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magouille et compagnie - Page 1084

  • De Greta au CETA : l'incohérence des parlementaires pro-gouvernementaux.

    La venue de la jeune Suédoise Greta Thunberg a été l’occasion de débats parfois virulents sur l’opportunité de son invitation à l’Assemblée nationale, mais surtout le révélateur de la contradiction, dans le meilleur des cas, ou de l’hypocrisie, si l’on est moins optimiste, de ce que l’on peut nommer le « pays légal », parlementaire et gouvernemental, qui, aujourd’hui, tient fermement les rênes de la République malgré les contestations, nombreuses et variées, parfois antagonistes, du « pays réel ». En effet, il peut paraître surprenant de voir que nombre de députés qui s’esbaudissaient devant le message écologiste de l’adolescente et ses avertissements mâtinés de propos apocalyptiques, ont néanmoins voté sans coup férir pour le CETA, traité de libre-échange entre le Canada et l’Union européenne qui apparaît comme une bien mauvaise nouvelle pour la préservation de l’environnement et la qualité de vie des animaux. Le quotidien Libération, en son édition du samedi 27-dimanche 28 juillet, donne quelques indications intéressantes sur cet épisode : « La militante a été invitée par 162 députés d’un collectif transpartisan sur le climat baptisé « Accélérons ». Parmi eux : une majorité de députés LREM, 20 Modem, 7 LR, 12 socialistes (…). L’objectif de ce collectif ? « Accélérer la transition écologique et solidaire. » » L’intention paraît louable et elle l’est, même si la définition de la « transition écologique » mériterait d’être précisée, tout comme ce que les membres de ce collectif entendent par écologie et politique écologique, ce qui n’est pas si évident ni consensuel que cela.

    Ce qui est certain, c’est qu’il y a loin de la coupe aux lèvres, et l’empressement écologiste du matin est souvent démenti par le vote de l’après-midi, comme le souligne Libération : « Les députés ayant invité la militante ont-ils voté pour le Ceta ? Oui, pour beaucoup. Sur les 162, 79 ont voté pour le Ceta, soit 48 %. Parmi eux, une très large majorité (64) de LREM. Toujours parmi les membres de ce groupe, à l’origine de l’invitation de Thunberg : 37 ont voté contre, 35 se sont abstenus, et 11 n’étaient tout simplement pas présents lors du vote. » Ainsi, ce collectif peut être considéré comme l’exemple type de leurre utilisé par le pays légal pour se donner bonne conscience sans risque, si ce n’est celui de se voir rappelé son indigence intellectuelle et politique, ce que peu de journaux ou médias ont fait, malheureusement. Mais il est très représentatif de la politique gouvernementale et de celle de la République depuis nombre de décennies à l’égard de l’écologie comme du pays réel : « Faîtes ce que je dis, et non ce que je fais »… Cela a aussi une autre conséquence, c’est de décrédibiliser la parole de la jeune Suédoise qui, prudente et même « sans opinion » sur la question du CETA (ce qui peut paraître surprenant, au regard des qualités de prévoyance qu’on lui prête sans beaucoup d’esprit critique), n’apparaît plus alors que comme une marionnette justificatrice des politiques gouvernementales macroniennes ou mondiales, au risque d’en oublier ce qui reste bien une réalité, celle de l’urgence écologique.

    Ainsi, que l’on ne s’étonne pas de la colère (qui tourne parfois à la révolte et à la dégradation) des agriculteurs comme de militants se revendiquant de l’écologisme, contre le pouvoir en place et ses fidèles parlementaires, et dont les permanences locales font les frais, à coups de peinture et de paille, dans le meilleur des cas ! Les députés LREM partisans du CETA payent là le prix de leur absence de cohérence visible entre leur « volonté » écologiste revendiquée et la réalité de leur engagement parlementaire sur les traités de libre-échange. Mais cela met aussi en valeur quelques questions plus profondes, sur lesquelles il ne sera pas inutile de revenir prochainement :

    1. La préservation de l’environnement est-elle vraiment compatible avec la mondialisation libérale, voire avec la mondialisation tout court ?A cet égard, d’ailleurs, nombre de personnes pensent désormais que mondialisation et libéralisme ne sont qu’une même médaille, ce qui, là aussi, mérite précision et discussion.

