Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

magouille et compagnie - Page 1546

  • Le conseiller « immigration » du pape François : un Bilderberg, banquier d’affaire de Goldman Sachs !

    Les médias du système le dépeignent comme le pape des pauvres, nouveau François des temps modernes ! Et si cette image idyllique n’était que du vent, une illusion pour mieux tromper les fidèles et les faire avancer vers une société globale sans nations souveraines ?

    « Nous savons désormais depuis des années, écrit le journaliste catholique italien Maurizio Blondet sur son blog, que la position du pape François est parfaitement alignée sur le front de l’universalisme globaliste qui préconise la dissolution des nations et des cultures autochtones pour « accueillir et intégrer » les migrants du monde entier dans le but de construire un « nouveau monde » multi-culturel sans barrières et sans frontières. »

    Son dernier message immigrationniste de la nuit de Noël et ses vœux pour 2018 en font une une figure de proue et une « autorité suprême » de l’idéologie mondialiste. Au point que Blondet se demande

    « si les discours du pape argentin ne sont pas écrits par Georges Soros, le multi-milliardaire qui finance l’invasion de l’Europe et travaille à l’abolition des États et des confins. Qu’il en soit conscient ou pas, le pape Bergoglio, continue le journaliste, s’est mis au service des intérêts du grand capital financier qui œuvre pour les mêmes objectifs : un nouvel ordre mondial multi-culturel et globalisé où les entités supra-nationales auront la gestion du pouvoir. »

    Le pape François se retrouve donc du côté de certains puissants et riches… qui sont bien loin des pauvres. Voisinage qui n’est pas qu’idéologique mais aussi pratique puisque il a nommé, en février dernier, révèle toujours Blondet, à la présidence de la Commission catholique internationale pour les Migrations et qu’il a fait conseiller de l’Administration du Patrimoine du Siège Apostolique, une personnalité de l’establishment mondialiste, lui-aussi « philanthrope humanitariste de l’abolition des frontières » et « banquier d’affaires » : Peter Sutherland.

    Irlandais, juif de mère, sioniste, ancien élève des jésuites, cet homme d’influence, « aux poches richement remplies », fut président de Goldman Sachs International (2005-2015) et du groupe Bilderberg dont il est toujours un membre actif du comité directeur, de BP (British Petroleumet de la section Europe de la Commission Trilatérale. Technocrate bruxellois, agent de la globalisation, il a été notamment commissaire européen à la concurrence (1985-1989), secrétaire-général fondateur de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) (1993-1995). Artisan des grandes libéralisations de l’Union Européenne, il a été qualifié de « père de la mondialisation ». Actuellement directeur non exécutif de la Royal Bank of Scotland et président non exécutif de Goldman Sachs, depuis janvier 2006 il est le représentant spécial du Secrétaire-Général de l’ONU pour les migrations internationales. Il est aussi président honoraire de la Commission Trilatérale et président de la London School of Economics, fondée par la Fabian Society tout en étant chevalier de l’Ordre de Malte et membre de l’Opus Dei… Des connexions qui en disent long sur les dérives de ces groupes ecclésiaux…

    Lorsque le pape jésuite l’a intronisé président de la Commission catholique internationale pour les Migrations, il n’a évidemment abandonné aucune de ses charges.

    Peter Sutherland, analyse Blondet

    « c’est le globaliste total et absolu, avec des attaches dans toutes les entités supra-nationales, peut-être la plus influente éminence grise de la mondialisation et du déracinement capitaliste dans l’intérêt de la finance transnationale. »

    Il est vrai que Sutherland se déclara être en faveur « du développement de sociétés multiculturelles », le problème étant selon lui les populations qui cultivent « encore le sens de l’homogénéité et de différence d’avec les autres. Et c’est précisément cela que l’Union Européenne», à son avis, « doit tout faire pour éradiquer. Au nom de la future prospérité. […] C’est une dynamique cruciale pour la croissance économique. »

    Cet artisan de la société multi-culturelle affirma de même que « l’on est passé des États qui choisissent leur migrants, aux migrants qui choisissent les États ». Par conséquent avait-t-il ajouté, l’UE ne doit plus sélectionner seulement des migrants « hautement qualifiés » parce que « à la base de tout, les individus doivent avoir la liberté de choix ».

