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magouille et compagnie - Page 1082

  • Un garde-côte lybien: « J’ai vu de nombreux contacts entre les ONG et les contrebandiers »

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    Un commandant de la Garde côtière libyenne a réaffirmé ce que beaucoup de voix conservatrices ont dit depuis des années – à savoir que les ONG travaillent main dans la main avec les passeurs pour le trafic des migrants en Europe.

    Selon un rapport de Il Giornale, le marin, qui est le commandant de l’ un des trois bateaux de patrouille qui ont été remis à la Libye par le gouvernement italien, affirme qu’il a été personnellement témoin et détient la preuve directe que les trafiquants d’ êtres humains sont en contact avec les ONG utilisant les plateformes des médias sociaux.

    Tout en parlant avec Il Giornale, Mustafa dit: « J’ai personnellement vu beaucoup de contacts sur Facebook ou Twitter entre les ONG et les contrebandiers. »

    Le commandant Mustafa a également raconté ses interactions avec les ONG. Il a poursuivi en disant: « Je parle avec les ONG, je leur demande de ne pas approcher pour éviter de mettre en danger la vie des migrants. Mais ils n’écoutent pas. »

    « Ils ne sont pas à l’écoute, ils veulent juste prendre les migrants. Et cela crée une situation dangereuse » , a ajouté le commandant.

    Les procureurs italiens ont affirmé depuis des années que ces ONG ont travaillé main dans la main avec les trafiquants d’êtres humains pour s’assurer que les migrants montent à bord de leurs navires afin de les amener en Italie. jusqu’à ce que Salvini ferme les ports.

    En 2017, le procureur italien Carmelo Zuccaro a allégué que des appels téléphoniques avaient été passés de la Libye aux navires des ONG dans le but de faire de la recherche (SAR) pour coordonner le sauvetage des migrants.

    Les photos, qui ont été publiées par le quotidien allemand Welt, montrent les passeurs escortant un groupe de migrants, tous recueillis par le navire de l’ONG, le Iuventa.

    L’an dernier, un ancien employé d’une ONG sur l’un des navires a également parlé au sujet des liens entre les militants des navires de transport des migrants et des ONG les passeurs.

    Pietro Gallo,  qui a travaillé la sécurité à bord du Vos Hestia – un navire exploité par l’ONG « Save the Children » – a reçu des menaces de mort par des militants après avoir dénoncé aux autorités italiennes les liens entre les navires et les passeurs.

    Traduction alter INFO

    Sources Il GiornaleDie Welt viaVoice Of Europe

    https://www.alterinfo.ch/2019/07/30/un-garde-cote-lybien-jai-vu-de-nombreux-contacts-entre-les-ong-et-les-contrebandiers/

  • HALTE A LA DICTATURE DES « CLIMATO CATASTROPHISTES » !

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    Jean-Claude Rolinat

    Greta Thunberg, - le petit « singe savant » venu du froid, était à Paris il y a quelques jours, pour pérorer devant un parterre d’environ 165 députés, tous ébahis d’entendre et d’écouter le messie du catastrophisme climatique… (A 16 ans, sa place serait d’être au lycée, et non pas sur les chemins de l’Ecole buissonnière !).

    Non seulement, il y avait 165 parlementaires français qui avaient jugé que leur emploi du temps leur permettait d’écouter la jeune donzelle, mais cette dernière avait déjà été  reçue par le Pape, -  l’homme en soutane blanche qui baise et lave les pieds de musulmans en signe d’humilité, lesquels doivent bien rire ! -, et par le frétillant président de notre belle République française, Emmanuel Macron. Après les humiliations subies par la France à l’occasion de la victoire de l’Algérie dans la Coupe d’Afrique des nations, était-il judicieux qu’une gamine vienne tancer nos « illustres » représentants dans les locaux de l’Assemblée nationale ? N’avaient-ils pas mieux à faire ces élus, par exemple,  de tenter d’expliquer aux éleveurs de bovins leur adhésion au  traité euro-canadien, dit « CETA » ? Quelle sinistre plaisanterie. Mais, avant d’aller plus loin sur le fond, interrogeons-nous sur la forme : qui finance les voyages de cette jeune fille, qui tire les ficelles de cette marionnette dont le visage et le regard, parfois étrangement immobiles, me font penser à quelque poupée maléfique de l’industrie hollywoodienne ? Oui, qui ? Il y a des gens qui ont intérêt à manipuler les foules avec de faux prophètes, « un prophète du vide » comme l’écrivait PRESENT dans son édition du mercredi 24 juillet. Un prophète qui me rappelle les lectures de ma jeunesse, l’album « L’étoile mystérieuse » notamment, dans lequel Hergé fait croiser la route de TINTIN avec celle d’un prophète de malheur, Philippulus, qui prédit au milieu d’un public terrifié, à grands coups de gong, la fin du monde ! Eh bien, nous en sommes presque là. Le réchauffement climatique va faire monter les eaux d’un mètre avant la fin du siècle, les ours blancs disparaitront inexorablement avec la fonte des glaces, etc. Voici le genre de sornettes qui nous sont prodiguées par tous ces catastrophistes patentés, les fanatiques du GIEC en tête. (Il est vrai qu’il faut les comprendre, ils défendent leur beefsteak !).

