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magouille et compagnie - Page 1050

  • Gilets jaunes devant la justice : déjà 3 000 condamnations

    Gilets jaunes.jpgAvec les nombreuses interpellations réalisées lors des manifestations des Gilets jaunes au cours de l'hiver et jusqu'au printemps, la justice a dû se prononcer sur des milliers de comparutions immédiates. En ont résulté 3 000 condamnations.

    Selon les informations du site Bastamag !, pas moins de 3 000 condamnations ont été prononcées par la justice française en lien avec les opérations de maintien de l'ordre dans le cadre de la crise sociale des Gilets jaunes.
    Le site militant, marqué à gauche, précise qu'un tiers de ces condamnations ont été assorties de prison ferme pour les prévenus.
    S'appuyant sur les informations du site Streetpress, Bastamag ajoute que 440 mandats de dépôts avaient également été prononcés au mois de juillet 2019, c'est-à-dire que, consécutivement à leurs comparutions (généralement immédiates), les prévenus partaient directement en détention, sans aménagement de peine.
    Le site Bastamag ! s'est livré à un véritable travail de fourmi et a recensé un échantillon de 3000 condamnations à de la prison ferme ou en sursis. Parmi elles, les journalistes ont constaté une majorité de condamnations en lien avec des violences commises contre les forces de l'ordre et des dégradations.
    [...]
    En savoir plus sur francais.rt.com
  • Emmanuelle Ménard sur l’immigration : «La politique d’asile aujourd’hui est détournée de sa finalité»

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    Alors qu’Emmanuel Macron s’est emparé de la question migratoire en cette rentrée politique, Emmanuelle Ménard, députée non inscrite de l’Hérault, s’exprime sur ce «sujet qui préoccupe les Français».

    https://fr.novopress.info/215607/emmanuelle-menard-sur-limmigration-la-politique-dasile-aujourdhui-est-detournee-de-sa-finalite/

  • La dictature En Marche... Les forces de police ne laissent rien passer

    Les Gilets Jaunes battaient le pavé ce samedi 21 septembre 2019 à l’occasion du 45eme acte du mouvement. Black bloc, casseurs, factieux, le gouvernement annonçait un déferlement de violence sur la capitale, mobilisant pour l’occasion un impressionnant dispositif de sécurité. Vincent Lapierre et l’équipe du Média Pour Tous étaient sur place, de retour dans les nuages de lacrymogène, pour couvrir l’évènement.

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  • Ô secours, on est chez les dingues

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    3307524133.jpgSon nom ne vous dira rien, Agnès Firmin Le Bodo. Elle est députée de Seine-Maritime, ex-adjointe d’Edouard Philippe à la mairie du Havre,  51 ans et pharmacienne de son état. C’est elle qui est la présidente de la commission spéciale en charge du projet de loi bioéthique. Et cette dame est favorable à l’ouverture de la PMA aux couples de lesbiennes et aux femmes célibataires. Un projet de loi qui, s’il aboutit, éradique la conception traditionnelle que nous avons de la famille. Et c'est l'ouverture à la marchandisation du corps humain, en l'occurrence celui de la femme. Anne-Laure Debaecker, de Valeurs Actuelles,  vous décortique ce projet assassin. « C’est toute la définition de l’humain, de notre rapport à la vie et de la filiation qui est en jeu. Le possible techniquement est confondu avec une notion partisane du progrès, celui du laboratoire sans doute, de l’homme enraciné dans une famille sans doute pas », écrit-elle. Agnès Buzyn, ministre de la Santé et Nicole Belloubet, ministre de la Justice vont-elles laisser faire ?

    L'article d'Anne-Laure Debaecker

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/09/25/o-secours-on-est-chez-les-dingues-6178311.html

  • Islam : Marianne baisse les bras (Présent)

    Présent – Que peut-il y avoir de commun entre le premier syndicat de parents d’élèves et des enfants de djihadistes rapatriés ?

