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magouille et compagnie - Page 1528

  • Le Commissaire européen à l’immigration veut imposer par tous les moyens le Grand Remplacement

    Dimitris Avramopoulos, commissaire européen chargé de l’immigration, affirme que les Européens doivent accepter l’immigration massive en provenance du tiers monde comme la « nouvelle norme », estimant que rien ne permettra à une quelconque partie de l’Union Européenne de rester« homogène et sans immigration ».

    Dans un entretien publié lundi par POLITICO avec pour titre « Les migrants européens sont là pour rester », le commissaire européen démontre sans état d’âme sa vision dictatoriale destinée à imposer à toute l’Europe le plan d’immigration de grand remplacement.

    Comme pour se convaincre qu’il n’existe pas d’autre voie possible, le commissaire européen déclare :

    « Il est temps d’affronter la vérité. Nous ne pouvons pas et ne pourrons jamais arrêter l’immigration. »

    Et de livrer une petite explication :

    « L’immigration est profondément liée à nos politiques en matière d’économie, de commerce, d’éducation et d’emploi – pour n’en citer que quelques-unes. »

    Le commissaire européen Avramopoulos avoue que les institutions européennes ne considèrent pas les « réfugiés » comme des personnes accueillies temporairement en Europe le temps qu’une guerre dans leur pays d’origine se termine, mais bien au contraire comme une transplantation permanente de populations extra-européennes dans les pays de l’UE.

    « Ils ont trouvé la sécurité en Europe, mais nous devons aussi veiller à ce qu’ils trouvent un foyer », écrit-il à propos de ces immigrés, précisant que programmer les Européens à l’accueil de l’immigration de masse est « non seulement un impératif moral », mais aussi « un impératif économique et social pour notre continent vieillissant – et l’un des plus grands défis dans l’avenir proche ».

    Or, ce sont ces mêmes institutions européennes qui ont tant manœuvré pour imposer par ailleurs sur notre continent une politique malthusienne faite de pilules contraceptives, d’avortements, de divorces et d’attaques répétées contre l’institution familiale, provoquant inexorablement de la sorte le déclin démographique qui permet de justifier ensuite l’immigration massive comme LA solution au vieillissement orchestré de notre population.

    Loin de se limiter à faciliter l’immigration massive en cours, le commissaire européen explique que la Commission s’emploie également à « renforcer les voies légales d’immigration économique grâce à une Carte Bleue plus ambitieuse pour les travailleurs hautement qualifiés et à lancer des projets pilotes ciblés de migration de main-d’œuvre dans les principaux pays du tiers-monde ».

    Mais malgré cette propagande, le commissaire européen constate que les personnes d’origine non européenne vivant en Europe sont beaucoup plus susceptibles de vivre d’aides sociales, d’allocations de chômage ou de bas salaires, au point que la Commission européenne a même souligné que des « mesures d’intégration » seraient nécessaires pour accueillir ces immigrés qu’elle prétend être essentiels aux économies du continent.

    Le commissaire européen a également félicité POLITICO pour avoir publié une série d’articles qui accusent l’Europe d’être « trop blanche » et invitent l’UE à prendre des mesures qui encourageraient le remplacement des Européens de souche par des « personnes de couleur » dans les emplois.

    Le commissaire à l’immigration estime que tout cela n’est pas encore « suffisant pour provoquer les changements dont nos sociétés ont besoin pour être prêtes à affronter les réalités du XXIe siècle ».

    Le commissaire européen Avramopoulos n’a pas manqué de désapprouver les mesures prises par les gouvernements d’Europe centrale pour s’opposer à cette immigration. « Il est naïf de penser que nos sociétés resteront homogènes et sans immigration si l’on érige des clôtures », a-t-il déclaré, avant de conclure que « La seule façon de rendre nos politiques d’asile et d’immigration pérennes, c’est de commencer par changer collectivement notre façon de penser ».

    Curieusement, lorsque ce même commissaire européen se rend en Israël, il ne trouve pas nécessaire de critiquer les clôtures israéliennes ni les mesures prises par ce pays pour garantir une forme d’homogénéité et ne tolérer qu’une immigration très sélectionnée.

  • L’islam à la conquête de l’école

    Islamconqueteecole-600x785.jpgIl y a 28 ans, à Creil, à travers le voile de trois jeunes filles, une lutte âpre s’est engagée entre les Résistants à l’islamisation de notre pays et ceux qui désirent faire de notre pays le 58e pays musulman de la planète. Ces derniers ont compris que l’école était le terrain de choix pour manipuler les mentalités, les changer, falsifier l’histoire et imposer à nos jeunes enfants l’omniprésence de l’islam.

