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magouille et compagnie - Page 1367

  • L’immigration, cause de la chute d’Angela Merkel

    L’immigration, cause de la chute d’Angela Merkel

    En septembre 2013 : “La presse européenne salue le triomphe d’Angela Merkel“, réélue pour un troisième mandat.

    Durant l’année 2015, Angela Merkel fait entrer 1 million d’immigrés en Allemagne (principalement des hommes). En décembre 2015, des milliers de femmes sont agressées sexuellement par des immigrés. “En Allemagne, outre Cologne, onze villes sont touchées : Hambourg, Stuttgart, Bielefeld et Düsseldorf principalement. 12 des 16 Länder ont été impacté.”

    En octobre 2018 : “échec électoral en Bavière pour Merkel“. L’Union chrétienne-sociale, parti frère de la CDU de Mme Merkel, qui domine cette région depuis les années 1950, arrive certes toujours en tête avec 35,5%, mais ce score a tout d’une débâcle politique puisque la CSU perd 12 points par rapport à 2013, sa majorité absolue, et va être obligée de chercher une alliance inconfortable. Autre mauvaise nouvelle pour AngelaMerkel, l’autre membre de sa coalition gouvernementale, les sociaux-démocrates du SPD, subissent une gifle avec 9-10% des voix. Les gagnants du scrutin sont les Verts, 2e avec 18-19%, et l’Alternative pour l’Allemagne (AfD), le parti anti-immigration qui prend 11% des voix, au coude-à-coude avec les Freie Wähler, des conservateurs indépendants (11,5%). Les Libéraux du FDP (5%) ferment la marche.

    Et ce n’est pas terminé : la CDU devra faire face à un scrutin tout aussi ardu le 28 octobre en Hesse, Land que les conservateurs dirigent en coalition avec les écologistes. Ces deux scrutins “affecteront la politique nationale et en conséquence la réputation de la chancelière”, a prévenu vendredi le président de la chambre des députés et vétéran respecté de la CDU, Wolfgang Schäuble. Angela Merkel doit affronter en décembre un vote de militants pour être reconduite à la tête de son parti.

    https://www.lesalonbeige.fr/limmigration-cause-de-la-chute-dangela-merkel/

  • Témoignage : camarade Olivier Dubuis et sa compagne, violentés par 2 maghrébins - Conversano

  • Chronique de la France Orange mécanique

    Chronique de la France Orange mécanique

    Un adolescent de 12 ans est décédé après avoir été tabassé à coups de barre de fer dans la commune des Lilas, en Seine-Saint-Denis, hier soir.

    Une bagarre, près du centre-ville, aurait opposé une bande des Lilas à une bande la ville voisine de Bagnolet, dont était originaire la victime. Les voyous étaient munis de barres de fer et de bâtons.

    Le 28 septembre, à Garges-les-Gonesses, un garçon de 17 ans avait été roué de coups par des voyous munis de crosses de hockey ou de barres de fer. Il a reçu 67 points de suture au niveau de la tête.

    Le 13 septembre à Toulouse, un individu d’origine syrienne a frappé un homme à la tête avec une barre de fer et un pied de parasol. Agée de 40 ans, la victime souffre d’une fracture du crâne, d’une fracture du fémur et de multiples fractures au visage.

    https://www.lesalonbeige.fr/chronique-de-la-france-orange-mecanique-2/

  • Un air de “révolution de couleur” au Québec

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    Ex: https://echelledejacob.blogspot.com 

    Curieusement, une semaine après avoir été élu, il semblerait que François Legault doive faire face à un coup de force qui rappelle étrangement la tentative d’assassinat qui avait été ourdie contre Pauline Marois le soir même de son élection en 2012. 
    Un coup de force contre le Québec 
    Le nouvel « homme fort du Québec » vient de déclencher un ouragan au Canada anglais en prenant le taureau des accommodements religieux par les cornes ! En effet, la volonté du gouvernement désigné de la Coalition Avenir Québec (CAQ) d’utiliser la clause nonobstant afin de légiférer sur l’interdiction du port des signes religieux par les fonctionnaires en position d’autorité aura, manifestement, fait déborder la coupe des lobbies libéraux.