    Réponse : le reniement de la République. L’affaire avait fait grand bruit hier et sur les réseaux sociaux et dans la presse. La fédération de conseil des parents d’élèves (FCPE) a publié ce mardi une affiche publicitaire évoquant les sorties scolaires en montrant une femme voilée. Une affiche qui a évidemment suscité une levée de bouclier de la part des internautes, Laurent Bouvet du Printemps Républicain en tête. Tandis que Jean-Michel Blanquer qualifiait cette affiche de « regrettable ».

    « Il faut avoir le sens de l’histoire, cette fédération de parents d’élèves a été fondée sur la laïcité donc c’est extrêmement paradoxal, je pense que c’est une erreur de leur part, j’espère qu’ils vont la corriger », a-t-il estimé.

    Pour rappel, la FCPE demeure le premier syndicat de parents d’élèves avec près de 280 000 membres. Son coprésident, Rodrigo Arenas persiste et signe et s’attaque au ministre l’accusant de vouloir peser dans les élections. Il faut dire que l’argument de la FCPE laisse songeur : « La laïcité, c’est accueillir à l’école tous les parents sans exception. » En dehors d’une définition sémantiquement fausse à tout point de vue, cette prise de position éminemment politique et irresponsable de ce syndicat démontre parfaitement le noyage complet du principe de laïcité qui n’est devenu pour certains qu’une sorte de consensus mou appelant à l’inclusion de tous sans distinction. « La République ne doit pas baisser les bras » prévient Jean-Paul Brighelli, tandis que Laurent Bouvet prenait la chose avec humour en publiant une parodie de l’affiche de la FCPE en mettant en scène deux djihadistes. Un sens de l’humour qui n’a évidemment pas plu à Monsieur Arenas qui a annoncé vouloir porter plainte contre le sieur Bouvet.

    La progéniture des Clain de retour dans la bergerie

    C’est sans doute au nom de cette vocation inclusive et universelle de Marianne que les Français ont accueilli (bien malgré eux) neuf enfants et deux femmes de djihadistes dont Jennifer Clain, la nièce des deux frères Fabien et Jean-Michel Clain (donnés pour morts). Rapatriée avec ses enfants, Jennifer Clain était aussi connue pour être l’épouse de Kevin Gonot, autre djihadiste condamné à mort en Irak le 26 mai dernier.

    Ainsi, Marianne est peu rancunière. Tandis que le premier syndicat de parents d’élèves promeut l’islam dans l’enceinte même de l’école républicaine (la sortie scolaire est juridiquement soumise au règlement intérieur de l’école), la France rapatrie ceux qui sont nés, et ont été élevés sinon dans la haine au moins le rejet total de ce que nous sommes et ce qui nous identifie. Au nom de l’universalisme, on abrite des terroristes, au nom de l’inclusion on fait la promotion d’un vêtement incarnant la soumission et le rabaissement de la femme. Il n’y a pas de petites concessions, mais des renoncements successifs. Souhaitons que les enfants Clain et Gonot n’imitent pas leurs oncles et père dans la cour de récréation ou en sortie scolaire, au moins les accompagnantes voilées seront épargnées.

    Présent

    https://www.tvlibertes.com/actus/islam-marianne-baisse-les-bras-present

  • Des scientifiques de 13 pays écrivent au secrétaire général des Nations unies contre l’alarmisme climatique

    Résultat de recherche d'images pour "réchauffement climatique "