    Ainsi commente Maurizio Blondet

    « c’est exactement l’idéologie de François, confusion et contradiction comprises. Mais l’on voit bien que l’inspiration vient du capitalisme mondialiste financier ; pour lequel les « homogénéités », c’est-à-dire les identités historiques et culturelles qui font les peuples variés et différents, sont un obstacle et un problème, une odieuse exigence, parce que le consommateur global type doit être littéralement « sans identité », sans communauté, « ouvert » aux « expériences », cosmopolite, nomade, sans « tabous », sans « préjudices » (et sans scrupules), de sexe variable. »

    Dans cette exhortation de Sutherland il y a, précise le journaliste italien

    « un « mépris » pour la culture qui fait les peuples. Mépris que partage le pape François lorsqu’il affirme que « les Européens ne sont pas une race née ici, ils ont des racines de migrants », évoquant une condition antérieure à la civilisation et à la culture. »

    Tant pour le pape François que pour Sutherland, commente Blondet

    « l’ »homogénéité » culturelle est un fastidieux lien qui « résiste » à l’ »intégration » sans limites, un « manque de charité » envers « l’accueil ». Dans la confusion éthique que le même Bergoglio a dispersée à pleines mains, l’ »homogénéité » nationale d’un peuple est comparée à un mal moral, et ce sera un mal de la sauvegarder. »

    Et c’est à ce riche banquier d’affaires, cet homme du Bildeberg, ce membre influent des cercles mondialistes et capitalistes destructeurs des nations et des peuples, des identités et des cultures, que El papa sud-américain a confié, par idéologie immigrationniste et immigrophile, la Commission Catholique pour les Migrations !

    On est loin du vrai amour des pauvres… Car ce qui appartient en propre à tous, aux pauvres comme aux riches, aux malades comme aux bien-portants, aux prisonniers comme aux travailleurs, c’est l’affiliation à une patrie et à une identité, c’est l’adhésion à une culture et à une civilisation, c’est la possession d‘une langue et d’une éducation… Et quand les pauvres n’ont plus rien, ils possèdent toujours cet héritage immatériel et intemporelce patrimoine spirituel, artistique, intellectuel et moral, qui a fait grandes les nations d’Europe…

    Et c’est de cette richesse civilisationnelle transcendante, supérieure à tous les biens de consommation qu’ils peuvent rêver d’avoir, que les pauvres sont privés par les idéologues du multi-culturalisme et du « vivre-ensemble » !

    Francesca de Villasmundo

    Vous pouvez retrouver tous les articles d'actualité religieuse de MPI, augmentés d'une revue de presse au jour le jour sur le site medias-catholique.info

    http://www.medias-presse.info/le-conseiller-immigration-du-pape-francois-un-bilderberg-banquier-daffaire-de-goldman-sachs/85711/

  • LE CHE, ICÔNE DES BOBOS

    che-hidalgo-guevara.jpg

    Le maire de Paris fait du révolutionnaire athée une espèce d’image pieuse pour bobo frustré de ne pas être un damné de la Terre.

    Si vous passez par Paris, vous pourrez visiter, dans le hall de l’hôtel de ville, l’exposition consacrée à Che Guevara. Ceci jusqu’au 14 juin, histoire de fêter dignement l’anniversaire de celui que Mme Hidalgo a qualifié dans un tweet d’« icône militante et romantique ».

    Le révolutionnaire communiste argentin est déjà n° 1 des ventes de T-shirts pour adolescent boutonneux, apportant ainsi sa contribution au triomphe du capitalisme. Maintenant, le maire de Paris fait du révolutionnaire athée une espèce d’image pieuse pour bobo frustré de ne pas être un damné de la Terre. L’aura (pour rester dans le registre religieux) du bras droit de Castro est largement surfaite. Loin d’être un héros « romantique », Ernesto Guevara est d’abord un tueur sanguinaire. Non seulement il fut, comme « procureur suprême » de la prison de La Havane, le commanditaire de centaines d’exécutions sommaires, mais il n’hésita pas à tuer de ses propres mains des compagnons d’arme jugés traîtres à la cause.

    Par cet « hommage » indécent, Mme Hidalgo ne révèle pas seulement son caractère d’adolescente attardée émoustillée par les machos sentant la sueur et le sang pourvu qu’ils soient de gauche. Elle manifeste aussi la complaisance, si ce n’est l’attirance, d’une certaine gauche pour la violence la plus extrême dès lors qu’elle est employée au nom de ses idéaux.

    Georges Frêche, défunt président socialiste de la région Languedoc-Roussillon, a fait figurer sur la « place des Grands-Hommes » (sic) des statues de Lénine et de Mao Zedong aux côtés de celles de De Gaulle ou de Gandhi. Staline était aussi prévu, mais le scandale l’avait alors fait reculer. Auparavant, Jean-Marc Rouillan, chef de l’organisation terroriste d’extrême gauche Action directe, assassin entre autres du général Audran, avait bénéficié de l’amnistie de Mitterrand en 1981. Dans les années soixante-dix, ce sont les Khmers rouges que des partis et des intellectuels de gauche soutenaient. Aujourd’hui encore, des membres de la gauche institutionnelle excusent – quand ils ne les justifient pas – les violences des prétendus antifascistes.

    C’est que, pour une certaine gauche, la gauche divine dénoncée par Finkielkraut, la liberté d’expression ne vaut que pour elle. Pour ses adversaires, elle applique la censure, voire la criminalisation. Et, de là à l’élimination physique, il n’y a qu’un pas qu’elle a bien souvent franchi depuis 1793.