    Non, l’eau des océans ne montera pas d’un mètre, et l’essentiel de l’archipel des Maldives, par exemple, survivra. Je ne suis pas un  scientifique, j’étais même plutôt mauvais élève en physique/chimie, préférant l’histoire et la géo, mais la hausse moyenne du niveau des océans mesurée par des centaines d’appareils, des « marégraphes », est de un millimètre par an, UN millimètre, ce qui fera, en gros, 8 à 10 cm en 2100. Quant aux plantigrades, les « nounours » blancs, une spécialiste incontournable de l’Université de la province canadienne de Colombie britannique, Susan Crockford, dénonce les calculs faits à partir de modèles informatiques non vérifiés, disant que 67% des ours blancs disparaitraient à l’horizon 2050. C’est-à-dire que sur 24 500 de ces bébêtes, seules 8 000 à 8 100 resteraient en ce monde. Or, les effectifs d’ours blancs, malgré, effectivement le déclin spectaculaire de la banquise, surtout dans l’Arctique, ont augmenté d’environ 16% depuis 2007. Le paradoxe, c’est que les ours prospèrent, dit la dame, dans des régions où la perte de glace marine a été la plus forte, mer de Barents ou mer des Tchouktches, du côté des Russes. Et leurs effectifs diminuent en Alaska. Pourquoi ? C’est que les glaces printanières, dans cette dernière région, sont épaisses et compactes et qu’elles chassent les femelles phoques qui ne peuvent mettre bas, privant ainsi les ours de leur nourriture favorite. Il y a là un paradoxe certain, car ces animaux continuent de prospérer. Mais, apparemment, ce sont des ours… russes, dans des zones de glaces friables, celles que préfèreraient les dames phoques….

    Le CO2, l’ennemi public numéro 1 !

    Il est vrai que l’on ne peut nier, toutefois, l’intérêt qu’il y a de coopérer avec tous les États pour réduire les gaz à effet de serre, même si la COP-21 était un grand cirque pour mettre en valeur les socialistes français. Ces fameux gaz, - décidément ! -, parlons-en. Il est exact qu’ils ont battu des records, et que ça va continuer, même si on embête « Monsieur Toutlemonde » avec des règles de plus en plus coercitives. Mais n’oublions pas non plus, - c’est très pervers, cette affaire du climat -, que le CO2 est nécessaire à l’agriculture, car l’accumulation de ce gaz dans l’atmosphère favorise la photosynthèse. Et comme la planète augmente le nombre de ses bouches à nourrir, principalement en Afrique, mais pas que, il y a une nécessité urgente à produire plus et mieux.

    Nous venons de vivre une séquence de canicule éprouvante. Et cette épreuve semble renforcer, bien sûr, les prédictions des « oiseau de malheur », nous culpabilisant pour notre mode de vie, et enfonçant le clou  du slogan incontestable désormais, répété comme une litanie, « qu’il faut sauver la planète ». Mais est-ce uniquement en raison des échappements des gaz d’automobiles ou des réacteurs d’avions ?

