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magouille et compagnie - Page 1850

  • Au nom de l’intérêt public !

    Dr Bernard Plouvier

    C’est en se référant à cette noble formulation, qu’un juge de notre vertueuse République exige l’ouverture d’un centre pour réfugiés-immigrés dans l’un des quartiers de France où la vie est la plus chère : le XVIe arrondissement de Paris !

    Après tout, ces réfugiés-immigrés vivant de la charité publique (via le détournement d’une partie de nos impôts, redistribuée en allocations & subventions qu’ils obtiennent sans travail de leur part) ne sont que modérément sensibles à la cherté de la vie, puisqu’ils se comportent en parfaits parasites.

    De même, la pollution du Bois de Boulogne n’est guère plus préjudiciable à la France que celle des alentours de Calais et de Grande-Synthe, ou de villages bretons ou poitevins… d’autant que ledit bois est bien connu pour ses trafics de stupéfiants et ses passes de prostitué(e)s en tous genres, y compris les plus improbables. Donc, allons-y pour la jolie formulation : « Au nom de l’intérêt public » !

    Mais, quel intérêt est-il en cause ? De quelle communauté parle-t-on dans cette affaire « d’intérêt public » ? Exclusivement de la clientèle des partis « de gauche », actuellement en pleine déconfiture, et qui ont impérativement besoin de se refaire une santé par la naturalisation en masse de ces immigrés-réfugiés, associée – bien entendu - à une reprise en force de la démagogie tiers-mondiste la plus flamboyante.

    Parce que si l’on parle de l’intérêt de la Nation française, qui représente le seul public légitime - étant le seul souverain de l’État -, dans ce cas, personne et surtout pas un magistrat de la République ne peut se prévaloir de dire ce qu’est son intérêt. Pour l’excellente raison que nul n’a demandé l’avis de ce « souverain » depuis qu’en 1976 (par le décret funeste de regroupement familial), des politiciens ont imposé une immigration de masse, aggravée de façon exponentielle depuis le milieu des années 1980.

    L’intérêt de la Nation française commande-t-il une immigration extra-européenne massive ? Bien évidemment ! Avec plus de 5 millions de chômeurs, l’intérêt national commande d’importer encore et toujours plus d’Africains, de Moyen et de Proches-orientaux, dont une majorité n’a aucune qualification et dont les rares techniciens ont souvent besoin de la célèbre « discrimination positive » pour se faire embaucher.

    Il est également évident que, dans un pays où existent déjà environ 8 à 10 millions de musulmans, l’intérêt national commande, et d’urgence, d’en importer encore quelques millions de plus, de façon à voir pulluler davantage encore les mosquées et les boucheries hallal, de façon à voir circuler davantage d’individus en djellaba et nantis de ce voile islamique prôné ouvertement à l’école des sciences politiques de Paris ces derniers jours.          

    À l’évidence encore, il est de l’intérêt public bien compris d’importer toujours plus de jeunes musulmans célibataires pour voir se multiplier les viols de « petits culs blancs », de préférence en « tournantes » (c’est plus pittoresque), et, bien sûr, pour favoriser ces attentats qui mettent du piment dans la vie par trop monotone de la Nation… ces attentats qui devraient ne reprendre avec force qu’une fois passées les prochaines présidentielles : les maîtres du vrai Pouvoir vont probablement en freiner le rythme jusqu’à cette échéance électorale, ne souhaitant pas favoriser un sursaut patriotique.

    Maintenant si l’on veut réellement analyser, monsieur le magistrat de la République, le véritable INTÉRÊT PUBLIC, soit celui de la NATION, seul SOUVERAIN LÉGITIME de l’ÉTAT FRANÇAIS (on utilise les majuscules, de façon à ce que même le plus malvoyant des juges puisse lire), les mesures qui s’imposent et d’urgence ne sont, certes pas, de multiplier les « centres d’hébergement de réfugiés-immigrés ».

    Non ! Il s’agit de respecter les fondements de la démocratie. Or, la Démocratie repose sur deux piliers : l’égalité de tous devant la Loi et la prise des grandes décisions par la Nation.