    Un courrier signé par 500 scientifiques et professionnels, dont 40 pour la France, vient d’être adressé à António Guterres, secrétaire général des Nations unies, ainsi qu’à Patricia Espinosa Cantellano, secrétaire exécutive de la Convention-cadres des Nations unies sur les changements climatiques.
    Lancée par Guus Berkhout, géophysicien professeur émérite à l’université de La Haye (Pays-Bas), cette initiative est le fruit d’une collaboration de scientifiques et associations de treize pays.
    Publiée au moment où l’agenda international place une nouvelle fois le climat en tête des préoccupations, cette « Déclaration Européenne sur le Climat » est destinée à faire savoir qu’il n’y ni urgence ni crise climatique.
    Elle appelle donc à ce que les politiques climatiques soient entièrement repensées, et reconnaissent en particulier que le réchauffement observé est moindre que prévu, et que le gaz carbonique, loin d’être un polluant, est bénéfique pour la vie sur Terre.
    Ci-dessous une traduction de cette lettre (suivie de la lettre originale en anglais).
    À faire circuler aussi largement que possible.
    Professeur Guus Berkhout
    Catsheuvel 93, 2517 KA La Haye
    guus.berkhout@clintel.org
    Le 23 septembre 2019.
    S. António Guterres, Secrétaire général des Nations Unies, Siège des Nations Unies, New York, NY 10017, États-Unis d’Amérique. Patricia Espinosa Cantellano, Secrétaire exécutive, Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, Secrétariat de la CCNUCC, Campus des Nations Unies, Platz der Vereinten Nationen 1, 53113 Bonn, Allemagne.
    Vos Excellences,
    Il n’y a pas d’urgence climatique
    Un réseau mondial de plus de 500 scientifiques et professionnels expérimentés du climat et des domaines connexes a l’honneur d’adresser à Vos Excellences la Déclaration européenne sur le climat, jointe en annexe, dont les signataires de la présente lettre sont les ambassadeurs nationaux.
    Les modèles de circulation générale du climat sur lesquels la politique internationale est actuellement fondée sont inadaptés.
    Il est donc cruel aussi bien qu’imprudent de préconiser le gaspillage de milliers de milliards de dollars sur la base des résultats de modèles aussi imparfaits.
    Les politiques climatiques actuelles affaiblissent inutilement le système économique, mettant des vies en danger dans les pays à qui est refusé l’accès à une énergie électrique permanente et bon marché.
    Nous vous exhortons à suivre une politique climatique fondée sur une science solide, sur le réalisme économique et sur une attention réelle vis-à-vis de ceux qui sont frappés par des politiques d’atténuation coûteuses et inutiles.
    Nous vous demandons d’inscrire cette Déclaration à l’ordre du jour de votre prochaine session à New York.
    Nous vous invitons également à organiser avec nous début 2020 une réunion de haut niveau, constructive, entre des scientifiques de réputation mondiale des deux côtés du débat sur le climat. Cette réunion rendra effective l’application du juste et ancien principe, aussi bien de bonne science que de justice naturelle, selon lequel les deux parties doivent pouvoir être pleinement et équitablement entendues. Audiatur et altera pars !
    Bien respectueusement,
    Les ambassadeurs de la Déclaration européenne sur le climat :
    Guus Berkhout, professeur (Pays-Bas)
    Richard Lindzen, professeur (États-Unis)
    Reynald Du Berger, professeur (Canada (francophone))
    Ingemar Nordin, professeur (Suède)
    Terry Dunleavy (Nouvelle-Zélande)
    Jim O’Brien (République d’Irlande)
    Viv Forbes (Australie)
    Alberto Prestininzi, professeur (Italie)
    Jeffrey Foss, professeur (Canada anglophone)
