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magouille et compagnie - Page 1246

  • Un « rapport Benalla » qui accable l’Elysée au-delà de l’imaginable, par Franck Deletraz

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    « Dysfonctionnements majeurs » au sommet de l’Etat, « imprudence de la présidence», « mensonges sous serment »… Après plus de six mois de travaux ponctués par de multiples rebondissements, pas moins de 34 auditions fleuves, et aussi quelques tentatives d’intimidation à peine voilées en provenance de l’Elysée, la commission d’enquête du Sénat sur l’affaire Benalla a enfin rendu mercredi son rapport. Un rapport accablant bien sûr pour l’ancien « gorille » de Macron, incarcéré depuis mardi soir, mais plus encore pour la présidence et son entourage le plus proche, dont les innombrables « défaillances » font froid dans le dos.

    De nouveaux éléments « encore plus graves »

    Ouvrant dans la matinée la séance devant la commission des lois du Sénat, le président de la commission Philippe Bas, entouré des deux rapporteurs Jean-Pierre Sueur (PS) et Muriel Jourda (LR), a d’emblée annoncé la couleur. En effet, a-t-il averti, « les nouveaux éléments que nous avons découverts sont encore plus graves que ceux que nous avons signalés au début de nos travaux » ! Une annonce qui valait d’abord pour le principal mis en cause, Alexandre Benalla, dont la commission a vivement dénoncé les nombreuses « réponses mensongères faites sous serment ». Des parjures à la pelle qui ont poussé logiquement Philippe Bas à demander à Gérard Larcher de saisir le parquet pour « faux témoignage » de l’ancien chargé de mission sur le « périmètre de ses fonctions à l’Elysée », « son rôle dans le dispositif de sécurité du chef de l’Etat », et sur l’utilisation de ses passeports diplomatiques.

    Une accumulation de « dysfonctionnements majeurs »

    Mais plus grave encore, aux yeux de la commission, la participation de Benalla, alors qu’il était en fonction à l’Elysée, à ce fameux contrat de protection conclu entre la société privée Mars et des représentants de l’oligarque russe Makhmudov. Une affaire dans laquelle, a affirmé Bas, « la sécurité du président […] a été affectée », et qui met directement en cause trois des plus hauts collaborateurs du chef de l’Etat (le secrétaire général de l’Elysée, Alexis Kohler, le directeur de cabinet, Patrick Strzoda, et le chef du groupe de sécurité de la présidence, le général Lionel Lavergne) qui se voient reprocher « un certain nombre d’omissions, d’incohérences et de contradictions ». Trois proches de l’exécutif donc, pour lesquels les commissaires ont aussi demandé au bureau du Sénat de saisir la justice pour d’éventuels « faux témoignages ».

    Reste le point commun le plus inquiétant de toutes ces affaires : cette accumulation incroyable de « dysfonctionnements majeurs » au sommet de l’Etat, allant de la « liberté et des pouvoirs excessifs laissés à un collaborateur inexpérimenté » à « l’imprudence de l’Elysée », en passant par « l’incompréhensible indulgence » des supérieurs de Benalla, la « remontée d’informations défaillante » au sein de l’institution policière et de l’exécutif ou encore le « manque de diligence regrettable des autorités compétentes » pour s’assurer du retrait effectif des prérogatives de Benalla après son licenciement.

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 21 février 2019

    https://fr.novopress.info/

  • LIGUE DU LOL, PARENT 1, PARENT 2 : LA CHASSE À L'HOMME BLANC "CISGENRE"

  • La Manif Pour Tous va porter plainte pour diffamation publique devant la Cour de Justice de la République

    La Manif Pour Tous va porter plainte pour diffamation publique devant la Cour de Justice de la République

    Suite aux propos de la secrétaire d’Etat à l’Egalité entre les femmes et les hommes Marlène Schiappa dans un entretien à Valeurs actuelles sur “l’existence d’une convergence idéologique” entre la Manif Pour Tous et “les terroristes islamistes”, et en l’absence d’excuses, La Manif Pour Tous réagit :

    Ces propos scandaleux sont une insulte gravissime aux millions de Français mobilisés depuis 2012 pour témoigner pacifiquement de leur attachement à la famille, premier lieu de solidarité et refuge pour les plus vulnérables. Ces propos sont également une insulte aux victimes du terrorisme islamiste dont ils relativisent la souffrance. Comment oser assimiler les assassins de Charlie Hebdo du Bataclan, de Nice, de Saint-Etienne-du-Rouvray, de Strasbourg… à des manifestants pacifistes.

    Dès avoir pris connaissance de ces propos, La Manif Pour Tous a demandé des excuses à Marlène Schiappa. Pensant qu’il s’agissait d’un dérapage, La Manif Pour Tous s’attendait à un geste d’apaisement rapide de la part de la Secrétaire d’Etat à l’Egalité entre les femmes et les hommes. Loin de s’excuser, Marlène Schiappa a fait le choix d’assumer et de réitérer ses propos devant des caméras.