    Les mesures qui s’imposent – et d’urgence – sont donc de demander à la Nation sa décision souveraine en matières : d’immigration d’origine extra-européenne ; d’opportunité ou de dangerosité extrême d’engager des musulmans dans les forces armées, les forces de police et de gardiennage de prisons, sachant que la totalité des terroristes sont des musulmans ; de la nécessité de se séparer des DOM-TOM, boulets économiques, riches de seules charges budgétaires ; de rétablir la peine de mort dans des cas bien précis ; de maintenir ou de supprimer la légalité de l’avortement de complaisance, qui réalise chaque année un génocide d’environ 220 000 à 250 000 Français de souche européenne ; de statuer en matière de fourniture d’énergie ; de chasser du territoire national tous les chômeurs inutilement importés et de renvoyer dans leurs continents d’origine les millions d’extra-européens pour qu’ils mettent en valeur leurs pays, de façon à multiplier les centres de production et à stimuler le commerce international. Tels sont les choix stratégiques actuels.

    Car on se moque absolument de l’avis sur ces questions de notre plantureux Président, d’ailleurs en voyage exotique perpétuel, de l’avis de notre distingué premier ministre, toujours entre deux cures (nécessaires) de relaxation, ou de celui du frétillant ministre de l’économie « En Marche » vers Matignon et l’Élysée.

    Tant que l’on n’aura pas demandé son avis au seul souverain légitime de l’État, soit la Nation, nul – pas même un digne magistrat de la République – ne pourra argumenter : « Au nom de l’intérêt public ».

    La Démocratie a ses exigences. On aurait presque honte de le rappeler, tant la chose est évidente… hélas, elle ne semble pas évidente pout tout le monde.  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Condamné à deux ans de prison pour avoir appelé à résister à l'islamisation

  • À Bruxelles, on va parler turc !

    On assiste à l’ottomanisation insidieuse de l’Europe dans le dos des Européens.

    Et voilà ! C’est l’Europe comme on l’aime, l’Europe démocratique, généreuse, attentive aux souhaits de ses 500 millions de nationaux.

    Cette Europe vient de faire une stupéfiante proposition. Chypre – que je connais bien pour y avoir vécu deux ans – est un pays aimable, direct, nature, sympa. Les Chypriotes sont naturellement accueillants et amicaux. Par malchance, ils sont en guerre ! Depuis 1974 et la honteuse invasion de la partie nord de l’île par les troupes turques, le régime appliqué est celui du cessez-le-feu sous contrôle des Casques bleus de l’ONU. Le pays est sectionné par une sinistre balafre, la « green line » ou « ligne verte », qui isole un gros tiers de l’île : au sud, la République de Chypre, État indépendant depuis 1960 ; au nord, la RTCN – République turque de Chypre du Nord – faux État fondé sur la brutalité militaire, reconnu par aucun pays au monde, à l’exception de la Turquie. On a cru « régler » la question chypriote en faisant entrer Chypre dans l’Europe et en lui faisant accepter l’euro : quelle erreur !

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  • Mondialisme, immigration et émasculation de notre société (Alain Escada)

  • «Nuit Debout, un mouvement sous perfusion médiatique»

    De Ludovine de La Rochère :

    "De nombreux médias rivalisent d’originalité en déversant aux Français, jour après jour, les mêmes « informations » sur la désormais fameuse « Nuit Debout ».

    Ainsi, le journal Le Monde, dont l’enthousiasme ne faiblit pas depuis le début du mouvement, titrait le 6 avril : « L’histoire de Nuit Debout, un ovni politique ». On se demande en quoi Nuit Debout serait un ovni politique puisque, au dire même du Monde et de nombreux médias, le mouvement s’inspire clairement de son « grand frère » Les Indignés et autres mouvements similaires. Le sociologue Albert Ogien souligne d’ailleurs que« cette forme d’action politique (…) est devenue une forme reconnue, désormais utilisée comme la grève, la manifestation, le sit-in, l’émeute… »

    La « spontanéité » et l’« éclectisme » caractériseraient aussi Nuit Debout, ce que dément pourtant l’existence d’un comité de pilotage et d’un comité organisateur – dénommé « convergence des luttes » – ou encore la commission « communication », dont l’efficacité n’est plus à démontrer !

    Certes, officiellement le mouvement n’a pas de leader et refuse la récupération partisane. On note cependant que François Ruffin, initiateur du mouvement avec quelques autres, est publiquement intervenu plusieurs fois, depuis le 31 mars, pour faire revenir les (interminables) débats aux enjeux qui l’intéressent, le projet de loi travail et le capitalisme

    Mais surtout, bien loin de la diversité des opinions vantée ce jeudi 14 avril par Le Monde, l’idéologie du mouvement est une caricature de la bien-pensance actuelle : ainsi, aujourd’hui, comme hier et demain, se tient par exemple la commission « LGBT ». On peut d’ailleurs regretter que la volonté publiquement affichée des LGBT de faire de l’entrisme n’ait pas été dénoncée par le mouvement qui se dit pourtant farouchement indépendant !