    A-t-on jamais pensé aux éruptions solaires ? Je ne suis pas non plus astronome, alors je vais simplement en venir à des choses simples, à des constats basiques, mais de bon sens : si, d’abord, on consommait plus « local », on économiserait du carburant sur la navigation de ces énormes porte-containers qui acheminent toute la bimbeloterie asiatique. Et ce n’est pas en punissant les voyageurs aériens avec une nouvelle taxe,- veut-on « tuer » Air France ? -, que l’on empêchera des pays peu vertueux comme l’Inde, la Chine, les Etats-Unis et l’Allemagne, de polluer à tour de bras ! La Pologne est aussi concernée, comme sa voisine occidentale, avec leur production très polluante de charbon. D’ailleurs, c’est là que l’on voit les limites du raisonnement des écologistes, ces marxistes repeints en « vert » : comment peut-on vouloir supprimer une source d’énergie « clean », le nucléaire, même s’il faut s’entourer de toutes les garanties de sûreté et de sécurité de façon à ne jamais revoir de tragiques épisodes comme Tchernobyl ou Fukushima, pour la remplacer par des armées d’éoliennes qui balafrent nos paysages, sorte d’épouvantails géants de l’inutile, qui brassent de l’air et du… fric, et sont si peu productives d’électricité ? Le panneau solaire ou l’usine marémotrice ainsi que la bonne vieille « houille blanche » me paraissent de meilleures pistes, d’autant que beaucoup de pays du tiers-monde, notamment au Sahel, ont d’énormes surfaces ensoleillées disponibles. Mais il y règne l’insécurité, et çà, c’est une autre problématique qui n’entre pas, aujourd’hui, dans le cadre de ce papier

    Alors, est-il juste d’être « climatosceptique » ?

    On ne peut nier  un certain réchauffement, pour ne pas dire un réchauffement certain. Mais il y a des cycles. Là, dans ces dernières années, nous sommes dans une phase d’accélération des températures. Mais, dans l’histoire de notre bonne vieille planète bleue, il y a eu aussi, en alternance, des périodes glaciaires… Les Asiatiques qui peuplèrent l’Amérique, ne traversèrent-ils pas le détroit de Behring à « pied sec », tout au moins sans aller dans l’eau ? Et puis, pourquoi le Groenland, qui fut investi par les Vikings d’Erik le Rouge, fut-il appelé « Groenland » qui signifie, si je ne m’abuse "terre verte" ?

    L’homme s’adaptera. Canadiens, Scandinaves ou Russes s’amusent bien, lorsqu’ils voient la France paralysée par quelques millimètres de neige recouvrant ses routes l’hiver ! L’urbanisme, discipline exigeante, doit faire évoluer nos villes, les habiller peut-être, de bien plus de vert, en un mot « végétaliser » les immeubles. Les Nations dites unies devraient prendre à bras le corps le problème de la démographie dans les pays pauvres, et investir massivement dans des programmes d’éducation des jeunes filles. Mais Il est vrai que l’Islam est un frein puissant à toute modernité. Le besoin de terres, notamment en Afrique, rétrécit le territoire des animaux sauvages. Moins de fauves, égale moins de touristes, donc moins de rentrées de devises. Le problème est simple à comprendre. Pourtant, un certain nombre de pays ont commencé leur transition démographique. Et que les donneurs de leçons donnent l’exemple. Si la Chine ou l’Inde, pour ne citer que ces deux pays, ne font pas des efforts pour régler les questions d’environnement, la simple gestion des ordures ménagères, - mais Marseille ou Naples entre autres sont aussi concernées -, ainsi que  des déchets en général, à quoi serviront nos voitures électriques et autres trottinettes pour « bobos » parisiens ? 

    Les jeunots allemands et les  ados d’autres nationalités, peuvent bien se réunir et manifester à Dortmund en faveur du climat, contre le réchauffement. On peut aussi bien demander l’extinction de la paupérisation après 22 heures ! La décision n’est pas entre leurs mains, elle appartint à notre bonne vieille planète où l’homme n’influence que de façon marginale, pour l’instant, et c’est heureux, son évolution. Ce qui ne veut pas dire qu’il ne faut pas être vertueux, et rechercher l’équilibre entre développement économique et respect de l’environnement.

    Malheureusement, les « Verts » ont pris la question climatique en otage : ce ne sont pas des écologistes, ce sont des marxistes teigneux et sectaires. Il faudra bien que les VRAIS défenseurs de dame nature finissent par le comprendre et ne leur accordent plus leurs suffrages. Alors, à ce moment-là, nous pourrons parleur objectivement, sans tabous, « défense de l’environnement », avec des gens honnêtes.

  • Violences et loi Avia : aucun rapport ?

