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magouille et compagnie - Page 1083

  • La fraude documentaire, occultée malgré son énorme coût potentiel (14 milliards €)

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    Par André Posokhow, consultant ♦ Depuis plusieurs années le juge Charles Prats, un des spécialistes français de la criminalité financière, est apparu comme un lanceur d’alerte particulièrement documenté et tenace concernant les fraudes et plus particulièrement la fraude sociale. Il a dénoncé la fraude documentaire comme constituant la source d’une grande partie de la fraude sociale. Il a mis en exergue son ampleur qu’il a évaluée à environ 14 Md€.
    Il a été relayé au Parlement par la sénatrice centriste Nathalie Goulet qui a fait le siège des ministres des affaires sociales successifs sans succès, l’attitude de la classe politique à l’égard de cette question allant de l’indifférence à une forme de complicité.
    Depuis un an, le débat a été porté sur la place publique par les médias et s’est avéré d’autant plus polémique qu’il était concomitant avec la crise des « gilets jaunes ».
    Une enquête menée par la commission des affaires sociales du Sénat a conduit son rapporteur à contester sèchement les chiffres communiqués par le magistrat.
    C’est l’objet du premier texte présenté ci-dessous aux lecteurs de Polémia qui montre la gravité et l’importance du sujet.
    Les conclusions de la commission sont elles-mêmes contestées par le juge Prats et par N.Goulet, à qui le premier ministre a confié récemment une mission d’enquête sur la fraude sociale et ses conséquences sur nos finances publiques, dont le rapport doit être remis en septembre prochain. Ce sera le thème du deuxième article qui sera présenté sur le site de Polémia à ce moment-là.

    Un enjeu financier d’environ 14 Md€ ?

    Le juge Prats dans de nombreuses interviews et au cours d’un passage récent sur TV Libertés ainsi que la sénatrice centriste Nathalie Goulet, insistent depuis longtemps sur cette question particulièrement grave de l’immatriculation sociale frauduleuse qui figurerait parmi les premières causes de la fraude sociale.

    En 2011, un inventaire a permis de faire apparaître qu’il y avait en France 17,6 millions de personnes possédant un Numéro d’Identification du Répertoire (NIR) nées à l’étranger. (20,8 millions en 2018).

    Deux observations :

    • sur ces 20,8M il n’y a pas que des étrangers. Beaucoup de Français sont nés hors de France ;
    • entre 2011 et 2018 la progression de ces effectifs est de 3,1 millions soit 440 000/an ce qui pourrait être rapproché des estimations de Polémia visant les entrées d’étrangers sur notre sol.

    A la suite d’une étude sur un échantillon représentatif, policiers et statisticiens ont abouti en 2011 à un taux de fraude de 10,4 % soit 1,8 millions de personnes qui posséderaient aujourd’hui un NIR qui leur a été attribué sur la base de faux documents.

    Quel pourrait être le coût ? Sur la base de dépenses de sécurité sociale à hauteur de 483 Md€ et d’un nombre de cartes Vitale de 53 millions, l’enjeu considérable du coût potentiel de la fraude pourrait être de plus de 14 Md€ comme annoncé par C. Prats, si tous les titulaires de ces faux documents étaient actifs ou fraudaient, ce qui n’est pas certain.

    Il serait inexact d’affirmer que rien n’a été fait contre la fraude sociale

    L’administration et les opposants aux points de vue et aux questions exprimés par C. Prats et Nathalie Goulet, contestent ceux-ci, entre autres, de la manière suivante :

    • ce que l’on appelle la fraude sociale recouvre différentes situations. Il y aurait beaucoup d’erreurs involontaires et des abus véniels ;
    • un NIR ne donne pas automatiquement droit à des prestations
    • un plan national de lutte contre la fraude aux finances publiques a été lancé en 2014 ;
    • un guide d’identification a été mis en place ;
    • des efforts réels sont faits en matière de contrôles et de récupération de sommes détournées. L’usage, ahurissant, de photocopies pour établir les NIR a pris fin. Les données fiscales et sociales sont enfin recoupées. Le nombre de contrôles est considérable ce qui a entraîné des redressements significatifs.

    Selon la DNLF, les fraudes aux prestations détectées et non pas évaluées atteignent 700,83 M€ en 2017 (et 589 M€ pour les cotisations).

