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magouille et compagnie - Page 1545

  • Levée de l’immunité de Marine Le Pen : une faute du gouvernement Macron

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    Présent-Marine-Le-Pen-Daesh-284x350.jpgL’affaire, on la connaît : Marine Le Pen est harcelée judiciairement depuis 2015 au motif qu’elle a diffusé sur son compte twitter des images de crimes islamistes. Cette diffusion n’était pas gratuite : candidate à la présidentielles, Marine avait subi, au cours d’un débat sur BFM TV, l’ignominie d’un parallèle opéré entre le Front national et l’État islamique. C’était une façon de répondre : « Taisez-vous ! Regardez donc ce qu’est l’État islamique ! »

    Le ministre socialiste Bernard Cazeneuve avait lancé la procédure. Le ministre ex-socialiste Nicole Belloubet l’a reprise à son compte, et a saisi le bureau de l’Assemblée nationale qui s’est exécuté et vient donc de décider la levée de l’immunité parlementaire de la présidente du FN.

    Cette décision est sans doute la première vraie faute politique du gouvernement Macron.

    En effet, aux yeux de l’opinion, cette mesure est parfaitement incompréhensible : la punition de ceux qui dénoncent les exactions de Daesh,en raison précisément de cette dénonciation, nécessite des contorsions explicatives auxquelles les médias ne se risquent d’ailleurs pas. La nouvelle a simplement été commentée comme découlant d’une application de la loi (laquelle ? Pourquoi ?). Dans un éditorial spécialement fielleux, Le Parisien explique par exemple que Marine Le Pen ne saurait « se placer au-dessus des lois ». Mais encore une fois, en quoi dénoncer les crimes de l’État islamique vous place au-dessus des lois ? Cette question n’a toujours pas reçu de réponse claire, ce qui donne le sentiment d’une simple mesure destinée à persécuter un adversaire.

    Marine Le Pen a d’ailleurs immédiatement réagi :

    « Mieux vaut être un djihadiste qui rentre de Syrie qu’une députée qui dénonce les abjections de l’État islamique : on prend moins de risques judiciaires. »

    La formule tourne sur Internet, et les conversations de bureau et de comptoir montrent l’incompréhension générale d’une opinion publique spécialement choquée.

    Seule explication rationnelle à cette décision : une volonté de faire un « coup politique », en montrant à la gauche, aux déçus du PS, que l’équipe Macron n’a pas complètement glissé à droite, qu’elle reste vigilante à l’égard du Front national, maintenu à l’écart par des artifices comme cette levée d’immunité. Le gouvernement est « et de gauche et de droite » : après les ordonnances, qualifiées de droite, voici donc une mesure de rééquilibrage sur la gauche.

    Ce calcul est une erreur, car le gouvernement mesure mal l’évolution de l’opinion sur le danger islamique, et aussi sur le besoin d’identité, qui libèrent la parole.

    Autre erreur des stratèges de l’Élysée (en supposant que Madame Belloubet ait agi sur ordre) : alors même que Mélenchon, décrété opposant préféré, connaît un énorme trou d’air, pour partie personnel et pour partie politique, la reprise des persécutions à l’encontre des plus patriotes, dans un contexte de malaise grave, notamment au sein de la police et de l’armée, pourrait se révéler une chance pour le FN. Cette persécution inquiète et ressoude. M. Macron aurait voulu remobiliser les sympathisants du FN qu’il ne s’y serait pas pris autrement. C’est déjà ce que l’on constate, d’un bout à l’autre du pays.

    Francis Bergeron

    Article et dessin de Chard parus dans Présent daté du 10 novembre 2017

    https://fr.novopress.info/208275/levee-de-limmunite-de-marine-le-pen-une-faute-majeure-du-gouvernement-macron/

  • Des lendemains qui déchantent ?

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    Bernard Plouvier

    Notre jeune, élégant et distingué Président vient d’annoncer, le 9 novembre 2017, la fin prochaine de l’État Islamique (variante : Daech). Est-ce un joli coup médiatique ? Peut-être, mais Emmanuel Macron n’a pas besoin de ce genre de publicité tapageuse : s’il conserve ses sponsors – ceux-là même qui ont assuré à la fois son ascension de météore et l‘implosion de tous les partis politiques de France -, il remontera très facilement dans les sondages lorsque ce sera nécessaire, soit avant une grande échéance électorale.

    En réalité, il est potentiellement très dangereux de faire ce type d’annonce, face à un certain public. La guerre est, à l’évidence, perdue en Syrie et au Kurdistan pour les fous furieux du calife Abou Bakr II (dont on ne sait même pas s’il est encore en vie). Avec des belligérants intelligents, M. Macron aurait parfaitement raison de s’exprimer comme il l’a fait : la guerre est finie, on signe un traité de paix, on exécute éventuellement quelques chefs (c’est à la mode depuis 1945) et on reconstruit… c’est bon pour le Big Business.