    Benoît Rittaud, maître de conférences (France)
    Morten Jødal (Norvège)
    Fritz Varenholt, professeur (Allemagne)
    Rob Lemeire (Belgique)
    Viconte Monkton of Brenchley (Royaume-Uni)
    —————————
    Il n’y a pas d’urgence climatique
    Ce message urgent a été préparé par un réseau mondial de 500 scientifiques et professionnels.
    Les sciences du climat se doivent d’être moins politisées, tandis que la politique climatique se doit d’être davantage scientifique.
    Les scientifiques doivent aborder de façon ouverte les incertitudes et les exagérations dans leurs prévisions d’un réchauffement planétaire, et les dirigeants politiques doivent évaluer de façon dépassionnée les bénéfices réels et les coûts envisagés à l’adaptation au réchauffement climatique, ainsi que les coûts réels et les bénéfices envisagés de l’atténuation.
    Des facteurs naturels aussi bien qu’anthropiques provoquent un réchauffement
    Les archives géologiques révèlent que le climat terrestre varie depuis que la planète existe, avec des phases naturelles froides et chaudes.
    Le Petit Âge glaciaire n’a pris fin que tout récemment, vers 1850.
    Il n’est donc pas étonnant que nous vivions aujourd’hui une période de réchauffement.
    Le réchauffement est beaucoup plus lent que prévu
    Le monde s’est réchauffé à un rythme inférieur à la moitié de ce qui était intialement prévu, et inférieur à la moitié de ce à quoi on pouvait s’attendre en se fondant sur le forçage anthropique net et le déséquilibre radiatif.
    Cela nous indique que nous sommes bien loin de comprendre le changement climatique.
    La politique climatique s’appuie sur des modèles inadéquats
    Les modèles climatiques présentent de nombreuses lacunes, et ne sont guère exploitables en tant qu’outils décisionnels.
    De plus, ils exagèrent probablement les effets des gaz à effet de serre tels que le CO2. Enfin, ils ignorent le fait qu’enrichir l’atmosphère en CO2 est bénéfique.
    Le CO2 est l’aliment des plantes, le fondement de toute vie sur Terre
    Le CO2 n’est pas un polluant.
    Il est essentiel à toute la vie sur Terre.
    La photosynthèse est un bienfait.
    Davantage de CO2 est une bonne chose pour la nature, cela fait verdir la Terre : le CO2 supplémentaire dans l’air a favorisé un accroissement de la biomasse végétale mondiale.
    Il est par ailleurs bon pour l’agriculture, accroissant les rendements des récoltes dans le monde entier.
    Le réchauffement climatique n’a pas provoqué davantage de catastrophes naturelles
    Il n’y a aucune preuve statistique que le réchauffement climatique intensifie les ouragans, les inondations, les sécheresses ou autres catastrophes naturelles analogues, ni qu’il les rendrait plus fréquentes.
    En revanche, les mesures d’atténuation du CO2 sont, elles, aussi dévastatrices que coûteuses.
    Ainsi, les éoliennes tuent les oiseaux et les chauves-souris, et les plantations d’huile de palme détruisent la biodiversité des forêts tropicales.
    L’action politique doit respecter les réalités scientifiques et économiques
    Il n’y a pas d’urgence climatique.
    Il n’y a donc aucune raison de s’affoler et de s’alarmer.
    Nous nous opposons fermement à la politique néfaste et irréaliste de neutralité carbone proposée pour 2050.
    En attendant que de meilleures approches voient le jour, ce qui se produira certainement, nous avons amplement le temps de réfléchir et de nous adapter.
    L’objectif de la politique internationale doit être de fournir une énergie fiable et bon marché, de façon permanente, et dans le monde entier.Version originale (anglais)
    Professor Guus Berkhout
    Catsheuvel 93, 2517 KA The Hague
    guus.berkhout@clintel.org
    source