    Certes, il existe aussi une gauche humaniste qui plonge ses racines dans la pensée de Voltaire. Mais quand elle s’oppose au terrorisme intellectuel de l’autre gauche, elle en subit les foudres. Foudres subies par Finkielkraut et Onfray notamment. Madame Hidalgo ne risque rien : entre Voltaire et le Che, elle a choisi le Che.

    http://www.bvoltaire.fr/che-icone-bobos/

  • Emmanuel Macron annonce une loi pour défendre la vérité vraie

    Lors de ses vœux à la presse, mercredi 3 janvier, le président de la République a annoncé un projet de loi pour lutter contre la publication de faux contenuspendant les campagnes électorales. Plus de transparence sera désormais demandée aux plates-formes sur internet qui sponsorisent notamment certains contenus.

    "Nous allons faire évoluer notre dispositif juridique pour protéger la vie démocratique de ces fausses nouvelles". "Les plates-formes se verront imposer des obligations de transparence accrue sur tous les contenus sponsorisés afin de rendre publique l'identité des annonceurs et de ceux qui les contrôlent, mais aussi de limiter les montants consacrés à ces contenus".

    Serait-ce une loi contre le Canard enchaîné qui a permis l'élimination de François Fillon ?... Ou plus simplement une loi pour restreindre la liberté d'expression des médias libres ?...

    Ou est-ce pour interdire cela :

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • S’adapter ou périr : l’alternative du travailleur français actuel

    sysoco-solution-protection-travailleur-isolé.jpg

    Bernard Plouvier

    Les innombrables blogs du Net et les rares journaux-papiers qui réussissent encore à paraître se font l’écho des cris et de la fureur de salariés menacés de licenciements et de fonctionnaires qui réclament davantage de considération et une meilleure rétribution.

    Et ceci est plutôt étonnant dans la conjoncture, inchangée depuis les années 1980 : celle d’un marché de l’emploi peu vivace, sauf en secteurs industriels de pointe et dans les services très demandés par le public.

    On a l’impression que les travailleurs français – du moins, ceux qui s’expriment et qui ne sont pas forcément les plus laborieux – en sont demeurés aux slogans des années 1970-80, ceux où l’on glorifiait les « droits » et les « avantages acquis », ceux où l’on beuglait la nécessité d’investir les fonds publics dans les entreprises menacées de banqueroute.  

    Or, le monde a bien changé. L’Occident est envahi de produits fabriqués hors d’Europe : même les vins du Chili, de Californie ou d’Afrique du Sud se sont introduits en force dans un marché classiquement dominé par l’Europe occidentale et danubienne. La Chine et l’Inde, la Corée du Sud et la péninsule malaise nous inondent de produits, certes souvent de médiocre qualité et peu durables, mais de très bas coût de fabrication, ce qui laisse un beau bénéfice aux intermédiaires de tous poils.

    Le travail à médiocre valeur intellectuelle ajoutée, à médiocre savoir-faire s’est délocalisé, de façon irréversible dans le contexte globalo-mondialiste actuel. Il faut s’y résoudre et abandonner les vieilleries ressassées par des permanents syndicaux affolés par la perte prévisible de leurs sinécures. Il est urgent de penser autrement.

    Le travail restera toujours la noblesse du chef de famille, lui permettant de nourrir les siens. Le travail restera toujours la meilleure façon de s’épanouir pour l’être de talent, ou de servir la collectivité pour l’idéaliste. Encore faut-il s’adapter au milieu ambiant, tout en exigeant de l’État qu’il remplisse son rôle véritable.

    S’adapter, cela signifie comprendre que le travail n’est plus un droit sans contrepartie de devoirs et qu’il est devenu impératif d’abandonner les stupidités démagogiques d’un autre âge. Il faut être un zombie déconnecté de son époque pour croire encore à la semaine de travail de 35 heures.

    Pour redevenir compétitif, le travailleur français doit travailler plus et surtout mieux que les concurrents extra-européens. Pour cela, il faut se perfectionner régulièrement, apporter son enthousiasme, ne rechigner ni sur la qualité ni sur la quantité de travail utile.

    Il est évident qu’il faut impérativement former la jeunesse aux plans technique et moral. Les petits princes et les jolies princesses d’aujourd’hui seront les raté(e)s de demain, les chômeurs ou les clochards, si on ne leur apprend la nécessité absolue de travailler beaucoup en classe, puis d’apprendre un métier productif, utile à la collectivité.

    L’État n’est pas une pompe à fric destinée à renflouer les entreprises au bord de la faillite, parce que la faible productivité s’est associée à une mauvaise gestion, le tout favorisé par la démagogie syndicalo-politique.

