courants politiques structurés comme le NPA que des courants plus informels, des black blocks » aux diverses variétés du « gauchisme sociétal ». Mais l’usage de ce terme est le plus souvent inadéquat et finalement obscurcit la compréhension des phénomènes politiques.

    Historiquement, le gauchisme est défini comme tel par Lénine, dans un livre fameux, Le gauchisme maladie infantile du communisme. Les courants gauchistes brocardés par Lénine, avaient cependant peu de choses à voir avec ce que l’on désigne aujourd’hui par cette étiquette. Le gauchisme classique se situait à « l’extrême-gauche » du mouvement communiste. Comme les bolchéviks, il voulait le renversement du mode de production capitaliste et l’établissement du pouvoir de la classe ouvrière à travers les conseils ouvriers. Mais à la différence des léninistes, les gauchistes refusaient tout ce qu’ils considéraient comme de compromis avec l’ordre capitaliste. Ainsi ils s’opposaient à la participation aux élections des parlements bourgeois tout autant qu’au travail militant à l’intérieur des syndicats réformistes. Il faudrait faire une typologie des différents courants gauchistes : ainsi les « conseillistes » comme Pannekoek ou les spartakistes étaient-ils éloignés des disciples d’Amedeo Bordiga, mais tous se voulaient des marxistes purs et durs, des défenseurs d’un communisme fondé sur la lutte des classes, des militants intransigeants du prolétariat. Le gauchisme soixante-huitard et post-soixante-huitard n’a presque rien en commun avec ces courants. On les appelle « gauchistes » parce que c’est le qualificatif que leur a attribué Georges Marchais et avec lui le parti communiste. Certes, dans l’ensemble de ces courants qui se sont manifestés bruyamment en mai 1968 et dans les années qui suivent, il y avait de « vrais » gauchistes à l’ancienne. Mais ceux qui ont dominé la scène de la société du spectacle n’étaient plus l’extrême gauche du mouvement communiste, mais l’extrême gauche du capital. Mes amis « lambertistes » les appelaient « gauchistes décomposés » pour les distinguer du gauchisme honorable des années 1920. Ce nouveau gauchisme est celui qui se manifeste d’abord par un changement de terrain de la lutte. Les ouvriers étant considérés comme des réformistes incurables, on va leur trouver un substitut dans les « nouvelles avant-gardes larges à caractère de masse » qui sont constituées par la « petite-bourgeoisie radicalisée » issue des couches intellectuelles. Au sein des organisations d’ascendance marxiste, c’est Daniel Bensaïd, alias Ségur, membre du « bureau politique » de la Ligue Communiste qui sera le grand théoricien de ce changement de « sujet révolutionnaire » (il y a sur cette question un « bulletin intérieur », n°30, fameux dans l’histoire de la LC devenue LCR avant de se dissoudre dans le NPA).

    De ces changements, toutes les conséquences seront tirées progressivement, au fur et à mesure que se déferont les derniers espoirs révolutionnaires. À la place de la lutte du travail contre le capital, on va mettre la lutte contre la domination patriarcale sous toutes ses formes, le patriarcat étant répandu dans toutes les classes sociales, on pourra construire des rassemblements interclassistes regroupant les fils à papa opprimés par leur riche père et les intellectuels « radicalisés ». Plutôt que de lutter contre un fascisme (au demeurant inexistant sauf sous des formes résiduelles), on va déclarer la langue fasciste, la vérité tyrannique et le post-modernisme va pouvoir déployer ses mille et une volutes enivrantes qui vont empester progressivement la vie universitaire. En tombant sur les écrits des années 70 de MM. Foucault ou Barthes, on se demande comment de telles sornettes ont pu être lues et écoutées dans l’enceinte prestigieuse du collège de France.

    La lutte pour l’instruction pour tous étant déclarée « bourgeoise », nos nouveaux gauchistes vont apporter un concours remarqué à la destruction de l’école. Ainsi Alain Geismar, secrétaire général du SNESup en 1968, passa-t-il à « Gauche prolétarienne » qui s’adressait aux lycéens en ces termes : « ne dis plus ‘Bonjour Monsieur le professeur’, dis ‘Crève salope’ ». Il devait sans doute gagner là les titres qui en feront un conseiller très écouté d’un des pires des ministres de l’éducation nationale, le sinistre Claude Allègre. Le féminisme 2.0 des Caroline De Haas et tutti quanti, l’antiracisme raciste de Rhokaya Diallo et des « indigènes de la République », toute cette gadoue dans laquelle se roulent des petits-bourgeois en goguettes est l’héritière directe du « gauchisme décomposé » post-soixante-huitard.