    2. La République française, engagée ou piégée par les traités internationaux et son appartenance à l’Union européenne, peut-elle développer et valoriser, à l’international comme en son sein, une véritable écologie politique, efficace et pérenne ? Peut-elle, dans le même sens, parler et agir assez fortement pour peser sur les institutions et décisions de l’ensemble européen (Conseil et Parlement européens, Communauté européenne, Cour de Justice européenne) alors que nombre de ses partenaires n’ont pas les mêmes préoccupations écologistes et que, trop souvent, les postulats économiques l’emportent sur les nécessités écologiques ? Sans oublier, aussi, le danger des tribunaux d’arbitrage qui n’ont que faire du souci écologique !

    3. Par ses institutions et ses structures, mais aussi son mode de fonctionnement, la République est-elle le régime le plus efficace face aux défis et enjeux climatiques et environnementaux d’aujourd’hui comme de demain, de plus en plus pesants et prégnants ? N’est-elle pas, par essence, incapable d’enraciner une « logique écologique » de long terme, le pays légal se « renouvelant » par des alternances qui ne sont guère des alternatives systémiques, mais juste une actualisation du logiciel politicien et parlementaire, dans le seul cadre préétabli de la « République démocratique » (conçue comme une idéologie dominante et légitimatrice) qui s’empêche de penser « au-delà d’elle-même » ?

    Si l’on veut mieux répondre au « souci environnemental » contemporain, il ne sera pas possible de faire l’économie de ces questions. Préparons-nous à y répondre…

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1570:de-greta-au-ceta-lincoherence-des-parlementaires-pro-gouvernementaux&catid=53:2019&Itemid=64

  • Michel Thooris : « Pour attaquer Christophe Castaner, on attaque la police nationale. Il faut qu’il en tire les conséquences. »

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    Michel Thooris revient sur tous les aspects de l’affaire Steve et regrette que la personnalité « hautement décriée » de Christophe Castaner desserve la police nationale, « prise en otage à des fins politiciennes ».

  • Sébastien Chenu: "Avec Emmanuel Macron, les libertés publiques reculent, le chaos est constant"

    Le porte-parole du Rassemblement national Sébastien Chenu, invité d'Apolline de Malherbe sur BFMTV et RMC ce jeudi, a considéré qu'"avec Emmanuel Macron, les libertés publiques reculent, le chaos est constant depuis deux ans". 
    "Il a mis les Français dans la rue les uns contre les autres, de par ses politiques', a-t-il déclaré.


     


    Sur le même thème lire aussi:
    ➜ Sébastien Chenu: «Emmanuel Macron doit des excuses aux Français»
    ➜ Pour Sébastien Chenu (RN), Emmanuel Macron a fait "un bras d'honneur aux gilets jaunes"

    https://www.peupledefrance.com/2019/08/sebastien-chenu-macron-libertes-publiques-reculent-chaos.html

  • L’IGPN : la machine à mentir du ministère de l’Intérieur

    L’IGPN : la machine à mentir du ministère de l’Intérieur

    L’inspection générale de la police nationale (IGPN) est le service à compétence nationale chargé du contrôle des directions et des services de la direction générale de la police nationale et de la préfecture de police. C’est ce que l’on appelle communément “la police des polices”.

    Le dernier rapport de l’IGPN, sur le décès de Steve, noyé dans la Loire suite à une manifestation à Nantes, suscite l’ire et l’ironie des réseaux sociaux. La publication du rapport de l’IGPN juste après l’authentification du corps montre une volonté politique de se dédouaner immédiatement de toute faute. Christophe Castaner est sur la sellette.

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  • Tuerie d'Ollioules, rixe mortelle en Moselle, rixes permanentes entre "migrants" à Marseille, à Paris...

    ...Non, s'il y a bien un (mauvais) film "Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil..." on ne peut pas transposer son titre bêta à notre réalité, où l'insupportable devient la norme, le quotidien : non, "tous les envahisseurs, même rebaptisés "migrants", ils sont pas beau, tous les envahisseurs ils sont pas gentils".

