Vincent Hervouet a fait ce matin sur Europe 1 une percutante mise au point sur la situation dans les Balkans (relative à la Serbie et à sa province sécessionniste du Kosovo Métochie) :
magouille et compagnie - Page 1245
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La Serbie ne décolère pas après la création d’une armée du Kosovo
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Les Gilets jaunes ne se laisseront pas berner
Le débat sur l’immigration ? Disparu. L’augmentation du smic de 100 euros par mois pour tous ? Disparue. Le mea-culpa macronien ? Disparu. Le changement de cap ? Disparu. Une semaine après la réponse du chef de l’Etat aux Gilets jaunes, il ne reste déjà plus grand chose des promesses émises. "Je veux que nous mettions d’accord la Nation avec elle-même sur ce qu’est son identité profonde, et que nous abordions la question de l’immigration. Il nous faut l’affronter", avait déclaréEmmanuel Macron lundi dernier. Mercredi, le sujet n’était déjà plus à l’ordre du jour. "Le salaire d’un travailleur au smic augmentera de 100 euros par mois dès 2019 (…)", avait-il également annoncé. En réalité, seule la moitié des smicards bénéficieront de la mesure, le salaire du conjoint étant pris en considération pour écarter les couples les plus "aisés". Ce lundi, c’est Gilles Le Gendre, chef de file des députés La République en marche, qui a déclaré en guise de contrition que l’exécutif et la majorité avaient "probablement été trop intelligents, trop subtils, trop techniciens dans les mesures de pouvoir d’achat". Quant au premier ministre, Edouard Philippe, il assure dans Les Echos de ce lundi n’avoir pas l’intention de changer de politique mais au contraire de l’accélérer. Il y a une semaine, le président avait pourtant précisé : "Nous ne reprendrons pas le cours normal de nos vies (…) sans que rien n’ait été vraiment compris et sans que rien n’ait changé". Les Bernés apprécieront (voir mon bloc-notes du 21 septembre 2018).
La mascarade et la suffisance sont des caractéristiques dont la macronie a visiblement du mal à se défaire. Or ces défauts alimentent l’exaspération populaire. Les gens sont en quête de transparence, d’honnêteté intellectuelle, de parler vrai. Comment rétablir la confiance rompue entre la France d’en haut et celle d’en bas si le chef de l’Etat n’est pas même capable de tenir à la lettre des promesses solennelles faites une semaine plus tôt ? Le président de l’Assemblée nationale,Richard Ferrand, évoque désormais l’envoi de "CRS ou de gendarmes" pour faire dégager les ronds-points occupés, après l’échec de la mobilisation des Gilets jaunes, samedi. L’Etat cherche à reprendre la main sur une contestation spontanée qui a fait trembler le pouvoir. Ce serait néanmoins une erreur de la part du gouvernement de croire la révolte apaisée, au prétexte d’un essoufflement des manifestants. Le "grand débat" annoncé risque d’être perçu comme une stratégie dilatoire destinée à étouffer la colère. Or ce jeu est dangereux : les Gilets jaunes ne sont évidemment pas prêts à rentrer dans le rang. D’ailleurs, leur exigence d’un référendum d’initiative citoyenne montre que la crise n’est pas seulement fiscale, ni même sociale. Elle est, plus profondément, démocratique et identitaire. Macron est à la merci d’un retour explosif des Gilets jaunes, si ceux-ci venaient à s’estimer trompés par lui. Pour l’instant, ils ont quelques premières raisons de se sentir floués.
http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2018/12/les-gilets-jaunes-ne-se-laisse.html
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Un proche de Macron financé par Moscou ?