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    Depuis novembre et les samedis des gilets jaunes, les députés LREM ou leurs permanences étaient déjà la cible d’attaques répétées. Avec le récent vote du CETA et l’entrée en scène des jeunes agriculteurs, ces fâcheux événements se multiplient et se renforcent, au grand dam d’une classe politique unanime pour s’en indigner. On se souvient, toutefois, qu’elle est moins offusquée quand c’est le RN qui est visé ; de même quand ce sont, par exemple, des infirmières, des pompiers, des Asiatiques… qui sont molestés.

    D’aucuns croiront que, cette fois, c’est parce que c’est leur propre « communauté » qui est visée que les politiques se mobilisent. Que nenni, à en croire la députée Aurore Bergé, porte-parole de LREM : c’est simplement contre un « climat malsain et nauséabond » qu’elle nous met en garde.

    Au fait, ces députés qui, la démocratie en bandoulière, trépignent aujourd’hui contre ces procédés « antidémocratiques », ne sont-ce pas les mêmes qui ont voté dans l’enthousiasme la loi Avia, qui vise à bâillonner toute critique, voire galéjade, sur ce qui ne serait pas mâle blanc cisgenre hétérosexuel, censure dont Emmanuelle Duverger a déjà eu un avant-goût (négation de la liberté d’expression d’ailleurs particulièrement hypocrite, puisque ce sont les hébergeurs sur Internet qu’elle charge du sale boulot) ?

    Or, il y a deux façons d’empêcher les gens de s’exprimer.

    Évidemment, la censure, telle que nous la voyons se mettre place.

    Mais aussi celle, plus subtile, de l’Éducation nationale, qui semble s’efforcer de limiter le vocabulaire des élèves à quelques centaines de mots. On sait que la pauvreté langagière génère la violence, car lorsqu’au volant on est traité de « c…ard », on n’a pas la ressource de répondre « mes hommages à mademoiselle votre mère ». C’est pour cela que certains se sentent mieux avec une batte de baseball.

    Alors, ces élus qui déplorent le « climat malsain et nauséabond » qui se développe, et les violences qui l’accompagnent, feraient mieux de se demander si empêcher les gens de dire ce qu’ils voient est le meilleur moyen d’empêcher que ne s’aggrave ce climat…

    Richard Hanlet

    https://www.bvoltaire.fr/violences-et-loi-avia-aucun-rapport/

  • Rapport de l'IGPN sur la mort de Steve : «On a l'impression d'être dans une dictature»

    policiers.pngEntretien du 31/7/2019 avec Hervé Souprayen, Gilet jaune. Il revient sur le rapport de l'IGPN, la «police des polices», concernant la mort de Steve Maia Caniço, dont le corps a été retrouvé le 29 juillet. 
    Le document n'établit pas de lien entre l'intervention de la police et la disparition du jeune homme à Nantes dans la nuit du 21 au 22 juin.
    Au-delà de ce drame, notre invité fustige les «dérives» de la police et le «manque d'impunité» des forces de l'ordre depuis plusieurs mois.

     

  • Les milliardaires arrivent en jet au Google camp sur… l’écologie


     sur lesobservateurs.ch
    Jeudi 1 août 2019 Riches et célébrités du monde entier se sont donné rendez-vous en Sicile pour discuter de la sauvegarde de la planète.
    Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais.
    Une maxime qui paraît parfaitement adaptée au Google Camp, ce camp d’été pour milliardaires organisé par la firme américaine.
    Installé en Sicile, il a cette année pour thème principal le réchauffement climatique.
    Sauf que de nombreux invités vont débarquer sur la côte ouest du pays… en jet privé, rapporte le New York Post.
    Pas vraiment le moyen de transport le plus écologique.
    114 jets pour 784 000 kg de CO2
    Parmi les convives, quelques noms clinquants, comme l’ancien président Barack Obama, le prince Harry, la chanteuse Katy Perry, mais aussi l’acteur Leonardo Di Caprio, qui possède sa propre fondation sur le changement climatique. 
    Tous décrivent le phénomène comme la plus grande menace pour les générations futures.
    Sauf que, comme le révèle la presse italienne, tout ce beau monde arrivera sur les lieux à bord de 114 jets privés, soit l’équivalent de 784 000 kilogrammes de CO2.
    En tout, ce Google Camp d’une durée de trois jours coûtera d’ailleurs 20 millions de dollars au géant américain.
    « Google Camp est censé être un lieu où des personnalités influentes se réunissent pour discuter de l’amélioration du monde », confie un participant au Post.
    « Il y aura probablement des discussions sur la vie privée en ligne, la politique, les droits de l’homme et, bien sûr, l’environnement, ce qui rend extrêmement ironique le fait que cet évènement nécessite l’affrètement de 114 jets privés », raille-t-il aussi.
    Des yachts et des hélicoptères
    Parmi les autres invités de marque, on trouve également Bradley Cooper, Tom Cruise, et même Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook, mais aussi Harry Styles, Orlando Bloom, Diane von Furstenberg et Barry Diller, tous arrivés à bord d’un énorme yacht à 200 millions de dollars, qui possède… deux moteurs diesel de 2 300 chevaux.
    Le yacht à 400 millions de dollars du fondateur de Dreamworks et celui de plus de 100 mètres, comprenant un héliport, d’un milliardaire néo-zélandais seront aussi de la partie.
    La chanteuse Katty Perry a même été aperçue à bord d’une Maserati, elle qui a réalisé plusieurs vidéos sur le changement climatique pour l’UNICEF.