    Ladite commission LGBT ne réunit d’ailleurs que quelques personnes. Normal, puisque, contrairement à ce que pensent François Hollande et ses sbires, la LGBT est très loin de représenter l’ensemble des personnes homosexuelles en France, et encore plus loin pour ce qui est de porter les préoccupations réelles des Français !

    Par ailleurs, Nuit Debout, dont plusieurs fondateurs sont des militants d’extrême-gauche, est soutenue par ATTAC et aidée par Droit au logement (DAL) et SUD… Quant aux revendications adoptées, elles vont du « salaire à vie » à la « destruction globale de l’économie capitaliste » en passant par une « meilleure reconnaissance de la communauté LGBT » (elle manque de reconnaissance !?) et le « plein emploi » (qui serait contre !?)…

    Ce sont donc ces revendications, originales à souhait, qui passionnent nombre de médias ! De fait, certains journalistes rêvent encore du Grand soir, d’où leur publicité massive et permanente pour le mouvement et ce, en dépit des violences et saccages commis à plusieurs reprises.

    Autant dire qu’au regard de l’intense mobilisation médiatique présente à son chevet, le mouvement est bien faiblard. Il y a même fort à parier qu’il ne doit sa survie qu’à la perfusion permanente apportée par les médias.

    Pendant ce temps, Veilleurs et Sentinelles continuent de se rassembler partout en France, y compris place Vendôme, pour l’enfant et sa famille. La détermination, le calme et la responsabilité : voilà d’où vient la force du mouvement initié par La Manif Pour Tous. A cela s’ajoute la générosité : dans ce combat, nul ne défend ses propres intérêts, mais ceux des générations à venir. Si le mouvement social est devenu incontournable, c’est bien parce que le mariage homme-femme et la filiation père-mère-enfant sont le socle de la société. La famille, carrefour de la différence des sexes et de la différence des générations, mais aussi lieu d’accueil, d’éducation, de dignité et de solidarité, est irremplaçable !"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Éditorial de L’Action Française 2920 - JEUNESSE : LA FAILLITE MORALE DE LA GAUCHE

    Jusqu’où la gauche descendra-t-elle ? Je ne parle ni des sondages ni des élections partielles, mais de sa faillite morale. Il ne s’agit pas des nombreuses affaires dans lesquelles elle est engluée. Le candidat Hollande, en 2012, avait fait de la jeunesse sa priorité.

    Quatre ans plus tard, le gouvernement socialiste, incapable d’offrir un emploi aux jeunes Français, cherche à les appâter en libéralisant l’usage de la drogue. Fumez, vous ne penserez plus que votre avenir est bouché ! Qui dira après cela que Hollande, à douze mois de la prochaine présidentielle, ne fait pas à nouveau de la jeunesse sa priorité ? D’autant qu’un drogué est rarement inscrit au chômage et cherche plus rarement encore du travail. Il n’apparaît dans aucune statistique de Pôle Emploi : c’est gagnant-gagnant ! Alors que le Premier ministre annonçait en parallèle, le 11 avril dernier, une série de mesures en faveur de l’insertion professionnelle des jeunes pour un coût de 400 à 500 millions d’euros par an, Jean-Marie Le Guen, secrétaire d’Etat chargé des relations avec le Parlement, a souhaité sur BFM TV que « le Parti socialiste ouvre un débat sur la fin de la prohibition » du cannabis. Certes, ce médecin de profession reconnaît que le cannabis « est une très mauvaise chose pour la santé publique, en particulier chez les jeunes », mais, compte tenu de sa large consommation, « il faut peut-être aller vers des mécanismes de légalisation contrôlée ».

    Qu’en termes délicats ces choses-là sont dites ! Comme si la solution était de baisser les bras en encadrant le mal ! Comme si l’augmentation de la consommation de drogue n’était pas l’effet d’une situation anxiogène dû avant tout à la crise et au délitement social ? Est-ce d’ailleurs un effet du hasard si, dans le même temps et alors que l’ouverture, voulue elle aussi par le pouvoir socialiste, d’une salle de shoot dans le Xe arrondissement de Paris, adossée à l’hôpital Lariboisière, fait toujours débat, la Fédération française d’addictologie recommande dans un rapport rendu public lundi 18 avril 2016 que la consommation de drogue soit également permise dans les centres d’accueil pour toxicomanes ? Ce qui aboutirait à une dépénalisation de fait non plus seulement de la consommation des drogues prétendument douces, telles que le cannabis, mais aussi des stupéfiants les plus dévastateurs.