    Ces chiffres qui se comptent en millions d’euros sont sans commune mesure avec ceux qu’annonce le juge Prats qui se compte en Md€.

    Les réticences à répondre aux interrogations des lanceurs d’alerte

    Tout d’abord il y a une part d’idéologie :

    • la fraude sociale serait la fraude des pauvres, ce qui est inexact ;
    • ce serait une injustice de pourchasser la fraude sociale alors que la fraude fiscale que dénonce C.Prats tout autant, serait beaucoup plus importante ; en réalité l’un n’exclut pas l’autre ;
    • surtout, les immigrationnistes, c’est-à-dire la quasi-totalité de la classe politique, savent bien que l’invasion migratoire se nourrit largement de ce type de fraude et s’efforcent de poser un couvercle sur le phénomène.

    Il n’en demeure pas moins que l’incohérence béante qui existe entre les chiffres des deux parties en présence suscite des interrogations dont l’enjeu financier est considérable.

    Or ces réponses ne sont pas à ce jour satisfaisantes et il apparaît clairement que le juge Prats et la sénatrice Nathalie Goulet se heurtent depuis des années à de fortes réticences perceptibles aux questions orales du Sénat :

    • mise au rancart laxiste d’une Loi Fillon qui avait pour objectif de suspendre les aides sociales à ceux qui obtiennent une attribution frauduleuse d’un numéro de SS ;
    • N.Goulet s’est heurtée à une fin de non-recevoir des gouvernements et majorités successives depuis plusieurs années. Elle a proposé un amendement pour que l’exécutif remette un rapport d’information sur l’étendue de la fraude aux numéros de SS au Parlement, accepté par le Sénat et refusé par l’Assemblée nationale ;
    • ses demandes aux questions orales d’une estimation par l’administration du nombre de titres actifs a fait l’objet de réponses dilatoires ;
    • fin 2016, l’exécutif a reconnu que seuls 500 dossiers avaient été traités depuis 2012 sur 1,8 millions. C.Prats a critiqué le fait que les travaux de l’administration ne visent que les flux avec récemment des résultats positifs mais pas le stock.

    -là-dessus le Figaro a annoncé à la fin de 2018 que 500 000 faux comptes avaient été identifiés et neutralisés. Le Figaro attend des pièces justificatives mais surtout il est étonnant depuis le temps qu’on en parle que l’on ne l’ait pas su plus tôt.

    Ce sont les raisons pour lesquelles le juge Prats a parlé d’une omerta et au moins d’une gêne visible de l’administration et a affirmé que cette affaire pouvait être considérée comme un scandale d’Etat.

    La polémique actuelle

    La commission des affaires sociale du Sénat a confié récemment à son rapporteur général, Jean-Marie Vanlerenberghe (MoDem) le soin d’approfondir l’estimation du magistrat, mission à laquelle n’a pas été associée N.Goulet. Dans son rapport remis le mercredi 4 juin, il arrive à une estimation du risque comprise entre 200 à 800 millions de prestations frauduleuses, c’est à dire très en dessous de l’estimation du juge Prats. Le sénateur annonce qu’il sera en mesure de donner un chiffre affiné à la fin du mois de juillet.

    Il convient de noter que Jean-Marie Vanlerenberghe apparaît sur des vidéos où on peut le voir en train d’échanger avec des responsables administratifs de l’immatriculation. On y peut constater le climat d’empathie et de compréhension mutuelle qui a régné au cours de ces entretiens.

    En réalité, la controverse fait toujours rage.

    Nathalie Goulet et C.Prats considèrent que le rapport du Sénat ne fait « que minimiser momentanément » l’ampleur de la fraude aux prestations sociales des personnes nées à l’étranger. En effet, à leurs yeux, ce rapport fait apparaître, par différence entre le stock d’immatriculations actives et les chiffres INSEE de personnes vivant en France et nées à l’étranger ou retraitées vivant à l’étranger, 2,35 millions de NIR actifs excédentaires en trop dans le système, au lieu de 1,8 millions, sans explication du rapporteur.

    Si ce chiffre était confirmé l’enjeu de la fraude aux prestations sociales pourrait être plus élevé qu’avant le rapport sénatorial.