    Depuis 24 heures, l’émotion légitime et le tollé suscité par ces propos sont unanimes. Tous bords confondus, proches ou non de La Manif Pour Tous, de très nombreux responsables politiques, observateurs de la vie publique, éditorialistes et intellectuels ont dénoncé l’amalgame réalisé par  Marlène Schiappa, qualifié de « dérapage intolérable », de « faute » ou encore d’ « ignoble » par Alain Finkielkraut.

    La Manif Pour Tous ne peut se résoudre à laisser sans suite ces propos qui ont heurté des millions de Français. C‘est pourquoi, elle a décidé de porter plainte demain, vendredi 22 février, pour diffamation publique devant la Cour de Justice de la République, juridiction compétente puisque les propos ont été tenus par Marlène Schiappa dans l’exercice de ses responsabilités de Secrétaire d’Etat.

    Les caricatures et les violences verbales n’ont pas leur place dans le débat public. Trop, c‘est trop ! La Manif Pour Tous, et les millions de Français choqués par cette banalisation du terrorisme islamiste et de ses trop nombreuses victimes, attendent toujours les excuses de Marlène Schiappa.

    Parallèlement, vous pouvez signer notre lettre ouverte à Edouard Philippe.

    Il y a également un appel à la démission de Marlène Schiappa, là.

    https://www.lesalonbeige.fr/la-manif-pour-tous-va-porter-plainte-pour-diffamation-publique-devant-la-cour-de-justice-de-la-republique/

  • Antisémitisme : des gens ont nommé l’islamisme, ils ont été insultés et trainés dans la boue

    Antisémitisme : des gens ont nommé l’islamisme, ils ont été insultés et trainés dans la boue
     
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    Tancrède ن@Tancrede_Crptrs

    "C'est faux de dire que l'antisémitisme issu de l'islamisme n'a pas été nommé.
    Des gens l'ont nommé, ils ont été insultés et trainés dans la boue." - Charlotte d'Ornellas
    Et certains s'indignent de l'antisémitisme alors qu'ils continuent la complaisance envers l'islamisme ... 

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  • Russie : Vladimir Poutine seul contre tous – Journal du jeudi 21 février 2019

     

    Russie : Vladimir Poutine seul contre tous

    Un an après sa réélection haut la main, le président russe, Vladimir Poutine affronte une nouvelle vague de critiques. Face aux provocations, le pensionnaire du Kremlin prépare la riposte.

    Venezuela, un conflit qui peut durer

    Nicolas Maduro tient bon face à l’ingérence humanitaire américaine. Alors que Donald Trump a menacé les militaires vénézuéliens fidèles au président élu, ceux-ci ont maintenu leur position… cette nouvelle opération de déstabilisation de Washington en Amérique du sud pourrait finalement s’avérer plus périlleuse que prévue.

    Compteur Linky : quand Enedis monnaie vos données

    Mardi, 120 personnes se sont rendues au tribunal de Paris pour dénoncer l’usage des compteurs intelligents Linky par Enedis. En plus des doutes sur l’impact sanitaire de ces installations, la filiale indépendante d’EDF envisagerait de faire du commerce avec les données récoltées par les compteurs.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/russie-vladimir-poutine-seul-contre-tous-journal-du-jeudi-21-fevrier-2019

  • Bobards d’or 2018 : et si le père du fact-checking, c’était Jean-Yves Le Gallou ?

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    Elisabeth Guillaume Boulevard Voltaire cliquez ici

    Le papa de Décodex, Checknews, AFP Factuel, finalement, c’est lui. Même si ses enfants, bien ingrats, peinent sans doute à reconnaître cette paternité spirituelle. Il est le premier chasseur de « fake news », et ce, depuis dix ans. À l’époque, on parlait le franchouillard et non le globish. On appelait ça, bêtement, des bobards.

    Surtout, si ces fact-checkers institutionnels, grands donneurs de leçons devant l’éternel, comme tous les gens gonflés d’importance, sont drôles comme un sermon de pasteur calviniste, papa Jean-Yves Le Gallou a choisi l’arme de la dérision parce que l’esprit français, c’est cela : grave sur le fond, léger dans la forme. Et cet esprit séduit au-delà des frontières et même de l’Atlantique, puisque les Américains ont repris la formule. Le 17 janvier 2018, c’est Donald Trump lui-même – parce que là-bas, on voit toujours grand – qui a annoncé le nom des lauréats des Fake News Awards.

    Pour cette 10e cérémonie française des Bobards d’or qui avait lieu mardi, à Paris, au théâtre du Gymnase, il n’y avait pas Emmanuel Macron – quelle déception – mais abondance de candidats, du fait d’un contexte bien particulier, tant international que national : les populistes et les gilets jaunes rendent productifs et fébriles les addictifs.

