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magouille et compagnie - Page 1869

  • L’arme migratoire : un bon moyen pour la Turquie de faire casquer l’UE

    L’accord qui se profile entre les technocrates de l’UE et la Turquie est une catastrophe. En plus des milliards d’euros dépensés par les européens (qui ne serviront à rien), les turcs exigent la libéralisation des visas de ressortissants turcs vers l’UE ! Pour terminer, la Turquie accepte que les pays européens renvoient des clandestins, uniquement si en échange, l’UE en accueille d’autres ! 1 pour 1 ! C’est une véritable mascarade…

    La Turquie a demandé à l’Union européenne trois milliards d’euros d’aide supplémentaire « d’ici 2018 », promettant en échange d’augmenter drastiquement sa coopération dans la crise migratoire pour tarir les flux de migrants, a déclaré le président du Parlement européen Martin Schulz lundi.

    « Cet argent additionnel va demander des procédures budgétaires additionnelles. Le Parlement européen est prêt a accélérer les procédures », a déclaré M. Schulz en marge d’un sommet UE-Turquie à Bruxelles, où Ankara s’est montré prête à accepter des retours massifs de migrants, y compris de réfugiés syriens.

    La Turquie a proposé de reprendre sur son sol des personnes que l’UE lui renverrait, si l’Europe s’engage parallèlement à accueillir le même nombre de réfugiés syriens provenant directement de Turquie, selon un principe de « un pour un ».

    On ignore cependant encore si l’opération de retour vers la Turquie concernerait toutes les personnes arrivées en Grèce ou uniquement les migrants « irréguliers ». Se posent aussi des questions de légalité du mécanisme et de logistique.

    La Turquie a également demandé une accélération de la libéralisation des visas pour ses ressortissants souhaitant voyager en Europe, mais cette libéralisation ne se fera que quand l’accord de réadmission sera complètement appliqué, a indiqué une source européenne.

    Source

    http://www.contre-info.com/larme-migratoire-un-bon-moyen-pour-la-turquie-de-faire-casquer-lue#more-41239

  • Calais : Le Drian ordonne la mise à la retraite du général Piquemal pour opposition à l’immigration clandestine

    Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense socialiste et membre du Grand Orient de France, a ordonné la mise à la retraite du général 4 étoiles Christian Piquemal, ancien commandant de la Légion Étrangère.

    Les Échos rapportent :

    Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a demandé que le général Christian Piquemal, ancien patron de la Légion étrangère poursuivi pour participation à une manifestation anti-migrants interdite, soit mis à la retraite. Le ministre a saisi l’armée de Terre afin qu’un conseil de discipline exclut le gradé.

    Jean-Yves Le Drian, fils d’un père communiste de Lorient, membre du club oligarchique “Le Siècle”et fervent soutien de l’Otan, avait déjà procédé à la purge idéologique de l’école Saint-Cyr Coëtquidan. Il avait fait exclure le professeur africaniste Bernard Lugan, en raison de ses idées non conformes avec l’idéologie socialo-marxiste (lire ici).

    Le Drian est également lié à la politique de soutien aux djihadistes en Syrie aux côtés des services de renseignement saoudiens. Il avait reçu l’architecte du djihadisme international, le prince Bandar Ben Sultan, en 2013 à l’Hôtel de Brienne (lire ici). Le Drian est particulièrement impliqué dans les contrats d’armement négociés entre le Parti Socialiste Français et la dictature wahhabite des Al Saoud.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • En remettant la Légion d’honneur, Hollande légitime les abominations de l’Arabie saoudite…

    Dans un communiqué publié le 4 mars par l’agence de presse saoudienne SPA, les autorités saoudiennes ont annoncé que le chef de l’Etat, François Hollande, avait remis la Légion d’honneur au prince héritier Mohammed bin Nayef bin Abdelaziz Al Saoud, lors de sa visite à Paris.

    « François Hollande a souhaité la bienvenue au prince héritier et s’est félicité des fortes relations entre le royaume d’Arabie Saoudite et la France », explique le communiqué.

    « Au terme de leur entretien, le président français a remis vendredi 4 mars à son altesse la médaille de l’ordre national de la Légion d’honneur qui est la plus haute distinction française pour tous ses efforts dans la région et dans le monde dans la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme », ajoute le communiqué.