On découvre cela dans le Point :
Un mois avant son limogeage, le gendarme de réserve a reçu sur son compte 294 000 euros de la part d’un oligarque russe, une somme qui fait tiquer Tracfin. Le salarié d’En marche !, mis en examen dans l’affaire Alexandre Benalla, est dans le collimateur. Vincent Crase, 45 ans, gendarme de réserve exclu depuis sa mise en cause le 19 juillet dans l’interpellation d’un manifestant place de la Contrescarpe, surveillait l’accès au palais de l’Élysée avec les policiers de la direction de l’ordre public et de la circulation et les gendarmes de la compagnie de sécurité de la présidence de la République. Mais l’ambitieux Vincent Crase ne se contente pas de son statut d’employé. Il a également créé Mars conseil, une PME de conciergerie de luxe chargée de fournir des prestations à des gens fortunés, comme un chauffeur ou du personnel de sécurité. Une société sans grande activité jusqu’à son limogeage de l’Élysée et d’En marche ! en juillet.
Pourtant, un mois avant, Mars conseil signe un contrat de 294 000 euros avec Iskander Makhmudov pour la protection de l’oligarque russe et celle de ses enfants. Makhmudov est l’un des actionnaires de Kalashnikov, la célèbre marque de fusil-mitrailleur, et considéré comme un proche de Vladimir Poutine. Forbes le classe au 22e rang des fortunes russes. Des médias étrangers le présentent comme un mafieux bien qu’il n’ait fait l’objet d’aucune condamnation en Europe à ce jour. Virée en juin sur le compte en banque de Vincent Crase, la somme a fait tiquer Tracfin, l’organisme anti-blanchiment de capitaux du ministère de l’Économie et des Finances.
https://www.lesalonbeige.fr/un-proche-de-macron-finance-par-moscou/
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Gilets Jaunes, RIC, Attentat qui tombe à pic...
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Un gouvernement hors-sol, à la limite de la pitrerie
Alexandra Benalla a été mis en examen une nouvelle fois, le 29 novembre, pour des violences commises en marge du défilé du 1er mai à Paris. 3 juges lui ont signifié de nouvelles charges, pour des délits d'”immixtion dans l’exercice d’une fonction publique” en ayant “participé activement” à une interpellation et “violences volontaires en réunion ayant entraîné une incapacité totale de travail inférieure à 8 jours”.
Les juges d’instruction ont cependant renoncé à le mettre en examen pour “détention non autorisée d’arme de catégorie B”. La scène se déroulait le 28 avril 2017 à Poitiers dans un restaurant, à quelques kilomètres de Châtellerault où Emmanuel Macron venait de tenir un meeting. Celui qui était alors membre du service d’ordre de la campagne avait pris la pose aux côtés de deux hommes et d’une serveuse. Le pistolet était pointé vers le visage de la jeune femme, tout sourire.
A l’époque, Le Gorafi avait dit que c’était un pistolet à eau.
Aujourd’hui la réalité rejoint la fiction puisque c’est la défense choisie par Benalla !
Le média humoristique Le Gorafi s’est félicité d’avoir “vu juste”.
Il faut dire qu’entre France 3 qui retouche les photos et BFMTV qui sert la soupe à Macron, Le Gorafi est certainement plus près de la réalité !
https://www.lesalonbeige.fr/un-gouvernement-hors-sol-a-la-limite-de-la-pitrerie/
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Gilets jaunes : le mouvement perd du terrain mais gagne en maturité
FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
La mobilisation est restée très forte samedi dernier pour l’acte V des Gilets jaunes, malgré les intempéries et les sournoises pressions du pouvoir pour empêcher les gens de manifester.Si à Paris la participation était en baisse, la pression ne s’est pas relâchée dans les grandes villes de province. L’impressionnant dispositif policier dans le quartier de l’Élysée avait été reconduit à l’identique et les Gilets jaunes se sont une nouvelle fois approprié les Champs-Élysées. Le rassemblement devant l’Opéra a permis de mettre en avant des revendications plus politiques, comme le RIC, le recours au référendum d’initiative citoyenne, la lutte contre le terrorisme islamique ou le rejet du pacte de Marrakech.