    Malgré les 1400 ans de conquêtes, de rapines, d’enlèvements des nôtres et leur mise en esclavage, l’islam, désormais, est présenté en classe comme une “religion de paix et d’amour”… Pire encore, rien ne sera épargné à nos enfants : accompagnatrices voilées, enseignement de l’arabe, invitation de rappeurs et de voilées, prosélytisme actif pro-immigration, formation de nos enseignants par des activistes musulmans, disparition de Charles Martel mais étude des Empires africains… et Belkacem !

    Ce petit ouvrage de Christine Tasin montre les différents aspects de l’endoctrinement de nos enfants, nomme les responsables politiques français et européens et remonte à la clé de tout, un document musulman de 2000 expliquant comment et pourquoi l’islam doit partir à la conquête de l’école.

    Pour commander cet ouvrage : https://ripostelaique.com/lislam-a-la-conquete-de-lecole-le-terrifiant-livre-choc-de-christine-tasin.html

    https://fr.novopress.info/208925/lislam-a-la-conquete-de-lecole/

  • Merci pour ce moment…à grand coup de bûche de bonheur

    Saint-Nicolas.jpgÉvoquant l’élection de Miss France diffusée samedi sur TF1, une cht’i de souche, Maëva Coucke (une insupportable provocation raciste?),  le journaliste d’Europe 1 David Abiker a commis ce tweet assez drôle, en pleine polémique désormais habituelle initiée par d’ autoproclamés féministes et autres défenseurs des minorités opprimées : « je trouve que le concours miss France a une approche légèrement genrée de la compétition et assez peu inclusive des moches. » En Autriche, la récente compétition électorale législative a été elle aussi assez peu inclusive pour la gauche de manière générale, et les euromondialistes en particulier. Vainqueur de ce scrutin, le jeune conservateur assumé Sebastian Kurz du Parti populaire (ÖVP) vient de conclure une alliance de gouvernement avec nos amis de l’opposition nationale autrichienne du Parti de la liberté (FPÖ). Ceux-ci ont obtenu six portefeuilles dans ce nouveau gouvernement dont trois ministères régaliens (l’Intérieur confié à Herbert Kickl , la Défense  attribué à Mario Kunasek, les Affaires étrangères à Karin Kneissl).  Le président du FPÖ,  Heinz-Christian Sträche,  est nommé pour sa part vice-chancelier et ministre de la Fonction publique et des Sports, l’ex candidat national  à la présidentielle Norber Hofer  à la tête du  ministère des transports…

    Les nationaux Autrichiens sont donc de retour aux affaires 17 ans après les négociations menées par leur ancien dirigeant Jörg Haider qui, au terme des législatives de 1999,  avait vu  le FPÖ  (26,9 % des voix)  nouer  une alliance de gouvernement en 2000  avec l’ ÖVP présidée à l’époque par Wolfgang Schüssel. Un accord  qui eut alors pour conséquence la mise au ban de l’Autriche par les instances de l’UE   et les médias-gardiens-du-dogme  qui avaient hurlé au retour  de la Bête immonde. La montée en puissance des mouvements nationaux,  patriotes, populistes  au sein de l’Union européenne, la résistance du groupe de Visegrad aux oukases bruxelloises,  rendront cette fois beaucoup plus difficile un ostracisme aussi délirant… et nettement moins audible une  propagande aussi grossière.

    Le  vice-président du FN Nicolas Bay, invité hier de l’émission Questions politiques pour France Inter, franceinfo et Le Monde,  s’est félicité de cette entrée au gouvernement du FPÖ  dont les députés européens siègent aux côtés de ceux FN au sein du groupe ENL. Nationaux qui « défendent l’identité de l’Autriche dans l’Europe des Nations », « exactement la même position que celle du Front national.  » « Un accord de gouvernement  de ce type n’est peut-être pas forcement exportable  en France  a noté Nicolas, parce que la situation autrichienne n’est pas forcément la même »,  mais il est « la preuve que nos alliés sont prêts à travailler à l’intérêt général des Autrichiens, mais d’une manière générale, de l’Europe et des peuples européens. »

    Les lignes peuvent-elles aussi bouger en dans notre pays ? C’est la grande peur d’une large partie du microcosme politico-médiatique.   Le quotidien suisse Le Temps l’exprime en expliquant à ses lecteurs que  « L’Autriche inaugure une expérience dont l’issue sera scrutée par toutes les droites classiques du continent. Aux Pays-Bas, cette droite a barré la route à Geert Wilders en s’appropriant en grande partie ses idées. En France, Les Républicains espèrent renaître en s’alignant sur la politique du Front National. Ce pari de l’accommodement – dont rien n’indique qu’il barrera la route à l’extrême droite – met en jeu l’avenir même de nos démocraties.  »