    Que la gauche en soit arrivée là en dit long sur sa déliquescence morale. Quelle déchéance que de ne proposer comme horizon à la jeunesse de son pays que la libéralisation du cannabis, l’ouverture de salles de shoot et l’assistance avec la création, dès 18 ans, d’un revenu minimum d’existence, en remplacement, au nom d’un égalitarisme simpliste, du maquis actuel des minima sociaux. Oui, la gauche paniquée par la perspective en 2017 d’un nouveau 21-Avril, ne gouverne plus : elle fait campagne, tous azimuts, cherchant à raccrocher, par tous les moyens, même nauséabonds, des électorats qu’elle croyait captifs et qu’elle voit lui échapper. La dégradation préméditée de l’instruction, à laquelle préside Najat Vallaud-Belkacem, certes entamée par ses prédécesseurs de droite et de gauche, mais accélérée de manière méthodique par l’actuel gouvernement, est une composante de cette politique en direction à la fois de la jeunesse et de certaines « communautés ». Un peuple mal instruit est plus malléable, notamment à ces discours de haine qui, sous couvert de vivre-ensemble, sont ceux du communautarisme militant.

    Même si cela n’a pas profité au candidat socialiste aux régionales en Île-de-France, il est toutefois patent que la gauche cherche à communautariser, voire à racialiser de plus en plus sa propagande, opposant la France « périphérique », constituée des Français de souche et des immigrés assimilés, à la « diversité », soutenue par ces dhimmis masochistes qui ont les moyens de s’enfermer dans leurs beaux quartiers et espèrent que leur argent leur assurera durablement la tranquillité au sein du grand remplacement civilisationnel qu’ils ont d’ores-et-déjà acté. Il en est des spots « Tous unis contre la haine » prétendant dénoncer le racisme comme des 2 000 affiches visant à condamner les discriminations à l’embauche : en insultant, tout en l’inventant comme catégorie économique et sociale, le « Français blanc » comme profiteur et raciste, ces deux campagnes gouvernementales en cours cherchent, par un racialisme grossier, à créer cet apartheid mental que Valls a infusé dans le discours politique en janvier 2015, dans le seul but d’opposer de manière irrémédiable deux électorats : d’un côté les Français périphériques jugés irrécupérables car désormais tournés vers le FN, de l’autre, la « diversité », électorat de remplacement en cours de constitution.

    Cette politique racialiste et communautariste de la gauche est d’autant plus violente qu’il lui faut réparer deux bévues qui lui ont aliéné un électorat qui lui avait été acquis en 2012 : sa politique étrangère de lutte contre le terrorisme islamiste entamée dès janvier 2013 au Mali, comme la politique sociétale — mariage pour tous, théorie du genre enseignée à l’école. Comme quoi, contrairement à ce que pensent des esprits courts au FN, qui risque de s’en mordre les doigts en 2017, la gauche sait, elle, qu’il n’y a pas de sujets « bonsaïs » en politique. Comment ne pas voir également que les propos de mars 2015 de Vallaud-Belkacem sur le porc comme « aliment confessionnel » étaient un message communautariste envoyé à certains jeunes ?

    Rien ne dit évidemment que cette tactique abjecte réussira. Les « quartiers » sont d’autant moins revenus dans le giron de la gauche qu’elle en a perdu de nombreux et que la droite molle et le centre tiennent désormais le même discours et pratiquent la même politique. Hollande, qui dévisse dans les sondages, a peur : plus généralement la jeunesse, quelles que soient ses origines, lui échappe. Celle qui vote destine ses voix en majorité à la droite parlementaire ou au Front national. La gestion des manifestations, notamment de lycéens, contre la loi El-Khomri, comme celle de Nuit Debout sur la place de la République à Paris, pâle reflet des Indignados espagnols du début des années 2010, est délicate. Il s’agit d’éviter avant tout la constitution d’un Podemos français.