  • Emmanuel et Greta : c’est la rupture

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    La presse à scandale n’en a rien dit, mais il faut se rendre à l’évidence : il y a de l’eau dans le gaz entre Emmanuel et Greta. Tout avait pourtant bien commencé. Reçue gentiment à l’Élysée, envoyée à l’Assemblée pour porter le message réchauffant, le Président tenait sa mascotte. Une petite fille avec des couettes qui tentait d’échapper au grand méchant loup climatique ; lui, bombardé champion de la Terre en 2018. Une amitié était née.

    À coup sûr, dans son discours de l’ONU, elle allait glisser un mot pour les efforts de son copain Macron dans la chasse au CO2. Entre potes, c’est bien naturel. Au pied de la tribune, Emmanuel écoutait Greta la larme à l’œil. Une fille qu’il avait connue haute comme trois pommes bio, pensez, une amie de trente ans, une… « Ah ! elle est virulente, la bougresse… Oh ! elle est drôlement énervée… Mais je rêve, elle s’en prend à la France ! »

    Eh oui, Emmanuel Macron dut se rendre à l’évidence : du haut de la tribune, la bonne Greta mordait la main qui lui avait ouvert les portes du Palais, puis de l’Assemblée, une main qui n’aurait pas hésité à lui accrocher des médailles de toutes les couleurs… Et, comble de trahison, elle portait plainte avec quinze autres jeunes devant le Comité des droits de l’enfant contre cinq pays dont – je vous le donne en mille – la France. L’Argentine, le Brésil, la Turquie et l’Allemagne dans le même bateau. Et voilà le travail. Trente ans d’amitié foutus en l’air. Enfin, presque.

    À peine remis de sa douche froide, l’ami éconduit s’en fut riposter : « Je n’ai pas le sentiment que les gouvernement français ou allemand, aujourd’hui, sont en train de bloquer. » Parlant des mobilisations : « Il faut qu’elles se concentrent sur ceux qui sont le plus loin, ceux qui essaient de bloquer. » Propos traduits par un spécialiste de l’ONU en ces termes : « Que la môme s’en prenne d’abord aux plus gros pollueurs, à savoir, la Chine, l’Inde, les États-unis… Mais pas nous. Ah, c’est bien la peine qu’on se décarcasse… »

    Une ingratitude justifiée par un protocole optionnel de la Convention des droits de l’enfant qui autorise ceux-ci (depuis 2014) à porter plainte devant le Comité des droits de l’enfant de l’ONU s’ils estiment leurs droits bafoués. Or, les cinq pays incriminés « font partie des 44 pays ayant ratifié ce protocole, ce qui n’est pas le cas des États-Unis, de la Chine ou de l’Inde », selon Le Figaro. Et c’est çui qui dit qui y est.

    « Non, tu n’es pas seul, Emmanuel. Une de perdue, dix de retrouvées… » À ses côtés, ceux qui avaient été les témoins de cette belle histoire d’amitié ont su trouver les mots pour remonter le moral de leur chef.

    Brune Poirson, ministre de la Transition écologique : « Mais quelles sont les solutions qu’elle met sur ma table ? Je ne sais pas. On ne peut pas mobiliser avec du désespoir, presque de la haine. » Incitation à la haine ? Son compte est bon.
    Jean-Michel Blanquer : « Il ne faut pas créer une génération de déprimés autour du climat. » Trop tard. La psychose s’installe. Yves Cochet annonce un effondrement global avant 2030, le GIEC confirme une montée des océans d’un instant à l’autre…

    « Pfff… Après une pareille trahison… De toute façon… À quoi bon lutter contre le CO2 ? »

    Emmanuel Macron pourrait rejoindre le camp des humano-sceptiques…

    Jany Leroy

    https://www.bvoltaire.fr/emmanuel-et-greta-cest-la-rupture/

  • L’écologisme, faux-nez des mondialistes, par Ivan Rioufol

    Les mondialistes, rejetés par les peuples fragiles, se maquillent désormais en vert forêt. Sans doute espèrent-ils ainsi, sous la bannière écologiste, passer inaperçus, voire sympathiques. Les plus exaltés, qui annoncent la fin du monde si l’actuel système libéral et financier n’est pas démembré en urgence, ont néanmoins la subtilité des promoteurs du communisme de jadis. Ceux-ci promettaient un monde meilleur à coups de triques et de propagandes. A l’époque, la jeunesse embrigadée n’était pas en reste pour sublimer le nouvel universalisme fraternel du prolétariat. Celle d’aujourd’hui, qui partout dans le monde répond aux peurs (“I want you to panic”) du jeune robot Greta Thunberg, a gardé un même air de famille, avec son fanatisme juvénile et sa croyance post-religieuse en l’apocalypse.