    En revanche, les patrons temporaires de l’État, nos brillants élus du peuple, ont de nombreux devoirs :

    • celui de s’occuper activement de réindustrialiser intelligemment le pays,
    • celui de chasser les enseignants incompétents et politisés, de promouvoir un enseignement secondaire adapté au monde actuel (sciences et techniques, langues modernes), un enseignement technique de grande qualité intégrant des stages réellement formateurs au programme théorique,
    • celui de renvoyer massivement vers leurs continents d’origine les extra-européens,
    • celui d’interdire les exportations de capitaux à visée spéculative,
    • celui de déconnecter l’économie française des vautours mondialo-globalistes, et de l’intégrer aux économies des grands pays d’Europe.

    Notre continent, étendu de l’Atlantique au Pacifique, de l’Islande à Vladivostok, est assez riche en humains de grande qualité et en ressources matérielles pour que l’économie française y trouve ses débouchés et ses zones de coopération... ce qui rendra au travailleur français, sinon le mythique « bonheur », du moins la possibilité de s’épanouir et la certitude que ses enfants auront, eux aussi, du travail.      

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L'impératrice de la chienlit

    6a00d8341c715453ef01bb09e4e373970d-320wi.jpgLe ministre de l'Intérieur Gérard Collomb considérait ce 1er janvier que les festivités du Nouvel An s’étaient "bien passées" en France. À ce personnage typiquement macronien on répondra par les chiffres qui proviennent précisément de son ministère. Outre la scandaleuse et violente agression dont ont été victimes deux policiers à Champigny on a comptabilisé officiellement huit policiers et trois militaires de l’opération Sentinelle blessés durant la nuit. "Dans l’ensemble, estime-t-il cependant, les gens ont pu jouir de la nuit de la Saint-Sylvestre de manière pacifiée."

    Les propriétaires des 1 031 voitures incendiées ont certainement beaucoup apprécié cette pacification. Leur nombre est en hausse de 7 % par rapport aux 935 de l’année dernière. Les interpellations sont passées de 456 à 510 personnes, +12 %. Les braillards, ivrognes et voyous qu'il a fallu maintenir en garde à vue, ont augmenté de 16 % : 349 contre 301. Et pourtant 140 000 policiers, gendarmes, militaires, sapeurs-pompiers et personnels de secours avaient été mobilisés durant la nuit de la Saint-Sylvestre.

    Oui la chienlit progresse à grands pas Macrono regnante.

    Mais on n'oubliera surtout pas dans ce tableau d'honneur la championne olympique et tenante du titre toutes catégories, la citoyenne Hidalgo.

    Elle avait donc convoqué les Parisiens, et quelques autres, à se rassembler, on ne sait pourquoi, aux Champs-Élysées le 31 décembre, à proximité de minuit. Plusieurs centaines de milliers de personnes ont ainsi afflué. Pour rien ou presque : un petit film dérisoire dédié aux aventures supposées parisiennes d'un chat et un feu d'artifice bien modeste.

    Et pourtant l'argent continue de couler à flots, malgré les déficits, pour ce qui importe vraiment aux yeux de la mairesse de Paris. Celle-ci n'ignore sans doute pas que les finances trouées de son budget de démagogie et de copinage constitueront le point faible de sa prochaine campagne électorale. Elle pratique donc la fuite en avant d'initiatives de plus en plus calamiteuses, telles les opérations de piétonnisation vouées à chasser de Paris les banlieusards, les artisans et, en définitive, la clientèle française de magasins désormais réservés aux touristes.

    Le résultat de l'opération Champs-Élysées ne doit pas être ignoré. Cette nuit de la Saint-Sylvestre a mobilisé pour la sécurité de la foule festive du nouvel an à Paris ce qui a manqué en banlieue, et par exemple à Champigny.

    Depuis plusieurs mois, en vérité, le doute n'est pas possible. La mégère Hidalgo se prend pour une impératrice. L'une des dernières séquences de son complexe de grandeur avait été la brillante opération financière permettant de transformer l'ancienne Bourse du Commerce en musée Pinault pour une bagatelle évaluée par Le Canard enchaîné à 86 millions d'euros. Une impudente photo la montre dans toute sa pharaonique bouffissure, voisinant avec le mécène qui semble lui-même stupéfait.

    Mais il y a plus. Jusqu'au 17 février à l'Hôtel de Ville, une exposition annoncée pour gratuite, gratuite pour qui ? est consacrée au révolutionnaire communiste Ernesto Guevara.

    Le 29 décembre, sur son compte Twitter la mégère Hidalgo se félicite de l'initiative, que l'on doit à ses services : "Avec l'exposition Le Che à Paris, la capitale rend hommage à une figure de la révolution devenue une icône militante et romantique. À découvrir gratuitement à l'Hôtel de Ville de Paris."

