Recettes publiques en berne, dépenses qui flambent… le plan d’aide gouvernemental de 45 milliards d’euros est déjà à sec. Le ministre de l’Economie l’a répété lundi au Sénat, la croissance sera encore plus mauvaise que lors de la crise des subprimes, probablement en dessous des -3%. Cependant, le gouvernement dit vouloir sauver l’économie « quoi qu’il en coûte », selon l’expression du président Macron dont l’imprécision n’augure rien de bon…
magouille et compagnie - Page 1083
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Le gouvernement petit bras face à la crise – Pierre Bergerault
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L’urgence sanitaire pour Élisabeth Borne : sauver les éoliennes
Le 1er avril, le ministère de la Transition écologique et solidaire publiait un communiqué intitulé « État d’urgence sanitaire : Élisabeth Borne a réuni les acteurs de la filière des énergies renouvelables électriques. » J’ai d’abord cru à une blague du Gorafi, mais il n’en était rien. En pleine crise du Covid-19, tout un lot de mesures en soutien aux projets de production d’énergie renouvelable ont été prises.
Dans la poursuite des objectifs de la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), près de 300 projets lauréats éoliens et photovoltaïques, pour un volume de plus de 1.700 MW, viennent d’être désignés. En fait, avec l’effondrement du prix des énergies fossiles, les énergies renouvelables risquaient de perdre de leur attrait et les investissements pouvaient commencer à fléchir. Pour le gouvernement, il était donc extrêmement urgent de conserver le prix d’achat du solaire photovoltaïque, d’adapter les calendriers ou d’accorder des délais.
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Sans les dépenses publiques illégitimes, la France aurait pu faire face au Covid-19
Par André Posokhow, consultant ♦ Depuis quelques semaines, la crise pandémique du Covid-19 montre que, dans le domaine sanitaire, notre malheureux pays est devenu une nation, peut-être pas du tiers-monde, mais de second rang par manque de moyens hospitaliers, industriels et financiers.
Certes l’arrogance veule, la psychorigidité mondialiste et européiste à l’égard des frontières, les retards dans la décision, l’incompétence, la négligence, les conflits d’intérêts, les mensonges, le refus de tenir compte des avertissements et, au bout du compte, le mépris et la détestation de la France et des Français que montre l’oligarchie cosmopolite qui a été désignée à la tête de la France constituent la cause première de cette crise nationale.
Mais cette crise que nous affrontons sans moyens fournit l’occasion de souligner les dépenses indues, illégitimes, que nos gouvernants ont accumulées et fait peser depuis plus de 40 ans sur le dos des Français, détruisant ainsi toute marge de manœuvre face une quelconque crise, a fortiori celle du Covid-19.
Après l’intervention de Jean-Yves Le Gallou aux assises des Gilets jaunes du 17 mars 2019 et les articles de Polémia sur ce thème, il est grand temps de mettre sommairement en exergue les conséquences les plus lourdes de ces gabegies.Dans ce type d’évaluations, il n’existe pas de chiffres exacts, seulement des approximations présentées comme telles, ou des fourchettes beaucoup plus utiles pour donner des ordres d’idées.
Une invasion migratoire ruineuse
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Comment l'Europe réinvente le bio... chimique
Il est prouvé depuis longtemps maintenant que, si toutes les terres cultivées du monde étaient en agriculture biologique, cela suffirait à nourrir la population mondiale. C'est bien ce qui ennuie l'industrie agroalimentaire (ainsi que ces Messieurs de l’industrie phytosanitaire et pharmaceutique), qui a besoin du mode de culture conventionnel (intensif chimique, etc.) pour continuer à faire des bénéfices. Avec le blanc-seing de Bruxelles.
On sait combien l'Union européenne, au moins depuis les accords de Marrakech en 2004 (qui vinrent clore le cycle de l'Uruguay et instituèrent l'OMC, l'Organisation mondiale du commerce), cultive un laxisme qui va bien dans le sens des intérêts américains. Pour preuve, la lassitude de certains députés européens - pourtant très endurants - face à l’ultralibéralisme forcené de la Commission européenne. Des observateurs, rompus aux subtilités du « machin » européen, tel Robert Tinlot (juriste spécialisé dans le droit de la vigne et du vin), s'attendent même à « une probable atténuation des effets pervers d'un libéralisme sauvage ». Selon ce dernier, « il apparaît dans la position du Parlement [européen] que l'on va amortir les effets abusifs de l'accord OTC » (accord sur les Obstacles techniques au commerce), pour la raison que, « les problèmes d'environnement [étant] devenus incontournables », on devrait voir « les contraintes environnementales [peser] sur les importations européennes ». Autrement dit, certains eurodéputés seraient tentés de rétablir des règles contraignantes pour bloquer (ou limiter) les importations de produits à l'impact environnemental excessif. Tout le monde convenant que « l'agriculture bio devient une nécessité ». Il n'est jamais trop tard…
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Sur le site de l'URBVM, dictature de l’opinion : du ridicule au dangereux…
“Considérons l’opinion, la renommée, avec l’idée qu’elle doit non pas guider, mais nous suivre.”
