
A ce niveau de matraquage médiatique, difficile de croire que tout cela n’est pas coordonné par une idéologie, “No Kids”, idéologie individualiste et matérialiste :
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

A ce niveau de matraquage médiatique, difficile de croire que tout cela n’est pas coordonné par une idéologie, “No Kids”, idéologie individualiste et matérialiste :

par Bernard Van Damme
Dans le contexte géopolitique actuel extrêmement mouvant et tendu, l’Europe s’apprête donc à injecter 800 milliards pour financer son réarmement. Une enveloppe qui devrait d’ailleurs se rapprocher plus des 1000 milliards d’euros. Un exercice déjà bien rodé se met en place à l’instar des crises précédentes. Le son de clairon se propage dans tous les médias. La guerre est à nos portes ! Cette fois, nous ne sommes plus en guerre contre un virus, comme avait dit Macron, mais contre les Russes. Un épouvantail bien commode qui réveille dans la mémoire des Européens les peurs de la guerre froide et la Russie amalgamée au fantôme de l’URSS, le meilleur ennemi d’autrefois.

Personne n’a oublié cette scène qui a fait plaisir à des millions de Français, ceux qui ne supportent plus les écolos, et qui, dans le meilleur des cas, ont envie de les jeter dans la fosse à purin, et parfois, de se livrer contre eux à des débordements que la décence interdit de préciser davantage.


Un détenu de la maison d’arrêt de Maubeuge dans le Nord a profité d’une sortie au Zoo de la ville, ce vendredi 28 mars, pour s’évader, selon nos informations.
En début du mois, la BCE a de nouveau baissé son taux directeur, à 2,5%, après la baisse de janvier. Mais malgré la baisse de 150 points de base des taux courts en mois d’un an, les taux longs ont monté, touchant des plus hauts de plus de 10 ans pour l’Allemagne et la France ! Une conséquence du choix trop peu débattu, et complètement absurde aujourd’hui, du resserrement quantitatif.

Alors que les États-Unis assouplissent les restrictions sur la liberté d’expression, l’Europe semble prendre le chemin inverse. Entre lois de surveillance, censure numérique et pressions politiques, le continent durcit son contrôle de l’information, soulevant des inquiétudes sur l’avenir du débat démocratique. Dans ce contexte, il est essentiel de s’interroger sur la nature et l’étendue de cette menace, ainsi que sur les réponses possibles des institutions européennes et des gouvernements nationaux pour préserver l’intégrité de la liberté d’expression. C’est dans cette démarche que Dragana Trifković, directrice du Centre d’études géostratégiques de Belgrade, s’inquiète dans l’article suivant – écrit initialement en anglais – d’une dérive liberticide sur le continent européen.

L’ouvrage de Frédéric Baldan est unique en son genre, car l’auteur partage son expertise de lobbyiste professionnel ayant passé de nombreuses années au cœur des institutions européennes. Son souhait est de permettre au public d’accéder enfin à l’information de manière transparente et loyale, cela afin que les lecteurs puissent bénéficier d’éléments indispensables à la compréhension du fonctionnement de notre société.
Alors que les députés examinent un projet de loi visant à simplifier l’action publique, la question du coût faramineux des agences d’État revient sur le devant de la scène. En 2023, ces structures ont englouti 81 milliards d’euros d’argent public, dans une opacité quasi totale.

En fait, le titre serait réellement beaucoup plus long :
« Climat, réchauffement planétaire, environnement, pollution, ozone, carbone, bilan carbone, décarbonation, mort des océans, élévation du niveau des mers et des océans, fonte des glaciers, disparition des espèces, etc., la plus grande escroquerie planétaire organisée par les dirigeants du monde ! »
Aimer, respecter et protéger la nature, c’est bien. Aimer notre belle planète bleue, c’est bien. Aimer et respecter notre environnement et éviter de le polluer et de le détruire, c’est très bien, à commencer pour nous-mêmes, d’ailleurs. Aimer et respecter le règne animal et le règne végétal, c’est parfait.