    Seulement, dans ce cas précis, l’on a affaire, non à des gens intelligents, mais à des abrutis complets, des psychotiques délirants, des « fous d’allah ». Il est infiniment probable qu’un grand nombre d’illuminés, qui connaissent les sourates coraniques prêchant le Djihâd, vont se faire une joie maligne de faire payer leur victoire aux Nations belligérantes du clan des gagnants.

    D’où un risque maximal d’attentats durant les années à venir, aux dates jugées symboliques par les mahométans ou, plus simplement, quand la logistique le permettra.

    Doit-on raisonner en pure intelligence avec des psychotiques, des pervers, des psychopathes ? Assurément pas ! Plus que jamais, il importe de protéger la Nation française des fous furieux inutilement importés en même temps que les authentiques réfugiés politiques ou les migrants pour cause économique.  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Vaccins, crime contre l'immunité? - Orages d'acier - 7/11/2017

  • « STOP AUX PRIÈRES DE RUE » À CLICHY : UNE CENTAINE D’ÉLUS D’ÎLE-DE-FRANCE VENT DEBOUT !

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    Cette révolte est la première manifestation destinée à protester contre ces provocations.

    Vendredi, pour les musulmans, est jour de prière à la mosquée ou à la maison.

    Et parfois dans la rue, à même le macadam ou le pavé, comme c’est le cas depuis mars à Clichy-la-Garenne, banlieue parisienne qui jouxte la capitale. Bien qu’ayant à leur disposition une grande mosquée, rue des Pavillons pour être précis, quelques centaines de musulmans font de la résistance, refusant la mosquée de Clichy, pour occuper une rue face à la mairie de Clichy et y proclamer leur foi par haut-parleurs interposés.

    

Nuisance sonore, difficultés pour circuler… On peut comprendre l’exaspération des habitants. Comment ne pas voir une laïcité à sens unique ? Le Conseil d’État oblige la mairie de Ploërmel à abattre la croix qui domine la statue de saint Jean-Paul II, vient de refuser à Robert Ménard l’autorisation d’installer une crèche dans sa mairie de Béziers et reste silencieux aux appels du maire de Clichy outré de cette entorse sonore, visible et bien peu respectueuse de la laïcité.

    
Le préfet du 92 est même allé plus loin, en encadrant de policiers – et donc en officialisant tacitement – cette prière dite de rue, qui n’est d’ailleurs pas unique sur le sol français. Cette pratique a déjà été vue dans nombre de grandes villes.

    Mais, au fait, pourquoi le maire avait-il fait fermer la mosquée An-Nour ? Pour cause d’insalubrité et parce que la mairie voulait récupérer ce local pour en faire une médiathèque pour le bien commun de tous les citoyens. Le maire Rémi Muzeau avait hérité de la précédente municipalité socialiste cette « grande mosquée de Clichy » avec qui avait été signé, par l’intermédiaire de l’association musulmane UAMC, un bail précaire auquel il a mis fin à l’échéance.

    L’UAMC avait protesté en affirmant que le maire leur avait promis la construction d’une mosquée ; promesse tenue, puisqu’il a inauguré la mosquée des Trois-Pavillons tenue par une autre association cultuelle musulmane. Querelle de minaret ? Peut-être, mais parce que les habitués de la mosquée évacuée en mars dernier trouvent la mosquée trop éloignée du centre-ville, ils se rebellent donc à coups de prières de rue. 

C’est pour protester contre cette bataille de rue qu’une centaine d’élus de la région parisienne avec, à leur tête, Valérie Pécresse sont venus défier les prieurs en chantant quelques « Marseillaise » pour couvrir les haut-parleurs musulmans et de nombreux Allaouh Akbar qui leur étaient adressés.

    
Derrière la banderole « Stop aux prières de rue », ces élus conduits par Valérie Pécresse, auxquels s’étaient joints quelques centaines de protestataires, n’ont pas réussi à faire stopper l’iman prêcheur. Mais cette révolte est la première manifestation destinée à protester contre ces provocations qui, au travers de la religion, n’ont qu’une idée en tête : s’imposer dans la rue. Il semblerait que le succès de cette protestation improvisée soit un premier pas visant à forcer le timide ministre de l’Intérieur à réagir.