    La juppéiste ralliée opportunément à Laurent Wauquiez, Virginie Calmels, avait créé l’émoi en affirmant la semaine dernière que son parti refusait « pour le moment » la main tendue de Marine, toute alliance, même locale, municipale,  avec le FN. Cette formulation pour le moment a heurté la droite sous influence idéologique de la gauche.  Mme Calmels  a donc voulu  rectifier  le tir sur twitter et sur France info:  « Jamais on ne pourra m’accuser de vouloir faire quelconques accords avec le FN.  » «Pour le moment, ça n’a jamais eu lieu et ça n’aura jamais lieu », a-t-elle insisté.  « Souvent, j’envie Manuel Valls. Quand il dit un certain nombre de choses sur l’islam radical, lui, on ne lui fait pas le procès de tutoyer le FN (sic). Alors que quand on est de droite, on nous fait ce procès. »

    De droite ?  Celle de l’humaniste-juppéiste Dominique Bussereau, président LR du département de Charente-Maritime,  qui a appelé à voter PS pour faire barrage au FN, est à l’abri de ce genre de critiques. Lundi dernier sur Sud Radio, il s’interrogeait sur son ralliement éventuel au parti d’Emmanuel Macron et ajoutait: « le FN, c’est tout ce que j’exècre dans la vie politique. Pour moi, l’idée d’un rapprochement ce n’est même pas une ligne rouge, c’est une ligne violette. Cette phrase est très maladroite, il n’aurait pas fallu la prononcer. » M. Busserau par ses outrances pathétiques  vis-à-vis de l’opposition patriotique représente il est vrai tout ce que le peuple de la droite des valeurs rejette.  Son tweet du 28 avril dernier consécutif au soutien apporté par Nicolas Dupont-Aignan à Marine dans l’entre deux tours de la présidentielle n’a pas non plus  été oublié: « Soi disant gaulliste mais en réalité pétainiste, Dupont-Aignan doit être battu aux législatives et dans sa commune. Vrai collabo. » Et M. Bussereau est un vrai quoi ?

    Cette  droite démonétisée, celle qui conjugue trahison des promesses,  impuissance une fois au pouvoir  et  fulminations inquisitoriales est dénoncée par beaucoup de nos compatriotes. Elle est jugée, à juste titre, grandement responsable de  l’immigration-invasion, du grand remplacement,  de la paupérisation-tiers-mondisation de notre pays, de son affaiblissement, de son déclassement social, économique, identitaire.

    Invité ce matin de l’antenne  de RTL, le ministre de l’Intérieur  Gérard Collomb comme M. Wauquiez et tous ses prédécesseurs place Beauvau  depuis trente ans,  a promis de la fermeté, une augmentation des expulsions des clandestins.  « Aujourd’hui, nous ne savons qui se trouvent dans ces centres (d’accueil des migrants) . On pense qu’il y a à peu près un tiers des personnes qui sont des réfugiés, un tiers qui sont des déboutés et un autre tiers dont il faut évaluer la situation »,  environ 103 000 personnes a-t-il dit.  Et  s’il a  reconnu  que nous ne pouvons pas accueillir  toute la misère du monde – «il y a 95 000 demandes d’asile par an, c’est-à-dire une grande ville chaque année »-  il  a réaffirmé de manière contradictoire  la décision  d’ouvrir notre territoire « à  celles et ceux qui sont réfugiés des théâtres de guerre (ça fait beaucoup de monde M. Collomb!, NDLR) , qui sont prisonniers politiques, mais en même temps (sic)  d’essayer de mener une politique qui permette que les migrations économiques soient menées de manière autre.  » Tout cela est bien flou et quand c’est flou il y a un loup selon la célèbre formule de Martine Aubry

    Une immigration qui pèse sur des pans entiers de notre société et notamment à l’école. Valeurs actuellesrelayait  l’enquête annuelle d’Ipsos sur La relation à l’autre et aux minorités , dévoilée dans Le Point, selon laquelle « plus de la moitié des professeurs interrogés admettent avoir déjà été confrontés à l’hostilité de leurs élèves sur certains sujets. Ainsi, 56% des enseignants ont déjà rencontrés des difficultés avec des élèves en cours d’histoire, notamment sur les questions de religions, de croisades et de décolonisation. Même chose en cours de SVT où 51% des enseignants ont déjà eu maille à partir avec leurs élèves, en particulier sur les sujets de biologie sexuelle et de théorie de l’évolution. Ces chiffres passent à 78% et 70% chez les enseignants en zones sensibles. »

