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magouille et compagnie - Page 1102

  • 69 % des Français soutiennent la grève, surtout pour se débarrasser d’Emmanuel Macron !

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    Un sondage Louis Harris Interactive pour LCI annonce que 69 % des Français approuvent le mouvement de  du . Un soutien massif dont on aurait pu douter, vu les nuisances que les blocages de transport et autres vont causer dès demain à la plupart des Français. Assez inédit, aussi, pour une réforme qui s’attaque aux avantages spécieux de fonctionnaires d’ordinaire décriés dans l’opinion… En 1995, sur des thématiques voisines, le mouvement de  était bien moins soutenu ; on se souvient de l’ampleur qu’il a pourtant prise à l’époque. Mais les causes de ce soutien massif s’expliquent, à la lecture des détails du sondage. Ce n’est pas le peuple de gauche qui soutient massivement le mouvement, contre une droite et LREM réticente. Si on regarde de plus près, on s’aperçoit que 50 % de ceux qui ont voté Fillon en 2017 soutiennent la , donc la CGT et les syndicats, et jusqu’à 45 % des électeurs de…  !

    En réalité, si le mouvement est aussi populaire, ce n’est pas que la France soit subitement devenue cégétiste, c’est qu’elle est surtout férocement anti-macroniste. Elle n’en peut plus de ce gouvernement, souvent vu comme malhonnête et incompétent, et la préparation de ce projet de loi sur les retraites l’illustre de façon éclatante : personne ne comprend même plus en quoi consiste la réforme, tout et son contraire ont été dits, on a même suggéré l’immigration de masse pour régler les déficits ! La réforme n’est même pas encore sur la table que le pouvoir a déjà étalé sa faiblesse au grand jour, son incapacité à tenir le cap face au conflit. Alors, les Français, de droite, de gauche et même du centre, soutiennent indistinctement, par réflexe, tout ce qui peut contribuer à s’opposer à Emmanuel Macron et son gouvernement – hier les gilets jaunes, présentement la CGT, la CFDT, FO et les autres…

    Olivier Piacentini

    https://www.bvoltaire.fr/69-des-francais-soutiennent-la-greve-surtout-pour-se-debarrasser-demmanuel-macron/

  • Matteo Salvini : « L’islam est la mort de notre continent »

    Breizh Info – Matteo Salvini était à Anvers, en Flandre, le 2 décembre à l’invitation du Vlaams Belang » Retour sur une soirée où le leader italien et les nationalistes flamands ont évoqué l’avenir… avec optimisme.

    Vlaams Belang : « Nous sommes le nouvel espoir pour une nouvelle Europe »

    Même s’il n’est plus ministre de l’Intérieur, la popularité de Matteo Salvini ne faiblit pas. Y compris en dehors des frontières italiennes. Lundi 2 décembre au soir, le leader de la Lega s’est rendu à Anvers, à la Bourse du Commerce, où le Vlaams Belang tenait meeting.

    Malgré un retard d’une heure et demi, Matteo Salvini a reçu un accueil digne d’une « rockstar » par les quelques  1 400 personnes présentes selon les mots de la presse belge. Rappelons que le Vlaams Belang et la Lega font partie du même groupe politique au Parlement européen, « Identité et Démocratie ». De l’identité, il en a évidemment été question lorsque Matteo Salvini a pris la parole pour fustiger « le spectre d’une immigration massive », mais également les « banquiers » et « les racistes de gauche ».

    Salvini
    Source : Facebook Vlaams Belang

    Pour Matteo Salvini, « l’islam est la mort de notre continent »

    Un ex-ministre italien inspiré en terre flamande : « Ils veulent transformer l’Europe en un centre commercial sans valeur ni tradition. Soit l’Europe est chrétienne, soit il n’y a pas d’Europe. L’islam est la mort de notre continent ».

    Succédant à Matteo Salvini à la tribune, le président du Vlaams Belang Tom Van Grieken n’a pas manqué non plus de verve dans son discours : « Nous avons le devoir, pour nos enfants et nos petits-enfants, de protéger notre civilisation, héritée de nos ancêtres. Nous, nous et seulement nous, sommes le nouvel espoir pour une nouvelle Europe ».