    Déjà le lundi 21 septembre 2015, le Conseil des droits de l’homme de l’ONU avait nommé l’ambassadeur de l’Arabie Saoudite auprès des Nations unies, M. Faisal Trad, à la tête de son Comité consultatif, lequel est notamment chargé « de sélectionner les rapporteurs en charge de thématiques précises comme les camps de travail en Corée du Nord ou les violences faites aux femmes », ainsi que le rapporte l’ONG UN Watch. D’ailleurs, l’Académie saoudienne d’éducation prend son rôle très au sérieux puisqu’elle vient de lancer un cycle de conférences autour de la question « La femme est-elle un être humain ? ». Pour répondre aux nombreuses réactions enflammées sur les réseaux sociaux, l’Académie précise sur son compte Facebook que ce thème de conférence doit être interprété de la manière suivante : soit la femme est à un niveau élevé, soit à un niveau moyen, soit à un bas niveau. Malheureusement, beaucoup ont commencé à interpréter l’intitulé en limitant la compréhension au niveau bas de la femme — notre mère, épouse, sœur ou fille… alors que l’intitulé n’osait pas rabaisser le rôle de la femme. » Malgré ces explications et les efforts de l’Académie, les réseaux sociaux ont été inondés de divers slogans et appels sous le hashtag #femme_être_humain. La conférence, prévue le 1er mars 2016, a été annulée.

    Mais voilà, plutôt que de s’indigner devant cette tentative de l’Arabie de dénaturer et limiter la notion même des Droits de l’Homme, le président français a reçu en toute discrétion vendredi 4 mars le prince Mohammed bin Nayef bin Abdelaziz Al Saoud, prince héritier d’Arabie saoudite, également vice-président du Conseil des ministres et ministre de l’Intérieur. Le site internet de l’Elysée mentionne bien cet entretien, mais a semble-t-il « oublié » de préciser que suite à cet entretien, François Hollande a remis à son altesse la médaille de l’ordre national de la Légion d’honneur qui est la plus haute distinction française pour tous ses efforts dans la région et dans le monde dans la lutte contre le terrorisme et l’extrêmisme.

    C’est le moment de rappeler que l’Arabie Saoudite est l’un des premiers pays au monde par le nombre de peines de mort prononcées par la justice conforme à la Charia. La moitié des exécutions concerne des affaires de stupéfiants, mais outre les meurtres et les viols, la peine capitale s’applique également à l’adultère et à l’apostasie. Alors, il faut croire que Hollande a considéré que tout cela méritait bien une médaille… et vous ?

    Sources :

    https://infocomnet.wordpress.com/2016/03/06/en-remettant-la-legion-dhonneur-hollande-legitime-les-abominations-de-larabie-saoudite/

    https://francais.rt.com/

    http://www.atlantico.fr/

    http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/en-remettant-la-legion-d-honneur-178508

  • Une France raciste ?

    « Un rapport européen accuse la France. » Selon des experts de la commission européenne, il y aurait lieu de s’inquiéter de l’accroissement des violences racistes, antisémites et islamophobes, en France, alors qu’on assisterait en même temps à une banalisation des discours racistes. J’avoue que ce genre d’accusations a le don de me hérisser le poil. Non que je mette en doute l’existence de pratiques condamnables, que je réprouve moi-même. Mais je suis indisposé par une propagande qui donne le sentiment que le peuple français serait sinon raciste, du moins tenté de succomber à certains travers. Les titres des journaux sont explicites. C’est bien la France qui est accusée. Et quand on parle de la France, on désigne forcément le peuple français en général. Et là, pardon, mais ça ne passe pas. Cette culpabilisation implicite d’un sujet collectif m’indigne, car elle pourrait bien être le reflet d’un racisme inversé.
    Le peuple français serait suspect, par principe. Et dès lors tous les maux possibles pourraient lui être imputés. Cela rejoint d’ailleurs un certain discours sociologique, lui-même uniformément accusateur. Toutes les difficultés du pays seraient dues à la mauvaise nature d’une population de Dupont-Lajoie forcément haineuse à l’égard d’autrui. Il y aurait donc une sorte de racisme en France, un racisme anti-immigré, un racisme blanc. L’imprécision d’analyse du rapport européen conforte cette impression dans la mesure ou aucune étude sérieuse n’est formulée sur l’origine des actes antisémites ou anti arabes. Je crains que ce genre de procès n’aggrave plutôt qu’il n’arrange nos problèmes, dont la nature est singulièrement complexe. Si l’on veut en avoir une idée un peu plus précise qu’on aille voir le dernier film de Cheyenne-Marie Caron intitulé Patries. On sera infiniment mieux instruit des difficultés de cohabitation qui ne sont pas unilatérales.
    Pour nos procureurs, il n’est qu’un moyen de combattre notre racisme indélébile, c’est l’aggravation de notre législation pour motifs racistes ou homophobes. La boucle est bouclée. On retrouve là ce que Philippe Muray appelait « l’envie du pénal ». Pour mettre le peuple au pas, il faut, disait-il, « le mettre au pas de loi ». L-o-i. Triste illusion, remède illusoire.