Les débordements semblent avoir été moins nombreux ?Quelques affrontements ont eu lieu aux Halles et vers l’Opéra, mais contrairement au 8 décembre, les grands magasins gardés par des CRS sont restés ouverts. A noter que la journaliste Nadège Abderrazak de RT France a été blessée par une poignée de porte, qui a priori ne lui était pas destinée. A ce propos, vingt-quatre photographes et journalistes ont porté plainte contre les forces de l’ordre pour des violences commises le 8 décembre : parmi eux Yann Foreix du Parisien, victime d’une balle de défense LBD 40 tirée à 2 mètres, Eric Dessons du Journal du Dimanche frappé par une matraque télescopique pour l’empêcher de photographier, ou encore Véronique de Viguerie du Washington Post qui s’est vue confisquer son matériel de protection : un casque et un masque à gaz ! L’Union des photographes professionnels, le Syndicat national des journalistes et Reporters sans Frontières se sont constitués partie civile dans ces actions en justice.
Et quelles ont été les réactions à l’acte V des Gilets jaunes ?
Le pouvoir tablait sur un affadissement du mouvement, avec la complicité de responsables politiques comme Laurent Wauquiez ou Alain Juppé qui ont ouvertement appelé à cesser le mouvement. Même Philippe Poutou du Nouveau Parti Anticapitaliste a préféré rejoindre la manifestation de soutien aux sans-papiers, plutôt que de soutenir les Gilets jaunes. Il est vrai que les dégradations des 1er et du 8 décembre ont fait désordre, ce qui laisse à penser que les casseurs ont peut-être été les meilleurs alliés du pouvoir. A noter la prise de position très fantaisiste de Jacques Noyer, ancien évêque d’Amiens qui a été jusqu’à dire que les Gilets jaunes ne méritaient pas de fêter Noël !
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Emmanuel Macron : le Président le plus impopulaire car le plus …
Le JDD pourrait parfois faire figure de Journal officiel de la République du « en même temps ». Le même dimanche, il est capable de publier deux sondages IFOP assez contradictoires : l’un nous apprend que, en cas d’élection présidentielle aujourd’hui, si on refaisait le match, Emmanuel Macron serait encore plus haut qu’en 2017, à 25 ou 27,5 % ; l’autre constate une nouvelle baisse de popularité du Président : après un -4 en novembre, c’est un -2 en décembre, malgré les annonces répondant à la crise des gilets jaunes.
L’hebdomadaire rappelle qu’Emmanuel Macron se situe exactement au même très bas niveau que François Hollande à ce stade de son quinquennat. Sur la seule année 2018, c’est une chute de 27 points ! Faut-il rappeler que François Hollande détenait jusqu’alors le record du Président le plus impopulaire ? Nicolas Sarkozy planait, lui, à ce même stade de son mandat, à 44 % d’opinions positives. Surtout, si le taux de « mécontents » d’Emmanuel Macron passe de 73 à 76 %, à l’intérieur de ce groupe, les « très mécontents » bondissent de 39 à 45 %. C’est un indice révélateur de la nature de cette impopularité : une « radicalisation » des mécontents, diraient certains commentateurs, qui expliquerait la violence des slogans sur les ronds-points.
Emmanuel Macron pourrait donc entrer une seconde fois dans le Livre des records : après avoir été le président de la République le plus jeune, il est en passe de devenir le plus impopulaire. Et si ceci expliquait aussi cela ?
Quelques conversations avec des amies ont fini de m’en convaincre. Mères de famille de milieux modestes, elles sont contraintes de multiplier les heures de travail, l’une pour compléter une retraite d’à peine 800 euros, l’autre pour faire vivre, avec son mari ouvrier, leur ménage de deux enfants et payer leur maison. Elles n’ont pas eu le temps de rejoindre les gilets jaunes, mais elles sont entièrement avec eux et, surtout, sont aussi focalisées qu’eux sur la personne d’Emmanuel Macron.
