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magouille et compagnie - Page 1849

  • Nom des régions : entre folklore et tentation séparatiste

    Des discussions concernant le nom des nouvelles régions sont en cours. Maxime Tandonnet estime que souvent, elles reflètent une tentation régionaliste ou provincialiste comportant des références à une époque où la France n’était pas constituée en Etat-nation. 

    Les nouvelles grandes régions issues du scrutin de décembre 2015 sont appelées, jusqu’au mois de juillet à choisir leur nom. Cet exercice ne semble pas encadré par des règles ou des principes bien définis. En général, quand une nouvelle collectivité est créée, le choix de son nom est lié à une réalité géographique. C’est ainsi que les départements, instaurés par la loi du 26 février 1790, portent le plus souvent des noms de cours d’eau, de massifs ou de vallées. Les régions, issues d’un décret du 30 juin 1955 ont été baptisées par l’Etat sur la base de notions tenant également à la géographie et à l’histoire : Midi-Pyrénées, Rhône-Alpes, Provence-Alpes-Cote d’Azur, Nord-Pas-de-Calais, Pays-de-Loire, etc.

    La dénomination de nouvelles régions de 2016 a une caractéristique : elle est laissée à l’appréciation des collectivités elles-mêmes. En quelque sorte, le choix d’un nom est considéré, non pas comme une formalité administrative, mais comme le choix d’une identité. Ainsi, la grande région du nord de la France a été la première à choisir son nom : elle s’appellera les « Haut-de-France ». Le critère adopté est non pas celui d’une réalité mais celui de la quête du prestige. En général, l’adjectif « haut » accolé à une collectivité locale reflète la réalité du relief : Haute-Corse, Hautes-Pyrénées, Hautes-Alpes, etc. L’utilisation du Haut-de-France, pour marquer un positionnement au nord, sur la partie haute d’une carte, semble notateur. Il donne une impression mitigée de sentiment de supériorité sur le reste du pays, plus au sud - les Bas-de-France. Parce que cette région du nord de la France a été rudement frappée par le destin, l’accès de fierté dont témoigne le choix de son nom lui sera aisément pardonné. [....]

    La suite sur Le Figaro.vox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Nom-des-regions-entre-folklore-et

  • Polygamie subventionnée en France : un reportage effarant

    Un bref reportage sur une famille étrangère, polygame, subventionnée par les Français…

    http://www.contre-info.com/

  • Le cardinal, les repères et les frontières

    Le 1er mars dernier sur ce blogue, nous évoquions les sixOscars remportés par le film Spotlight narrant une enquête journalistique, menée au début des années 2000, sur des prêtres catholiques de Boston dont les actes pédophiles avaient été (en partie) couverts par leur hiérarchie. Occasion de rappeler que ce type de crime particulièrement odieux reste extrêmement marginal au sein de l’Eglise, comparativement aux cas d’abus sexuels sur mineurs relevés notamment chez les éducateurs, entraîneurs sportifs et autres personnels du monde éducatif. 0,074% des 405 000 prêtres catholiques dans le monde, ont été accusés (et non pas condamnés) de pédophilie entre 2001 et 2009, selon l’étude diffusée il y a six ans dans le journal italien l’Avvenire. Si Benoît XVI donna l’obligation aux évêques de signaler à la justice locale les cas d’actes de pédophilie, c’est bien d’avoir failli sur ce point dont est accusé aujourd’hui le cardinal Barbarin, une des figures de la capitale de Gaules.

    Le Figaro l’a noté, « déjà fragilisé par l’affaire Bernard Preynat, prêtre mis en examen début janvier pour des agressions sexuelles entre 1986 et 1991, l’archevêque de Lyon est confronté à une nouvelle plainte déposée en février par un haut responsable du ministère de l’Intérieur. Il est aussi visé par une enquête préliminaire pour non-dénonciation d’atteintes sexuelles sur mineurs de moins de 15 ans. De son côté, le Vatican a estimé qu’il était «opportun d’attendre le résultat» de l’enquête. »

    « Jamais, jamais, jamais, je n’ai couvert le moindre acte de pédophilie  », a scandé le cardinal Barbarin, lors d’une conférence de presse mardi alors que quelques heures auparavant, Manuel Valls était intervenu, quand même très étrangement, en sommant l’archevêque de Lyon de « prendre ses responsabilités ». Il est évident à nos yeux que ce prélat doit pouvoir bénéficier, comme tout à chacun, de la présomption d’innocence.