  • En France, les procureurs savent protéger la vie et le domicile privés… des procureurs

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    Après-midi d’été tranquille. Je passe la tondeuse dans mon jardin quand soudain retentit l’alarme anti-intrusion de mes voisins partis en vacances. Je cours dans la rue et je surprends deux individus – deux racailles bien connues ayant pignon sur rue – enjamber la clôture pour quitter la propriété. L’un d’eux a même le temps et le culot de me lancer : « On voulait juste profiter de la piscine. » J’appelle immédiatement la police, qui intervient très rapidement. Je préviens nos voisins. Nous faisons le tour de la propriété et constatons qu’il n’y a pas eu effraction. La police m’explique que, sans effraction, on ne pourra rien contre eux. Alors que le déclenchement de l’alarme montre qu’ils se sont approchés d’une ouverture et que c’était visiblement autre chose que la piscine qui les intéressait.

    Je reprends ma tondeuse en me disant que la loi est parfois étrange. J’en viens donc à me dire qu’on peut, en France, pénétrer impunément dans le jardin d’autrui. Respect de la propriété privée ? De la vie privée ? Violation de domicile ? J’ai dû rêver trop fort et m’inventer des grands principes délirants.

    Désabusé, je me dis pour me consoler qu’on devrait ainsi enjamber les clôtures de juristes, de juges, de parlementaires, tous ces gens chargés de faire et de faire appliquer la loi. Peut-être que ces intrusions légales les pousseraient à modifier la loi. Peut-être, aussi, que ce ne serait pas inutile pour lutter contre les cambriolages, qui explosent en ce moment.

    Je souris déjà en imaginant les déclarations de Christophe Castaner quand je tombe sur l’information suivante : dans le Doubs, un gilet jaune a été condamné à huit mois de prison pour avoir divulgué vendredi sur Facebook l’adresse privée d’un procureur. Jugé en comparution immédiate devant le tribunal de Vesoul, cet homme de 32 ans a reconnu avoir fait une bêtise : « J’ai fait cela dans un but de contestation, je n’ai pas réfléchi. Je regrette. Je n’avais pas conscience des conséquences. »

    Mais ces regrets sincères n’ont pas ému le procureur de la République de Vesoul, Emmanuel Dupic, volant au secours du procureur de la République de Besançon, Étienne Manteaux. Et M. Dupic s’est indigné en ces termes :

    « On ne s’en prend pas à la vie privée d’un procureur. »

    Avant de requérir neuf mois de prison, dont six avec sursis, assortis de l’obligation d’effectuer un stage de citoyenneté. Le gilet jaune a été condamné à huit mois de prison, dont cinq avec sursis. Décidément, en France, on ne plaisante pas avec le respect de la vie et du domicile privés… des procureurs.

    Quand les historiens se pencheront sur le mouvement des gilets jaunes, le chapitre sur la Justice et les procureurs sera particulièrement fourni, vous entraînant dans un incroyable tour de France de Nice à La Roche-sur-Yon, de Vesoul à Besançon jusqu’à Paris.

    Mais, au fait, si on enjambe la clôture et on profite tranquillement du jardin d’un procureur – sans effraction -, on risque quoi, Monsieur le procureur ?

    Dominique Monthus

    https://www.bvoltaire.fr/en-france-les-procureurs-savent-proteger-la-vie-et-le-domicile-prives-des-procureurs/

  • Méditerranée : 40 migrants de l’Alan Kurdi débarquent à Malte, la France propose d’en accueillir

    Les migrants ne resteront pas à Malte et seront accueillis dans plusieurs pays européens en vertu d’un accord de répartition.

