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magouille et compagnie - Page 1079

  • La « procédure de destitution » de Donald Trump : une comédie démocrate

    La « procédure de destitution » de Donald Trump : une comédie démocrate

    Comme l’écrit Yves Daoudal :

    Tout le monde sait que la procédure n’a aucune chance d’aboutir et qu’il s’agit d’une pure gesticulation politicienne. Les démocrates tablaient sans doute sur le fait que cette procédure allait entacher la popularité de Donald Trump. Eh bien, sur ce plan-là aussi, c’est déjà raté.

    Le 23 octobre, avant les auditions publiques dans le cadre de cette affaire, la popularité de Trump était de 38%. Le 10 décembre, alors qu’on annonçait le vote des députés, elle était de 41%. Hier, alors que le vote aura lieu demain, elle était de 43%. Et c’est la cote record de Donald Trump : c’est la première fois qu’il atteint ce score.

    Les démocrates se disaient aussi qu’au moins ils sèmeraient le trouble dans le rang des républicains, et que nombreux seraient ceux qui finiraient par lâcher le président.

    Or chez les républicains ils sont… 92% à lui faire confiance. Là aussi, c’est complètement raté.

    Dans Présent, Christian Daisug écrit :

    […] Deux articles : abus de pouvoir et obstruction au Congrès. Deux pauvres articles qui devraient être, en bonne logique, chargés de dynamite alors qu’ils paraissent maladifs, fiévreux, pâles tant ils sont écrasés par la fraude, le mensonge et l’imposture. C’est la première remarque « à chaud ». La seconde la suit de près, étant de même nature : les démocrates ont abandonné d’autres chefs d’accusation qu’ils avaient pourtant longtemps caressés avec délectation. La corruption, la trahison, l’obstruction à la justice et les abus dans le financement de campagnes électorales ne figurent pas, en effet, dans l’arsenal des agresseurs. Bizarre ? Non. L’aveuglement a des limites.

    L’abus de pouvoir est donc censé constituer l’un des deux « gros » morceaux des tirs de barrage démocrates. On accuse Trump d’avoir sollicité l’intervention des autorités de l’Ukraine afin d’interférer dans les élections présidentielles de 2020. On désigne Trump comme celui qui a exercé des pressions sur son homologue Volodymyr Zelensky pour inculper Joseph Biden, ex-vice-président – impliqué dans une sale histoire de corruption locale – et ainsi écarter un rival politique dans l’intense compétition actuelle. Rien de vrai dans ces allégations. Tous les témoins ont confirmé l’absence de preuves établissant le troc d’une aide militaire américaine de 400 millions de dollars contre l’ouverture d’un dossier judiciaire Biden par un juge d’instruction ukrainien. Le président Zelensky lui-même l’a confirmé. Et le principal témoin des démocrates, l’ambassadeur Gordon Sondland, a fini par admettre que l’existence de ce troc n’a pas dépassé la consistance d’une rumeur. Comble de malheur pour Adam Schiff, le grand inquisiteur de cette affaire, l’abus de pouvoir n’apparaît pas dans la constitution parmi les raisons possibles d’une destitution. Le faux détail s’est vu confirmé par les plus grands juristes du pays.

    L’obstruction au Congrès complète – mal – la panoplie des griefs contre Trump. On lui reproche d’avoir interdit d’une façon « inhabituelle, systématique et discriminatoire » l’accès à la barre à certains témoins supposés « gênants ou dangereux » pour l’accusé. Là encore, rien de vrai. […]

    C’est maintenant l’heure des débats. Schiff va tenter de faire avaler à ses 435 collègues l’étrange, l’insipide mixture qu’il leur a mitonnée. Alors que tous – moins deux – furent d’accord le mois dernier pour entamer une procédure de destitution contre Trump, tous ne le sont pas aujourd’hui pour franchir l’ultime étape assignée à la Chambre : le vote. Les débats, les discours et même les envolées oratoires ne comportent que peu de risques. Mais un vote s’avère indélébile. Pour cette raison, des lézardes, des défections apparaissent dans le bloc, en apparence compact, des assaillants. Il y a les élus qui remettent en jeu leur mandat dans des circonscriptions remportées par Trump en 2016. Ceux-là ont carrément peur. Il y a les écœurés par tout ce déballage, ce chaos, cette partialité, ces mensonges, et qui voudraient en finir. Ceux-là ont des états d’âme. Ces calculs et ces émotions peuvent être gérés par l’arithmétique et traduits en chiffres. Pour l’instant, ils sont au moins une douzaine à se demander si le camp auquel ils appartiennent est le bon. Certains les voient déjà en transfuges. Eux hésitent encore. Sauter le pas dans un moment historique ? Pourquoi pas ? D’autant que la direction du parti a renoncé à toute pression sur ses ouailles. Champ libre. Un risque pour les démocrates. Mais un risque inévitable. Chaque défection sera une flèche contre Schiff et ses complices. Chaque voix contre la destitution résonnera jusqu’à l’élection de novembre prochain. La Chambre devrait voter la semaine prochaine.