    Minute le rapportait, invitée le 9 mars de  « C à vous » sur France 5, la journaliste Caroline Pigozzi,spécialiste du Vatican, affirmait que le cardinal Barbarin « est quelqu’un d’une grande honnêteté, d’une grande moralité. C’est un peu facile que tout le monde le jette aux chiens. Je rappelle que ce n’est pas son histoire, que ça s’est passé 25 ans avant sa nomination. C’est comme si, aujourd’hui, on reprochait à un homme politique d’être responsable de ce qu’a fait son prédécesseur 25 ans avant. »

    Il est pareillement évident que cette affaire médiatique est accueillie avec gourmandise et une joie mauvaise par les nombreux contempteurs de l’Eglise catholique. Certains vont même jusqu’à y voir plus précisément une cabale contre le cardinal Barbarin, à l’instar Jean-Pierre Denis, directeur de la rédaction du journal chrétien (de gauche) La Vie. Dans son éditorial consacré à  « l’affaire », M. Denis affirme qu’il est « possible que certains veuillent faire taire une voix qui porte sur bien des sujets de société, des Roms à l’euthanasie ».

    Pourtant, le cardinal Barbarin, ne gênait pas tant qu’il diffusait ses convictions humanistes ou prônait le dialogue avec l’islam et le judaïsme. Son livre écrit avec le rabbin Gilles Bernheim, (« Le rabbin et le cardinal« ) autre opposant, aux arguments très charpentés, au mariage pour tous, lui avait valu  notamment des recensions élogieuses.

    Philippe Barbarin partageait avec ce rabbin une hostilité de bon ton au FN. M. Bernheim avait réaffirmé dans Actualité juive en mars 2015 que « le Front National représente un mouvement qui (…) a toujours été intrinsèquement antisémite. Et quand bien même madame Le Pen serait uneamie des juifs, ce qu’elle dit sur d’autres minorités de manière outrageante est incompatible avec les valeurs du judaïsme. Et c’est au nom des valeurs du judaïsme que nous avons le devoir de ne pas appeler à voter pour elle ». M. Bernheim est certes plus discret depuis qu’il a été accusé de multiples plagiats et d’usurpation de diplôme… « Malheur à l’homme par qui le scandale arrive » (Mathieu 18:7).

    Dans un entretien dans l’Obs paru en Noël 2011, l’archevêque de Lyon était interrogé sur livre commis par le député UMP Etienne Pinte et le prêtre Jacques Turck intitulé « Extrême droite : pourquoi les chrétiens ne peuvent pas se taire ». Dans celui-ci M. Pinte affirmait que « le FN c’est le rejet de la différence, de l’étranger, le rejet de l’Europe, de la mondialisation, le repli, la préférence nationale. L’Eglise, par ses écrits, sa doctrine sociale, son universalité, c’est l’accueil, le partage, l’ouverture. »

    Le cardinal Barbarin avait dit être d’accord avec cette charge contre l’opposition nationale: « Oui, c’est très clair. Dans la Bible, il y a partout l’étranger. M. Le Pen disait :  Je préfère ma fille à ma nièce, ma nièce à ma cousine, ma cousine à ma voisine, ou quelque chose comme ça. C’est la logique de l’exclusion : éloignez de moi ceux qui m’intéressent moins ou pas du tout ! La Bible, elle, est inclusive. Elle dit toujours :  Quand tu fais ceci ou cela, prends ta femme, tes enfants… et l’étranger qui vit avec toi. « 

    Une analyse tronquée, d’une assez grande indigence, qui n’était pas digne d’un intellectuel du  niveau de Philippe Barbarin, titulaire d’une maîtrise de philosophie à la Sorbonne et de théologie à l’Institut catholique de Paris.