    (…) lire la suite sur Breizh Info

    https://www.tvlibertes.com/actus/matteo-salvini-lislam-est-la-mort-de-notre-continent

  • Les élections sont-elles pleinement libres en France ?

    Les élections sont-elles pleinement libres en France ?

    Non selon Jean-Yves Le Gallou :

    Prenons l’élection présidentielle. Son accès est limité aux candidats recueillant 500 parrainages de maires et de grands élus. En théorie pour garantir le sérieux des candidatures. En pratique les parrains sont exposés à de multiples pressions : des pressions violentes de la part des « antifas » et plus suaves de la part des autorités préfectorales, départementales et régionales qui accordent (ou refusent) des subventions. Sans parler des pleutres, dont la devise est « pas de vague ». Pour certains candidats, la recherche des parrainages est une coûteuse course d’obstacles, en même temps qu’un handicap pour accéder aux médias et aux financements de la campagne. Quant aux salles de réunions pour les meetings, elles ne sont pas toutes également disponibles pour Mélenchon, Macron ou Marine. Et quand elles le sont ce n’est pas forcement au même prix…

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  • Le naufrage de Gérald Darmanin et Sibeth Ndiaye lors du débat sur les retraites

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    Toujours aussi avisé, le gouvernement a envoyé, jeudi soir, Gérald Darmanin et Sibeth Ndiaye pour défendre la  sur le plateau de France 2, dans l’émission « Vous avez la parole ». Il est vrai que Jean-Paul Delevoye étant déjà carbonisé, on fait avec ce qui reste en magasin…

    Pour ceux qui soutenaient encore cette réforme, une chose est sûre : après avoir entendu les deux ministres répondre aux questions du panel de Français, de Martinez et des autres, il y a de fortes chances qu’ils n’y croient plus du tout. Face à des Français très bien informés, ce sont les ministres qui ont fait figure d’amateurs. On aurait dit deux Séraphin Lampion, assenant slogans et plaisanteries de mauvais goût pour placer le produit…

    Darmanin a multiplié les blagues balourdes sans jamais parvenir à dérider personne, les suppliques du style « Moi, je vais vous faire du mal ? », les évocations incessantes de sa mère, femme de ménage de profession, pensant sans doute faire larmoyer dans les chaumières. Ndiaye a passé son temps à contourner les questions dans un style ampoulé, énumérer les approximations, réclamer de la confiance, quand le gouvernement est passé maître dans l’art de rouler la contestation (voir le Grand débat)…

    Deux moments forts : à la directrice d’école qui lui évoquait une baisse de plus de 600 euros mensuels de sa retraite, la porte-parole du gouvernement a évoqué, apparemment à l’improviste, un plan de hausse des salaires dans l’Éducation nationale. Mais la soi-disant hausse surviendra-t-elle avant la réforme des retraites ou n’est-ce qu’un mirage pour calmer les colères ?

    Puis, on a vu le sourire soulagé de Darmanin en incrustation pendant un reportage dans la ferme d’une agricultrice présente sur le plateau : les agriculteurs semblaient satisfaits de la réforme (enfin un compliment, a dû se dire le ministre). Sauf qu’une fois le reportage terminé, la fameuse agricultrice a fustigé la politique agricole nocive du gouvernement…

    On sentait vraiment les deux embarrassés, peu convaincus de leurs propres arguments. Dans ce naufrage, c’est Martinez, sourire jusqu’aux oreilles, qui s’est régalé : on ne l’avait jamais vu à pareille fête, reprenant de volée chacune des erreurs, approximations, omissions et contre-vérités des deux ministres – et Dieu sait s’il y en eut. Si c’est avec ça que le pouvoir espère redresser la barre…

  • Hidalgo, la grève et son projet

    Cela peut sembler une nouvelle mineure. Dans le contexte de la tentative de grève générale de ce 5 décembre, et pour faciliter la vie des citoyens, électeurs, consommateurs et voyageurs, une partie des autorités publiques avait imaginé de faciliter la circulation, et donc l'arrêt, à certaines stations, des cars de substitution.