    Les protestations des personnes informées ne se sont pas fait attendre, certaines bien documentées. J'en retiens particulièrement une : Merci de remplacer : "icône militante et romantique" par "bourreau sanguinaire" Signé : un Parisien ayant financé cette "exposition gratuite" par ses impôts locaux.

    Je laisse la conclusion de ce débat à Mme Valérie Boyer

    #LeChe : Plus de 200 morts de ses mains, 1 700 fusillés, 4 000 internés la première année de la prise de #La Havane.

    #Hidalgo ose toutes les indignités... c'est aussi à ça qu'on la reconnaît.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/2018/01/limperatrice-de-la-chienlit.html

  • Le romantisme selon Anne Hidalgo

    Anne Hidalgo va organiser dans le hall de l’hôtel de ville de Paris une exposition consacrée à Che Guevara, jusqu’au 14 juin. Mme Hidalgo a qualifié dans un tweet le révolutionnaire d’« icône militante et romantique ».

    Voir l'image sur Twitter 

     

     

    En 2007, L'Express publiait des témoignages sur le guérillero.

    Luciano Medina fut le facteur personnel de Fidel Castro. Dans la sierra Maestra, en 1957 et 1958, c'est lui qui acheminait les messages du comandante en jefe à travers les lignes ennemies aux autres comandantes: Raúl Castro, Camilo Cienfuegos ou encore Ernesto «Che» Guevara.

    «Guevara? Il traitait mal les gens. Très mal». «Un jour que je lisais Sélection du Reader's Digest, peinard dans mon hamac, le Che, furieux, m'arrache la revue des mains et s'écrie: "Pas de journaux impérialistes ici! " Mais surtout, il tuait comme on avale un verre d'eau. Avec lui, c'était vite vu, vite réglé. Un matin, vers 9 heures, nous déboulons au Rancho Claro, une petite exploitation de café appartenant à un certain Juan Perez. Aussitôt, le Che accuse le fermier d'être un mouchard à la solde de la dictature de Batista. En réalité, le seul tort de ce pauvre homme était de dire haut et fort qu'il n'adhérait pas à la révolution.» Une heure plus tard, le malheureux caféiculteur est passé par les armes devant sa femme et ses trois enfants de 1, 3 et 4 ans. «Les voisins étaient traumatisés, indignés. Et nous, la troupe, nous étions écoeurés. Avec trois autres compañeros, nous avons ensuite quitté le Che pour rejoindre un autre campement.»

    Eduardo Perez, ex-comptable devenu révolutionnaire, raconte à son tour : en novembre 1958, le Che envoie 30 de ses hommes tendre une embuscade à l'armée du dictateur Batista, dont une colonne, partie de Fomento, se dirige alors vers le massif de l'Escambray, où se trouve le Che.

    «Après une minutieuse préparation, nous lançons l'assaut vers 14 heures. Mais, deux heures plus tard, notre position n'est plus tenable en raison de la puissance de feu adverse. Du coup, nous décidons de nous replier d'un kilomètre. Mais, quand le Che a pris connaissance de notre recul, il nous a coupé les vivres!»

    Une journée passe, sans rien à se mettre sous la dent. Puis deux, puis trois... Finalement, après soixante-douze heures de diète forcée, le détachement est à nouveau ravitaillé grâce au commandant Camilo Cienfuegos, qui, venu du nord, passait dans le secteur avec ses hommes pour livrer une cargaison d'armes à Guevara. «Ayant appris notre sort, Camilo nous a fait livrer d'autres rations. Plus tard, il a, paraît-il, sermonné le Che: "Que nos hommes soient tués par ceux de Batista, d'accord; mais qu'ils meurent de faim, non! "»

    Le 1er janvier 1959, jour du triomphe de la révolution cubaine, Che Guevara est célébré en héros. Fidel Castro le nomme commandant de la Cabaña, prison qui domine le port de la capitale. Derrière les hauts murs de cette ancienne forteresse coloniale, le guérillero argentin va écrire, au cours de l'année 1959, les pages les plus ténébreuses de la révolution cubaine. Selon Armando Lago, vice-président de l'institut de recherches Cuba Archive, 164 personnes sont envoyées au paredon (peloton d'exécution) de la Cabaña entre le 3 janvier et le 26 novembre, date à laquelle Guevara quitte la carrière pénitentiaire. Cette célérité fait de lui le plus grand meurtrier de l'histoire de la révolution cubaine (216 meurtres au total). En ce début d'année 1959, à la Cabaña, où s'entassent 900 détenus, on fusille tous les jours, généralement le soir. 

    Témoin clef de cette période, le père Javier Arzuaga, aumônier de la prison de la Cabaña, aura mis près de cinq décennies à rompre le silence. Dans Cuba 1959: La Galera de la Muerte (Cuba 1959. Le couloir de la Mort), celui qui recueillait les confessions des condamnés et les accompagnait dans leurs derniers instants affirme que des dizaines d'entre eux étaient innocents.