 Mais les journalistes de BFM TV – qui s’en étonnera ? – avaient une tout autre version de cette manifestation.

    http://www.bvoltaire.fr/stop-aux-prieres-de-rue-a-clichy-centaine-delus-dile-de-france-vent-debout/

  • Le "Monsieur islam" du ministère de l'Intérieur savait (presque?) tout sur Tariq Ramadan

    6a00d83451619c69e201b8d2bcc31c970c-800wi.jpgAvant de lire ceci, prenez votre dose de Padamalgam 500mg :

    "Bernard Godard est un des experts français de l'islam. Entre 1997 et 2014, il a été considéré comme le "Monsieur islam" du ministère de l'Intérieur, conseillant successivement Jean-Louis Debré, Jean-Pierre Chevènement, Nicolas Sarkozy, Brice Hortefeux ou encore Manuel Valls. Il connaissait donc très bien Tariq Ramadan, islamologue suisse, petit-fils du fondateur des Frères musulmans, habitué à masquer son fondamentalisme religieux derrière des discours modernistes, agissant comme un véritable gourou pour de nombreux croyants, et aujourd'hui accusé de viol par plusieurs femmes, notamment deux qui ont porté plainte.

    Mais le connaissait-il au point de "savoir" ? C'est la question posée par L'Obs ce 31 octobre. Et la réponse de celui qui connaît tout de la montée de l'islamisme radical en France fait peur :

    "Qu'il avait beaucoup de maîtresses, qu'il consultait des sites, que des filles étaient amenées à l'hôtel à la fin de ses conférences, qu'il en invitait à se déshabiller, que certaines résistaient et qu'il pouvait devenir violent et agressif, ça oui. Mais je n'ai jamais entendu parler de viols. J'en suis abasourdi."

    Quand on pense à ce que subissent certains évêques pour des faits remontant à 25 ans, c'est nous qui sommes abasourdis...

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L'affaire du glyphosate révèle le fonctionnement de l'UE

    6a00d83451619c69e201bb09d57d49970d-800wi.jpgLa Commission européenne a échoué ce matin à faire renouveler la licence du glyphosate pour cinq ans. Il y a eu 14 pays pour la proposition, 9 contre (dont la France), et 5 abstentions (dont celle de l’Allemagne). Il fallait une majorité qualifiée, soit 16 Etats et 65% de la population.

    Selon les traités signés par les Etats membres (et contre l'avis de plusieurs peuples), quand la Commission n’arrive pas à ses fins et que le temps presse (la licence du glyphosate expire le 15 décembre), elle réunit un "comité d’appel", formé de représentants de haut niveau des Etats membres.

    Ou bien le comité d’appel rend les armes, ou bien il persiste dans l’opposition. Dans ce cas… c’est la Commission européenne qui prend la décision finale… C'est cela la démocratie européenne : cause toujours.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Influencer la vie politique ? La LICRA et la franc-maçonnerie veulent que ce soit leur chasse gardée !

    A l’initiative d’un Collectif laïque, la LICRA, les différentes obédiences maçonniques et quelques-unes de leurs organisations satellites viennent de publier un communiqué intitulé Réintroduction des religions dans le champ politique qui, en substance, prétend s’alarmer d’une prétendue influence « informelle » des religions sur la vie et les institutions politiques.

    Et ce communiqué de conclure :

    Les seuls représentants sont les élus du peuple issus du suffrage universel.

    Sous le communiqué, la liste des signataires :
    Grand Orient de France, Fédération Française du Droit Humain,
    Grande Loge Mixte Universelle, Grande Loge Mixte de France,
    Grande Loge des Cultures et de la Spiritualité, Union des Familles Laïques (U.F.A.L), EGALE, Laïcité Liberté, Fédération Nationale des Délégués Départementaux de l’Education Nationale (D.D.E.N),
    AWSA – France, Association Européenne de la Pensée Libre (A.E.P.L) Ile-de-France, Libres MarianneS, C.A.E.D.E.L. – Mouvement Europe et Laïcité, Regards de Femmes, Femmes Contre les Intégrismes, Ligue du Droit International des Femmes, Conseil National des Associations Familiales Laïques (C.N.A.F.A.L), Le Chevalier De La Barre, Observatoire de la Laïcité de Provence (O.L.P.A), l’Observatoire de la Laïcité de Saint Denis (O.L.S.D), Observatoire de la Laïcité du Val d’Oise – Forces Laïques, Ligue Internationale Contre le Racisme et l’Antisémitisme (L.I.C.R.A.), Association des libres penseurs de France (A.D.L.P.F),
    Comité 1905 Auvergne-Rhône-Alpes, Comité 1905 de Draguignan, Comité 1905 de l’Ain, Viv(r)e la République, Comité Laïcité République.

    Autant de sociétés secrètes et de lobbies qui considèrent visiblement que l’influence de la vie et des institutions politiques doit être leur chasse gardée.