    https://www.lesalonbeige.fr/la-procedure-de-destitution-de-donald-trump-une-comedie-democrate/

  • Communiqué de Boulevard Voltaire : notre journaliste prise à partie et violentée par des antifas !

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    Ce mardi 17 décembre, place de la Nation à Paris, notre journaliste envoyée sur place pour réaliser un reportage sur la mobilisation contre la réforme des retraites, a été prise à partie, violentée et expulsée. Aux cris de « dehors les fachos », elle a essuyé invectives, insultes et coups avant de parvenir à s’extraire. Ce n’est pas la première fois. Le 10 novembre dernier, notre reporter avait subi le même traitement à l’occasion de la « marche contre l’islamophobie ».

    La rédaction de Boulevard Voltaire apporte tout son soutien et sa solidarité à sa consœur et ne peut que s’alarmer devant la violence systématique de ces autoproclamés « antifas » qui semblent jouir d’un total sentiment d’impunité.

    Boulevard Voltaire est aujourd’hui ciblé sur les réseaux sociaux par des activistes qui harcèlent ses annonceurs. Et maintenant dans la rue par d’autres qui n’hésitent plus à s’en prendre physiquement à nos équipes ! Ces attaques, loin de nous affaiblir ou de nous intimider ne font, au contraire, que renforcer notre détermination et notre volonté de vous proposer une information fiable, engagée et lucide. Encore une fois, à travers les attaques répétées contre Boulevard Voltaire, c’est bel et bien la liberté d’informer et la liberté d’expression qui sont visées.

    « Notre liberté dépend de la liberté de la presse et elle ne saurait être limitée sans être perdue ».

    https://www.bvoltaire.fr/communique-de-boulevard-voltaire-notre-journaliste-prise-a-partie-et-violentee-par-des-antifas/

  • Retraites : les syndicats rouges bloquent. Le gouvernement papote.

    Après dix huit mois de consultations, de négociations et de concertations aussi bavardes que stériles, aussi oiseuses que sans effets, le gouverneur ouvre ce mercredi une nouvelle séquence de discussions avec les partenaires sociaux pour tenter de sauver sa réforme bancale des retraites et de débloquer une situation qui, chaque jour, devient plus pénalisante pour les Français, plus contraire à la cohésion nationale et sociale, et plus nuisible à l'économie du Pays.

    Face aux grèves, le pouvoir macronien a, dans un premier temps, joué le pourrissement en espérant que l'approche de Noël et des vacances de fin d'année lui offrirait une possibilité de sortie de crise. Il compte aujourd'hui sur les syndicats réformistes pour l'aider à sortir de l'impasse dans lequel il s'est lui même enfermé, quitte à abandonner toute référence à son plan, hasardeux et flou, d'équilibre du système par répartition.

    Deux stratégies perdantes. Dans le premier cas, malgré l'exaspération des Français empêchés de se déplacer, l'opinion publique reste hostile à la méthode comme au fond de cette réforme. Dans le second, ni la CFDT, ni l'UNSA ne sont en mesure de faire fléchir les grévistes ni de lever les blocages.

    Il est de la nature des pouvoirs faibles comme l'est cette république progressiste en marche arrière, de s'engager dans des processus politiques ou sociaux aventureux dont ils n'ont ni la maîtrise ni les moyens de les mener à leurs termes.

    Seul un pouvoir fort — ce ne pourrait bien entendu être que celui d'un régime de droite nationale — saurait imposer ses décisions, mener à bien ses entreprises de relèvement politique, économique et social de la Nation, et mettre au pas ses oppositions.

    Pour l'heure, l'actuel gouvernement n'a pas d'autre choix que de retirer une réforme mal ficelée, illisible et injuste.

    Et de consulter par référendum les Français sur l'avenir de leurs retraites.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Dans la revue l'Incorrect : François Bel-Ker : « La violence à l’égard de l’Action Française est désormais hebdomadaire »

    Après les incidents ayant eu lieu au Mans le week-end dernier et face au traitement médiatique des évènements par les médias dominants cherchant à accabler l’Action française, L’Incorrect a souhaité donner la possibilité à François Bel-Ker, Secrétaire général du mouvement, de s’exprimer sur l’affaire.