    Les violences policières, encouragées par le pouvoir et occultées par les médias aux ordres lorsqu’elles étaient dirigées contre les pacifiques Manif pour tous ou autres Veilleurs, pourraient, cette fois largement médiatisées, faire à gauche le jeu des dissidents. C’est pourquoi le pays légal ferme les yeux, partout en France, sur les nombreux actes de vandalisme des antifâ et autres gauchistes qui, largement infiltrés, lui ont toujours servi de police supplétive. Laisser libre cours au vandalisme — les commerçants de Nantes, Rennes ou Paris en font régulièrement les frais —, dans l’espoir d’en rendre responsable et de réprimer l’adversaire qu’on jugera utile de désigner, les patriotes, évidemment, qu’on prétend en toute bonne conscience « citoyenne » interdire d’expression : cette politique d’une gauche aux abois est vieille comme la République. A Marseille, les locaux de l’Action française ont été ces jours derniers plusieurs fois vandalisés et nos militants menacés de mort par les idiots utiles du système, sans que cela inquiète autrement la police, voire avec une certaine complaisance des médias de l’oligarchie. L’évocation récurrente par le gouvernement d’un risque de guerre civile n’a rien d’innocent. Pour la gauche, sera « républicain » tout ce qui permettra son maintien au pouvoir.

    François Marcilhac - L’ACTION FRANÇAISE 2920

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Editorial-de-L-Action-Francaise,10462

  • Coca-Cola aurait dépensé 7 millions pour tromper les Français, en arrosant des associations et organismes

    Selon l’ONG Foodwatch, qui parle de « stratégie de désinformation », l’entreprise  Coca‑Cola aurait déboursé pas moins de 6,7 millions d’euros (hors taxes) sous forme de subventions et d’aides à des projets ou des organismes afin de promouvoir auprès des Français ses produits prétendument allégés tels que le Coca‑Cola « light » et le Coca « zéro ».

    Quelles sont les personnes ciblées par Coca‑Cola, bénéficiaires de ce système de corruption par la subvention ? Il s’agirait, selon l’ONG, de médecins, de nutritionnistes et d’associations. Ceux‑ci auraient déclaré sans vergogne que ces boissons édulcorées étaient plutôt bénéfiques pour la santé. Or, ces boissons où le sucre est remplacé totalement ou partie par des édulcorants contribueraient très fortement à l’augmentation des taux d’obésité, de surpoids et de diabète dans la population française, comme le prouvait un rapport de l’Agence nationale de sécurité sanitaire des aliments.

    L’impact de ces révélations est‑il si important ? Les personnes bien informées ne seront pas surprises de voir confirmés les méfaits d’une boisson aussi artificielle et remplie d’additifs chimiques. En revanche, savoir que l’entreprise consacre des sommes si importantes à des opérations de communication mensongères amène à se poser de sérieuses questions sur la capacité de nuisance d’entreprises supranationales, dont le seul centre d’intérêt est le profit désordonné.

    Or « de Paris à Lyon, de Lille à Chambéry en passant par Poitiers ou Givors, écrit Foodwatch, des médecins, scientifiques et des organismes – parfois sous tutelle publique – ont été généreusement financés par Coca-Cola France depuis 2010. Des sommes conséquentes souvent employées par les destinataires à plaider la cause des édulcorants au sein de congrès ou dans des publications scientifiques. »

    Par exemple :
    Fédération française des diabétiques : 268.552 € au moins
    Institut Européen d’Expertise en Physiologie (IEEP) : 719.200 €
    Centre National pour le Développement du Sport (CNDS) : 1.118.926 €
    Association française des diététiciens nutritionnistes : 117.764 €
    CreaBio : 653.798 €
    International Prevention Research Institute, IPRI : 690.000 €
    Centre de recherche pour l’Etude et l’Observation des Conditions de vie (CREDOC) : 85.000 €

    La liste des « aides » versées par Coca-Cola est disponible ici.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • La curieuse Charte de déontologie de l’Agence France Presse

    L’Agence France Presse s’est dotée d’une Charte des bonnes pratiques éditoriales et déontologiques « dont certains passages sont pour le moins étonnants », écrit l’hebdomadaire Minute, qui s’est arrêté sur la notion de « médias respectés ». Extrait :

    « Le problème de l’AFP, c’est [sa] prétention à être meilleure que les autres et même, à être supérieure aux autres. Le passage le plus révélateur de cette arrogance porte sur l’éventualité qu’un journaliste de l’AFP soit interviewé par un de ses confrères. Lui qui est payé pour faire parler les témoins, peut-il s’exprimer ? Peut-il, par exemple, expliquer à d’autres son métier, si envié ?