    Difficile à ce stade de faire la part entre l’endoctrinement, la rééducation, l’inquiétude raisonnée. Reste néanmoins un profond malaise devant cette nouvelle idéologie mondialiste, qui ne supporte pas les contradictions. Qui ose émettre des réserves sur l‘urgence climatique est bon pour la camisole et le cabanon. Or c’est ce monde enfiévré qu’est parti rejoindre, ce lundi à New-York, Emmanuel Macron, à l’occasion du sommet des Nations-Unies sur le climat.

    L’échec de la Marche pour le climat, samedi à Paris, rassure sur la lucidité de la jeunesse française. Il est vrai que l’infiltration du défilé par les black blocs et leur violence a pu avoir un effet répulsif. Encore que ceci mériterait d’être approfondi. Car il existe des similitudes entre le projet révolutionnaire des black blocs – lutte contre le capitalisme, le libre-échange, les démocraties libérales – et celui des écologistes radicaux qui rêvent pareillement de la table rase au nom d’une conviction totalitaire. En revanche, ceux qui espèrent une convergence des luttes avec les Gilets jaunes n’ont rien compris de cette autre révolte populaire : elle rejette la mondialisation et ses effets dévastateurs pour les nations souveraines.

    Les Gilets jaunes du 17 novembre 2018 – qui ont progressivement laissé le terrain à l’extrême gauche – se sont d’abord mobilisés contre l’écologisme punitif, qui entendait faire payer à la classe moyenne française les pollutions en CO2 de la Chine, de l’Inde ou d’ailleurs. Si leur mouvement s’est inscrit en rupture avec des élites aveugles et sourdes, il est resté libéral dans son essence : ce sont des additions d’initiatives privées et de débrouillardises individuelles qui ont su ébranler la République. Et ce n’est probablement pas fini.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 23 septembre 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • La Cour des comptes dresse un bilan accablant de la fusion des régions

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    Quatre ans après la fusion des régions, c'est un bilan accablant que publie la Cour des comptes. 

    La Cour des comptes estime que le passage de 22 à 13 régions n'a pas permis de réduire les budgets. Bien au contraire, il y aurait notamment des surcoûts sur la question des salaires des agents. C'est le cas en Occitanie.

    Retrouver toutes les infos sur la vidéo sur : 
  • PMA sans père – La Manif Pour Tous estime que le gouvernement doit maintenant apporter des réponses

    Dans un communiqué publié le 24 septembre 2019, La Manif Pour Tous estime qu’après avoir été alerté en vain sur les conséquences de la PMA sans père, le gouvernement doit désormais répondre aux interrogations et inquiétudes exprimées par les Français depuis plusieurs années.

    Voici le texte du communiqué intitulé “PMA sans père : au pied du mur, le gouvernement doit maintenant apporter des réponses” :

    L’heure des réponses a enfin sonné. Après avoir été alerté en vain sur les conséquences de la PMA sans père, le gouvernement doit désormais répondre aux interrogations et inquiétudes exprimées par les Français depuis plusieurs années. Resté sourd aux questions soulevées par les associations familiales, les pédopsychiatres, les juristes, les scientifiques, les philosophes…, la majorité va devoir se montrer non seulement à l’écoute mais aussi entendre les nombreuses réserves exprimées par la société civile.

    Il est temps de lever les ambiguïtés entretenues par le gouvernement depuis trop longtemps. L’embarras du gouvernement suite à la publication de l’avis de l’Académie nationale de médecine s’est traduit par un amalgame scandaleux. Des ministres n’ont pas hésité à comparer la situation des enfants vivant dans des familles monoparentales avec celles d’enfants nés par PMA sans père. Heureusement, ces deux situations n’ont rien à voir. Les enfants vivants dans des familles monoparentales connaissent souvent leur père. Mais pour de multiples raisons, ils en sont séparés. Ces situations n’ont rien à voir avec le fait d’organiser la conception d’enfants volontairement privés de leur père. C’est bien ce caractère volontaire qui est au cœur du projet de loi. Qui a le droit de décider qu’un enfant peut être privé de son père avant même sa conception ? Comment l’accepter ? Comment peut-on envisager un seul instant de priver volontairement un enfant de l’amour de son père pour toute sa vie ?