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    Une manifestation organisée par l’extrême gauche 
    Dimanche, en journée, quelques milliers de manifestants se sont rassemblés dans les environs du campus de l’Université du Québec à Montréal, aux abords de la Place Émilie-Gamelin, un haut lieu de convergence pour toutes les manifestations organisées par les forces de l’extrême gauche. 
    L’objectif de la manifestation, si l’on se fie aux pancartes et au discours des organisateurs, semblait avoir deux volets : pointer du doigt le « gouvernement raciste de François Legault » et condamner un racisme systémique québécois qui expliquerait ce résultat électoral. D’ailleurs, on pouvait lire sur une des pancartes que « le racisme est toujours présent parmi nous. Mais c’est à nous de mettre en garde nos enfants ! » 
    Les médias dominants ont monté en épingle cette manifestation en mettant en exergue des témoignages qui donnent à penser qu’une révolte spontanée vient d’exploser face à un État québécois coupable de restreindre les droits et libertés de ses minorités visibles.
    Des manifestants qui prônent la rectitude politique 
    C’est ainsi qu’un des organisateurs de la manifestation, interviewés par CTV News, Al Harrington, affirme que « nous devrions avoir la possibilité d’être libres. Vous devriez être libre de porter ce que vous voulez dans ce pays ». Cet organisateur, qui dira plus loin que Montréal représente toujours un territoire autochtone non cédé, faisait manifestement référence au multiculturalisme canadien. 
    Une autre manifestante, arborant un hidjab, a lancé avec beaucoup d’aplomb ce qui semble être une sorte de fatwa contre le Québec : « le Québec est en train de devenir une mauvaise blague parmi tant de choses, et c’est juste une partie de la blague ».
    Une manifestation organisée de l’extérieur 
    Finalement, le chat est sorti de son sac lorsqu'Al Harrington, qui fait partie de la patrouille de rue montréalaise Wolf Pack Street, a révélé à CTV News que « la majorité d’entre nous a traversé le Canada afin de manifester contre le racisme et les groupes prônant la haine ». On se rappellera le LOVE IN organisé par des lobbies ayant fait venir des bus entiers pleins de Canadiens anglais venus nous enjoindre de ne pas quitter « le plusse beau pays du monde » lors du 2e référendum de 1995. Comme quoi l’histoire aime à se répéter ! 
    Note 
    Voici la ou les sources de cet article : CTV News #1#2TVA NouvellesLa PresseLe Journal de MontréalRadio-CanadaThe Montreal Gazette, Global News #1#2 et Facebook
     
  • Burqa : la France ne doit rien céder au diktat onusien !

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    « L’ONU veut imposer la Burqa en France »« L’ONU se prononce contre l’interdiction de la burqa »« L’ONU considère que cette loi porte atteinte à la liberté religieuse » : depuis quelques jours, l’ONU apparaît, pour un Français ordinaire, comme une organisation dépassant complètement son rôle initial. Cela n’est guère étonnant, tout d’abord parce que l’information fut très mal relayée par la presse « mainstream ».

    En effet, la décision onusienne n’obéit pas à une décision de l’Assemblée générale des Nations unies, et encore moins à une résolution du Conseil de sécurité, mais bel et bien à un de ses organes appartenant à une de ses agences spécialisées, en l’occurrence le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme. C’est seulement l’organe de surveillance de ce dernier, le fameux Comité des droits de l’homme de l’ONU, qui est à l’origine de la décision dite « Baby Loup » du 10 août 2018, concernant le licenciement, en 2008, d’une employée voilée. C’est toujours ce fameux organe qui devrait condamner prochainement la loi sur l’interdiction de la burqa, estimant qu’il s’agit d’une discrimination religieuse.

    Mais que signifie donc cette dernière ? Si l’on se réfère à la base juridique qui a servi à la condamnation de la France pour la décision Baby Loup, c’est précisément le pacte de 1966 relatif aux libertés civiles et politiques, et ratifié par 168 États, et qui mentionne à son article 18 la liberté religieuse. Après le volet juridique, il sera question d’analyser le volet politique. Tout d’abord, il faut souligner le poids, à l’ONU, de l’OCI : cette dernière, avec l’Arabie saoudite, le Pakistan, l’Égypte et la Turquie, s’est faite le fer de lance de la lutte contre « l’islamophobie » et la « diffamation des religions ». Il est à rappeler, au passage, que deux des quatre pays cités pénalisent le blasphème de la peine capitale (l’affaire Asia Bibi le rappelant tristement).

    C’est en s’appuyant sur ces concepts parfaitement flous que le Conseil des droits de l’homme condamna l’initiative populaire suisse sur les minarets, puis adopta, en 2011, en raison de la passivité de l’administration Obama et de l’Union européenne, la fameuse résolution 16/18 condamnant la diffamation des religions (en réalité l’islam). Les pays musulmans et l’OCI pratiquant depuis des années une stratégie d’entrisme au sein des institutions onusiennes, les récents verdicts deviennent moins surprenants.