    «Le Che n'a jamais cherché à dissimuler sa cruauté. Bien au contraire. Plus on sollicitait sa compassion, plus il se montrait cruel. Il était complètement dévoué à son utopie. La révolution exigeait qu'il tue, il tuait; elle demandait qu'il mente, il mentait

    A la Cabaña, lorsque les familles rendent visite à leurs proches, Guevara, comble du sadisme, va jusqu'à exiger qu'on les fasse passer devant le mur d'exécution, maculé de sang frais...

    Michel Janva
  • Moi, lanceu.se d’alerte. A mes grand.e.s. sœurs. A Cro-Magnon.e

    Par Laurence Maugest, philosophe, essayiste 

    Mes amiE.s ! Aujourd’hui est un grand jour : la révélation d’un complot millénaire ! Le dimorphisme de taille entre l’homme et la femme est d’actualité grâce, en bonne part, au travail de Priscille Touraille (*) qui dénonce la domination alimentaire de l’homme sur la femme depuis les banquets autour du feu et peut-être même avant le choc lumineux des deux silex.

    Mes sœurs, mes filles, mes voisines, réveillez-vous ! Depuis la préhistoire « le mâle » n’a qu’un objectif : nous faire maigrir (Salutations à Rubens), nous affaiblir.

    Cro-Magnon se jetait déjà sur les pièces de viande les plus riches, nous laissant, pauvres de nous, grignoter dans la caverne humide quelques lambeaux, néanmoins près des os. Et voilà où cela devient très subtil : à proximité du système nerveux.

    Os = moelle = système nerveux = neurones = l’intelligence qui nous permet aujourd’hui de réaliser l’arnaque virile. Ce qui explique la production explosive qui met en lumière, enfin, le complot masculin. Hé oui ! Nos ennemis – que nous pouvons nommer ainsi car, à la lecture des manchettes des journaux, Internet ou autres, nous savons que la guerre des sexes est déclarée – mais nos ennemis (c’est une bonne nouvelle pour nous (mais pas pour eux) se sont entourloupés à leur propre piège. Ils ont les muscles, nous avons le cerveau grâce à la moelle du mammouth ! (Euh, le vrai, enfin l’ancien vrai, pas l’Education nationale). C’est ainsi, par cette énergie intellectuelle, que nous pouvons mettre à jour une véritable conspiration et inonder avec une force peu commune l’univers médiatique.

    Les preuves

    Elles sont multiples, regardez mes amis.E.s, mes sœurs, mes nièces et toujours mes voisines, observez les boucheries.

    N’hésitez pas à faire du repérage ! Les bouchers sont des bouchers, nous ne pouvons pas en douter. Ce n’est pas un hasard. Les bouchÈRES sont exceptionnelles, voici LA preuve de l’organisation subtile de la mafia (appellation secrète XY) qui œuvre, en amont, à la faiblesse féminine depuis la nuit des temps.

    Et hop là ! L’air de rien, un morceau maigre pour madame, un morceau riche pour le moustachu ou pour celui qui serait susceptible de le devenir.

    Je suis consciente du problème que pose la mère, mariée à un homme (son mari) qui compte dans sa progéniture des enfants de sexe masculin lorsque celle-ci se présente devant le professionnel à machette forcément désappointé face à cette invisible clientèle qui se cache derrière une dame à cabas. Que faire devant un tel dilemme ? Comment ne pas priver la gente masculine du village ou du quartier tout en perpétuant le régime famélique destiné aux femmes depuis Cro-Magnon ? Le boucher se trouve face à ce qu’il appellera, dans les colloques singuliers de sa profession dédiés à la dénutrition de la femme, « la question insoluble du boucher » qui se trouve dans l’obligation d’empaqueter les morceaux en vrac, nutritifs et maigres mélangés. Là, nous avons trouvé notre allié, qui, improbable, s’appelle pourtant « la probabilité » de nous sustenter de quelques morceaux nutritifs. C’est ainsi que nous avons pu survivre, quelle ironie ! Mes amiE.s, mes cousines, il est temps de réaliser que c’est grâce au statut de « bonne », obligée de faire les courses pour la marmaille, que nous pouvons tenir debout aujourd’hui. Une fois encore le mâle s’empêtre les pieds dans ses pièges tendus.

    Je salue les fourneaux avec reconnaissance

    Devant lesquels, nous autres, pauvres femmes, asservies à la composition du repas, nous laissons libre cours à quelques grignotages gourmands de bouts de fromage ou autres sucreries qui ont su contribuer, d’une façon absolument pas négligeable, à notre maintien en vie.