    Immigration massive qui conduit de nombreux pays occidentaux  à l’acculturation… au nom du multiculturalisme, afin de ne pas heurter la sensibilité des minorités, comme si elles arrivaient dans des pays qui étaient des pages  blanches, sans passé, sans traditions, sans culture autochtone. Le site canadien Le Peuple indiquait  dernièrement  qu’« après la compagnie General Motors qui n’ose plus parler d’un arbre de Noël, mais plutôt d’un  arbre des fêtes , c’est au tour cette fois de deux autres compagnies, IGA et Vachon, de se distancier cette année des fêtes chrétiennes. Du côté d’IGA, on apprend (…)  que la compagnie ne vend pas des bûches de Noël, mais des  bûches du bonheur ; et sur celles-ci, on y souhaite non pas un joyeux Noël, mais de  joyeuses fêtes (…). Du côté de Vachon (…)  sur un emballage pour une  bûche des fêtes (…) on souhaite de  joyeuses fêtes  plutôt qu’un joyeux Noël. » Le pli  de ne plus prononcer le nom honni de Noël est pris de manière plus générale depuis longtemps par nos médias français, les grandes enseignes, la pub…

    Gilles-William Goldnadel, chroniqueur dans l’émission de Thierry Ardisson sur C8, s’indignait hier soir de ce que le marché de Noël de Bruxelles ait été rebaptisé par son maire Loisirs d’hiver,  tandis que la Croix rouge dans cette même ville entendait se renommer La rouge, afin de faire disparaître  le mot  croix… dans le but de faciliter le vivre-ensemble (?), de respecter les populations allogènes faisant appel à ses services (?). Une offensive qui est aussi le produit du travail de sape mené par des personnalités politiques, des  officines et autres lobbies cosmopolites œuvrant sous nos latitudes à la mise en place de sociétés proprement orwelliennes.

    Me Goldnadel  rappelait aussi qu’il  y a vingt-et-un ans, le quotidien de référence Le Monde pouvait tranquillement évoquer dans un article l’inauguration par le maire de Paris Xavier Tibéri et sa femme  de la traditionnelle crèche de Noël  sur le parvis de l’hôtel  de ville, bien impensable aujourd’hui… Il est certain, constate Bruno Gollnisch, que la polémique de ces dernières années sur la présence de  crèches dans l’espace public est un indicateur assez révélateur de la montée en puissance des attaques contre notre mémoire. Racines, valeurs de notre magnifique civilisation helléno-chrétienne, vision du monde des peuples européens  menacées aujourd’hui certes  par une immigration  torrentielle. Mais cette dernière  n’est jamais  que le fruit empoisonné – ce n’est pas le seul, loin s’en faut - d’une idéologie mondialiste qui ne manque pas de collabos, comme dirait M. Bussereau, au sein d’un  Système à tuer les peuples dont les pays du sud sont  aussi les  victimes. 

    https://gollnisch.com/2017/12/18/merci-moment-a-grand-coup-de-buche-de-bonheur/

  • Hypocrisie : Après le Cahuzac, le cas Hulot, par Caroline Parmentier

    Hulot_officielle_810_540-600x400.jpg

    9011-20171219.jpgAvec neuf véhicules motorisés, la flotte pétaradante et réchauffante de Nicolas Hulot, balance les particules fines dans les poumons des enfants et flingue les ours blancs. Bravo le commissaire politique au carbone, le tartuffe écolo ! Le respect de la planète, c’est bon pour les pauvres.

    « Celui-là c’est pour transporter mes chevaux, celui-là c’est pour ma villa en Corse, celui-là c’est pour aller chercher mon pépé en Bretagne et celui-ci j’y tiens beaucoup »… Comme un enfant gâté qui refuse de donner un seul de ses milliers de jouets au Secours Catholique avant Noël, Nicolas Hulot a une bonne justification pour chacun de ses joujoux. La transition écologique, c’est pour les sans-dents.

    S’il n’y a pas moins d’une douzaine de millionnaires dans le gouvernement du « président des riches », Hulot avec sa fortune estimée à 7,3 millions d’euros, détient le deuxième patrimoine de l’équipe, derrière le ministre du Travail, Muriel Pénicaud. Mais c’est surtout son impressionnante armada motorisée qui fait mauvaise impression de la part de ce chantre de la religion dominante qui fait régulièrement le procès de l’humanité et passe son temps à culpabiliser les gens : six voitures, une moto, un scooter et un bateau !