    C’est ce que doit déterminer la mission d’enquête sur la fraude sociale et son impact sur les finances publiques confiée à Nathalie Goulet par le premier Ministre qui devrait remettre ses conclusions en septembre prochain..

    En conclusion

    En définitive, on peut retenir de ce dossier en cours quelques conclusions importantes.

    L’enjeu financier de la fraude sociale et plus particulièrement de la fraude documentaire peut être très élevé.

    L’indifférence de la classe politique et de l’administration à l’égard de cet enjeu chiffré a été abyssale jusqu’à une date récente. On a tout fait pour tenir les Français dans l’ignorance.

    Le rapport du Sénat confirme les faiblesses historiques de gestion et de sécurisation de ce dossier des NIR dénoncées par les lanceurs d’alerte, malgré les efforts fournis.

    Le sénateur Vanlerenberghe arbore devant ses pairs de la commission la morgue habituelle de sa caste à l’égard du juge Prats et des chiffres que celui-ci avance. Qu’il n’oublie pas que c’est grâce à l’insistance de Prats et à la ténacité de la sénatrice Goulet que le problème crucial de la fraude sociale a enfin été exposé sur la place publique et dans les médias et que des enquêtes parlementaires ont été déclenchées.

    André Posokhow 03/08/2019

    https://www.polemia.com/fraude-documentaire-enorme-cout-potentiel-ocultee/

  • Société multiculturelle ou multi conflictuelle

    Macron fait l'impasse sur les deux problèmes principaux de l'Union Européenne.

    Immigration et sécurité.

    Alors, canicule, changement climatique, sont les leurres qui évitent de parler des vrais problèmes. Tous les moyens sont bons pour distraire l'opinion publique. On a même fait appel à sainte GRETA qui du haut de ses 16 ans nous menace des pires fléaux. Certains députés Français l'ont appelée au secours. Greta Thunberg invitée d’honneur des QAG : l’Assemblée se couvre de ridicule. L’écologie a besoin de savants, pas d’une ado manipulée et manipulatrice. Pourtant le constat fait à l'échelle européenne est évident. Pour les états de l’U.E la réponse est massive et sans ambiguïté. Le problème N°1 est l'immigration et cela depuis 3 ans consécutifs dans les enquêtes.

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    L'« enquête Eurobaromètre standard de l'automne 2018 » (EB90) s'est fondée sur des entretiens individuels menés entre le 8 et le 22 novembre 2018. 32.600 personnes ont été interrogées dans les États membres de l'UE et dans les pays candidats.

    Constat non partagé par Macron, silence total ou presque sur le sujet. 4 mois de débat, ou plutôt de show de campagne, et ces deux problèmes essentiels sont occultés. Ces inquiétudes, et la politique immigrationniste des technocrates de l'U.E avec l'aval de certains dirigeants sont la cause de la vague populiste qui ne cesse de grandir.

    De nombreux dirigeants comme en France Macron, ne sont pas en phase avec le peuple. Dernier sondage, seulement 28% des français approuvent sa politique. Ces dirigeants tenants de la mondialisation, du multiculturalisme, font en sorte que ces discussions disparaissent des débats. Préoccupation première des états européens pour l’Europe, loin devant toute autre préoccupation ' L'immigration '

    La population Française comme d'autre pays de l'U.E vit donc très mal cette immigration massive incontrôlée, elle craint une issue comme celle prévue par l'ancien ministre de l'intérieur, G. Collomb, le face à face entre communautés ou le partage du territoire dont parlait Hollande.

    L'immigration telle qu'elle se pratique depuis quelques années est un problème crucial pour les Français !

    On n'a pas pu ni su intégrer les immigrations antérieures et on continue à augmenter le flot d'immigrés. Le seuil de saturation est atteint et l'intégration devient une gageure, Blanquer en est conscient

    « Ne pas voir la dérive identitaire et communautariste, c’est comme s’aveugler sur la montée du fascisme dans les années 1920 »

    C'est bien de faire des constats Monsieur Blanquer, mais on fait quoi ?

    Alors deux interrogations, pourquoi le problème de l'immigration non contrôlée ressenti par les populations de l'UE comme un problème essentiel est mis sous le tapis ? Pourquoi cette montée des populismes, et ce rejet massif de l'immigration dans l'U.E ? A la première interrogation, on peut répondre que Mondialistes et Populistes ont deux visions antagonistes du monde. Pour les mondialistes de l'U.E comme pour Macron, la nation, la culture, l'identité n'existent pas et le migrant interchangeable et malléable à merci est la variable d'ajustement, c'est cela la projection de leur monde nouveau.