    Une véritable industrie du crime qu’il nous faut dénoncer

    Avez-vous remarqué qu’une carte particulière est réservée aux messieurs dans les restaurants les plus susceptibles d’apporter une nourriture de qualité, fortifiante et riche ? Il est temps de se poser la question incontournable : « Pourquoi ? » N’est-ce pas dans l’objectif inavouable d’indiquer aux mâles, par quelques jeux de chiffres subtils, peut-être même ésotériques, les choix les plus judicieux à leur santé et à leur prospérité sous forme d’une codification complexe encore une fois interdite aux femmes ? Avez-vous noté qu’ils font tout pour que, jamais, nous ne puissions jeter un œil à cette mystérieuse carte ? Aucune initiation n’est donc possible à ces codes étranges, de surcroît sévèrement gardés par ces entreprises hôtelières. En effet, celles-ci n’hésitent pas à s’assurer du bon fonctionnement de leur stratagème en recrutant dans ce type d’établissement quelques grooms souriants mais que l’on devine alertes à surveiller d’éventuels croisements de cartes inopportuns.

    C’est donc toute la chaîne alimentaire, du chasseur à l’éleveur jusqu’aux assiettes des cuisiniers toqués, qui est envahie par une majorité écrasante d’humanoïdes de sexe masculin. CQFD. Excepté, il est vrai, dans le service à la clientèle qui reste néanmoins sans implication réelle dans la répartition des éléments nutritifs au sein de la population car les assiettes, il est important de le rappeler, sont préparées en cuisine, donc majoritairement par des hommes. CQFD (bis).

    La résistance

    Pour résister :

    • Mangeons cinq viandes ou volailles par jour ;
    • Dans les restaurants à cartes codifiées, échangeons, le plus discrètement possible, nos deux assiettes, avant la première bouchée du conspirateur qui se trouve, le plus souvent, en face de nous, et cela à chaque plat jusqu’au café ;
    • Dénonçons auprès des obstétriciens le fait que les embryons féminins reçoivent moins de protéines de la mère que les embryons masculins lors de leur gestation – Ceci n’est pas acceptable !
    • Faisons la promotion des régimes végétariens, ou végétaliens, ou encore véganes auprès des ex-intrigants, soit auprès de la population dite masculine.

    L’espoir

    Et vous verrez, mes sœurs, de protéine l’aube se lever. Nous aurons alors la force de chasser le buffle, d’ouvrir les pots de confiture et de désosser les carcasses les plus récalcitrantes.

    Dans les manifestations nous ne subirons plus le symptôme de la poussière malmenée, poussée par des balaises de plus de 80kg car… nous deviendrons balaises. Un jour, un jour éga.ux.le.s en muscle nous le serons ! Et nous atteindrons enfin la marche ultime autant que lumineuse de la rédaction des Droits DE LA FEMME et de l’homme.

    Comme notre cœur généreux nous pousse à éviter tout ostracisme, comme notre expérience douloureuse de siècles d’asservissement nous éclaire, et si nous parvenons à ce paradis d’égalité suprême par notre force révélée (notamment grâce aux protéines), nous aurons la grandeur d’ouvrir rapidement ces droits à toutes espèces animales voire végétales. Nous œuvrerons, mes sœurs, mes autruches, mes églantines à la reconnaissance exhaustive de toute espèce VIVANTE.

    VIVE l’Egalité !
    VIVE le Progrès !
    Vive le retour à la soupe initiale, vierge de domination masculine. Vive le Carbone, l’Hydrogène, l’Oxygène et l’Azote : Combinaison nommée « CHON ». Notre slogan à jamais, notre point ultime de convergence, notre projet, notre avenir qu’il faudra toutefois se garder d’utiliser en terre d’Auvergne pour éviter toute confusion malencontreuse due à l’accent local.

    Désespoir

    Malheureusement ce texte n’est pas aussi absurde qu’il en a l’air – Références :

    Le dimorphisme sexuel a de l’avenir… 
    (*) journals.openedition.org/clio/11364
    video-streaming.orange.fr

    Les antispécistes aussi : fr.wikipedia.org/wiki/Antispécisme

    Laurence Maugest 21/12/2017

    Voir aussi : « Les femmes sont petites car les hommes les ont privées de nourriture » : fake news !

    Laurence Maugest

    lm.jpgLaurence Maugest a une maîtrise de recherche en psychologie sociale. Durant plus de vingt ans elle a travaillé dans des services d'écoute et de soutien destinés à des personnes en difficulté, lieux stratégiques où la complexité et la diversité des individus rencontrés aiguisent une vive curiosité des autres. C'est par l'écriture qu'elle poursuit maintenant cette exploration sans fin.
  • Éric Zemmour : Emmanuel Macron “fait semblant de croire que l’Europe est une démocratie”

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le vivre-ensemble a encore frappé

    La nuit du 31 décembre a été émaillée de son lot de violences et de voitures brûlées, comme chaque année. Pour assurer la sécurisation du 31 décembre, ce sont 56000 policiers, 36000 gendarmes, 7000 militaires de l’opération « Sentinelle » et 39800 sapeurs-pompiers, sapeurs-sauveteurs et démineurs, soit un total de 139 400 effectifs des forces de sécuritéqui étaient mobilisés sur l’ensemble du territoire.

