Lu dans Minute :
magouille et compagnie - Page 1544
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Pour Maurras et Céline, ils sont très courageux. En revanche pour les islamistes d'aujourd'hui...
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Un député LREM assure que la majorité des SDF dorment dans la rue « par choix »
D’après Sylvain Maillard, certains SDF ne souhaitent pas être mis à l’abri, « même dans les cas de grand froid ».Christophe Morin/IP3 PRESS/MAXPPP
Interrogé sur RFI, Sylvain Maillard a repris la ligne du gouvernement qui prétend qu’en Ile-de-France, seuls cinquante SDF dormiraient dans la rue faute de place. Les autres y seraient volontairement.
Le propos risque de donner du grain à moudre à ceux qui accusent le gouvernement et la majorité d’être déconnectés des réalités du terrain ou d’ignorer les « fractures françaises ». Invité ce lundi de RFI, alors même qu’une vague de froid touche une partie du territoire, le député La République en marche de Paris Sylvain Maillard a été interrogé sur les problématiques liées aux sans-abri. Faisant écho à de récents propos polémiques de Christophe Castaner, délégué général du parti, l’élu a déclaré que « l’immense majorité » des SDF qui dorment dans les rues d’Île-de-France le faisaient par « choix ».
« Même dans les cas de grand froid, certains SDF ne souhaitent pas être mis à l’abri, souhaitent rester seuls dans la rue, (…) rien ne les oblige à être mis à l’abri », a affirmé Sylvain Maillard. Et le député de Paris d’énumérer les raisons qui expliquent, selon lui, pourquoi les personnes sans domicile fixe décident de rester à l’extérieur : « Tout simplement ne pas vouloir être en communauté, certains d’entre eux sont dans des situations psychologiques très compliquées, d’autres souhaitent rester en couple, (…) d’autres sont avec des animaux domestiques. »
La suite
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AU SECOURS, LA LAÏCITÉ DEVIENT FOLLE !
Quand la laïcité devient folle, ce sont les écoliers qui en subissent les conséquences. L’histoire d’un instituteur du Berry illustre, malheureusement, cette dérive.
Matthieu Faucher, 37 ans, est instituteur à Malicornay, un village de l’Indre. Athée, père d’enfants non baptisés, il exerçait son métier avec conscience et intelligence selon les parents d’élèves. Jusqu’au jour où, frappé par des questions d’enfants, il a décidé de leur donner un vernis de culture religieuse. « Dans les années 1970-1980, personne ne se demandait ce qu’était un baptême quand on parlait de Clovis. Aujourd’hui, nos enfants de 9 ou 10 ans font preuve d’une grande inculture religieuse », explique-t-il.
Conscient du fait qu’on ne comprend bien son pays qu’en saisissant ce qui a contribué à le construire, il se lance dans une étude littéraire de quelques textes bibliques, puisque les programmes l’autorisent, dans le cadre de l’enseignement laïque du fait religieux. Il n’est pas question de dispenser des cours d’instruction religieuse, prohibés à l’école publique. Mais simplement d’introduire ses élèves à la compréhension du christianisme.
Il n’aura pas le temps de terminer les dix heures de cours prévues dans l’année. Une lettre anonyme adressée au rectorat, évoquant une forme de prosélytisme religieux, lui a valu une suspension disciplinaire puis, quelques mois plus tard, une mutation d’office dans une autre école du département. On lui reproche, notamment, d’avoir « exploité des sources religieuses inadaptées à l’âge de ses élèves et contraires aux principes de neutralité et de laïcité ».
L’affaire est révélatrice du dévoiement d’une notion dont on nous explique, pourtant, qu’elle protège la liberté de conscience et assure la neutralité religieuse de l’État qui ne reconnaît aucun culte. La loi de 1905, sur la question de la laïcité (mot qui n’y figure pas), ne dit rien de plus. S’il en découle logiquement que l’enseignement religieux ne peut avoir lieu à l’école publique, cette loi n’interdit nullement d’y évoquer l’histoire, la culture, l’art religieux. La loi, non. L’interprétation qui est faite, oui. C’est ainsi qu’on a fait décrocher des toiles de certains bâtiments publics parce qu’elles représentaient des scènes religieuses, en dépit de leur inestimable valeur artistique.