    Le pollueur millionnaire

    Son 4×4, un Land Rover vieux de 20 ans, véritable arme de destruction écologique massive, « reste en Corse » se défend-il. Les amoureux de l’Ile de Beauté apprécieront. Sa 2 CV, tellement bobo, vieille de 30 ans, « est conduite par sa fille ». Merci pour les poussettes qui croisent le chemin de son pot d’échappement. Son van ? C’est bien la moindre des choses car comment sa femme transporterait-elle « ses chevaux » sinon ? Et sa Volkswagen, c’est « pour les vacances en famille ». Merci pour les autres familles, celles qui stationnent derrière eux dans les bouchons du péage de Rocquencourt.

    Nicolas Hulot, le ministre emblématique qu’Emmanuel Macron voulait tellement dans son gouvernement, nous évoque un peu ces gourous de secte qui face à la menace d’une fin des temps qu’ils annoncent imminente, nous conseille de renoncer à tout, d’abandonner nos voitures, de ne plus manger de viande, de ne plus prendre de bains, de ne plus toucher à un sac en plastique sous peine de mort. Et que l’on retrouve dans un jacuzzi bouillonnant géant avec trente disciples, dévorant des quartiers de viande, à bord d’un yacht qui crache une marée noire…

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 19 décembre 2017

    https://fr.novopress.info/

  • L'État républicain n'assume pas les conséquences de ses actes

    Ce n'est certainement pas une surprise pour les lecteurs du Salon Beige, mais en cette occurrence, le bouchon est poussé très loin, comme le présente ce reportage.

    Notez que ce reportage a été présenté lors du premier journal télévisé de RT France, en français, dont vous trouverez l'intégrale ici.

    Paula Corbulon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Tout est bon pour lobotomiser l’homme : Qui se souvient des hommes (*)

    Par Laurence Maugest, philosophe et essayiste ♦ Entendu le 16 novembre dernier sur France Info (Intox) lors d’un débat sur la grande affaire actuelle du harcèlement sexuel : « C’est toute la société qui doit se mobiliser pour réguler les hommes déviants » (sic). Depuis des semaines, les annonces semblent indiquer que les dérapages masculins sont quotidiens. Les affaires se multiplient d’une façon phénoménale, les émissions s’enchaînent. En dépit de la somme de spécialistes invités sur les plateaux de télévision ou de radio, les propos se bornent à des constats outrés. Tous les jours, les affaires tombent comme les feuilles actuellement. Les médias se mobilisent autour du hashtag qui, suivant l’adage « Il n’y a pas de fumée sans feu », conduit à condamner sans procès et biaise une réflexion qui devrait être impartiale mais qui se transforme en pensée unique sous la pression de la doxa habituelle.

    Occulter l’autre – Apologie du miroir

    Aucune analyse sur des effets éventuels de la grande liberté sexuelle des années 1970. L’individu, comme le montre si bien Bérénice Levet, est constitué d’histoire et de tradition ; il est un fruit de l’Occident. Mais cet individu n’est-il pas mort, décomposé en « Homo festivus », qui, sans hérédité ni enracinement, se recroqueville sur les plaisirs immédiats qui font de lui un Narcisse égoïste ? Narcisse qui s’admire « comme s’il était un autre » et ne peut, en aucun cas, développer la « notion d’altérité », son autre de prédilection étant définitivement lui-même. Les autres ne sont que les objets de son strict plaisir. C’est ainsi que des femmes font des enfants pour elles, s’en débarrassent si ce n’est pas leur choix d’en avoir, et que les hommes se laissent aller à leurs pulsions.

    Les mis au pilori du hashtag ne sont-ils pas, en définitive, les bons élèves de l’école de la rue de 1968 : « Jouir sans entrave » et « Il est interdit d’interdire » ?

    Occulter l’intelligence – La délation ne fait pas loi

    Le fait d’être allé si vite vers la délation est aussi une façon d’écarter toute étape d’analyse, de réflexion et de jugement réel. Mais, ce fac-similé de tribunal n’a rien de consensuel ni de formel. Il n’est en fait qu’une succession de relents personnels, juxtaposés, qui montre, encore une fois, l’atomisation de la société et le trop d’importance que l’on donne à l’expression individuelle plus qu’à l’individu lui-même d’ailleurs. En effet, le rôle de procureur que l’on offre à ce dernier est parfaitement illusoire, virtuel et infondé car il ne s’inscrit sur aucune loi mais sur un flux quotidien de catharsis épidermiques voire d’exhibitionnisme. Ce règlement de compte parfaitement barbare où les recherches de vérité et de justice sont absentes témoigne, encore une fois, de l’état de primarité de l’Homo festivus.