    Autrement dit, mais le mot concurrence leur écorche les lèvres, certains envisageaient dès le premier jour de contourner le monopole de la RATP. Ce point de détail a été confirmé par le secrétaire d'État aux Transports, Jean-Baptiste Djebbari[1].

    Or, une personne s'est entravée au projet, la Mégère Hidalgo. La réglementation actuellement en vigueur, très restrictive comme on peut le constater, suppose toujours son agrément pour tout ce qui touche au sacro-saint système soi-disant si parfait. Pratiquement inchangé depuis les choix d'urbanisme de 1900, il ne saurait se développer vraiment faute de capitaux publics, en dépit des besoins, sur une base étatique.

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  • Hidalgo, la grève et son projet

    Cela peut sembler une nouvelle mineure. Dans le contexte de la tentative de grève générale de ce 5 décembre, et pour faciliter la vie des citoyens, électeurs, consommateurs et voyageurs, une partie des autorités publiques avait imaginé de faciliter la circulation, et donc l'arrêt, à certaines stations, des cars de substitution.

    Autrement dit, mais le mot concurrence leur écorche les lèvres, certains envisageaient dès le premier jour de contourner le monopole de la RATP. Ce point de détail a été confirmé par le secrétaire d'État aux Transports, Jean-Baptiste Djebbari[1].

    Or, une personne s'est entravée au projet, la Mégère Hidalgo. La réglementation actuellement en vigueur, très restrictive comme on peut le constater, suppose toujours son agrément pour tout ce qui touche au sacro-saint système soi-disant si parfait. Pratiquement inchangé depuis les choix d'urbanisme de 1900, il ne saurait se développer vraiment faute de capitaux publics, en dépit des besoins, sur une base étatique.

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  • Les deux internationales vertes, Islam et écologie, font bon ménage

    Il y a l’Église verte, le délire écologique de quelques curés pas très catholiques, et maintenant il y a l’islam vert, du vert de l’idéologie écologique, reconversion moderniste de la religion conquérante du croissant vert. L’islam aime le vert, couleur du diable en héraldique, synonyme « de la perturbation de l’ordre établi » nous dit l’historien des couleurs.

    Le président turc Erdogan est venu en Angleterre inaugurer à Cambridge, ancien et haut lieu de la chrétienté médiévale, une nouvelle mosquée… verte ! L’édifice en question, appelé Central Mosque, a été défini par la BBC comme « la première mosquée écologique d’Europe », dans la mesure où il est doté d’un système de chauffage à basse émission de CO2 et de collecteurs d’eau de pluie. La structure peut recevoir mille fidèles et se trouve sur l’artère élégante de Mill Road, une des zones les plus peuplées et multi-ethniques de la ville universitaire.

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  • La fraude sur les prestations sociales, un scandale d'état

    45 milliards de Fraude sur les prestations sociales: L'Etat "ne veut pas connaître" la cause et donne des consignes aux administrations de ne pas répondre aux enquêteurs ... UN SCANDALE D'ETAT

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/12/06/la-fraude-sur-les-prestations-sociales-un-scandale-d-etat-6195954.html

  • Energie éolienne, le vent de la colère

    cropped-photomontage-eglise-de-la-pyle-depuis-le-troncq1.jpg

    Reportage d'Armel Joubert des Ouches

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Gilles Le Gendre (LREM): « Les syndicats savent parfaitement que nous irons au bout de cette réforme » (Vidéo)

    Gilles Le Gendre, président du groupe LREM à l’Assemblée, était l’invité de BFMTV ce jeudi. Il a tenu à rappeler aux manifestants et aux syndicats que le gouvernement irait jusqu’au bout de la réforme des retraites.

    De son côté, lors du conseil des ministres qui se tenait ce jeudi, le président Emmanuel Macron a demandé à son gouvernement de rester solide sur les fondamentaux de la réforme des retraites, tout en restant respectueux de la mobilisation.

    BFMTV

    https://www.tvlibertes.com/actus/gilles-le-gendre-lrem-les-syndicats-savent-parfaitement-que-nous-irons-au-bout-de-cette-reforme