Pourtant, l’islam est enseigné au collège, et c’est une bonne chose. Comprendre quelque chose à une religion dont le poids géopolitique est si important semble naturel. Atteinte au principe de laïcité ? Non, simple enseignement historico-culturel. Par un curieux paradoxe, enseigner le christianisme comme un fait historique et culturel majeur est prohibé. Pourtant, comment comprendre la France, l’Europe, nos monuments, nos villages, notre littérature, notre peinture, notre musique, notre sculpture, notre droit, notre théâtre, nos traditions, notre langue, notre vision du monde, la place de la femme, le respect de la dignité de la personne, notre science, notre économie même, en bref, notre civilisation entière, sans comprendre ce qui l’a faite ?
Il n’y a là aucune volonté de convertir qui que ce soit. Évoquer Jésus comme un personnage historique n’a rien à voir avec l’adoration de Jésus-Christ fils incarné du Père. Savoir ce qu’est un baptême ne signifie pas baptiser de force les païens. Il faut, pour soutenir le contraire, être d’une singulière mauvaise foi ou d’une bêtise confinant à l’absurde. Il faut craindre, malheureusement, que cette seconde explication soit la bonne. Les gens qui dirigent notre pays sont devenus incapable de comprendre la nuance entre foi et culture.
« L’Ancien comme le Nouveau Testament font partie de notre patrimoine culturel au même titre que la mythologie grecque ou romaine ou que les monuments religieux que les enseignants sont invités à faire visiter à leurs élèves : quelle différence y a-t-il, du point de vue du “prosélytisme” ou de son absence, entre faire lire en classe un passage de l’Évangile et commenter un vitrail qui a ce passage pour objet ? » Ces propos sont de Pierre Kahn, coordonnateur du groupe d’experts chargé de concevoir le programme d’enseignement moral et civique. Le bon sens même.
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FN : Jean-Marie Le Pen restera président d'honneur
La justice a décidé de maintenir le fondateur du parti à son poste de président d'honneur, mais a néanmoins confirmé son exclusion du Front national.
Source RTL cliquez ici
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Éric Zemmour : « Après le théorème d'Archimède, voici le théorème d'Hidalgo »
La saleté à Paris et la multiplication des rats devient un problème politique pour la maire de Paris. « Et si Anne Hidalgo faisait l'inverse de ce qu'on demande à un édile ? », s'interroge Éric Zemmour. [RTL 1.02]. En quelques mots brefs et lucides, Zemmour dresse d'Anne Hidalgo un portrait exact : « Elle a conservé de son engagement socialiste, un sectarisme idéologique à toute épreuve, d'antiques réflexes de classe ...» A noter que Zemmour dit le maire de Paris - et non la - comme il convient lorsqu'on entend défendre la langue française. LFAR
Résumé RTL par Éric ZemmourOn apprenait jadis à l'école le théorème d'Archimède. On devra désormais y ajouter le théorème d'Hidalgo : « Toute politique conduite par le maire de Paris donne des résultats exactement inverses à l'objectif proclamé.»
Anne Hidalgo défend la pureté de l'air, et les Parisiens ont la pollution. Anne Hidalgo promet la propreté, et les Parisiens ont la saleté et les rats. Anne Hidalgo promet la rigueur de la gestion, et les Parisiens ont l'explosion du nombre des fonctionnaires. -
ANGELA MERKEL CAPITULE DEVANT LES SOCIAUX-DÉMOCRATES AFIN DE SAUVER SA TÊTE
En Allemagne, les chrétiens-démocrates de la CDU, leurs alliés sociaux-chrétiens bavarois de la CSU et les sociaux-démocrates du SPD sont arrivés, ce 7 février 2018, à s’entendre en vue de former un gouvernement que dirigera la chancelière sortante CDU Angela Merkel.
Ces trois formations politiques, plus que largement sanctionnées lors des élections législatives du 24 septembre 2017, ont décidé de reconduire la « coalition des perdants ».