    La France aurait proposé d’accueillir certains d’entre eux. Les 40 migrants à bord du navire humanitaire allemand Alan Kurdi sont arrivés ce dimanche dans la matinée à Malte à la suite d’un accord de répartition, a annoncé le gouvernement maltais. Les autorités avaient déclaré tard samedi soir avoir donné leur accord au débarquement des migrants après des discussions menées notamment entre le gouvernement allemand et la Commission européenne sur une répartition des migrants « entre un certain nombre de pays européens ».

    Aucun des 40 migrants ne restera à Malte et comme dans les cas précédents, le navire Alan Kurdi n’a pas été autorisé à entrer dans les eaux territoriales maltaises mais ce sont les gardes-côtes maltais qui ont pris en charge les migrants dans les eaux internationales avant de les amener à La Valette. […]

    L’Open Arms cherche toujours un port

    Un autre navire humanitaire, Open Arms, est lui encore à la recherche d’un port pour débarquer 121 migrants secourus lors de deux opérations distinctes. L’ONG espagnole Proactiva Open Arms avait secouru jeudi au large de la Libye un premier groupe de 55 personnes puis vendredi un second groupe de 69 autres personnes. […]

    lexpress.fr

    http://www.fdesouche.com/1245887-mediterranee-40-migrants-de-lalan-kurdi-debarquent-a-malte-la-france-propose-den-accueillir

  • Jean Messiha, sur l’enfant poussé sous un train en Allemagne : « On minimise la criminalité des immigrés »

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    En Allemagne, ces derniers jours, deux faits divers, peu relatés en France, ont marqué les esprits : un enfant poussé sous un train, à Francfort, par un Érythréen (qui était, par ailleurs, apparu dans une publicité suisse vantant une intégration réussie…) et un homme tué au sabre en pleine rue, à Stuttgart, par son ex-colocataire. Dans les deux cas, des immigrés sont mis en cause.

    Au micro de Boulevard Voltaire, Jean Messiha dénonce « le tabou lié à l’immigration en France et en Europe » qui conduit à cacher l’identité des coupables, souvent qualifiés de simples déséquilibrés.

    Deux faits divers sordides se sont déroulés en Allemagne à quelques jours d’intervalle.
    D’abord, un enfant de huit ans et sa mère ont été poussés sur les rails au moment du passage d’un train. La mère a survécu, mais pas l’enfant.
    Ensuite, en pleine rue, un Syrien tue au sabre son ancien colocataire.
    Que vous inspire la concomitance de ces deux faits divers ?

    Il y a une criminalité d’immigrés qui ne doit pas être niée. Ces crimes absolument atroces et abjects qui touchent des personnes innocentes doivent être dénoncés.
    Je suis toutefois très étonné de la façon dont les médias mainstream et les partis dits « de gouvernement » traitent ces affaires. On a l’impression qu’à chaque fois qu’il s’agit de crimes commis par des immigrés, une espèce d’immunité phraséologique se met en place. Elle a pour but de protéger le dogme d’une immigration pure de toute espèce de criminalité et de défauts. On essaie de conserver le mythe d’une immigration qui serait toujours, partout, et d’où qu’elle vienne une chance pour les pays européens. C’est ainsi qu’on nous sert des « pas d’amalgame », « pas d’instrumentalisation des faits divers », etc. Lorsqu’il s’agit de crimes de droit commun commis par des Européens de souche, ils ne vont pas hésiter un seul instant à instrumentaliser, comme c’est le cas pour la mort de Steve. Sa mort est sur-instrumentalisée et récupérée de manière honteuse par l’extrême gauche depuis plusieurs jours.

    Le taux de criminalité de l’Allemagne augmente de façon assez sensible. On a du mal à ne pas faire de lien entre la hausse de la criminalité et la hausse subite de population migratoire.