    Nous essaierons de faire un point sur la situation très bientôt, en nous appuyant, pour ne pas être soupçonnés, sur des faits et propos tirés de La Provence, un quotidien notoirement "politiquement correct", tout à fait "antiraciste" (!) et pro-migrants et tout et tout...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/01/tuerie-d-ollioules-rixe-mortelle-en-moselle-rixes-permanente-6167738.html

  • Réforme des retraites : le député (et ex-voyante mise en examen) Corinne Vignon incapable de répondre

    L’interro surprise se révèle totalement ratée pour ce député de la majorité incapable d’expliquer la réforme que son parti fait passer au parlement. Elle était sûrement plus loquace pour raconter des salades à ses clients.

    Le niveau politique du Système est chaque année plus lamentable, mais il faut reconnaître que la vague Macron a fait fort.


    D’ailleurs, puisqu’on parle d’elle, rappelons qu’en 2017, l’enquête sur les activités de voyance de Vignon (avant qu’elle ne devienne député) avait été classée sans suite très rapidement par le parquet (on comprend tous ce que cela signifie…). On peut dire qu’en tout cas elle avait fait ce qu’il fallait pour sa retraite !

    L’image contient peut-être : 1 personne, sourit, texte

    « Le dossier Vignon arrive sur le bureau du Procureur par les services fiscaux. En amont de l’enquête judiciaire, la direction des Finances Publiques de la Haute-Garonne a déjà « scanné » les revenus de la future députée. Le « fisc » s’est livré à une expertise. Il a estimé que les soupçons étaient suffisamment lourds pour justifier la saisine de la justice. Le classement sans suite est, d’ailleurs, un camouflet pour les « impôts ». Leur analyse n’est donc pas suivie par le parquet.

    Mais, surtout, cela signifie que les enquêteurs du SRPJ ne partaient pas complètement de zéro. Un certain balisage pouvait accélérer le mouvement et l’enquête. Néanmoins, la période n’était pas vraiment propice. L’ouverture de l’enquête date du mois de juin. En juillet et surtout au mois d’août difficile de mener des auditions. Les témoins éventuels sont à la plage ou à l’autre bout de la France.

    Mais, selon nos informations, mercredi 6 septembre, les enquêteurs cherchaient toujours à contacter des témoins. 48 heures avant le classement sans suite, le SRPJ continuait donc ses investigations. Cela laisse peu de temps pour faire la synthèse des procès-verbaux, les transmettre au Parquet, que ce dernier prenne connaissance du rapport et se prononce.

    Les magistrats sont les premiers à déplorer la lenteur de la Justice. Dans l’affaire Vignon, cela n’a pas traîné. » (source France 3)

    http://www.contre-info.com/reforme-des-retraites-le-depute-et-ex-voyante-mise-en-examen-corinne-vignon-incapable-de-repondre#more-58998

  • Bal tragique à Nantes le 21 juin, un mort : Édouard Philippe

    #QuiatuéSteve ? Steve Caniço n’est pas le seul à s’être noyé lors de la nuit tragique du 21 juin à Nantes.
    Édouard Philippe, Premier ministre, vient de le rejoindre dans la liste des victimes.
    Le corps sans vie de Steve Caniço a été retrouvé lundi 29 juillet – 38 jours après sa disparition – dans la Loire, pratiquement à l’endroit où il était tombé. (C’est dire le zèle avec lequel son corps fut recherché.)
    Le corps de Steve Caniço à peine récupéré, le Premier ministre s’est fendu d’une analyse en s’appuyant sur le résultat d’une enquête de l’IGPN (la police des polices).
    « Pas de lien entre la disparition de Steve et l’intervention de la police. »
    Un cadavre politique dérisoire, puant, méprisé de tous
    Problème : le rapport de l’IGPN sur lequel s’appuie Édouard Philippe est daté du 16 juillet 2019, c’est-à-dire à un moment où tout le monde, autorités comprises, s’interrogeait encore – ou faisait mine – sur ce qu’il était advenu de Steve Caniço : #OùestSteve ?
    Mais déjà, l’IGPN avait tiré ses conclusions.
    Déjà, le Premier ministre Philippe mettait au chaud ces conclusions opportunes (comme toutes les conclusions de l’IGPN sur ce genre d’enquête) pour ne les lire – ô hasard, ô coïncidence – qu’au lendemain de la découverte du corps du supplicié.
    C’est dire le sérieux de cette enquête.
    C’est dire le sérieux de ces conclusions (contredites par les multiples vidéos et photos tirées de la tragédie).
    C’est dire le sérieux d’Édouard Philippe, Premier ministre à figure plus mortifère, tu meurs.
    La tragédie du 21 juin a donc fait deux victimes : Steve Caniço et Édouard Philippe.
    Mais le second est juste un peu mort plus que le premier.
    Steve Caniço survivra longtemps encore dans les mémoires.
    Édouard Philippe n’est plus qu’un dérisoire cadavre politique, puant, ballonné par sa propre suffisance, son insondable bêtise, méprisé de tous.
    http://by-jipp.blogspot.com/2019/07/bal-tragique-nantes-le-21-juin-un-mort.html#more