Passant outre la sanction infligée par les électeurs, les trois partis du système poursuivront leur politique alors que, dans un sondage INSA réalisé au cours des premiers jours du mois de février, ces trois formations sont données, ensemble, minoritaires à 47,5 %.
Angela Merkel, qui après l’échec des négociations entre la CDU/CSU, les écologistes et les libéraux du FDP, n’a quasiment plus comme solution pour sauver sa tête que de convaincre les sociaux-démocrates, en plein effondrement et très peu enclins à prendre part une nouvelle fois à la coalition, de participer au futur gouvernement, a donné de nombreux gages à ce parti car les membres de celui-ci seront appelés à se prononcer lors d’un vote par correspondance afin de confirmer la participation de cette formation politique au pouvoir
Ainsi, l’homme fort du SPD et europhile Martin Schulz reçoit le ministère des Affaires étrangères.
Le SPD se voit également octroyer le très important ministère des Finances, exercé au cours des années passées par le CDU Wolfgang Schäuble, ainsi que les ministères du Travail, de la Famille, de la Justice et de l’Environnement.
La CDU obtient, outre le poste de chancelier, la Défense, l’Économie et l’Énergie, la Santé, l’Éducation et l’Agriculture.
Les très conservateurs sociaux-chrétiens bavarois de la CSU décrochent le ministère de l’Intérieur et de la Patrie, qui leur permettra de gérer l’immigration d’une manière plus ordonnée. Mais aussi celui des Transports et du Numérique, ce qui constitue une bonne nouvelle pour l’Allemagne, car la Bavière, gouvernée par la CSU depuis des décennies, est l’État le plus prospère du pays et le fer de lance de la numérisation de l’économie et peut donc apporter son expérience et ses compétences dans le domaine. La CSU se voit également attribuer le ministère du Développement et de la Coopération économique.
Alexander Gauland, coprésident du parti patriotique Alternative pour l’Allemagne (AfD) et codirigeant du groupe des élus de ce parti au sein de la Chambre des députés, estime que la CDU s’est complètement aplatie devant les sociaux-démocrates et ajoute que Martin Schulz peut désormais gérer la politique européenne du pays directement depuis le siège du SPD.
Selon l’AfD, le futur gouvernement a décidé de poursuivre la politique chaotique d’asile, l’intégration financière européenne aux frais du contribuable allemand et l’extension des restrictions en matière de liberté d’expression. Le parti souligne le non-contrôle des frontières, le non-plafonnement de l’immigration, la non-expulsion de masse d’étrangers en situation irrégulière, la non-correction de la politique énergétique, le maintien de la pression fiscale et le manque d’idées en matière de gestion des pensions et du système de soins, tout en estimant que l’augmentation de moyens attribués à la formation sera neutralisée par leur octroi, en partie, aux migrants.
Si les plus de 450.000 membres du SPD avalisent la participation au gouvernement, les apparatchiks, qui poursuivent une politique de soumission au lobby mondialiste et européiste, des trois partis qui le composeront devront faire face à la colère d’une partie de la population lors des différentes élections qui auront lieu au cours des quatre années à venir au sein des divers États allemands. La CSU, qui lutte pour le maintien de sa majorité absolue, en sièges, au sein du Parlement de Bavière, la perdra très probablement lors du scrutin prévu à l’automne 2018.
L’AfD est, désormais, le premier parti d’opposition du pays et bataillera ferme afin de défendre les intérêts du peuple.
Lionel Baland Écrivain et journaliste belge francophone Son blog -
AFFAIRE MENNEL IBTISSEM/THE VOICE : BENJAMIN CASTALDI RELAIE-T-IL DES « FAKE NEWS » ?
L’affaire Mennel, du prénom de cette jeune candidate à « The Voice » sur TF1, dont on a exhumé des tweets outranciers (voir notre article ici), ne cesse de faire des vagues.