    « A cette question apparemment anodine, la charte apporte une réponse qui vaut son pesant de politiquement correct. Les journalistes de l’AFP, est-il écrit, “ne doivent accepter les demandes d’interviews que de médias respectés“. Pardon ? Et c’est quoi un “média respecté“ ? Et “respecté“ par qui d’abord ? On a beau chercher, la notion de “média respecté“ n’existe nulle part. Et pour cause : elle a été créée pour l’occasion. A l’AFP, où l’on se pense comme un “média respecté“, on ne mélange pas les torchons et les serviettes.

    « Aussitôt après, la Charte explique que ce qu’il importe d’éviter, ce sont “les situations dans lesquelles [les journalistes de l’AFP] peuvent être interrogés par des polémistes ou dans lesquelles leurs propos peuvent être exploités aux fins de propagande“. On a compris. Le “média respecté“, c’est celui qui est jugé respectable aux yeux de l’establishment. Celui qui ne posera jamais de questions qui fâchent. Celui qui acceptera, sans sourciller, que la voix de l’AFP propage, à travers lui, ses vérités, les seules qui vaillent. Et pas celui dont les critiques éventuelles sont, par avance, qualifiées de “propagande“…

    « Autrement dit, Eric Zemmour peut toujours demander un entretien à un journaliste de l’AFP, il ne l’aura jamais. Il a beau être respecté par des millions de Français, il a beau travailler pour des médias a priori respectés, comme RTL ou Le Figaro, il n’est qu’un “polémiste“. Etrange “déontologie“ qui crée deux catégories de journalistes : ceux qui écrivent pour des médias “respectés“ et les autres – qui ne sont pas respectables ? »

  • UE, Euro et Otan : Un effondrement inéluctable lourd de conséquence

    Si l’on en juge par l’état des discussions politiques en France – mais aussi à Bruxelles – nombreux sont ceux qui raisonnent selon des schémas devenus largement obsolètes.

    Le débat sur le souverainisme est à la fois “pertinent” et “dépassé”. Pertinent en ce sens qu’il intègre une réalité qui est déjà là : les états de l’UE n’agissent plus de manière collective. “Dépassé”, pour cette même raison.

    Pourquoi “débattre” de l’opportunité d’une “sortie de l’Union Européenne” ou de la zone euro quand les deux ont largement franchi le stade de l’implosion ?

    Bien sûr, il restera une structure nommée “Union Européenne” comme il existe une ONU ou une Ligue Arabe. Elle servira essentiellement à coordonner des coopérations très générales et à garantir des traités d’ordre économique. Rien de plus.

    L’UE et l’Eurozone ont été virtuellement détruites en Grèce où la crise de la monnaie unique et celle des migrants se sont conjuguées. Lorsque la chancelière allemande, Angela Merkel, a annoncé que son pays accueillerait les millions de musulmans candidats à la colonisation du continent, elle a détruit instantanément la zone de libre-échange et la monnaie lui étant liée.

    Avec l’effondrement de la zone euro, l’énorme industrie allemande – qui exporte près de 50% du PIB national chaque année – va se retrouver en état de surcapacité colossale, faute de débouchés continentaux. Il faut comprendre ici qu’une chute de 25% de ses commandes se traduit par un déficit instantané de 12,5% de son PIB. Compte tenu des contraintes budgétaires allemandes, notamment conditionnées pour garantir un système de pensions de retraite plus que précaire, le sort de l’Allemagne est scellé.

    Rajoutons que l’Europe de l’Ouest n’est plus au centre du jeu mondial mais précisément en train devenir une périphérie sans grande importance. Le PIB européen compte pour 19% de celui de la planète (Parité par Pouvoir d’Achat) actuellement. Une étude de Citigroup estime qu’il pourrait atteindre 11% en 2030 et de 7% en 2050 (source).  L’Asie totaliserait 49% du PIB mondial, avec 25% pour la Chine et 15% pour l’Inde. Les USA lutteront pour se maintenir autour de 15% du PIB de la planète.

    Effondrement de l’état-providence français

    J’entends déjà certains “souverainistes français” se réjouir. Ce serait oublier que le premier partenaire commercial de la France est l’Allemagne, à 67 milliards d’euros. Inversement, la France est le troisième marché pour l’Allemagne, à 103 milliards d’euros (source).

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