  • L’art de faire porter un chapeau ukrainien à la Russie

    Au vu de ses conséquences économiques, l’Europe veut la levée de l’embargo russe.

    Au vu de ses conséquences économiques, l’Europe veut la levée de l’embargo russe. Cet embargo est la réponse aux sanctions européennes prises contre la Russie. L’Europe exige l’application intégrale des accords de Minsk pour lever ses sanctions et demande à Moscou de faire pression sur les autorités ukrainiennes bien que celles-ci soient en pleine hystérie russophobe.

    Le 17 février dernier, lors de la conférence de presse commune avec le Premier ministre hongrois, Vladimir Poutine a précisé la position russe.

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  • Après le ministère des familles, celui des justices, des cultes, des éducations, des santés ?

    Bernard Antony communique :

    6a00d83451619c69e201b7c81f33f7970b-800wi.gif"Étant donné, selon lui, la diversité des formes familiales, François Hollande, qui en effet s’y connaît sur la question, vient de réaliser encore une de ces grandes réformes sociétales par lesquelles il demeurera dans l’histoire : le ministère de la famille est désormais devenu le ministère des familles.

    On se demande pourquoi il n’a pas, dans la foulée, pluralisé tous les autres intitulés ministériels demeurant archaïquement au singulier. Cela nous donnerait selon le même argument des ministères des justices, des cultes, des agricultures, des éducations nationales, des santés…

    Tous ces domaines ne recouvrent-ils pas aussi des réalités plurielles ?

    Cette dernière trouvaille d’un gouvernement à l’agonie s’inscrit dans la continuité d’une gauche souvent appuyée par une droite gauchie, incapable de mener d’authentiques réformes sociales pour le bien commun.

    Faisant alors fi du « social » qu’elle abandonne désormais totalement au courant national, elle fait du « sociétal » ou plus exactement, selon le vocabulaire du néo-totalitarisme nihiliste, de la « déconstruction sociétale ».

    Tout doit y passer :

    Contre le respect de la vie innocente, la légalisation-promotion de l’avortement et l’instruction de l’euthanasie.

    Contre le respect de l’écologie humaine, les manipulations génétiques et l’introduction de l’idéologie du genre dans les programmes scolaires.

    Contre la défense de la famille, cellule de base de la société, le pseudo-mariage homosexuel.

    Contre le sentiment d’appartenance à la patrie française, communauté historique de destin, la « déconstruction » de l’enseignement chronologique et cohérent de l’histoire et de nos racines de civilisation.

    Contre la langue française, élément premier d’identité culturelle et nationale et premier moyen d’assimilation, la dévaluation-destruction de l’enseignement du vocabulaire et de la grammaire.

    On se prendrait quelquefois à éprouver de la commisération pour François Hollande devant les affligeants lieux communs qu’il déverse avec sa manière reniflarde et pleurnicharde en un français hasardeux.

    On est affligé pour lui, indécent chef de l’État, lorsqu’il donne les preuves de son idéal féministe en racontant  combien jadis il était un bon compagnon de Ségolène en faisant le marché et en changeant les couches des enfants.

    On imagine ce que pensent de pareilles confidences les Poutine, Erdogan et Xi-Jinping.

    Mais l’homme ne mérite hélas aucunement de l’indulgence. Ne s’illustrant que dans la déconstruction sociétale, c’est-à-dire la destruction sociale, il aura sa triste part de responsabilité dans l’entreprise de génocide français."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Comment la Commission européenne étouffe Ariane et Airbus dans le but de favoriser leurs concurrents américains

    L’Union européenne nous est officiellement présentée comme la nécessité pour des Etats européens de se regrouper pour être forts dans un monde globalisé afin de faire face à d’autres entités, tels les Etats-Unis, la Chine, etc.
    « Sans l’Europe, chaque Etat qui la constitue ne serait rien et vulnérable, alors que grâce à l’Europe, nous sommes regroupés et pouvons résister aux autres ». Combien de fois cette antienne a-t-elle été répétée ? Pourtant, la façon dont la Commission européenne vient de réagir au sujet du rapprochement Airbus-Ariane nous prouve que rien n’est plus faux et que les commissaires et technocrates bruxellois poursuivent d’autres desseins que de protéger notre continent, ses industries, ses populations.