    Rien n'est fait chez nous et dans l'U.E pour renouveler les générations de manière endogène. Contrairement à nous, certains pays comme la Hongrie prennent des mesures contre la dénatalité. La France elle, fait de l'immigration la variable d'ajustement avec les conséquences que l'on connaît. Pour stimuler sa natalité, entre autres mesures, la Hongrie offre 30.000 euros aux couples faisant trois enfants

    http://www.lefigaro.fr/international/pour-stimuler-sa-natalite-la-hongrie-offre-30-000-euros-aux-couples-faisant-trois-enfants-20190731

    Le profit, unique objet des préoccupations des mondialistes. Merkel, ce n'est pas une folle générosité qui l'a incitée à faire venir un million de migrants, ânerie dont elle paye les conséquences politiques, et son peuple les conséquences sociales et sécuritaires. Elle aussi a fait le constat que le multiculturalisme était un échec.

    A la seconde interrogation sur les populistes et le rejet de ce projet, on peut dire que le populiste a une réaction de survie, il ne veut pas mourir, être sacrifié sur l'autel du mondialisme.

    Il se rend compte tous les jours que plus le migrant est éloigné de nos cultures, plus son nombre est important et incontrôlé, plus son intégration devient difficile, voire impossible.

    Les populistes sont uniquement dans un raisonnement de bon sens, ni dans la xénophobie, le racisme, ou autres balivernes ânonnées par les bobos et les mondialistes qui veulent culpabiliser tous ceux qui ne pensent pas comme eux et qui sont aujourd'hui la majorité.

    Le multiculturalisme devient multi conflictuel c'est ce que les français constatent dans leur quotidien. C'est une évidence pour tous les pays de l'U.E Tout cela pour une raison évidente, nous n'avons pas respecté une règle d'or <On ne peut recevoir plus d'immigrés qu'on ne peut intégrer.>

    Dans l'intérêt de ceux qui arrivent et celui de ceux qui reçoivent.

    Ce n'est que du bons sens !

    Si cette règle d'or n'est pas appliquée, alors, le résultat est celui que nous connaissons en France. Le communautarisme gagne du terrain, des ghettos, des rivalités entre ethnies se multiplient, le vivre ensemble devient impossible.

    Nous continuons de recevoir des gens dans des conditions inhumaines. Le seuil de tolérance est déjà atteint et le rejet est majoritaire, alors qu'une immigration contrôlée, choisie est et a toujours été positive.

    La France a toujours été un pays d'accueil, d'immigration, mais pas de submersion migratoire incontrôlée formant des archipels communautaires.

    Aucun pays ne peut y résister il y perd son âme et son identité.

    On se rend compte que les communautés fonctionnent en autarcie, certaines communautés ne se sentent pas impliquées dans les drames nationaux.

    Elles ne se sentent pas plus Notre dame, ou Gilets Jaunes qu'elles ne se sentaient Charlie. Elles brandissent des drapeaux de pays qu'elles ne connaissent souvent pas. Plus grave, de nombreux jeunes issus de diverses ethnies et pays disent qu'ils sont français par leurs papiers, mais qu'ils ne se sentent pas français. On a échoué à leur faire aimer notre pays.

    Comment construire une cohésion nationale dans ces conditions ?

    Il faut prendre les mesures adéquates, mesures adéquates pour intégrer ceux qui sont en France et établir contrôles et quotas pour des nouveaux migrants. Ces quotas ne peuvent en aucun cas être définis par une supranationalité Européenne, mais par la nation seulement et son parlement, sinon on ira vers le chaos. Nous devons être souverains pour ce type de décision qui engage l'avenir de la nation.

    Je crois sincèrement que dans la communauté la plus nombreuse chez nous, la majorité des musulmans a souhaité et souhaite encore s’intégrer, mais ce qui les éloigne de plus en de cette intégration et les pousse au communautarisme, c'est la faiblesse de nos réponses face aux exigences communautaires culturelles ou cultuelles comme celles de l'Islam radical politique.

    On laisse les salafistes prospérer dans les banlieues.