    Occulter la sensibilité au profit de l’émotionnel médiatique

    Ces raz-de-marée émotionnels deviennent les réponses systématiques face aux questions graves qui touchent notre société, du terrorisme aux attaques sexuelles. Pourtant, ils n’apportent aucune solution pérenne, ne s’inspirent pas de repères d’autorité réelle sur lesquels la société pourrait collectivement se fédérer. Aucun cap n’est identifiable dans un tel brouhaha où la parole, si bien libérée, perd toute sa valeur dans une cacophonie brouillonne. Sans repère collectif d’autorité, nous sommes à des années-lumière de l’hypnotique « vivre-ensemble ».

    Les médias cherchent à s’imposer comme une cour de justice où s’abreuve l’opinion publique. Ils peuvent ainsi influer de façon considérable sur les champs intimes et fondamentaux de la société comme ici la relation homme/femme.

    Leur choix est fait et s’exprime tous les jours, à chaque minute, pour notre malheur et leurs priorités crèvent leurs écrans plats. Ils privilégient, encore une fois, l’émotionnel particulièrement inflammable dans le domaine de la sexualité, pour nuire à toute approche analytique.

    • Cultiver encore et toujours les pulsions individuelles pour éviter la force de l’union et encourager les comportements convulsifs chéris par les lois du Marché.
    • Attiser l’émotionnel pour éviter la réflexion qui pourrait nous amener à réaliser que la liberté sexuelle imposée en 1968 aboutit à un emprisonnement de l’homme et de la femme et à une judiciarisation galopante des relations amoureuses.

    Manipulation réussie

    Leur manipulation fonctionne bien car le nombre de témoignages devrait nous alarmer comme signes de grande difficulté relationnelle entre les hommes et les femmes. Et pourtant il n’en est rien. Nous arrivons à postuler et à entendre sans sourciller « C’est toute la société qui doit se mobiliser pour réguler les hommes déviants », et jamais nous ne nous posons la question évidente « Pourquoi autant de déviance ? ». On ne remet jamais en cause la réalité « du Progrès » dont on se croit les enfants. On ne remet jamais en cause l’idéologie consumériste-libertaire dominante en dépit de la réalité criante de son échec. Nous devrions être amenés à constater que cette doctrine qui promulgue la toute liberté individuelle, est néfaste à la société. Et pourtant, il n’en est rien. Nous nous laissons mener par des vues de plus en plus aberrantes et déconnectées de la réalité.

    Comme l’URSS qui a tenté de remédier aux effets négatifs de sa politique en rajoutant du communisme au communisme, nous nous enfonçons de plus en plus dans nos utopies maladives : de l’apologie de l’homosexualité aux élucubrations du Genre, en passant tristement par les cours d’éducation sexuelle en maternelle…

    La finalité des insertions obscènes qui nous assaillent sur les écrans et dans les villes, qui vont jusqu’à promouvoir la zoophilie, n’est-elle pas d’humilier l’humain ? de l’éloigner radicalement de cet être pensant, ciselé par des siècles de philosophie, de chrétienté, d’art et de sciences ?

    Il faut avoir une bonne image de soi-même, de son espèce humaine pour avoir envie de se développer, de découvrir et de s’élever. Il est nécessaire, non seulement de reconnaître sa nature, mais aussi d’être conscient de sa richesse. Nous constatons que l’idéologie consumériste-libertaire cherche délibérément à nier ou, pire, à railler l’essence même de la nature humaine. Ses besoins de transcendance et d’immatérialité sont régulièrement broyés par le consumérisme alors que le versant libertaire défend une indifférenciation sexuelle tout en restant obsédé par la sexualité.

    Ce refus de la spécificité des sexes s’attaque essentiellement à la virilité qui est mise sous la haute surveillance d’une méfiance continue à coups de campagnes médiatiques. Ce sont là des tentatives régulières de nuire à l’expression de la virilité en la reliant, sans cesse, à des actes de violence réelle et grave. C’est une déconstruction organisée des qualités vitales que la virilité apporte à la société : l’autorité, la vigueur et l’épanouissement de la féminité.

    Nous voyons là, sous nos yeux, une stratégie d’émasculation et une envie évidente de faire pousser des troupeaux bêlants à proximité des caisses des centres commerciaux.

    Tout est bon pour lobotomiser l’homme au quotidien, pour le placer quelque part entre l’animal et le robot sur la nouvelle chaîne de l’évolution construite par ceux qui veulent asservir les peuples. Davos, Bilderberg, Macron et consorts. Qui se souviendra des hommes ?