    Comme pour l’Eurovision ou Miss France, le public, en plus du jury – composé, cette année, de figures de la presse alternative comme Martial Bild ou de gilets jaunes – peut aussi voter, agitant son carton orange pour le bobard qui l’a fait le plus marrer. Ou pleurer. De l’ogre Trump mangeur (ou presque) de petits enfants au vrai-faux tueur de tigre (in fine ressuscité) Vladimir Poutine, de l’expert daltonien de plateau télé au bricoleur du dimanche de statistiques, il n’y avait qu’à faire son marché. Le choix était même cornélien.

    On pourrait reprocher aux Bobards d’or de ne s’attaquer qu’à la presse dite « mainstream » – il arrive, bien sûr, à d’autres médias moins politiquement corrects de faire des erreurs d’appréciation ou de s’emballer pour une version des faits biaisée. Mais il y a, à cela, une raison : cette presse « mainstream » est considérée urbi et orbi comme LA vérité. Elle mérite bien, une fois par an, une petite leçon d’humilité.

    Cette année, le winner is… la boulette de Boulouque, comme l’a appelée le Monsieur Loyal de la soirée, ou le bobard picard, dans la catégorie « gilets jaunes ». La confusion – sur le ton très docte du sachant, c’est ce qui en donne toute la saveur – faite par Sylvain Boulouque, entre le drapeau fleurdelisé de Picardie et une banderole d’ultra-droite. Il paraît que « l’historien, spécialiste des mouvements sociaux », qui a décidément besoin de changer de lunettes, a récidivé il y a quelques jours, pensant, à tort, reconnaître un agresseur d’Alain Finkielkraut, et forçant donc TF1 à rectifier le lendemain. Pas certain, néanmoins, que Mister Bobard accepte de ceindre le diadème et recevoir son trophée des mains de Jean-Yves Le Gallou en lui faisant un bisou. Une seule modeste leçon journalistique de tout cela, quand on ne sait pas, mieux vaut se taire, car le silence est comme le bobard : d’or.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/02/21/bobards-d-or-2018-et-si-le-pere-du-fact-checking-c-etait-jea-6130430.html

  • Islamisme : très peu de mosquées salafistes ont été réellement fermées en France

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    Les Républicains dénoncent l’inaction des autorités face à l’islamisme. Laurent Wauquiez affirme que seules sept mosquées salafistes ont été fermées par le gouvernement, sur une centaine recensées (mais en réalité les chiffres sont bien plus importants…).

    Des chiffres qui sont confirmés. Le ministère de l’intérieur recense en effet un peu plus de cent mosquées tenues par un imam salafiste. Et seules sept d’entre elles ont été fermées depuis octobre 2017, c’est à dire depuis l’adoption de la loi qui a mis fin à l’état d’urgence et qui autorise à fermer les lieux de culte en cas d’appel à la haine.

    Mais qu’est-ce qui explique que ces dernières soient encore en activité ? Déjà parce que le salafisme n’est pas interdit. Il s’agit d’un courant religieux certes intégriste, mais pas illégal. Pour fermer une mosquée, il faut établir que l’imam a tenu des propos punis par la loi, des appels au jihad ou un discours haineux. C’est loin d’être toujours le cas. Sans ces éléments, une fermeture de mosquée est jugée abusive et peut être annulée en justice.

  • Grand Débat, grand enfumage

    Et si le Grand Débat, c’était la dernière astuce de l’élite pour se maintenir au pouvoir ? Débattre, c’est laisser les gens se défouler verbalement pur mieux les ignorer. Une technique « absolument moderne »…    

    Quand Macron s'est exprimé pour la première fois devant une grande salle, c'était trop sincère pour être vrai. L'homme enfermé depuis plusieurs mois dans le bunker élyséen comptait ainsi retrouver sa virginité de candidat à la présidentielle. Son habileté de Jupiter, c'est d'avoir pu renouer avec cette campagne électorale qui l'avait fait élire. Habilement, le Grand débat lui permet de changer de costume. De troquer celui de Président contesté contre celui du candidat moins corseté. Macron, comme beaucoup de politiciens, n'est pas terrible dans la routine politique. Comme Sarkozy ou Hollande, il perd son aura entre les conseils des ministres et les sommets internationaux. Mais s'il gouverne mal, il se défend bien. Le président de la République s'est transformé en candidat En Marche. Il entame ainsi la deuxième campagne présidentielle, non à la fin du mandat, mais à ses débuts (un drôle d'effet du quinquennat). Au fond, le Grand Débat national, c'est une réserve inépuisable de temps de parole pour un Président devenu clairement inaudible. Un atout pour exercer à nouveau sa séduction. La solution inespérée pour intervenir plus souvent et dans de meilleures conditions. Macron a au moins compris une chose dans cette crise à la différence des Gilets jaunes, il a un visage. Ce qui lui permet de se mettre seul en scène face à des interlocuteurs qui ne tiennent que parce qu'ils jouent « collectifs » et qui ne pourront que disparaître si des têtes émergent (ce que comporte précisément le risque d'une liste « Gilets jaunes » aux européennes). On ne s'en étonnera pas c'est en faisant du théâtre qu'il est tombé amoureux de Brigitte. Macron a compris qu'il excellait quand il jouait son propre rôle. On comprend mieux pourquoi l'amazone Schiappa est prête à discuter avec Hanouna. Les ministres se ruent à la suite du chef de l'État le théâtre vous dis-je ! Certes Edouard Philippe s'est fait huer. Mais au fond, ça fait partie du théâtre.