    On n'applique pas ni les lois sur les tenues interdites dans les piscines, ni sur la burqa, l'interdiction de la Burqa n'est pas appliquée, Ridoine l'évadé de prison en hélicoptère, pour échapper aux forces de police portait une burqa dans un quartier difficile pour échapper aux contrôles de police.

    On négocie sans cesse sur des demandes communautaires radicales qui affaiblissent la république, pour des raisons idéologiques ou bassement éléctoralistes ; dans les hôpitaux, dans les écoles, dans les services publics la radicalisation n'est pas réprimée.

    On laisse ouvertes des mosquées ou certains Imams radicaux prêchent le suprématie de la religion sur la république.

    Alors devant notre faiblesse, comment voulez-vous que les musulmans choisissent ?

    La France n'aura encore le choix que dans un délai court, au delà duquel ce sera le non retour.

    D'après Gérard Collomb, dans 5 ou 6 ans la situation serait irréversible, d’autant plus que les communauté concernées relèvent en général de religions qui s’accommodent difficilement de toutes les mesures sociétales récentes jugées beaucoup trop libérales et incompatibles avec leurs prescriptions religieuses !

    C'est Macron aujourd'hui qui a les clés entre ses mains, mais semble bien timoré quand on voit son rejet du plan banlieue et ses manœuvres de banalisation et minimisation des vrais problèmes.

    Le premier défi à relever est la reconquête de ces territoires perdus de la république. Le travail est immense, mais c'est une condition sine qua non.

    https://www.europe1.fr/societe/atteintes-a-la-laicite-a-lecole-400-cas-traites-entre-avril-et-juin-3776543

    https://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/societe-multiculturelle-ou-multi-217025

  • Non, deux homosexuels n’attendent pas un enfant, ils achètent un enfant de la GPA !

    Un tweet du magazine Closer suscite à juste titre de vives réactions. Le magazine people (et il n’est pas le seul) écrit que l’animateur de télévision homosexuel Christophe Beaugrand et son “mari” “attendent un enfant”. L’expression est ridicule. Que l’on sache, aucun de ces deux homosexuels ne va accoucher. La vérité est plus crue. Et les mots justes dérangent. Christophe Beaugrand et son acolyte ont loué le ventre d’une femme et vont acheter un enfant. C’est cela la GPA. Et, à l’heure actuelle, c’est interdit en France.

  • Vous reprendrez bien un peu de censure

    Vous reprendrez bien un peu de censure

    Invité de BFMTV lundi soir, François de Rugy a dénoncé :

    «Je suis la victime d’une cabale, d’un lynchage». «Ils ne se sont pas emparés d’un sujet mais d’une cible».

    Il était moins hostile à ces méthodes lorsque la victime était François Fillon ou Nicolas Sarkozy…

    Persuadé que cela «peut arriver à n’importe qui d’autre demain», l’ex-ministre de la Transition écologique et solidaire a jugé qu’

    «on ne peut pas raconter tout et n’importe quoi dans l’impunité». Si un problème se pose sur une chaîne de télévision, n’importe quel citoyen peut saisir le CSA. (…) Bizarrement, cela n’existe pas pour internet».

    Et donc il plaide pour une autorité étatique…

    «Moi je crois en une forme de régulation». «J’ai toujours dit que, en effet, j’étais attaché à la liberté de la presse. Vous ne m’entendrez jamais dire qu’il faut censurer la presse. Mais je suis aussi attaché au respect des principes».

    https://www.lesalonbeige.fr/vous-reprendrez-bien-un-peu-de-censure-2/

  • Attentat de Bologne du 2 août 1980, 85 morts !

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    Gabriele Adinolfi

    Il y a 39 ans a eu lieu le massacre à la gare de Bologne (85 ou 86 morts). J'ai été plusieurs fois victime de manœuvres faites pour m'accuser. Les dirigeants des services secrets italiens et aussi étrangers ont participé à ces manœuvres. Certains d'entre eux ont été reconnus coupables de calomnie et je suis officiellement victime de ces manœuvres. Je n'ai jamais cessé de me battre pour la découverte de la vérité. Je ne suis pas le seul. Des journalistes, des avocats et des juges courageux se sont battus efficacement.