    Pouvez-vous nous donner votre version des évènements qui se sont déroulés au Mans ce week-end ?

    Samedi une commémoration en hommage aux victimes des massacres du Mans du 12 et 13 décembre 1793 était organisée au Mans. 15 000 Vendéens et Chouans furent exécutés par les révolutionnaires. Cette manifestation est organisée régulièrement par le collectif « La marche du souvenir vendéen » au sein de laquelle les militants de l’Action Française sont venus particulièrement en nombre cette année. Il y avait 150 personnes lors de cette manifestation rassemblant principalement des jeunes et des familles et les militants de l’AF étaient près de 80. Nous avons rejoint cette manifestation en notre nom propre, avec notre chef de section locale qui s’y est exprimé, de façon totalement reconnue par « la marche du souvenir vendéen » et en appelant tous les Manceaux qui le souhaitaient à rejoindre l’évènement.

    Il s’agissait donc d’une commémoration pacifique ?

    Evidemment, puisqu’il s’agit de faire mémoire ! Mais il se trouve que depuis quelques mois devant la présence importante des militants et sympathisants de l’Action Française dans les facultés ou dans les manifestations de Gilets Jaunes, un front se dresse contre nous de la part d’un collectif auto-proclamé et mal nommé « antifasciste ». Ce front était composé pour l’occasion de la CNT (Anarcho-syndicaliste), de la FSU, de la Ligue des Droits de l’Homme, du NPA, de l’UNEF. Ce collectif a appelé samedi à une contre-manifestation contre l’Action Française. Ouest-France qui a relayé cette information parle d’une centaine de manifestants d’extrême-gauche refusant que les militants d’AF « s’approprient l’héritage des chouans » (sic). C’était une contre-manifestation, à laquelle de nombreux appels à participer avaient été lancés de longue date. Je tiens à préciser que notre manifestation avait été déclarée en préfecture et autorisée par la police.

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  • Attaques antifas : Les hyènes dans la crèche, par Etienne Defay

    La bêtise et la violence de l’extrême gauche n’ont décidément plus de limites. Ce dimanche, une meute de décérébrés a attaqué la crèche vivante des enfants à Toulouse. Ce sont nos confrères de La Dépêche et d’Info Toulouse qui rapportent l’événement. En marge des manifestations contre la réforme des retraites ou des Gilets jaunes, ou des deux ensemble après tout, la place Saint-Georges accueillait comme tous les ans un spectacle de Noël joué par des enfants et des associations locales. Mais c’était compter sans la violence et la bêtise d’une soixantaine d’individus qui ont déboulé sur la place aux cris de « Nous on est anticapitalistes » ou encore « Stop aux fachos ».

    Certains ont même fait irruption sur scène devant les yeux des petits dont certains se sont mis à pleurer, abasourdis par cette violence inexplicable. Heureusement la scène, si elle avait de quoi scandaliser toute personne douée de raison, n’a pas fait de blessés.

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  • Le gouvernement Macron bat le record de démissions

    Le gouvernement Macron bat le record de démissions

    Emmanuel Macron est habitué à battre des records. Avec la démission du haut-commissaire aux Retraites Jean-Paul Delevoye, le président de la République constate le 16e départ d’un membre de son gouvernement en à peine plus de deux ans et demi de mandat. Avant ce quinquennat, aucun chef de l’État n’avait été soumis à une telle valse de ministres ou de secrétaires d’État.

    16 départs en 30 mois, depuis juin 2017 :

    • Richard Ferrand
    • Sylvie Goulard
    • François Bayrou
    • Marielle de Sarnez
    • Nicolas Hulot
    • Laura Flessel
    • Gérard Collomb
    • Françoise Nyssen
    • Stéphane Travert
    • Jacques Mézard
    • Delphine Gény-Stephann
    • Nathalie Loiseau
    • Benjamin Griveaux
    • Mounir Mahjoubi
    • François de Rugy
    • Jean-Paul Delevoye (à qui il ne manque plus que le mandat d’arrêt et le mandat de dépôt…)

    Au suivant !

    https://www.lesalonbeige.fr/le-gouvernement-macron-bat-le-record-de-demissions/

  • Rumeur et fureur du peuple…

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    Ce pouvoir devrait tendre l’oreille.