    Requiem pour la démocratie

    On place le Grand débat sous les fonts baptismaux de la démocratie, mais on oublie quand même quelque chose dans l'histoire contemporaine de notre pays, il n'y a jamais eu justement, de « Grand Débat ». On s'est écharpé sur la séparation des Églises et de l'État, sur tel contrat de travail (CIP ou CPE). On a discuté de la pertinence de telle constitution, de tel traité (Maastricht ou la Constitution européenne) ou de telle loi (de Devaquet à Taubira).   On s'est toujours battu sur une question particulière, comme on sait bien le faire entre Français. En revanche, dans les annales de l'histoire politique du pays, on n'a jamais discuté de tout. Les discussions ont eu beau avoir de l'intensité elles n'ont jamais été un grand déballage. La seule fois où on le fit, ce fut sous la Révolution. Avec le résultat que l’on connaît. Les cahiers de doléances mirent en branle un mouvement qui sapa les fondements d'une société encore traditionnelle. Est-ce vraiment ce à quoi Macron aspire ? Peut-être.

    Le Grand débat continue à participer à l'incertitude de la crise. On discute de tout, et en même temps, on ne décide de rien c'est le contraire du RIC des Gilets jaunes.

    Le problème de ce Grand Débat National, c'est qu'il nie la décision politique, qui est pourtant le propre de la démocratie. Il faut être un peu benêt pour croire que ce sont ces discussions animées et des réflexions couchées sur papier qui vont changer les choses.

    Il s'agit en fait de conserver l'ordre établi, en donnant au citoyen l'illusion de la participation, parce que l'on s'est contenté de lui demander son avis. De plus, et voilà un signe qui ne trompe pas : en plein débat, les projets de loi gouvernementaux sont discutés sans vraie concertation en amont : Les ministres n'ont pas changé quand ils lancent tel texte dans les assemblées. La machine législative ne s'est pas corrigée d'un iota. Quant au traité d'Aix-la-Chapelle, il est signé sans même que l'on ait songé à en avertir le bon peuple.

    Le Grand Débat national permet de masquer les dérives autoritaires du macronisme, en imposant les sujets autorisés et en écartant les sujets interdits. On parlera de la transition écologique et des impôts. Pas de la baisse des dépenses publiques ou du coût de l'immigration. Depuis le Grand Débat, je me mets à méditer la fameuse phrase du Guépard « Il faut que tout change pour que rien ne change ». Dormez tranquilles le Deep state garde la main.

    François Hoffman monde&vie 8 février 2019

  • "C'est ignoble !": La grosse colère de Finkielkraut contre Schiappa qui a comparé la Manif Pour Tous aux terroristes islamistes

    Colère de Finkielkraut contre Schiappa qui a comparé la Manif Pour Tous aux terroristes islamistes.
    «C'est ignoble ! Ils auraient voulu que mes agresseurs soient La Manif Pour Tous (...) La gauche bien-pensante rêve de mettre [La Manif Pour Tous] dans un même bloc que ceux qui sont contre les juifs»
    Source: - Europe 1, 20 février 2019 (YouTube)

  • Castaner embrigade les enfants des écoles contre les Gilets jaunes

    A la mode Corée du Nord, le ministre de l’Intérieur Castaner a pratiqué l’embrigadement d’État de petits écoliers français contre les Gilets jaunes :

    « Dans ce mouvement des #GiletsJaunes, il n’y a que des perdants. Parce qu’au fond, on est dans une société de haine. »

    Vidéo intégrée

    Rêv de Presse@Rev_de_Presse

    Elle est terrible cette expression de sur les visages des quand leur parle comme à des adultes à embrigader «Dans ce mouvement des , il n'y a que des perdants. Parce qu’au fond, on est dans une société de haine."

    56 personnes parlent à ce sujet
    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/castaner-embrigade-les-enfants-des-ecoles-contre-les-gilets-jaunes/105201/