    Cette année, j'ai lancé un processus international avec des avocats de différents pays. Pendant ce temps, quelque chose fait surface. Après 39 ans, nous avons pu obtenir une expertise officielle sur l'explosif utilisé à Bologne (cela n’avait pas été fait jusqu’à présent!) Et cela a prouvé que l’explosif, la gâchette et la technique sont les mêmes utilisés pour des autres attaques en Italie, en Grèce et en France. Un marque de fabrique. Il s'agit du milieu de l'Internationale trotskyste lié au service HVA de la Stasi (Allemagne communiste) et à "l'école de langue" Hypérion à Paris (Brigades rouges et divers services internationaux).Ce n'est pas que le début puisque ils travaillent avec d'autres alliés plus puissants et intouchables, mais c'est encourageant.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Alexandre Langlois : « Christophe Castaner est le plus mauvais ministre de l’Intérieur qu’on ait eu, on ne sait pas où il va »

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    Lors d’un entretien accordé à Boulevard Voltaire, Alexandre Langlois est revenu sur des sujets d’actualité, et en particulier la mort de Steve Caniço et le rapport de l’IGPN sur cette affaire.

    Il dresse le bilan, désastreux selon lui, de Christophe Castaner au ministère de l’Intérieur. Il y voit une « erreur de casting » avec ce « capitaine de La Croisière s’amuse ».

    https://www.bvoltaire.fr/alexandre-langlois-christophe-castaner-est-le-plus-mauvais-ministre-de-linterieur-quon-ait-eu-on-ne-sait-pas-ou-il-va/

  • 40 nouveaux migrants bloqués par Salvini qui dénonce une “provocation”

    salvini.jpgSecourus en mer par l’ONG allemande Sea-Eye, les clandestins sont retenus au large de l’île de Lampedusa.
    Matteo Salvini ne rompt pas. Quelques jours seulement après avoir refusé l’accès des eaux italiennes à 130 migrants, le ministre transalpin de l’Intérieur a décidé d’en bloquer 40 autres, cette fois à bord 
    du navire Alan Kurdi, de l’ONG allemande Sea-Eye, rapporte notamment Le Point. Après avoir navigué toute la nuit vers le nord, le bateau mouille désormais au large de l’île de Lampedusa. 
    L’homme fort italien a dénoncé « une énième provocation en Méditerranée de la part d’une ONG allemande », et accusé les secouristes de se comporter « de manière mesquine ». La veille, il avait d’ailleurs signé un décret qui interdisait les eaux italiennes au navire humanitaire. Un décret signé par les ministres de la Défense et des Transports, tous deux issus du mouvement 5 étoiles (M5S), de son allié Luigi Di Maio. Pour Salvini, il n’y a pas de raison pour que le navire débarque en Italie, puisque l’opération de secours a eu lieu bien plus près de la Tunisie que de Lampedusa.
    [...]
    En savoir plus sur valeursactuelles.com
    Sur le même thème lire aussi:

  • Grigny (91) : grand remplacement affiché, eau déversée dans les rues, kebab pour les enfants…

    De nombreux politiciens et journalistes osent nier le phénomène de remplacement de la population (de souche) à l’œuvre en France.
    La ville de Grigny n’a pas peur d’en montrer la réalité, accomplie en quelques décennies.

    Précisons que Grigny (dont la principale source de financement est la dotation de l’Etat) est particulièrement endettée (plus de 30 millions d’euros).

    Capture d’écran Facebook

    Alors que les Français sont incités régulièrement à économiser l’eau, Grigny déverse dans les rues l’équivalent de piscines olympiques :

    Capture d’écran Facebook

    Repas à thème « Kebab ».
    Il est vrai qu’une choucroute ou cassoulet auraient posée problème.

    Capture d’écran Facebook

    http://www.contre-info.com/grigny-91-grand-remplacement-affiche-eau-deversee-dans-les-rues-kebab-pour-les-enfants#more-59042

  • Nouvel épisode du réchauffement : « Greta Thunberg fait du bateau »

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    Les conseillers de Greta Thunberg ont tiré les leçons de la photo qui la montrait se restaurant de nourritures industrielles dans un train. Plus jamais ça ! La marionnette Greta se doit d’être exemplaire. Zéro carbone, zéro fumée, pas d’émanation, pas de boogie-woogie avant la prière du soir : un modèle. Conformément à ce nouveau régime, celle qui d’un regard parvient à refroidir 25 députés de centre droit se rendra au sommet de New York sur le climat en bateau. Un voilier d’une valeur de 3 millions d’euros bardé de panneaux solaires et de turbines sous-marines qui fourniront l’électricité à bord. En complément de cette source d’énergie, le vent dans les tresses de Greta devrait permettre de les faire tourner et, ainsi, d’obtenir un effet « éolienne » capable d’alimenter quelques appareils électroménagers.