    Mais l’alignement sur la doxa officielle du Système doit être total sous peine d’attaques venimeuses. Et n’en déplaise à Jean-Pierre Denis, ce n’est pas le progressisme du cardinal Barbarin qui serait éventuellement la cause de ses malheurs, des attaques d’un Manuel Valls, mais bien au contraire ses positions en faveur de l’accueil de la vie, de la famille, contre le mariage de personnes du même sexe. Autant de convictions conformes tout simplement aux enseignements traditionnels, de toujours,  de l’Eglise catholique.

    En septembre 2012, Philippe Barbarin, avait été ainsi cloué au pilori médiatique lorsqu’il avait déclaré au cours d’une émission diffusée par la radio RCF et la chaîne TLM que le mariage homo serait « une rupture de société » aux « conséquences innombrables. » « Après, ils vont vouloir faire des couples à trois ou à quatre. Après, un jour peut-être, l’interdiction de l’inceste tombera. Il y aura des demandes incroyables, qui commencent à se faire jour (…) le polyamour ou les unions à plusieurs deviennent un sujet d’actualité. »

    Relevons d’ailleurs que Marion Maréchal-Le Pen est attaquée ces dernières heures avec la même virulence pour avoir dénoncé en Italie, où elle répondait à une invitation de la Ligue du Nord, « cette Europe qui s’en prend à nos familles et à nos enfants en promouvant tous les délires et les fantasmes LGBT, du mariage homosexuel aux mères porteuses, en passant par la théorie du genre ».

    Marion a rappelé qu’il fallait défendre la famille « traditionnelle et naturelle », « conserver le mariage comme cadre juridique et comme protection de la famille et de la filiation », « ne pas en faire une reconnaissance sociale de l’amour, qui ouvrirait la voie à de nombreuses dérives. Car évidemment, d’autres minorités chercheront à faire reconnaître leur forme d’amour, je pense notamment à la polygamie qui nous paraît être un sujet essentiel ».

    Que l’on partage ou non cette dernière crainte, il est clair que cette volonté de briser le modèle familial traditionnel participe d’une offensive plus générale, dont nos compatriotes doivent être conscients,  contre notre modèle civilisationnel. Elle va de pair, note Bruno Gollnisch, avec la volonté, émanant souvent des même cénacles, euromondialistes, cosmopolites, progressistes, de faire disparaître tous les repères, les frontières, les identités sexuelles, physiques, culturelles, les enracinements…

    http://gollnisch.com/2016/03/17/cardinal-reperes-frontieres/

  • Pour faire taire les Identitaires, tout est permis

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    Pas de pitié pour les ennemis de la République, tous mis dans le même sac.

    Vous ne trouvez pas les Identitaires sympathiques ? C’est votre droit. Ce mouvement qui se veut jeune, différent, très actif et mène des actions « coup de poing » à la force symbolique pure ne correspond pas forcément à ce que devrait être l’action politique en France. D’autres diront qu’au contraire leurs actions sont utiles, en ce qu’elles viennent compléter les propos d’autres formations, telles que le Front national, qui s’en méfient cependant comme de la peste. Bref, le débat est ouvert, il est légitime, et il ne changera pas la face du monde.

    Ce qui est nettement moins légitime, c’est la manière dont ce mouvement est traité par le régime. Évidemment, il représente – dans le discours officiel – une forme de peste brune. Pensez donc ! Des gens qui osent manifester ouvertement leur hostilité au remplacement de population : racistes. Qui occupent quelques minutes le chantier d’une mosquée en construction : islamophobes. Qui organisent une protection des personnes dans le métro lyonnais, ostensiblement vêtus de blousons de couleur : ça sent la milice ! Et puis, c’est bien connu, tout ce qui est à droite d’Alain Juppé relève de la seconde partie de la proposition « la droite et l’extrême droite ».

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  • Ce que cache le lynchage « médiatico-idéologique » du cardinal Barbarin.

    A l’heure , ou après l’affaire de Villefontaine, on s’aperçoit que des enseignants pédophiles déjà condamnés continuent d’exercer auprès de mineurs et que l’Education Nationale a décidé d’étudier 900.000 casiers judiciaires , voilà qu’une affaire vieille de 20 ans refait curieusement surface contre un cardinal très populaire au sein de l’Eglise française et très volontaire dans sa lutte contre le mariage homosexuel..