    Pourquoi cela a-t-il marché ? Parce que le capital non seulement s’accommode des rebelles aristocratiques mais encore les recherche, les développe et les subventionne. Car le capital est tout sauf un défenseur de la famille et de la tradition. Ceux qui ont pris la peine de lire le Manifeste du Parti de Communiste de  et Engels (1848) le savent car c’est écrit en toutes lettres. Mais nos gauchistes de l’extrême gauche du capital méprisent , le combattent ou le travestissent quand ils font mine de s’en réclamer. Abattre toutes les limites morales et matérielles qui s’opposent au développement sans fin de l’accumulation, tel est l’objectif central de la politique du capital qui a trouvé un précieux concours dans le nouveau « gauchisme sociétal ». La substitution de droits individuels, plus délirants les uns que les autres aux droits collectifs imposés par la lutte des classes, quoi de mieux pour procurer au capital des soupirs de jouissance. Que François Ewald, maoïste et disciple de Foucault devienne conseiller du MEDEF et développe une « pensée du risque », c’est assez naturel.

    Ces quelques remarques pourraient être développées et solidement étayées. Mais il s’en déduit immédiatement une conséquence : il est impossible de reconstruire un mouvement sérieux d’émancipation sociale, collective, de mise en cause du capital sans une rupture radicale avec toutes les formes de ce nouveau gauchisme du capital qu’on ne peut même plus qualifier de « gauchisme décomposé ». Toute concession aux sornettes LGBTQOO+, au féminisme absurdissime, à l’antifascisme d’opérette et à l’antiracisme raciste est une aide indirecte au lepénisme. Ceux qui se veulent les représentants du peuple et des travailleurs et ne comprennent pas cela vont droit dans le mur et y précipitent ceux qui les suivent.

    Denis COLLIN – 5 novembre 2018

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  • La mafia des banlieues

    La mafia des banlieues

    C’est quotidien dans les banlieues : des commerçants sont rackettés s’ils refusent de payer la taxe à la mafia locale.

    […] Ce vendredi 2 novembre, la supérette Château Rouge ouvre ses portes pour la première fois [à Corbeil-Essonnes]. Sur la place où un jeune de 19 ans a été tué d’une balle dans la tête dans le cadre d’une guerre entre bandes rivales en 2016, située au milieu des barres d’immeubles, les rideaux de fer baissés sont aussi nombreux que les boutiques ouvertes.

    Dès le lendemain, le gérant reçoit la visite de deux hommes du quartier. « Ils m’ont demandé 30 000 euros, et m’ont dit que sinon ils brûleraient mon commerce, soupire-t-il. Je leur ai dit que je n’étais pas d’accord. » Le dimanche, cette équipe revient à la charge. En vain. « Ils m’ont volé mon téléphone portable, souffle le gérant, qui essayait de filmer la scène. C’était un smartphone récent. »

    Les malfrats n’en ont pas terminé avec lui. Dès le lundi soir, ils optent pour une autre méthode. « Ils sont allés voir mes employés et ont demandé à être payés 500 € par mois pour assurer notre sécurité, en nous disant que sinon ça se passerait mal, reprend le commerçant. Je leur ai dit qu’on était en France, que ça ne se passe pas comme ça ici. Ils m’ont répondu : Attends dix minutes, tu vas voir. »

    Et en effet, quelques instants plus tard, sur les images de la vidéosurveillance, on remarque une douzaine de jeunes qui entrent tranquillement dans le magasin. Ils se servent en glaces et boissons et repartent sans payer. Les employés tentent de les retenir, mais la confrontation verbale vire à l’empoignade et les voleurs parviennent à filer. Près de 200 € de glaces ont été dérobées.

    « C’est dur parce qu’on ouvre un commerce dans ce quartier, ça fait plaisir aux gens, ils nous le disent, ils sont contents d’avoir des produits frais, des fruits, des légumes, lâche le responsable de la supérette. Moi j’ai investi pour 150 000 € de marchandises, et il y en a qui se croient tout permis. »

    Mardi encore, une visite est suivie d’un vol de boissons et de gâteaux. « Ils me reprochaient d’avoir appelé la police, mais je ne veux pas avoir peur d’eux, même si je sais qu’ils peuvent agir à tout moment, peste le gérant. C’est du racket, on ne se sent pas soutenu, mais je remercie les policiers qui sont venus en moins de cinq minutes à chaque fois. Je parle pour que les choses changent. »

    « Le pire c’est que ce n’est même pas le quartier le plus mal famé de Corbeil », indique, sous couvert d’anonymat, un autre commerçant de la place de Montconseil qui refuse de dire s’il paye un « impôt ». Mais il précise : « Ici, quand on ouvre, on reçoit la visite des caïds avant celle des élus. » […]

    https://www.lesalonbeige.fr/la-mafia-des-banlieues/

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    Emmanuel Macron promet plus de «flexibilité» dans les demandes de visa des Algériens

    Emmanuel Macron a affirmé le 7 novembre :

    «Nous avons demandé à notre ambassade de faire en sorte que les demandes émanant des ressortissants algériens soient étudiées avec plus de pragmatisme qu’avant».

    «Nous avons donné des instructions à l’ambassade de France à Alger de faciliter l’établissement des visas pour les journalistes, les hommes d’affaires et les écrivains», «le dossier des visas et de la liberté de circulation des personnes est au cœur des discussions avec les autorités algériennes.»

    https://www.lesalonbeige.fr/emmanuel-macron-promet-plus-de-flexibilite-dans-les-demandes-de-visa-des-algeriens/