Dernier épisode : une chroniqueuse de « Touche pas à mon poste ! », méconnaissant vraisemblablement l’envergure des tweets de la jeune chanteuse, accuse Benjamin Castaldi de « relayer les fake news de la fachosphère ». Regardez la réaction de ce dernier :
http://www.bvoltaire.fr/affaire-mennel-ibtissem-the-voice-benjamin-castaldi-relaie-t-fake-news/
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La conférence d'Alban d'Arguin demain à Vervins fait du bruit : un grand article dans l'Aisne Nouvelle
Le débat de l’éolien n’a pas fini de faire tourner les têtes. D’un côté, des investisseurs toujours plus généreux et convaincants avec les élus locaux. De l’autre, d’irréductibles Thiérachiens qui défendent une ruralité et un paysage sans artifice. Entre deux, des habitants qui s’interrogent sur le bien-fondé de cette énergie tellement propre. Alban d’Arguin devrait demain soir apporter bon nombre de réponses aux questions que se posent les habitants de ce territoire, chaque jour un peu plus encerclé par des mâts pouvant atteindre 150 mètres de hauteur.
Le conférencier est l’auteur d’Éoliennes, un scandale d’État, publié il y a un an. Le livre qui se veut être un réquisitoire connaît un certain succès. Il apporte beaucoup d’éléments de réponses sur cette énergie qui brasse du vent. « L’éolien est en train de défigurer le pays », explique l’auteur. Ce dernier n’était absolument pas prédestiné à devenir un spécialiste de l’éolien.
Sept mois de recherche
C’est une expérience personnelle qui l’a amené sur ce chemin. « J’ai vu apparaître un projet à 600 mètres de ma maison et à l’époque, je n’avais aucune objection vis-à-vis de cette implantation à condition que visuellement ça ne gêne pas le paysage. Au final, une association s’est montée et on a réussi à stopper ce projet de six éoliennes. J’ai creusé le sujet pour mieux comprendre les origines du plan de l’éolien », détaille avec précision l’auteur. En 7 mois, Alban d’Arguin a collecté et recoupé de nombreuses informations sur le sujet en France mais aussi en Allemagne ou en Espagne.
Dans son ouvrage, tout y passe : la corruption des élus, le réchauffement climatique, la baisse du marché de l’immobilier ou les conséquences sur la santé. Pour l’auteur, « la santé des riverains à proximité des éoliennes est un scandale d’État et ce sont les gens qui souffrent qui payent eux-mêmes les éoliennes à travers la CSPE, la Contribution au service public de l’électricité. J’ai regardé sur ma facture, cette taxe représente un quart de la totalité de la facture qu’on est tous obligé de payer et comme si cela ne suffisait pas, l’État remet une taxe sur la taxe en imposant 20 % de TVA. »
800 élus invités vendredi soir
Devant la prolifération des projets de parcs en Thiérache (Tupigny, Macquigny, Sains-Richaumont ou La Neuville-lès-Dorengt…), Bruno Dekkers, membre de l’association SOS danger éolien, est à l’origine de cette invitation. « C’est un ami de longue date et je l’ai invité pour que les gens sachent et qu’ils se réveillent. Je lance un appel au bon sens. Il faut pouvoir freiner certains dossiers. »
Le collectif a invité 800 élus de l’Aisne. Reste à voir qui viendra entendre et animer le débat.
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Conférence le vendredi 9 février, à partir de 18 heures, à la salle polyvalente de Vervins.
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Si la France n’accueille pas 30 000 migrants/an, l’Europe lui fera payer 1,25 milliards d’€ d’amendes
Vous vous demandiez, peut-être, pourquoi l’Allemagne et donc l’Union Européenne, mais aussi nos bougres d’ânes de socialistes français, étaient pour l’arrivée massive de réfugiés, non ? Ben voyons, on vous l’a expliqué pourtant: » Pour nous l’accueil, c’est Oui ! « , » Refugees, Welcome « , » Benvenido » et » Bienvenue chez nous « . Okay, n’allez pas croire qu’il n’y ait que de l’humanisme et de la charité socialiste bien ordonnée dans cette volonté d’accueillir toute la misère du monde. Nous le savons aussi, l’Allemagne, en plein déclin démographique, contrairement à la France, a besoin de chair fraîche bon marché pour faire tourner ces usines; elle vient de nous piquer la place de premier partenaire économique avec les USA, faut pas faiblir, s’agit pas de la reperdre.
