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Même si vous n’achetez jamais ces journaux à grand tirage…
Même si vous trouvez que les contenus de ces médias subventionnés sont médiocres ou pires…
Même s’ils font de la propagande, sous forme de morale hypocrite…
Même si leurs « journalistes » vous méprisent, vous font taire ou vous insultent…
… Vous les payez quand même, par vos impôts !
Alors, si vous pensez qu’il faut fermer le robinet des subventions aux médias, signez cette pétition !
Voulez-vous entretenir ces médias moribonds ?
La confiance des Français dansles médias s’effondre : la télévision sombre à 38 %, la presse écrite tombe à 44 % et la radio à 50 %. C’est du jamais vu depuis plus de 30 ans !
Le départ de l'ignominieux Delevoye était une nécessité morale.
Le retrait de l'inutile et crapoteuse réforme Macron / Philippe / Delevoye ou, pour le moins, de ses dispositions les plus injustes et antisociales, est une nécessité politique.
La mise au pas des syndicats rouge est une nécessité nationale.
Article publié dans le quotidien Présent cliquez ici
« Courroye est l'incarnation de la porosité entre le parquet et le pouvoir », dixitMarianne (26 juin 2010). Décidément, la session de la Cour d’appel d’assises d’Evry démarre sous les plus funestes auspices. La présence de Philippe Courroye comme avocat général dans l’appel d’Esteban Morillo et Samuel Dufour, condamnés en 2018, respectivement à 11 ans et 7 ans de réclusion criminelle pour la mort accidentelle, le 5 juin 2013, du jeune « antifa » Clément Méric, n’est pas faite pour rasséréner la défense. L’on peut légitimement craindre, en effet, que l’ajustice prévaudra. « Magistrat contesté dans la profession » (Le Point, 6 juillet 2010), sa déontologie sera suffisamment prise en défaut pour que le dossier Bettencourt soit dépaysé vers le tribunal de Bordeaux en novembre 2010.
Alors que la contestation contre la réforme des retraites ne faiblit pas, la pauvreté et la précarité, elles, gagnent du terrain en France. La tentative récente d’un étudiant de s’immoler par le feu souligne la gravité du problème chez les jeunes.
La collecte de signatures visant à organiser le référendum d’initiative partagée concernant l’avenir d’Aéroports de Paris (ADP) vient d’atteindre un million de soutiens. Symboliquement, donc, est franchi le seuil promis par le président de la République, Emmanuel Macron, dans son projet de réforme constitutionnelle pour déclencher la procédure référendaire. Ce changement de seuil, qui revient à le diviser par cinq, tarde cependant à venir. Rien ne garantit, d’ailleurs, que le Président s’en tienne à cette proposition.
La liberté d’expression se réduit peu à peu à peau de chagrin. A la télévision, dans la presse, sur les réseaux sociaux, tout est bon pour freiner les idées qui ne plaisent pas aux bien-pensants.
Après la loi Avia et les sanctions arbitraires contre de « prétendues » Fake News qui déplaisent au pouvoir en place, les Sleeping Giants, un groupe d’activistes anonymes sur les réseaux sociaux, font pression sur les annonceurs pour qu’ils boycottent les médias qui ne rentrent pas dans le rang des progressistes. Ils ont ainsi poussé de grandes marques, Ferrero et son Nutella en tête, à fuir les programmes de CNews pour inciter la chaîne à écarter Eric Zemmour de l’antenne. Un procédé auquel Valeurs Actuelles et Boulevard Voltaire ont également été confrontés.
Du côté d’internet, la situation n’est pas plus reluisante. Au delà des politiques toujours plus liberticides pour contenir les opinions, Google (et sa filiale YouTube) et Facebook ont tout pouvoir. Presque intouchables, ils censurent, bannissent ou réduisent la visibilité tels des géants omnipotents grâce à leur position dominante.
Didier Maïsto, le président de Sud Radio et Marc Eynaud, journaliste chez Boulevard Voltaire, reviennent sur leurs expériences de la censure et alertent sur la nécessité de tous se mobiliser pour que la pluralité soit respectée.
Franck Tanguy reçoit Charles de Bourbon Parme, Yves Christen, Jean Messiha et Antoine Cohen. Au programme des débats :
1) Le gouvernement doit-il plier devant les grévistes ? 2) Les 13 morts au Mali se sont-ils fait voler l’hommage national par l’actualité sur la grève ? 3) Condamnation de Mélenchon : fait-il peur à la Justice
Le 30 novembre dernier, les égouts d’une des plus belles villes d’Italie, Florence, débordaient. Environ dix mille manifestants selon la police, quatre fois plus d’après les organisateurs, occupaient la Place de la République à l’appel lancé sur les réseaux sociaux par les « Sardines », seize jours plus tôt depuis la ville de Bologne. Cette manifestation à Florence n’est que la dernière d’un mouvement largement surestimé qui parcourt néanmoins toute la péninsule. Certains observateurs politiques le comparent déjà aux « Gilets Jaunes » français.