    Il reste donc à la France de ne pas céder à ce diktat insupportable. Le vrai danger réside dans un revirement de jurisprudence de la Cour de cassation : celui-ci aboutirait à une solution totalement contradictoire avec celles qui avaient été prises ces dernières années. En effet, d’autres juridictions internationales avaient emboîté le pas de la France, la Cour de justice de l’Union européenne dans ses arrêts Achbita et Bougnaoui de 2017 (admettant qu’une règle interne prohibant le port de signes religieux peut être justifiée par un objectif légitime). Même la gardienne du politiquement correct (pas franchement réputée pour ses prises de position identitaires), la Cour européenne des droits de l’homme, n’a pas jugé contraire à l’article 9 de la Convention européenne des droits de l’homme la loi du 15 mars 2004 interdisant les signes religieux dans l’enseignement secondaire (Dogru c. France 2008 ; Aktas c. France 2009).

    Un revirement serait un signal désastreux par rapport au sacro-saint principe de laïcité, mais surtout sur le plan civilisationnel, où cela serait perçu comme une véritable capitulation. C’est pourquoi le pouvoir politique ne doit rien laisser passer ; sinon, ce qui constituait encore un morceau de notre fierté française s’évaporera. La prochaine étape serait un retour du voile à l’école puis dans les administrations, achevant encore plus notre identité, faisant basculer notre pays dans les bras du multiculturalisme avant peut-être l’islamisation, qui pourrait bien être irréversible et achever 1.500 ans d’Histoire.

    Pierre Louis

    http://www.bvoltaire.fr/burqa-la-france-ne-doit-rien-ceder-au-diktat-onusien/

  • La Grèce détecte l’arrivée massive de jihadistes

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    Alors que l’arrivée de jihadistes mêlés au flot de migrants entrant dans l’Union européenne par la Grèce était jusqu’ici anecdotique, l’alerte vient d’être lancée face à une arrivée plus massive.

    Depuis la signature de l’accord russo-turc de Sotchi, plus d’un millier de combattants de Daech et d’Al-Qaïda ont été discrètement exfiltrés d’Idleb par le Millî İstihbarat Teşkilatı (services secrets turcs).

    La police grecque a détecté au moins 120 jihadistes parmi les nouveaux immigrants, notamment dans le camp de Moria, sur l’île de Lesbos.

    Ces individus ne figurent pas sur le fichier des 5 000 jihadistes dont disposent les autorités européennes. Ils ont été identifiés grâce aux dénonciations d’autres migrants qui en ont été victimes en Syrie et en Irak.

    https://www.egaliteetreconciliation.fr/La-Grece-detecte-l-arrivee-massive-de-jihadistes-52487.html

  • Trente-cinq ans après, les Beurs pourraient reprendre leur marche

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    « La Marche pour l’égalité et contre le racisme » a débuté le samedi 15 octobre 1983, il y a trente-cinq ans, dans une grande indifférence générale. Une petite poignée de « Beurs », environ une vingtaine, partent de quartiers difficiles de Marseille (La Cayolle) pour rejoindre Paris. Cette marche entend pointer du doigt plusieurs « dysfonctionnements » : chômage, pauvreté, violences policières dans les banlieues.

    Le fait générateur de cette marche a eu lieu quelques mois auparavant, très exactement le 20 juin 1983 à deux heures du matin, quand un maître-chien de la police a tiré sur Toumi Djaïdja, jeune président de l’association SOS Avenir Minguettes. Après un passage par Grenoble et Lyon, le cortège, qui grossit au fil des jours, arrive à Paris le 3 décembre. Ils sont 100.000 personnes à défiler entre la Bastille et Montparnasse. Mais on n’y trouve pas encore les personnalités politiques en devenir. Les grandes figures de l’association SOS Racisme, créée en 1984 (Harlem Désir, Julien Dray, Malek Boutih), n’émergeront que plus d’un an après, dans la foulée de la création de l’association affiliée au Parti socialiste. Le 3 décembre au soir, François Mitterrand reçoit les marcheurs à l’Élysée.