Cette citation de Sénèque reste aujourd’hui malheureusement cruellement d’actualité, et tout particulièrement au sein de notre république française. L’actuelle gestion de la crise sanitaire, économique et politique que traverse notre Nation pose de nombreuses questions, mais malheureusement les réponses se trouvent, comme toujours, limitées par le dogme républicain : seul le gouvernement peut être critiqué, et non le système en lui-même.
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[VIDÉO] Coronavirus : « Les gens qui voulaient rétablir les frontières ont été moqués. » – Geoffroy Lejeune
« Quand on est en danger, on se protège. […] Les gens qui voulaient rétablir les frontières se faisaient rire au nez. Aujourd’hui, on a établi des frontières partout autour des appartements. Cette crise réhabilite beaucoup de notions qui ont été combattues. » Geoffroy Lejeune (directeur de la rédaction de Valeurs Actuelles) sur LCI« Quand on est en danger, on se protège. […] Les gens qui voulaient rétablir les frontières se faisaient rire au nez. Aujourd’hui, on a établi des frontières partout autour des appartements. Cette crise réhabilite beaucoup de notions qui ont été combattues. » Geoffroy Lejeune (directeur de la rédaction de Valeurs Actuelles) sur LCI
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La censure privée sur les réseaux sociaux franchit un nouveau cap !
07/04/2020 – INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, enjoint l’Union à « rétablir la vérité » quant aux informations circulant sur la pandémie.Elle préconise une coopération étroite avec les géants du net, appelés à censurer, par suppression ou déréférencement des contenus jugés préjudiciables. C’est ainsi qu’une publication du docteur Raoult a été qualifiée de « partiellement fausse » par Facebook, en se fondant sur une recommandation des Décodeurs du journal Le Monde.
Par ailleurs, une communication du maire de New-York, Rudolf Giuliani ainsi que celle de Jair Bolsonaro en faveur de la chloroquine ont été supprimées. L’on ne peut que s’interroger sur la légitimité des opérateurs du net à décider quelles sont les vraies et les fausses informations : celles des gouvernements parfois mêlés à des conflits d’intérêts ou celles émanant de la sphère privée.
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Panique au gouvernement ? Macron se confine dans sa communication…
En période électorale, faire du « en même temps », c’était rusé. Le philosophe Paul Ricœur, dont Emmanuel Macron fut l’assistant, « en même temps » que Kiddy Smile, rappeur moulé dans un tee-shirt arborant le slogan « Fils d’immigré, noir et pédé », lors de la fête de la Musique élyséenne : si grand écart pouvait-il longtemps faire figure de martingale ?
Durant une élection présidentielle jouée quasiment d’avance, oui. Au long terme, non. Car en même temps, le réel a rattrapé ce même Emmanuel Macron. De gilets jaunes en infirmières, de policiers en avocats, de pompiers en médecins, de militaires en patrons de PME, la colère grondait. Pour tout arranger, cette France des parvis d’églises, déjà humiliée lors de la Manif pour tous, relevait une nouvelle fois la tête, pour cause de PMA et de GPA pour toutes et tous.
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Complètement perchée
Le Secrétaire d’Etat à l’égalité Marlène Schiappa a sans doute de l’énergie à revendre et de l’argent à perdre. A défaut d’aller aider les infirmières qui suent dans les hôpitaux en ce moment, elle a inventé une nouvelle mission pour occuper un député. Brasser du vent est important en période de confinement :
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Une vieille proposition du FMI refait surface : confisquer 10 % de nos économies
La dette française, qui est déjà à 100 % du PIB, risque de grimper à 116 % en 2024, si on en croit Le Figaro. Et que dire de l’Italie, où on envisage d’atteindre 180 % du PIB ? Les États qui en arriveront à de tels taux seront asphyxiés et auront du mal à emprunter sur les marchés. Les pays du sud de l’Union européenne proposent bien qu’elle emprunte à leur place, en fait que les États du nord payent à leur place, mais ces derniers, qui ont mieux géré leurs finances, refusent et refuseront catégoriquement cette solution.
Dans ce contexte, une vieille proposition du FMI, datant de 2013, a été évoquée à l’antenne de BFM TV par M. Emmanuel Lechypre : confisquer 10 % des économies de tous les particuliers. À se demander si le pouvoir ne lancerait pas des ballons d’essai.