    Outre les centaines de voitures brûlées, partout en France, 3 policiers ont été blessés à Champigny-sur-Marne, dans le Val-de-Marne, lors de leur intervention en marge d’une soirée qui a dégénéré. Un capitaine et une policière se sont vus prescrire respectivement 8 et 7 jours d’ITT, et un policier a été légèrement contusionné. Le commissariat local a été saisi de l’enquête. Plusieurs vidéos postées sur les réseaux sociaux montrent un groupe de voyous lyncher une femme policière. Sur cette affaire, ce sont les réseaux sociaux qui ont répandu l'information, la presse commerciale n'a fait que suivre. Emmanuel Macron et Gérard Collomb ont réagi.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La juste question d'Éric Zemmour : « Mais qui en veut au mâle blanc, occidental et hétérosexuel ? »

    2942559888.jpg

    Tex, le présentateur de l'émission de France 2 « Les Z'amours »

    On pourrait accuser Internet de tous les maux, mais on refuserait de voir la stratégie délibérée des groupuscules féministes, gays, antiracistes qui sont tous alliés contre leur ennemi commun : le mâle blanc hétérosexuel. Dans cette chronique [Figaro magazine, 22.12] Eric Zemmour précise quel est l'objectif : « effacer toute expression culturelle de l'Occident ». Il a raison !  LFAR

    97824972.jpgAvis aux éternels potaches. Aux rois de la blague de mauvais goût. Aux empereurs du jeu de mots débile. Ils sont sous surveillance. Leur vie est en danger. Leur destin peut basculer pour une parole de trop. C'est ce qui est arrivé au présentateur de l'émission de France 2 « Les Z'amours » : Tex. Depuis dix-sept ans, il avait eu souvent l'occasion de déployer son humour lourdingue, un peu niais, jamais subtil.

    Et puis, soudain, la vanne de trop. Qui frappe là où il ne faut pas: « Que dit-on à une femme qui a deux yeux au beurre noir ? Rien. On lui a déjà dit. » À ces mots, les réseaux sociaux s'agitent. La secrétaire d'État à l'Égalité entre les hommes et les femmes, Marlène Schiappa, alerte le CSA. La délation d'État est à l'œuvre dans la foulée de « #balancetonporc ». Tex finit par être renvoyé par la chaîne publique ! On pourrait multiplier à loisir les anecdotes similaires qui attestent de cette ambiance de « chasse aux sorcières » : le footballeur Antoine Griezmann qui doit s'excuser parce qu'il s'est grimé en Noir pour imiter un joueur de basket américain. Ou une Miss France insultée et traitée de raciste parce qu'elle ose parler de la « crinière de lionne » d'une autre Miss France, venue de Guadeloupe.

    On pourrait considérer tous ces micro-événements avec dédain et mépris. On pourrait accuser internet de tous les maux. On passerait à côté de l'essentiel. On refuserait de voir en face une stratégie délibérée, longuement mûrie, et qui arrive à maturité aujourd'hui. Des groupuscules féministes, gays, antiracistes, chacun suivant ses objectifs propres, mais qui sont tous alliés contre leur ennemi commun : le mâle blanc hétérosexuel. Qui ont une inspiration philosophique commune venue de la fameuse « French Theory », théorie de la déconstruction passée par les campus américains depuis les années 1960 et transformée là-bas en « politiquement correct » médiatique et judiciaire.

    Ils jouent aux faibles mais sont les vrais puissants. L'État est de leur côté. La machine judiciaire est à leur service. Les médias de gauche les soutiennent. Au nom du droit des minorités et du respect des éternelles victimes - femmes, homosexuels, minorités « racisées » -, ces militants veulent effacer toute expression culturelle de l'Occident. Leurs méthodes peuvent changer, leur objectif reste le même. Ils transforment les femmes savantes de Molière en un brûlot féministe. Ils accusent Michel Audiard d'avoir été collabo. Ils auraient censuré les chansons de Brassens ou de Brel (pour homophobie ou misogynie). Ils accusent la grammaire d'entretenir les inégalités entre hommes et femmes. Ils ne laissent rien passer, pas la moindre petite blague, pas la moindre expression. Ils ont fait leur une vulgate marxienne mâtinée de gramscisme : la culture est, pour eux, le reflet des rapports de force dans la société. La culture de l'homme blanc hétérosexuel, même dans son humour le plus anodin, est oppressive par essence ; elle doit donc être délégitimée, ostracisée, diabolisée. Pour être éradiquée. Avant d'être remplacée. « On ne détruit réellement que ce qu'on remplace », disait Danton.  

    Eric Zemmour

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/