En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Contexte d’affrontement entre bandes rivales et un « jeune homme », originaire du quartier des Hautes-Mardelles de Brunoy dans l’Essonne, a été poignardé devant le lycée professionnel Louis-Armand de Yerres, où il n’était cependant pas scolarisé. On imagine parfaitement le profil très habituel des protagonistes. Le maire de Yerres, Olivier Clodong se dit « effondré » par ce drame… toujours les mots forts, le problème, c’est que des effondrés, il y en a tous les jours, parce que ce genre d’histoires, à multiples versions, est devenu un classique de la vie publique en France. Et l’élu de lancer « un cri d’alarme » après ce drame « inhabituel » dans cette commune « très sûre » de l’Essonne, exhortant les jeunes « à ce qu’il n’y ait pas de match retour ». Il devrait atterrir, quand ce n’est pas chez lui, c’est ailleurs. Le département de l’Essonne, territoire compte 1,3 million d’habitants et il est régulièrement le théâtre d’affrontements entre bandes de « jeunes » adolescents.
Dans Le Figaro, on apprend que le président algérien oppose Emmanuel Macron et son gouvernement :
Dans un entretien avec des journalistes de médias publics, retransmis samedi soir à la télévision algérienne, le président Abdelmadjid Tebboune a qualifié la situation politique en France de « brouhaha », de « capharnaüm », et a tenu à l’isoler de sa relation avec Emmanuel Macron, « son unique point de repère ».
Les discours belligérants de l'Europe contre la Russie cachent son incapacité à construire sa défense militaire et à pouvoir engager ses forces armées contre la Russie. L’Union européenne, contrairement à la position des États-Unis, discute – surtout en France – de manière démonstrative de la poursuite du soutien de l’Ukraine et de l’envoi de « soldats de la paix ». Tout cela montre que l'UE vit dans un univers parallèle.
L'UE continue de braver la paix en Ukraine. « Les chefs d'état-major d'une trentaine de pays prêts à contribuer à des garanties de sécurité pour l'Ukraine » étaient, selon France 24, jeudi dernier à Londres – mais sans les États-Unis – pour discuter d'un plan de maintien de la paix en cas de cessez-le-feu avec la Russie.
Sarah Knafo était de passage pendant un quart d’heure chez les Grandes Gueules, animés par les historiques Marschal-Truchot, qui ont perdu de leur sectarisme d’antan.
Reconnaissons qu’ils ont laissé s’exprimer la député européenne, qui a pu expliquer qu’en France, bien sûr que c’était dangereux d’être juif, mais aussi dangereux d’être français. Elle a évoqué l’agression du rabbin d’Orléans, ce qu’elle a connu en banlieue, une anecdote avec sa grand-mère de 80 ans, le racisme anti-blanc et le livre ignoble de trois journaleux sur Crépol.
La révélation fut quelque peu soudaine mais elle a fulguré tout le gouvernement français et une partie des élites européennes d’un coup brusque : pour faire des munitions, pour faire des canons et des avions, pour entraîner des hommes et les préparer à la guerre, il semble maintenant indéniable qu’il faille un sacré paquet de pognon.
Six personnes dont trois habitants locaux et trois représentants des médias nationaux ont été tuées dans la république populaire de Lougansk lors d'une frappe ukrainienne.
J’ai toujours été opposé à la « construction » européenne initiée par le marchand de cognac agent américain Jean Monnet, et Robert Schuman le destructeur de la République au profit de Pétain le 10 juillet 1940.
Choses vues, samedi à Paris, dans la manifestation « Contre l’extrême droite » (20.000 personnes) : les « antiracistes » brandissent une multitude de drapeaux palestiniens et algériens. Sur une banderole est écrit : « Non aux médias de la haine ». Dans le collimateur, les rares journalistes qui alertent sur l’antisémitisme coranique, le racisme anti-Blanc, la violence des cités palestinophiles, les provocations du régime algérien. L’antisionisme qui nazifie les Israéliens, et la censure qui interdit le débat, sont revendiqués comme des vertus au prétexte de protéger les musulmans de « l’islamophobie ». Au même moment, le rabbin d’Orléans se faisait physiquement agresser par un jeune musulman.