    L’embarcation partira mi-août et devrait, en principe, atteindre les côtes américaines à temps pour que sa passagère assiste à la réunion du 23 septembre. Aucune précision n’a été fournie concernant le moyen de transport utilisé pour se rendre du quai vers le lieu de la « réchauffe-party ». Vélo à voile, à dos d’homme, en Chronopost ? Déplacer la gamine renfrognée est un casse-tête.

    Le trajet retour vers les terres européennes n’a fait l’objet, lui non plus, d’aucune communication. Un billet pour une croisière Costa « Age tendre » avec Michèle Torr et Frédéric François pourrait être proposé à Greta, que l’on sait très friande de chansons garanties sans émanation de dioxyde de carbone.

    L’avion lui étant désormais interdit, l’ado grincheuse s’était déjà illustrée avec un périple de 32 heures en train pour aller de Stockholm à Davos, où elle était attendue pour un Forum économique mondial auquel elle n’allait rien comprendre. Non contents d’avoir réduit la jeune fille à l’état de poupée terrifiante annonciatrice des pires fins du monde, parents et entourage la condamnent dorénavant à des voyages épuisants. « J’ai décidé d’essayer de prendre une année sabbatique et de voyager dans différents endroits, par exemple du nord au sud de l’Amérique où j’ai reçu plusieurs invitations pour assister à des sommets. » L’absentéisme scolaire de longue durée rebaptisé « année sabbatique » prend des allures technocratiques qui pourraient voir les cancres se déclarer adeptes d’un « sabbatisme » forcené. L’élève au fond de la classe près du radiateur a, plus que tout autre, des raisons de lutter contre le réchauffement.

    De sommet en sommet, celle qui d’un regard parvient à refroidir 15 députés de centre gauche passera donc le plus clair de son temps dans les trains et les bateaux… Ballottée sur les flots, endormie sur des sièges de TGV, puis à califourchon sur divers équidés et, pour finir, à pied. Nous ne la verrons plus souvent. À ceux qui demanderont de ses nouvelles, ses conseillers diront qu’elle se trouve quelque part entre Nice et San Francisco… Perdue… Dans cette comédie grotesque, elle-même aura beaucoup de mal à se retrouver…

    Jany Leroy

    https://www.bvoltaire.fr/nouvel-episode-du-rechauffement-greta-thunberg-fait-du-bateau/

  • De Greta au CETA : l'incohérence des parlementaires pro-gouvernementaux.

    La venue de la jeune Suédoise Greta Thunberg a été l’occasion de débats parfois virulents sur l’opportunité de son invitation à l’Assemblée nationale, mais surtout le révélateur de la contradiction, dans le meilleur des cas, ou de l’hypocrisie, si l’on est moins optimiste, de ce que l’on peut nommer le « pays légal », parlementaire et gouvernemental, qui, aujourd’hui, tient fermement les rênes de la République malgré les contestations, nombreuses et variées, parfois antagonistes, du « pays réel ». En effet, il peut paraître surprenant de voir que nombre de députés qui s’esbaudissaient devant le message écologiste de l’adolescente et ses avertissements mâtinés de propos apocalyptiques, ont néanmoins voté sans coup férir pour le CETA, traité de libre-échange entre le Canada et l’Union européenne qui apparaît comme une bien mauvaise nouvelle pour la préservation de l’environnement et la qualité de vie des animaux. Le quotidien Libération, en son édition du samedi 27-dimanche 28 juillet, donne quelques indications intéressantes sur cet épisode : « La militante a été invitée par 162 députés d’un collectif transpartisan sur le climat baptisé « Accélérons ». Parmi eux : une majorité de députés LREM, 20 Modem, 7 LR, 12 socialistes (…). L’objectif de ce collectif ? « Accélérer la transition écologique et solidaire. » » L’intention paraît louable et elle l’est, même si la définition de la « transition écologique » mériterait d’être précisée, tout comme ce que les membres de ce collectif entendent par écologie et politique écologique, ce qui n’est pas si évident ni consensuel que cela.