    Que reste-t-il, aujourd’hui, de ces marcheurs dont l’action, dans l’histoire de l’immigration, peut être considérée comme le premier « coup de gueule » des jeunes de banlieues de la deuxième génération d’immigrés ? À vrai dire, pas grand-chose. Le meneur, Toumi Djaïdja, est vite sorti des radars médiatiques après avoir été condamné en 1984 pour un braquage commis en 1982. Il est gracié par François Mitterrand quelques semaines après sa condamnation. Un autre meneur, Djamel Atallah, dégoûté par l’entrisme des « faux anti-racistes » du Parti socialiste, abandonne tout engagement associatif et politique. À lire une interview qu’il a accordée il y a cinq ans au Nouvel Observateur en 2013, à l’occasion des trente ans de la marche, il considère que rien n’a changé et que, pire, la situation s’est aggravée :

    « Avant, nous étions considérés comme pas vraiment français, comme des gens qui s’incrustaient. Aujourd’hui, c’est pire, on nous considère comme l’ennemi intérieur, la cinquième colonne. »

    Force est de reconnaître que les politiques de la ville menées depuis plus d’un quart de siècle pour guérir ces banlieues malades, « réduire les inégalités »« enrayer la dégradation physique et sociale » des quartiers sensibles, ou encore « favoriser l’emploi et l’insertion » ont été, au mieux, des politiques incertaines ou opaques et, au pire, des politiques d’échec. Loin de résoudre les problèmes, elles ont, dans certains cas, connu des effets pervers : favoriser le phénomène de ghettoïsation, cultiver les économies souterraines et parallèles, et encore être le terreau de nombreux fondamentalismes et de phénomènes criminels. De quoi inciter les « Beurs » à reprendre leur marche ?

    Henri Saint-Amand

    http://www.bvoltaire.fr/35-ans-apres-les-beurs-pourraient-reprendre-leur-marche/

  • Impôts et cotisations en France dépassent pour la première fois les 1 000 milliards d'euros annuels

    Impôts et cotisations en France dépassent pour la première fois les 1 000 milliards d'euros annuels
    © PHILIPPE HUGUEN Source: AFP (Image d'illustration).

    C'est une première : selon un rapport parlementaire, les prélèvements obligatoires ont dépassé les 1000 milliards d’euros en France en 2017, le plus haut niveau jamais atteint. Cela représente 45% du PIB.

    Les prélèvements obligatoires ont dépassé pour la première fois la barre des 1 000 milliards d'euros en France en 2017, année de transition entre le quinquennat de François Hollande et celui d'Emmanuel Macron, selon un rapport parlementaire sur le projet de budget 2019.

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  • Les autorités allemandes cachent-elles les chiffres réels des viols dans les centres de réfugiés ?

    Les autorités allemandes cachent-elles les chiffres réels des viols dans les centres de réfugiés ?© Kai Pfaffenbach Source: Reuters
    Une femme syrienne dans un centre d'hébergement près de Francfort.

    Par peur de la réaction des populations locales, les autorités allemandes minimiseraient les cas d’agressions sexuelles et de viols commis au sein des centres d’hébergement. C’est ce que dénoncent les syndicats de police et plusieurs ONG.

    Alors que l’arrivée des réfugiés en Allemagne se poursuit, le chef du syndicat de police allemand, Rainer Wendt, a affirmé récemment que les autorités en charge de l’accueil des migrants dans les Länder omettaient délibérément de signaler une grande partie des agressions dont les femmes sont victimes dans les centres d’hébergement.

    Ce choix serait issu de la volonté de calmer les choses, «ce qui est compréhensible» selon Rainer Wendt, mais «totalement contre-productif» car cela revient à «se voiler la face et ignorer la réalité».  

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  • Rappel : En images. Refuge de migrants, un lycée désaffecté devenu "ingérable"

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    "Ce lieu, il faut l'évacuer, c'est ingérable" jugent les associations et les pouvoirs publics | AFP

    Bagarres, vols, insalubrité, et même racket : 700 migrants s'entassent dans un lycée parisien désaffecté. Un "lieu qui craint" et qui devrait bientôt être évacué.
    Certes, « c'est mieux que dans la rue », souffle Mustafa, un Afghan. « Mais c'est très difficile de cohabiter avec toutes les nationalités, il y a des bagarres. Chaque communauté a son délégué et on règle cela entre nous. Nous avons fui la guerre, nous voulons être en paix », témoigne en anglais Mustafa, désigné par les siens pour les représenter.
    Des riverains apportent régulièrement des colis pour les habitants de l'ancien lycée Jean-Quarré, dans le XIXe arrondissement, occupé depuis le 31 juillet. Mais les gestes de solidarité peuvent dégénérer, dans cet environnement chaotique. Lorsque Marie arrive, les bras chargés de sacs qui sont aussitôt stockés dans la réserve commune, un attroupement se forme. Une dizaine d'hommes réclame bruyamment un partage immédiat: les sacs sont déchirés, les vêtements pris à la volée.