  • Dernier rebondissement dans l’affaire Benalla : en attendant le prochain ?

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    Un peu plus d’un an après les faits, le feuilleton Benalla n’en finit plus de rebondir. Ainsi, le 1er mai 2018, Alexandre Benalla, naguère plus ou moins chargé de la sécurité du candidat Emmanuel Macron en pleine campagne présidentielle, croit bon d’intervenir contre un couple de trublions s’en prenant manifestement aux forces de l’ordre en présence, à Paris, place de la Contrescarpe.

    Pour résumer, il a torgnolé deux gauchistes ; ce qui n’est pas tout à fait une affaire d’État, mais qui ne va pas tarder à le devenir.

    Il y a d’abord le téléphone portable « personnel » du prévenu, « personnel » parce que faisant office de ligne directe avec l’Élysée ; téléphone opportunément « perdu », puis incidemment « retrouvé », à en croire les récentes révélations du Monde. Mais téléphone grâce auquel on sait, désormais, que le Président et son proche entourage, Alexis Kohler, secrétaire général du Château, étaient parfaitement au courant des frasques de leur jeune et énergique homme à tout faire.

    La preuve en est ce message pour le moins explicite, retrouvé en même temps que le téléphone en question, signé de Jean-Luc Minet, commandant militaire en second de la présidence de la République – pas exactement le premier venu – et adressé au même Alexandre Benalla, au moment de cette algarade des plus musclées : « Tous des cons Alexandre sois zen et fort c’est le patron qui décide et à 30.000 kilomètres il ne décide rien en te concernant. » Au même instant, Emmanuel Macron est en voyage officiel en Australie et Alexandre Benalla aux anges, on imagine.

    D’autres échanges seraient encore à même de mettre à mal l’une des principales thématiques de campagne du jeune Président voulant qu’avec lui, nous fussions en passe d’en finir avec l’ordre ancien pour accoster sur les rives du nouveau monde. Et c’est là qu’à l’occasion d’autres messages téléphoniques – se voulant discrets, mais finalement pas tant que ça –, on voit que les méthodes du passé persistent à avoir encore de l’avenir.

    Ainsi, le mode de rémunération du service d’ordre d’En Marche ! Un peu déclaré, mais souvent réglé en espèces. Le Front national du siècle dernier était finalement plus cash, si l’on ose dire en la circonstance : à la sortie de chaque meeting lepéniste, le service d’ordre, payé lui aussi un peu à l’ancienne, tendait le drapeau dans lequel le chaland lâchait quelques pièces ; voire quelques billets. « Les quêtes les plus juteuses sont celles qui font le moins de bruit dans le panier », aimait déjà à rappeler l’avocat Jean-Louis Tixier-Vignancour, lors de l’élection présidentielle de 1965…

    Hormis les cris d’orfraie de la « bonne presse », tel que prétendu naguère chez les curés, dont Le Monde semble aujourd’hui incarner les avant-postes, rappelant ainsi de plus en plus les indignations de chaisière de La Croix quand Arletty montrait ses jolis seins dans Le jour se lève(réalisé par Marcel Carné en 1939), cette affaire pourrait paraître des plus banales, à l’exception de ceci :