    Ce qui est certain, c’est qu’il y a loin de la coupe aux lèvres, et l’empressement écologiste du matin est souvent démenti par le vote de l’après-midi, comme le souligne Libération : « Les députés ayant invité la militante ont-ils voté pour le Ceta ? Oui, pour beaucoup. Sur les 162, 79 ont voté pour le Ceta, soit 48 %. Parmi eux, une très large majorité (64) de LREM. Toujours parmi les membres de ce groupe, à l’origine de l’invitation de Thunberg : 37 ont voté contre, 35 se sont abstenus, et 11 n’étaient tout simplement pas présents lors du vote. » Ainsi, ce collectif peut être considéré comme l’exemple type de leurre utilisé par le pays légal pour se donner bonne conscience sans risque, si ce n’est celui de se voir rappelé son indigence intellectuelle et politique, ce que peu de journaux ou médias ont fait, malheureusement. Mais il est très représentatif de la politique gouvernementale et de celle de la République depuis nombre de décennies à l’égard de l’écologie comme du pays réel : « Faîtes ce que je dis, et non ce que je fais »… Cela a aussi une autre conséquence, c’est de décrédibiliser la parole de la jeune Suédoise qui, prudente et même « sans opinion » sur la question du CETA (ce qui peut paraître surprenant, au regard des qualités de prévoyance qu’on lui prête sans beaucoup d’esprit critique), n’apparaît plus alors que comme une marionnette justificatrice des politiques gouvernementales macroniennes ou mondiales, au risque d’en oublier ce qui reste bien une réalité, celle de l’urgence écologique.

    Ainsi, que l’on ne s’étonne pas de la colère (qui tourne parfois à la révolte et à la dégradation) des agriculteurs comme de militants se revendiquant de l’écologisme, contre le pouvoir en place et ses fidèles parlementaires, et dont les permanences locales font les frais, à coups de peinture et de paille, dans le meilleur des cas ! Les députés LREM partisans du CETA payent là le prix de leur absence de cohérence visible entre leur « volonté » écologiste revendiquée et la réalité de leur engagement parlementaire sur les traités de libre-échange. Mais cela met aussi en valeur quelques questions plus profondes, sur lesquelles il ne sera pas inutile de revenir prochainement :

    1. La préservation de l’environnement est-elle vraiment compatible avec la mondialisation libérale, voire avec la mondialisation tout court ?A cet égard, d’ailleurs, nombre de personnes pensent désormais que mondialisation et libéralisme ne sont qu’une même médaille, ce qui, là aussi, mérite précision et discussion.

    2. La République française, engagée ou piégée par les traités internationaux et son appartenance à l’Union européenne, peut-elle développer et valoriser, à l’international comme en son sein, une véritable écologie politique, efficace et pérenne ? Peut-elle, dans le même sens, parler et agir assez fortement pour peser sur les institutions et décisions de l’ensemble européen (Conseil et Parlement européens, Communauté européenne, Cour de Justice européenne) alors que nombre de ses partenaires n’ont pas les mêmes préoccupations écologistes et que, trop souvent, les postulats économiques l’emportent sur les nécessités écologiques ? Sans oublier, aussi, le danger des tribunaux d’arbitrage qui n’ont que faire du souci écologique !

    3. Par ses institutions et ses structures, mais aussi son mode de fonctionnement, la République est-elle le régime le plus efficace face aux défis et enjeux climatiques et environnementaux d’aujourd’hui comme de demain, de plus en plus pesants et prégnants ? N’est-elle pas, par essence, incapable d’enraciner une « logique écologique » de long terme, le pays légal se « renouvelant » par des alternances qui ne sont guère des alternatives systémiques, mais juste une actualisation du logiciel politicien et parlementaire, dans le seul cadre préétabli de la « République démocratique » (conçue comme une idéologie dominante et légitimatrice) qui s’empêche de penser « au-delà d’elle-même » ?

    Si l’on veut mieux répondre au « souci environnemental » contemporain, il ne sera pas possible de faire l’économie de ces questions. Préparons-nous à y répondre…

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