    Pour mémoire, quelques photos significatives à ce sujet, parmi tant d’autres.

    Renouvellement de partenariat entre le ministre socialiste de l’Education nationale et la LICRA
    Convention entre le ministre UMP de l’Education nationale et la LICRA

  • Thomas Joly était convoqué au Palais de Justice de Beauvais ce matin

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    Un communiqué de Thomas Joly :

    Dans la joie et la bonne humeur propres à ceux qui ont raison, moi-même et quelques militants du Parti de la France étions au Tribunal de Beauvais aujourd'hui pour mon audience. Le jugement sera rendu le 23 novembre. Un compte-rendu détaillé de l'audience sera publié sous peu. Sachez que je n'ai pas baissé la tête devant ce tribunal politique (même si les magistrats sont restés très mesurés, les ordres de poursuite venaient de Paris et non localement) et mon avocat a fait une brillante plaidoirie.

    Merci à tous pour votre soutien, en particulier à ceux qui ont pu se libérer.

    Quoi qu'il advienne je serai toujours en première ligne face à l'invasion afro-musulmane et personne ne me fera taire ! Me ne frego !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • EMMANUELLE DUVERGER-MÉNARD : « L’ASSEMBLÉE A LEVÉ L’IMMUNITÉ PARLEMENTAIRE DE MARINE LE PEN. ON MARCHE SUR LA TÊTE ! »

    L’Assemblée nationale vient de lever l’immunité parlementaire de Marine Le Pen. Pour Emmanuelle Ménard, cette décision absurde signe l’incohérence de l’Assemblée. Quand on se pose en défenseur de la liberté d’expression, il faut la défendre pour tous, pas seulement pour les copains.

    Emmanuelle Ménard, après Gilbert Collard, l’Assemblée nationale a décidé, aujourd’hui, de lever l’immunité parlementaire de Marine Le Pen pour avoir divulgué des photos d’exécution de Daech. Que vous inspire cette décision ?

    Je suis un peu abasourdie par cette décision. Je ne comprends pas l’incohérence de l’Assemblée.
    Hier, le Premier ministre fait une déclaration disant qu’il faut absolument protéger la liberté d’expression, la liberté de la presse et combattre les gens qui menacent Charlie Hebdo, par exemple.
    Les parlementaires applaudissent à tout rompre, debout dans l’Hémicycle.
    Et aujourd’hui, le bureau de l’Assemblée vote pour la levée de l’immunité pour simplement avoir publié des photos. C’était une visée informative pour montrer ce que font les terroristes. Ce n’était pas pour encourager ou faire l’apologie du terrorisme, mais pour montrer la monstruosité des actes de ce genre.
    Je ne comprends donc pas.

    De nombreuses personnalités du Front national ont fait un rapprochement entre le sort du député M’Jid El Guerrab et Marine Le Pen. Ils disent qu’il est moins risqué d’aller agresser quelqu’un avec un casque de moto que de dénoncer le terrorisme de Daech. Qu’en pensez-vous ?

    Je ne veux surtout pas mettre les deux choses en parallèle.
    Les deux événements n’ont rien à voir l’un avec l’autre.
    Toutefois, je comprends que certains puissent trouver qu’il y a deux poids deux mesures.
    Mais je ne veux pas les comparer.
    Dans le cas de Marine Le Pen, nous sommes vraiment dans la liberté d’expression et de la liberté d’information. Ce n’est pas le cas de ce député qui donne des coups de casque sur son adversaire politique.
    La défense de la liberté d’expression, après le discours du Premier ministre, qui suscite une ovation des parlementaires, et le lendemain une levée de l’immunité pour des photos publiées sur un compte Twitter.
    On marche sur la tête !

    La décision de l’Assemblée nationale a fait réagir. Le #soutienMarine est en top tweet sur le réseau social. Il semblerait que la décision ait choqué les internautes et, donc, les électeurs français. Cela vous surprend-il ?

    Je comprends que cela puisse choquer. Moi-même je le suis.
    On ne peut pas se poser en « père la morale » de façon systématique, comme le fait le mouvement En Marche ! dans l’Hémicycle, et avoir des actes en totale contradiction. Ce n’est pas possible !

    Le Premier ministre a rappelé, hier, que la liberté d’expression peut choquer. C’est le propre de la liberté d’expression. Si c’est défendre seulement la liberté d’expression des copains, c’est très facile.
    Donc, quand on défend la liberté d’expression, quand on se pose en défenseur de la liberté d’expression, il faut défendre la liberté d’expression de tout le monde.

    En plus, ici, il ne s’agissait pas de faire l’apologie d’actes odieux, mais au contraire de les dénoncer. Je ne comprends donc pas la logique.