    Laurence Maugest 24/11/2017

    Voir aussi :

    (*)  « QUI SE SOUVIENT DES HOMMES… » Chef-d’œuvre de Jean Raspail

    https://www.polemia.com/tout-est-bon-pour-lobotomiser-lhomme-qui-se-souvient-des-hommes/

  • P. Jovanovic : Quand l’Europe se met à ressembler à la république de Weimar - Poléco n° 152

  • Une mort digne des vieux Romains

    Georges Feltin-Tracol

    3914100264.jpgAu IVe siècle de notre ère, en plein Bas-Empire romain, Dioclétien et les autres empereurs illyriens redressèrent pour au moins trois quarts de siècle l’État impérial romain d’Occident. Lointains descendants de ces énergiques Illyriens, les Croates adopteraient-ils l’antique vertu des vieux Romains chers à Caton l’Ancien ?

    Probablement depuis ce 29 novembre dernier. Ce jour-là, en pleine audience du Tribunal pénal international sur l’ex-Yougoslavie (TPIY), le lieutenant-général croate Slobodan Praljak, 72 ans, avalait du cyanure juste après avoir entendu l’énoncé du verdict. Quelques instants auparavant, il avait jeté à la face veule du président falot de ce soi-disant tribunal un tonitruant « Je rejette avec mépris votre verdict ».

    Slobodan Praljak s’était rendu au TPIY en 2004. Jugé en première instance en 2013 et condamné à 20 ans de prison pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre, cet ancien officier supérieur, membre du Conseil de défense croate en Bosnie-Herzégovine, avait été dans les années 1980 en Yougoslavie post-titiste un directeur de théâtre, puis le réalisateur de séries télévisées locales remarquées.

    Indigné par la lourdeur de la peine, ce patriote croate avait fait appel tout en se doutant que la sentence serait confirmée parce que le TPIY est une juridiction partiale inféodée au cosmopolitisme. En se donnant la mort en direct, Slobodan Praljak a ainsi réfuté le TPIY et son prolongement tératologique, la Cour pénale internationale.

    Attaché à ce sentiment très romain de la liberté, Monsieur Praljak a prouvé qu’il valait mieux mourir debout plutôt que vivre à genoux une vie entière emprisonnée. L’Europe des peuples vivants a un nouvel héros, un vrai, celui-là ! Honneur donc à Slobodan Praljak !

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 57, diffusée sur Radio-Libertés, le 15 décembre 2017.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/12/17/une-mort-digne-des-vieux-romains-6009266.html

  • Ne faites pas d'amalgame, sauf entre les islamistes et les catholiques

    6a00d83451619c69e201b8d2c7cb73970c-320wi.jpgMarianne vient de publier un hors-série (« Intégristes et fous de Dieu, 400 ans de guerres contre les libertés » (Hors-série décembre 2017 -janvier 2018) faisant l'amalgame entre des assassins et des catholiques de conviction :

    L'un de nos lecteurs a eu le courage de le lire et revient sur la réécriture de l'Histoire :

    Amalgame

    Ils sont tous pleins. De quoi ? Peu importe. Puisqu’ils ont cette plénitude en commun, le pot de yaourt et le baril de lessive sont évidemment interchangeables. C’est le brillant raisonnement de Marianne. Les intégristes sont tous les mêmes puisqu’ils gardent tous l’intégrité de leur religion. Quelle religion ? Peu importe ! Puisqu’ils ont cet intégrisme en commun, ils sont également condamnables.

    Que l’intégrisme catholique trouve son modèle en un Mgr Lefebvre dont même les ennemis ont dû reconnaître l’exquise charité, tandis que l’intégrisme musulman s’incarne dans le djihadisme, peu importe ! Marianne est incapable de faire la différence. Quant à réaliser que l’on est toujours l’intégriste de quelque chose et que Marianne est celui du laïcisme maçonnique, cela semble tout simplement dépasser ses capacités intellectuelles.

    Bourdes en tout genre

    Rien ne fait peur à Marianne. Un de ses directeurs, Joseph Macé-Scaron n’avait-il pas déjà fait mourir Copernic sur un bûcher ? (15 novembre 2016). Son digne successeur ose annoncer dans un tweet triomphal un « hors-série exceptionnel » sur les Intégristes et fous de Dieu. Après avoir dépensé 6,90 euros, le lecteur sera ravi de découvrir qu’il n’a en mains qu’une compilation de vieux articles, datés parfois de 36 ans ! Pourtant, effort louable : l’avant-propos ainsi que 6 autres pages (sur 97) ont été rédigés pour l’occasion.

    L’écrasante majorité des articles n’est qu’une « version revue et mise à jour », mais comment expliquer que l’on y trouve autant d’erreurs ?

    Marianne est fâchée avec les dates : dès la première page la célèbre bulle Unam Sanctam (1302) est placée en 1308 ; les dates des encycliques pontificales ne sont pas davantage respectées [p. 22] ; un évènement survenu en 1562 est illustré par une gravure « fin XVe siècle » [p. 8] ; Pie IX est censé avoir condamné la « laïcité » dans son Syllabus de 1864, alors que ce mot n’avait pas encore été inventé. Etc. Mais comment attendre l’exactitude de détail de la part de négationnistes déclarés ?