Et ce qui ressort de leur analyse, dès les premiers mots, malgré leur différence de génération, c’est que ce Président de 40 ans à qui tout a souri, devant qui les portes du pouvoir se sont ouvertes comme par enchantement, ne peut rien comprendre à la vraie vie, ni aux personnes âgées qui ont travaillé toute leur vie, ni aux jeunes ménages qui jonglent pour tenter d’assurer à leurs enfants un mode de vie comparable à celui qu’elles ont connu. « Et puis, il n’a pas d’enfants à s’occuper, lui… Il ne sait pas ce que c’est. »
Il y a, dans le peuple, un ressentiment contre sa réussite précipitée et insolente, sa prétention, un peu comme si un Président, pour comprendre cette vraie vie et être un peu aimé, devait avoir vécu un peu comme elles, avoir souffert, enduré quelques déconvenues, patienté. C’était, d’ailleurs, le schéma classique jusqu’à l’élection de l’an dernier. Tous nos Présidents précédents avaient dû attendre, d’une façon ou d’une autre : de Gaulle et sa traversée du désert, Pompidou et l’attente du départ du Général, Mitterrand et Chirac et leurs deux tentatives ratées. Sarkozy et Hollande avaient dû, eux aussi, se débattre des décennies avec les rivaux de leurs partis. Ces « épreuves » leur attiraient une certaine sympathie, même au-delà de leur camp. Seul Giscard, à qui Emmanuel Macron a été comparé depuis le début, n’a pas affronté ce « cursus malorum » sans lequel, pour le peuple des gilets jaunes, et le peuple tout court, il n’y a pas de « cursus honorum » légitime.
La jeunesse d’Emmanuel Macron joua un grand rôle pour balayer l’ancien monde ; aujourd’hui, elle est devenue un facteur aggravant de son impopularité.
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Edition Spéciale Gilets Jaunes – Journal du 17 décembre 2018
Société / Gilets jaunes : le bras de fer se poursuit
Après cinq samedis de mobilisations, des répressions fortes et divers chantages de l’exécutif, le mouvement baisse de régime… En région, la mobilisation se maintient davantage, malgré les coups de pression du pouvoir qui espère voir poindre la fin du casse-tête.
Société / Le RIC : quésako ?
Il s’est imposé dans le débat et dans la liste des mesures réclamées par les gilets jaunes, le référendum d’initiative citoyenne. De quoi s’agit-il? Est-ce une demande réaliste ? Réponse dans cette édition.
Social / Smic et primes d’activité, la goutte d’eau qui plombe
L’actualité en bref
https://www.tvlibertes.com/edition-speciale-gilets-jaunes-journal-du-17-decembre-2018?is_wppwa=true
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Cet étrange sondage qui donne Marine Le Pen et Emmanuel Macron encore plus haut qu’en 2017 !
Certains, sur Boulevard Voltaire, s’étaient inquiétés de l’impact politique du mouvement des gilets jaunes qui, s’ils décidaient de présenter une liste aux européennes, permettraient au parti d’Emmanuel Macron de finir en tête, en affaiblissant la liste du Rassemblement national. C’était reconnaître que ce mouvement profite d’abord au parti de Marine Le Pen.
Confirmation par le dernier sondage IFOP pour le JDD publié hier : si l’élection présidentielle avait lieu maintenant, Marine Le Pen obtiendrait 27,5 % et Emmanuel Macron 25 à 27,5 %. Le politologue Frédéric Dabi commente : « La campagne ratée de Marine Le Pen en 2017, sa prestation catastrophique lors du débat de l’entre-deux-tours semblent avoir été oubliées. Il y a un vrai effet gilets jaunes qui la pousse. »
En fait, ce mouvement des gilets jaunes fonctionne comme le troisième tour social de la présidentielle. Un peu comme le mouvement de décembre 1995 pour Jacques Chirac. Pas étonnant, dès lors, que le cri de révolte du peuple des ronds-points, qui a pendant des semaines reçu le soutien ou au moins la compréhension de l’opinion, ait bénéficié à Marine Le Pen. Ce qui l’avait disqualifiée lors du débat, une certaine méconnaissance des dossiers, une incapacité à argumenter, est devenu un atout. Revanche du peuple face à l’énarque qui sait mieux que tout le monde.