    Certes, il joue son rôle consciencieusement. Le président de la République déclare que c’est au Premier ministre de s’occuper des retraites et celui-ci se donne du mal pour convaincre en cultivant un mélange de démagogie souriante et parfois de vraie sincérité. Des ministres viennent lui prêter main-forte et on peut avoir l’impression d’un État qui avance déterminé et qui sait ce qu’il veut. Édouard Philippe l’a dit : il n’a pas peur. Ce qui insinue le contraire.

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  • L’unité syndicale qui cache les divisions – Journal du mardi 17 décembre 2019

     

    L’unité syndicale qui cache les divisions

    Ce mardi, à l’occasion de la 3ème mobilisation nationale contre la réforme des retraites, toutes les formations syndicales ont battu le pavé.
    Une apparente unité qui cache en réalité de nombreuses divisions sur lesquelles le gouvernement espère tirer son épingle.

    Une manifestation pour maintenir la pression

    Les syndicats voient le verre à moitié plein. Plusieurs centaines de milliers de personnes ont défilé ce mardi. Une manifestation qui a rassemblé plus de contestataires que la semaine dernière mais moins que le 5 décembre dernier. Les centrales mettent donc la pression sur le gouvernement à la veille de nouvelles négociations à Matignon.

    Delevoye : l’épine dans le pied à remplacer

    Au lendemain de la démission du haut commissaire aux retraites, Jean-Paul Delevoye, les remplaçants ne se bousculent pas au portillon. Retour sur une patate chaude longtemps détenue par une caricature d’apparatchik politique qui porte à 12 le nombre de ministres déchus de la macronie.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/lunite-syndicale-qui-cache-les-divisions-journal-du-mardi-17-decembre-2019

  • L'islamophobie, arme des islamistes

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    Dans un tonitruant appel, une certaine gauche se mobilise - parfois à reculons - contre l’islamophobie. L’occasion de revenir sur cette arme de destruction massive du débat public, puissant vecteur de l’islamisation en cours. revue de détail idéologique.

    Ce 10 novembre se tient un rassemblement pour « dire STOP à l'islamophobie ». La pétition afférente, publiée dans Libération, a été lancée entre autres par le CCIF (Comité contre l'islamophobie en France, proche des Frères musulmans), Madjid Messaoudène, du Front de Gauche, le NPA et l'UNEF.

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  • Éric Zemmour et les descendants d’esclaves, ou quand le silence parle

    A n’en pas douter, la bonne presse sentencieuse de gauche ne fait pas la grève! Selon les analyses faites par l’Obs des silences de Cnews, c’est une « évidence irréfragable, une incontestable vérité » : Zemmour est raciste.

    Une nouvelle manipulation d’un journal progressiste apparaît au grand jour. Cela pourrait être seulement grotesque. Mais cela révèle surtout l’état d’une certaine presse qui n’est plus qu’agent de propagande ou procureur médiatique. Ce qui suit devrait pouvoir servir d’exemple parfait auprès de futurs étudiants en journalisme. Ou de contre-exemple. Selon qu’on aura décidé de former des policiers de la pensée ou de véritables et honnêtes journalistes.

    L’article incriminé est paru dans le TéléObs du 13 décembre 2019 :

    « C’est officiel, Eric Zemmour “n’aime pas les descendants d’esclaves” », est le titre alléchant dudit article, signé Fabrice Pliskin. Un peu plus loin : « On s’en doutait un peu, mais c’est maintenant officiel : Zemmour est raciste. »

    Plume acide et torve

    Comme l’a remarqué Eugénie Bastié, et comme on peut le constater en lisant attentivement cette courte et caractéristique charge anti-Zemmour, ce n’est pas Zemmour qui parle des descendants d’esclaves, mais Christine Kelly, journaliste de CNews, qui pense qu’elle fait partie des gens que n’aime pas Éric Zemmour parce que « femme, journaliste, protestante, investie dans les familles monoparentales, descendante d’esclaves et représentante du symbole de la colonisation française ».

    Ce qui devient immédiatement sous la plume acide et torve de notre journaliste : « Vous avez bien lu. Éric Zemmour « n’aime pas les descendants d’esclaves. » Que cette affirmation soit ici celle d’une journaliste de Cnews qui livre son « impression » sur ce qu’elle croit savoir de Zemmour, et non pas une phrase d’Éric Zemmour (ou une vérité avérée sur les sentiments de Zemmour à l’égard des descendants d’esclaves), n’émeut pas un seul instant Fabrice Pliskin qui a de la plus élémentaire déontologie journalistique une notion, semble-t-il, aussi floue qu’est sèche et définitive la conclusion qu’il impose : Eric Zemmour n’aime pas les descendants d’esclaves. Point. Puisqu’on vous dit que « c’est officiel ! »

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