    Négationnisme

    Marianne, lucide, admet que « certaines vérités d’ordre profane, tout aussi absolues et exclusives poussent des gens à tuer ou à se faire tuer : des religions de substitution, comme le communisme par exemple. » [p. 6]. ! Mais l’auteur oublie immédiatement cette concession pour affirmer que : « de toutes les idéologies, la plus exigeante et, à l’occasion la plus meurtrière, est la religion. »

    Si l’on comprend bien, Robespierre, Lénine, Hitler, Mao, Staline et leurs émules ne seraient que des enfants de chœur à côté d’Abraham et de Jésus. Comment comprendre ce passage sinon comme une négation des 100 millions de morts du communisme et, ce qui devrait interpeller la LICRA, des crimes du nazisme lui-même ?

    Le décor est planté. Après ce brillant départ les négations s’enchaînent. On apprend que l’intolérance est une invention monothéiste tandis que « la nature ouverte des polythéismes les conduit structurellement à la tolérance. » [p. 9]. Vieille thèse voltairienne qu’Antoine Guénée avait déjà brillamment réfutée en 1762 (http://urlz.fr/6him). Marianne gagnerait à tenir son historiographie à jour. C’est en tout cas une négation très claire des 300 ans de persécutions antichrétiennes, ce qui n’est pas rien.

    Mais Marianne fait toujours plus fort. Elle présente les écrivains catholiques du XIXe siècle [pp. 18-22] comme des terroristes qui « ouvrent le feu sur la république laïque ». Apparemment, l’auteur, pourtant réputé, n’a pas réalisé que la situation est exactement inverse. La France catholique, déjà agressée par la Terreur de 1792-1793, par les révolutions de 1830 et 1871 et par les « lois laïques » de Jules l’Imposteur (vol des biens de l’Eglise, violences physiques, religieux chassés par les armes, école totalitaire imposant à tous les enfants la religion maçonnique des Droits de l’Homme, discours haineux des anticléricaux etc.). Marianne présente comme les « défenseurs de la laïcité » [p. 19] ceux qui travaillaient, en réalité, à imposer par la violence leur nouvelle religion à un peuple massivement catholique. Elle ose même prétendre qu’en 1905 : « la France […] vote la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat » [p. 20]. Comme si le personnel maçonnique qui avait investi la République avait demandé, sur ce sujet, l’avis de la population française très majoritairement catholique.

    Installé dans le déni, Renaud Dély présente la loi persécutrice de 1905 comme un « texte de concorde » [p. 95]. Il se plaint douloureusement de ce que les « extrémistes » catholiques « continuent de contester de façon plus ou moins souterraine » ce texte sacré de sa religion. Car lui, bien sûr, considère que sa religion va de soi. Elle est obligatoire et doit s’imposer à tous (vous avez dit intégrisme ?). Il se sent même persécuté par les catholiques qui refusent d’y adhérer, et, magnifique dans sa posture de victime, entame son credo républicain dans « l’indispensable laïcité républicaine », cet « idéal d’émancipation », cet « indépassable ciment pour faire vivre le pacte républicain », ce « miracle laïque », « lumineux idéal à perpétuer ». Il célèbre avec Régis Debray la « communion laïque », le « sacré républicain », « réflexe vital d’une âme collective ».

    Figurez-vous, M. Dély, que ce n’est pas de façon souterraine, mais en face et en plein jour, que les catholiques contestent votre idole. Vous affirmez, à la mode maçonnique, que « ce n’est pas la civilisation chrétienne qui a inventé la laïcité, mais la résistance aux violences qu’elle provoqua ». En réalité, la saine distinction du spirituel et du temporel a été apportée par le christianisme. Elie Barnavi l’avoue lui-même aux pages 7-8 de votre éblouissant « hors-série exceptionnel » : rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. Cette saine distinction qui a dominé toute la Chrétienté a été abolie par la Révolution.

    Depuis 1789, César veut être Dieu. Pour se faire Dieu, votre César républicain n’a pas hésité à tuer, massacrer, terroriser. La République maçonnique n’a toujours pas fait repentance pour le génocide vendéen. Comment nier qu’elle ne soit une de ces « religions de substitution » qui « poussent les gens à tuer ou se faire tuer » et même, dans toute l’histoire de France, la plus meurtrière de toutes ?

     par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/12/ne-faites-pas-damalgame-sauf-entre-les-islamistes-et-les-catholiques.html