Mais ce sondage ne traduit que cet état du moment, l’instant t. Il a été, pour les sondés, une nouvelle occasion de dire leur révolte sans que cela porte à conséquence. Le peuple qui répond à un sondage pour une élection lointaine et celui qui vote le moment venu n’est pas du tout dans le même état d’esprit.
En fait, il nous parle plus du présent immédiat et du passé que de l’avenir. Le Rassemblement national aurait tort de s’en réjouir et de s’en contenter : les sondages de 2017 promettaient aussi un 28 % à Marine Le Pen. On sait quel fut son résultat en avril. D’ailleurs, à trois ans et demi de la prochaine présidentielle, il aligne les mêmes candidats (Hamon, Mélenchon, etc.), la variante Fillon (qui le voit revenir ?) ou Wauquiez ne changeant pas fondamentalement les choses. Surtout, il devrait d’abord réjouir les macroniens : leur leader y est donné plus haut au premier tour qu’en 2017 et, surtout, l’envolée de Marine Le Pen et l’éventualité de sa victoire contribueront à installer de nouveau dans l’opinion l’idée qu’Emmanuel Macron est incontournable.
Tout cela rend ce sondage étrange, voire suspect, si l’on ajoute le commentaire du JDD qui ravira le camp macroniste : « On n’est plus dans une bipolarisation où un chef de l’État impopulaire aurait déjà perdu la présidentielle. Au contraire, ça reste ouvert. Le socle électoral de Macron reste donc solide, faisant d’En marche ! le seul parti de gouvernement capable d’offrir une alternative. »
Ah, voilà la morale du sondage !
Mais, au fait, à quoi, à quel gouvernement, à quel parti au pouvoir Emmanuel Macron, qui atteint par ailleurs des sommets d’impopularité, et En marche ! offrent-il une alternative ? Macron comme seule alternative à… Macron ? Après tout, c’était déjà un peu ça, en 2017.
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L’Etat criminel !
Le billet de Patrick Parment
J’avoue mon incompréhension face à ces foules qui se réunissent après un attentat comme à Strasbourg pour marquer une bien stérile résistance. Résister au terrorisme. Ah, la belle affaire ! Sauf que la méthode employée par ces terroristes est littéralement imparable. Il n’y a rien de plus facile que de tirer sur une foule désarmée. Surtout si le fou furieux islamiste a décidé de retrouver les 72 ou 73 vierges que lui promet le Coran. Les foules n’ont pas à s’apitoyer sur leur sort car c’est l’Etat, et lui seul, qui en est le grand responsable. Ce que n’a pas manqué de nous rappeler Xavier Raufer, expert en criminologie, sur TVLibertés : les services avaient ciblé depuis longtemps ce Chérif Chekatt, comme beaucoup d’autres fiché S, et dont nous ne sommes même pas certains qu’il ait agi par conviction religieuse.
Ce cas n’est pas isolé puisque lors des précédents attentats, comme celui de l’Hyper Casher en 2015 par Amedy Coulibaly ou des frères Kouachi contre Charlie hebdo, ces membres ou non de Daech, étaient connus des services de police.
C’est donc bien l’Etat qui joue avec nos vies, d’une part en n’employant pas les moyens nécessaires pour combattre et dissuader l’immigration, d’autre part en ne prenant pas les mesures nécessaires face à ces incitations que sont les aides dites sociales généreusement distribuées, fric foutu en l’air dans les stériles politiques de la ville au bénéfice des seules banlieues, tolérance à l’égard de toutes ces associations pro-immigrés. On pourrait ajouter le retrait de la nationalité française, la suppression de toutes les allocations à leurs familles étendues ou plus simplement le retour au pays. Bref, les mesures de rétorsion ne manquent pas et on ferait, de surcroît, des économies.
Non, l’Etat français préfère paupériser les Français, les jeter à la rue, enrichir les riches, faire des risettes aux Américains et mettre la Russie sous embargo. Il est grand temps de remettre de l’ordre dans cette oligarchie pour rétablir, enfin, la démocratie et redonner la parole au peuple.