    Je n’ai pas de chiffres exacts pour établir la causalité directe. Le moins qu’on puisse dire c’est que cette coïncidence est troublante.
    Toutefois, je tiens de pas mal d’amis allemands que de nombreuses zones où il faisait bon vivre et où il n’y avait pas la moindre criminalité pendant des années enregistrent aujourd’hui subitement des vols, des cambriolages, des agressions, voire des agressions sexuelles.
    Lorsqu’on ouvre son pays vers le monde à tout va, un monde dont les frontières nous protégeaient de sa dangerosité et de ses incertitudes, on l’ouvre aussi à tous les dangers qui peuvent guetter vos citoyens.
    Le devoir des élites politiques qui décident de la destinée des pays européens est avant tout de protéger les citoyens européens. Ce n’est pas de protéger les migrants et de veiller à leur bien-être. Ceux qui élisent ces responsables sont les citoyens européens. Ce sont eux qui leur confient leur destinée. La moindre des choses c’est qu’ils soient dignes de la confiance que les citoyens placent en eux en prenant toutes les mesures de sauvegarde pour les protéger de l’ensemble de ces dangers non seulement migratoires, mais aussi commerciaux, économiques et financiers.

    Le migrant ayant tué cet enfant avait un métier et s’était a priori intégré…

    On assiste à une véritable entreprise de déification, d’idéalisation de l’immigration. Il n’est pas question de faire un constat inverse en disant que toute l’immigration en tant que telle est mauvaise. Mais le principe de réalité et celui de précaution commanderaient qu’on puisse jauger l’immigration à l’aune de ce qu’elle est.
    Une certaine immigration est certes une chance pour les Européens. Une immigration qui apporte et qui crée. Mais, malheureusement, l’essentiel de l’immigration d’aujourd’hui est économique et vient de territoires parfois en guerre. Aucun principe de précaution n’étant appliqué, on ne connaît donc pas le profil des gens qui arrivent sur le territoire européen.
    Pour organiser les attentats du Bataclan, des terroristes s’étaient infiltrés dans les colonnes de migrants pour faire plusieurs allez et retours et organiser en toute tranquillité ces attentats.
    Une certaine déification de l’immigration fait qu’on prend l’immigration en exemple en tant que tel, quelle que soit l’époque et quel que soit les gens.
    Cela aboutit à ce genre de phénomène.
    Le terroriste de l’hyper casher, Coulibaly, avait lui aussi figuré quelques années auparavant dans une revue française sur l’immigration et la diversité. Il n’y a pas de discernement. Face à l’immigration, nous sommes face à un dogme immigrationniste qui interdit de réfléchir, de critiquer et, comme toute idéologie, de présenter les faits tels qu’ils sont et non pas tels qu’on aimerait qu’ils le soient.

    Jean Messiha
    Membre du Bureau national du Rassemblement National, délégué national aux études et argumentaire

    https://www.bvoltaire.fr/jean-messiha-sur-lenfant-pousse-sous-un-train-en-allemagne-on-minimise-la-criminalite-des-immigres/