    Tout d’abord, cette prétention macronienne de changer à la fois d’air et d’ère, alors que tout cela n’était que ritournelle jouée sur pipeau désaccordé. La preuve en est que ses puissants sponsors politico-économiques n’étaient que chevaux de retour : François Bayrou, le perdreau de l’année ? Et le MEDEF, quelque peu descendant de cette lignée vaguement consanguine, initiée par les acquéreurs de biens nationaux et le tristement célèbre Comité des forges, était-il finalement le mieux qualifié pour transformer notre vieux pays capétien en start-up nation ?

    D’ailleurs, et histoire de clore ce feuilleton, qu’il nous soit permis de rappeler qu’à la grande époque des officines parallèles, un Charles Pasqua faisait appel à des sbires autrement plus sérieux. Pour aller court et parler franc : Alexandre Benalla n’est pas Pierre Debizet. Comme quoi le « nouveau » monde a encore quelques leçons à recevoir de « l’ancien ».

    Nicolas Gauthier

    https://www.bvoltaire.fr/dernier-rebondissement-dans-laffaire-benalla-en-attendant-le-prochain/

  • Alors qu'elle est entourée d'une indifférence générale, l'affaire Marie Laguerre nous concerne tous...

    L'agresseur de Marie Laguerre (les faits remontent au 24 juillet 2018) a été condamné à 12 mois de prison, dont 6 mois ferme, avec une mise à l'épreuve de 3 ans, et aussi à verser 2 000 euros de préjudice moral à la victime.

    Mais le problème n'est plus là : le JT de midi de France 2 ce mercredi 31 juillet, nous apprend que, depuis, Marie Laguerre vit un véritable enfer, parce qu'elle est l'objet de harcèlements incessants.
    Bravo à Jean-Baptiste Marteau d'avoir envoyé ce sujet, le révélant ainsi au grand public et brisant l'omerta qui, scandaleusement, l'entoure : le racisme inversé que nous subissons aujourd'hui, et qui est devenu la norme, fait que, lorsqu'un immigré agresse une Française, même s'il est incarcéré, la violence contre la personne agressée ne cesse pas, et l'on ne dit rien, l'on ne fait rien.
    Dans le cas contraire - que nous condamnerions tout autant - on verrait, n'en doutons pas, se déchaîner tout un tas d'associations anti-racistes, grassement subventionnées par nos impôts (qui seraient mieux employés pour nos pompiers ou nos infirmiers/urgentistes et autres soignants...). Et, bien sûr, l'inénarrable monsieur Toubon, Défenseur des Droitsmonterait au créneau pour appeler à la lutte contre la peste brune et le retour des heures sombres de notre histoire...
    Au moins en parler, au moins le dire, le dénoncer, c'est la première des façons d'aider Marie Laguerre : qui a dit :"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire" ?
     "Défenseur des droits" : voilà un poste à supprimer d'urgence, dans le cadre des économies à réaliser...
  • Mort de Steve : l’affaire de trop pour Castaner ? Journal du mercredi 31 juillet 2019

    1) Mort de Steve : l’affaire de trop pour Castaner ?

    Deux jours après la découverte du corps de Steve Maia Caniço, les responsabilités restent à déterminer. Alors que le premier ministre, Edouard Philippe, a promis de faire toute la lumière sur cette affaire, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, apparaît une nouvelle fois fragilisé.

    2) Ecologie : l’illusion En Marche au service des impôts

    L’écologie pour justifier l’oppression fiscale. C’est la méthode appliquée par La République En Marche ! A grand renfort de communication, le gouvernement tente encore de se faire passer pour écologiste mais peine de plus en plus à faire illusion.

    3) Cambriolage: le risque des vacances

    L’été, période préférée des cambrioleurs. Alors que des millions de Français désertent leur habitation pour partir en vacances, les cambriolages se multiplient. Face à ce fléau, les réponses pénales demeurent bien dérisoires.

    4) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/mort-de-steve-laffaire-de-trop-pour-castaner-journal-du-mercredi-31-juillet-2019