Ce que l’on ne nous a pas dit, en tout cas pas ouvertement, c’est que les réfugiés, c’est bon pour la croissance ! Oui, oui, et ce n’est pas moi qui le dit, c’est un spécialiste économique de première bourre, commissaire européen à l’économie, ou au commerce, je ne sais plus, j’ai nommé Pierre Moscovici ! Interrogé par un très grand journal de renommée provinciale, Le Républicain Lorrain, il a déclaré, je cite: » Cela peut étonner, et je sais que bien d’autres paramètres sont à prendre en compte… Mais oui, les dépenses publiques en faveur des réfugiés ont un effet de relance sur l’économie européenne. Nous l’avons chiffré en novembre dernier à 0,2 à 0,3 point, sur 2 ans, sur la croissance de l’Union, voire 0,4 à 0,5 point dans les principaux pays d’accueil, comme l’Allemagne. »
Vous avez compris ? Les réfugiés, c’est bon pour la croissance. Ça coûte un max, mais c’est pas grave, c’est pas cher, c’est l’Etat qui paie. Les Teutons, okay, ils ont les moyens, nous… Mais c’est bon pour la croissance, ce sont des bouches à nourrir, à financer, à héberger, à soigner, à éduquer, à former – d’ailleurs les Allemands ont créé spécialement pour eux, histoire qu’ils forniquent correct, un site internet d’éducation sexuelle, visitez-le, c’est tordant – à faire travailler, etc… c’est du pognon qui circule, de la consommation, de l’investissement… c’est bon pour la croissance ! CQFD. Prenez des refugees, et vous verrez, plus vous en prendrez et plus vous accroissez les chances pour l’économie de redémarrer. Et une croissance qui redémarre, ce sont des gens et des politiciens heureux.
Et puis si d’aventure, vous n’étiez pas convaincu, si d’aventure l’arrivée massive et la présence de ces Chances pour l’Europe, et donc pour la France, vous escagassait un brin, sachez que l’Union, elle s’en tape de votre escagassement, elle a tout prévu. Il a fallu qu’un journal plutôt sérieux, The Financial Time, révèle le truc (puisqu’aucun média français ne s’est donné la peine de le faire): La Commission Européenne dont Moscovici fait partie propose de faire payer une amende de 250 000 euros par réfugié à chaque pays de l’Union qui refuserait d’assumer son quota ! 250 000 euros ! Autrement dit et si le projet de résolution aboutit, admettons que la France ne prenne que 25 000 réfugiés sur les 30 000 imposés, elle (enfin le contribuable) devra payer à Bruxelles une amende de 125 000 000 d’euros (si mon compte est bon, y a tant de zéros…) ! 125 millions ! Ou peut-être bien, à la réflexion, 1 250 000 000 d’euros, 1,25 milliard ! ( veuillez vérifier l’addition avant de payer, merci ). Peu importe, nous avons les moyens et l’Union a les moyens de faire raquer les pays récalcitrants ! Ce serait tout de même con de devoir payer une méga-prune pour avoir refusé quelques pouièmes de croissance, non ?
Vous l’aurez compris: les réfugiés, c’est bon pour la croissance, tu l’acceptes ou tu payes !
Allez, sur ce, bonne soirée à tous les contribuables, même en Socialie.
( NB: Pour les plus curieux qui auraient pris le temps de lire l’article du Républicain Lorrain, on aura noté qu’au passage Moscovici en profite pour mettre deux claques à Macron: » L’avenir est dans la rénovation de la pensée sociale-démocrate, pas dans la constitution d’une force « ni droite ni gauche » aux contours un peu flous » )
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NICOLAS DUPONT-AIGNAN : « LE PARQUET CONVOQUE UN ÉLU DE LA NATION POUR UN PROPOS POLITIQUE. C’EST EXTRÊMEMENT GRAVE ! »
Nicolas Dupont-Aignan est convoqué, le 7 février, par le parquet au tribunal de Paris pour avoir dénoncé, dans un tweet, lors la campagne présidentielle, un changement de population, et ce, en s’appuyant sur des chiffres.
Réaction du député de l’Essonne au micro de Boulevard Voltaire.
http://www.bvoltaire.fr/parquet-convoque-elu-de-nation-propos-politique-cest-extremement-grave/