  • CETA : de la colère aux « attentats » en circonscription

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    Au cœur de l’été, la fièvre contestataire gagne la rue et la République est en danger, menacée par les attentats.
    C’est, du moins, ce que tente de nous faire avaler l’ineffable ministre de l’Intérieur Christophe Castaner. 
    Les attentats ?
     Des graffitis peu flatteurs sur les murs de quelques permanences de députés LREM, une vitrine cassée et un fauteuil incendié, quelques rangées de parpaings devant une porte. 
    Bref, rien, jusque-là, qui, sur la longue durée de l’Histoire, ne laissera le souvenir d’un intense épisode révolutionnaire. 
    Un air de déjà-vu, même, quand on précise que les auteurs semblent, pour la plupart, être des agriculteurs, largement habitués aux coups de force contre les préfectures, les fast-foods, voire le ministère d’une certaine ministre (écologiste) de l’environnement, à grands coups de remorques de fumier ou citernes de lisier.
    La cause de la colère populaire ? 
    La ratification, il y a quelques jours, du CETA, traité de libre-échange avec le Canada, et la conclusion d’un accord similaire avec le Mercosur, zone de marché commun sud-américain. 
    Dans les deux cas, l’inquiétude justifiée du monde agricole fait grimper le thermomètre. 
    Eux qu’on accable de réglementations, d’interdictions, d’accusations de polluer, vont se voir concurrencés par des productions de qualité douteuse, et surtout venue du bout du monde. 
    Gilles Le Gendre a beau expliquer, sans rire, que l’effet CO2 des cargos est nul, on ne trouve aucun gogo pour avaler cette ineptie. 
    La guerre, c’est la paix, la vérité, c’est le mensonge : on connaît le refrain. 
    Dans une ambiance de fin des haricots – pardon, des homards – pour les élites politiques, il ne leur en fallait pas plus pour qu’un crachat sur la vitrine d’une permanence fasse craindre la guillotine à ces députés souvent inexpérimentés. 
    Eux qui, depuis deux ans, n’ont eu de cesse, souvent au travers des propos arrogants et méprisants du Président, de creuser le fossé avec la population, ils découvrent le revers de la médaille en or de la République : l’engueulade en circonscription. 
    S’il ne s’agit pas ici d’excuser la violence, il convient de l’expliquer. 
    Et en tous cas de minimiser la tendance à la victimisation. 
    Pour en rester au cas des agriculteurs : un tiers gagne à peine 350 euros par mois, un suicide tous les deux jours, des retraites misérables, une concurrence sans cesse accrue. 
    Et il faudrait pleurer pour quelques permanences abîmées ? 
    Ne parlons même pas des écoles, maternités, services publics et autres usines qui ferment, ajoutant autant de troupes au cortège des mécontents. 
    Forcément, le premier visé, c’est le député LREM du coin. 
    N’est-il pas le meilleur représentant de ceux qui déconstruisent la France depuis Paris, et donc la meilleure cible de toutes les colères locales ?
    Chaque nouvel « attentat » mérite donc, désormais, son flash spécial sur les médias d’information en continu, et son flot d’indignations. 
    Sans la moindre nuance. 
    Un tag, c’est la République qui est en danger. 
    Une vitrine brisée, c’est la démocratie en danger. 
    Un œil crevé, une main arrachée, une permanence RN dégradée, c’est… ah non. Pas là !
    Ce phénomène va-t-il durer, s’amplifier, est-il le prolongement des gilets jaunes sous une autre forme ? Il est trop tôt pour le dire. 
    On peut estimer, cependant, qu’il est une autre conséquence d’une politique qui va systématiquement à l’encontre des intérêts des petits, des ruraux, de ceux qui n’ont plus comme moyen de faire entendre leur colère légitime que la violence. 
    Puisque tous les moyens légaux et institutionnels sont verrouillés pour les faire taire ou ne pas tenir compte de leur voix.
    Alex Verrier

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/08/ceta-de-la-colere-aux-attentats-en.html

  • Les médias rongés par la haine anti-Pologne

    Les médias rongés par la haine anti-Pologne

    Les médias français aux ordres du lobby LGBT oublient de faire leur travail :

    « La Pologne rongée par la haine anti-LGBT » (La Croix), « Pologne : une gay pride attaquée par des ultranationalistes » (Le Figaro), « Une Marche des fiertés LGBT à Bialystok, bastion nationaliste en Pologne, vire au cauchemar » (Le Monde). Le bilan de ce « cauchemar », ou de ce « pogrom » pour reprendre le terme utilisé par Robert Biedron, le leader du parti LGBTiste Wiosna (Printemps) ? Zéro mort, un adolescent de 14 ans blessé à la clavicule par un hooligan (qui a été arrêté), un autre victime de vol avec menaces, une policière blessée à la jambe, zéro voiture brûlée et zéro vitrine brisée à la Marche des égalités organisée le 20 juillet dernier, pour la première fois dans la ville de Bialystok, dans l’est de la Pologne. Une gay pride qui a effectivement suscité des contre-manifestations nombreuses. Face aux quelques centaines de militants LGBT, des milliers de personnes venues s’y opposer après les provocations anticatholiques et les profanations commises lors d’autres manifestations du même type à Gdansk, Varsovie et Czestochowa (voir Présent du 19 juin).

    La contre-manifestation qui a fait du bruit, et qui est à l’origine des violences, c’est celle organisée par des supporters de foot, souvent proches des milieux nationalistes, venus de toute la Pologne pour « défendre la ville contre les pervers », car « tous ont vu leurs homoparades à Varsovie, Gdańsk et Częstochowa où les symboles religieux de la foi chrétienne ont été ouvertement profanés et moqués ». Résultat des courses : quelques heurts avec la police qui protégeait les manifestants et plusieurs dizaines d’arrestation. Puis la gauche en a profité pour lancer sa campagne électorale en organisant, huit jours plus tard à Bialystok, une manifestation contre la haine et la violence, mais apparemment uniquement lorsqu’elles visent les milieux LGBT. […]

    https://www.lesalonbeige.fr/les-medias-ronges-par-la-haine-anti-pologne/