    Pourtant , ce n’était pas contre l’Eglise que Christophe Barbier journaliste de l’Express, exprimait ainsi son dégout en avril 2015 : « Des enseignants ou des directeurs d’école qu’un rectorat se contente de muter quand il y a des soupçons ou des rumeurs, des condamnations que l’administration escamote, des parcours erratiques que les hiérarchies trouvent normaux… Quand un enfant est violé, le malaise s’installe dans la civilisation ; quand il apparaît que le système fait preuve d’une passivité coupable, sinon complice, et l’Etat, d’une cécité catastrophique, sinon criminelle, c’est la nausée qui monte »

    Mais, au-delà de ces faits de société, il y a des choix purement idéologiques que Zemmour dénonçait encore récemment et qui laissent à penser que l’Etat souhaite s’accaparer l’éducation de nos enfants jugés par lui, victimes de leurs parents réactionnaires avec le dispositif « ligne Azur » en demandant notamment à des enfants dès l’âge de 11 ans quelles sont leurs pratiques sexuelles.

    Dans une lettre du 4 janvier 2013 adressée aux « rectrices et recteurs », M. Peillon, alors ministre de l’Éducation nationale, nous faisait savoir que dans la mesure où nos mentalités lui déplaisaient, il se proposait de les changer en s’appuyant sur la jeunesse par l’intermédiaire, entre autres, du dispositif « Ligne Azur ».[....]

    Olivier Dejouy

    La suite sur Le Réveil Français

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Ce-que-cache-le-lynchage-mediatico

  • Etienne Chouard: "l'argent des Banque Centrales n'est donné qu'aux malfrats" - Extrait

  • Les Républicains veulent pouvoir bloquer Facebook ou Twitter sans délai

    De nombreux députés « Les Républicains » ont cosigné un amendement du député Éric Ciotti au projet de loi de réforme pénale, pour permettre au ministre de l’Intérieur d’ordonner le champ et sans aucun contrôle le blocage d’un site qui « provoquerait au terrorisme ou en ferait l’apologie » (appellation très floue qui encore une fois pourra frapper tous les dissidents, surtout après avoir été complétée au fil des ans), « y compris les réseaux sociaux ».

    Vu sur Numérama :

     

    « La loi sur l’état d’urgence était censée être une loi d’exception. Mais pourquoi ne pas en faire la normalité ? Le député Éric Ciotti, déjà auteur d’un amendement qui prévoit d’interdire les iPhone ou les smartphones Android en France si Apple ou Google refusent de coopérer au déblocage des téléphones, propose de faciliter le blocage sans délai des sites internet.

    Avec plusieurs dizaines de collègues du groupes Les Républicains, le député a déposé un amendement n°224 au projet de loi de réforme pénale qui dispose que « le ministre de l’intérieur peut prendre toute mesure pour assurer l’interruption de tout service de communication au public en ligne provoquant à la commission d’actes de terrorisme ou en faisant l’apologie ».

    « Le dispositif proposé par cet amendement est d’ores et déjà prévu dans le cadre de l’état d’urgence. Il convient de le pérenniser »

    Dans les motifs de l’amendement, les députés expliquent que son objectif est « de permettre au ministre de l’intérieur de bloquer tout site internet sans délai, y compris les réseaux sociaux, provoquant à la commission d’actes de terrorisme ou en faisant l’apologie ».

    Le blocage de sites présumés terroristes est déjà prévu par la loi contre le terrorisme de novembre 2014, mais prévoit l’obligation d’attendre 24 heures après avoir contacté en vain l’hébergeur, s’il est connu. Il permet par ailleurs à une personnalité qualifiée de la CNIL de vérifier la bonne application de la loi, puisque la liste des sites bloqués est secrète. Mais dans le cadre de l’état d’urgence, ces encadrements minimum sautent.

    « Certains fournisseurs n’ont pas appliqué le dispositif prévu par la loi et le délai de 24h qui leur est accordé apparaît excessif au regard des objectifs poursuivis », affirme M. Ciotti. « Le dispositif proposé par cet amendement est d’ores et déjà prévu dans le cadre de l’état d’urgence. Il convient de le pérenniser », conclut-il. »

    http://www.contre-info.com/les-republicains-veulent-pouvoir-bloquer-facebook-ou-twitter-sans-delai#more-41329