    Le gouvernement entretient également une ambiguïté autour de la GPA. Il affirme que ce n’est pas un sujet puisque le projet de loi ne prévoit pas la légalisation de la GPA. Mais, en même temps, il prépare une circulaire sur la reconnaissance des enfants nés par GPA dans un pays étranger. Il ne doit pas fuir ses responsabilités et être clair :

    Oui ou non, le gouvernement est-il réellement opposé à la GPA ?
    Oui ou non, le gouvernement est-il opposé à ce que des Français aillent faire une GPA à l’étranger ? Par souci de cohérence, et parce que la dignité des femmes n’a pas de frontières, parce que la GPA est effectivement intolérable en France, elle l’est aussi à l’étranger et nos ressortissants ne doivent pas être autorisés par la loi française à y recourir.
    Oui ou non, le gouvernement est-il prêt à reconnaître les enfants nés d’une GPA à l’étranger à l’état civil, ce qui reviendrait à encourager les Français à aller faire des GPA à l’étranger et donc au développement de ce business sordide ?
    Oui ou non, le gouvernement veut-il s’engager pour l’abolition universelle de la GPA, au nom de la dignité et du droit des femmes ?

    Bien d’autres questions sont encore soulevées par la PMA sans père à l’occasion du débat parlementaire : la PMA post mortem, la PMA pour les personnes transgenres, l’autoconservation des ovocytes, la réponse à la pénurie de gamètes… Concrètement, comment le gouvernement entend-il garantir aux femmes que l’autoconservation des ovocytes ne va pas déboucher sur des pressions de leurs employeurs ? Comment le gouvernement peut-il garantir que la pénurie de gamètes ne va pas se traduire par la rémunération des fournisseurs de sperme ou l’achat de sperme à l’étranger ? Comment le gouvernement compte-t-il s’assurer que ce commerce des gamètes sera interdit en France, y compris sur internet ?

    Enfin, le gouvernement doit cesser de chercher à museler toute forme d’opposition à son projet au nom de la recherche légitime d’un « débat apaisé ». Il y a eu plusieurs glissements forts regrettables du côté de la majorité qui cherche manifestement à réécrire l’Histoire. S’il s’est déclaré favorable, à titre personnel, à la PMA sans père, Emmanuel Macron a toujours conditionné tout projet législatif à l’existence d’un large consensus. Aujourd’hui, plusieurs ministres cherchent à remplacer ce consensus par le caractère « apaisé » du débat. C’est un tour de passe-passe grossier et indigne du gouvernement. Le Président du CCNE (Comité Consultatif National d’Éthique) a lui-même souligné, à l’issue des États généraux de la bioéthique, qu’il n’existe pas de consensus sur cette mesure. Les Français sont profondément divisés sur cette question. Comment en outre parler de débat « apaisé » lorsque ni les conclusions des États généraux de la bioéthique, ni le contenu de la mission d’information parlementaire, ni les auditions de la commission spéciale mise en place à l’Assemblée nationale n’ont été pris en compte. Comme pour les retraites, la position du gouvernement consiste à organiser un débat mais à ne surtout pas en tenir compte dans ses décisions. C’est parfaitement anti-démocratique.

    La République doit protéger tous ses enfants, sans distinguer ceux qui sont nés par PMA, elle n’a pas à en priver volontairement certains de l’amour d’un père. C’est ce message d’amour qui sera porté haut et fort dans la rue lors de la manifestation unitaire sous le label « Marchons Enfants ! » qui se tiendra à Paris le dimanche 6 octobre : « Liberté ! Égalité ! Paternité ! ».

    https://fr.novopress.info/