    En effet, Airbus et Ariane voulaient « se marier » ce qui aurait créé le n°1 mondial dans les domaines de l’aéronautique et l’aérospatial. Ce groupe aurait été très concurrentiel, puisque de cette union, des économies auraient pu être faites, au grand dam de leurs concurrents, tels Boeing ou le producteur de fusées américain SpaceX. Mais ce mariage n’aura pas lieu. La raison ? C’est la commission européenne elle-même qui s’y oppose !
    Dans une excellente tribune de Damien Lempereur et Brice Wartel parue dans le Figaro, les raisons évoquées par les technocrates bruxellois nous sont données : cela créerait une « position dominante » qui serait contraire à une concurrence libre et non faussée !
    Bref, Bruxelles dit non à la fusion des deux groupes européens dans le but de protéger leurs concurrents américains, chinois, russes ou autres ! Cela est d’autant plus un scandale que ces concurrents sont pour la plupart subventionnés par leurs Etats.

    On notera – et la tribune du Figaro le souligne – que les réussites actuelles aussi bien d’Airbus que d’Ariane, si elles sont le fruit de coopérations européennes, ne doivent néanmoins rien à l’Europe des technocrates, ces groupes ayant été créés avant que Bruxelles ne s’occupe d’eux. Laissons les auteurs conclure : « décision révélatrice parce qu’elle illustre l’opposition fondamentale entre deux conceptions de l’Europe : l’Europe qui réussit, celle des alliances entre nations, celle d’Airbus et Ariane ; et l’Europe qui échoue, celle de Bruxelles et des technocrates. A chaque échec de « l’Union européenne », les euro-béats répondent « oui mais regardez Airbus et Ariane », qu’ils invoquent à tort comme preuve de la réussite de l’Union européenne. Faut-il rappeler que ces réussites sont antérieures à la création de la Commission européenne ? La décision du 26 février le confirme : l’Union européenne actuelle est l’ennemie d’Airbus et d’Ariane, pas leur alliée. »

    http://www.contre-info.com/comment-la-commission-europeenne-etouffe-ariane-et-airbus-dans-le-but-de-favoriser-leurs-concurrents-americainss#more-41223

  • Antisémitisme : l’hystérie, seule, était vraie !

    Rivarol.pngFeu à volonté sur Donald TRUMP. Le milliardaire américain qui pour l’heure fait la course en tête dans les primaires républicaines pour l’accession à la Maison-Blanche (nous ne connaissons pas encore à l’heure du bouclage de ce numéro les résultats sans doute déterminants du Super Tuesday) et dont la fortune le met à l’abri des pressions et des chantages et rend sa parole vraiment libre est violemment attaqué depuis des mois par ses concurrents, par tous les media américains et par Bergoglio lui-même qui, lors de son voyage au Mexique l’a sévèrement taclé, lui déniant sa qualité de chrétien, et plus encore depuis qu’il a refusé de condamner le soutien que lui a apporté le révisionniste David Duke, ancien grand sorcier du Ku Klux Klan, participant en 2006 à la conférence de Téhéran sur l’“Holocauste” et professant avec talent dans tous les domaines des idées marquées très à droite. L’un des fils de Trump a même retweeté un message de Jean-Marie Le Pen disant : « Si j’étais américain, je voterais Donald TRUMP… Mais que Dieu le protège ! » Pour l’heure, Trump ne manque ni de courage ni de combativité. Son franc-parler fait mouche, son discours contre l’immigration et contre l’establishment séduit les foules après huit ans d’une présidence Obama marquée par le politiquement correct et ayant été très humiliante pour les Américains blancs de souche.

    L’hystérie qui s’est emparée des media, surtout depuis le soutien à Trump de David Duke, prouve « l’influence puissante et nocive du lobby juif », pour reprendre l’expression de feu François Mitterrand, aussi bien outre-Atlantique qu’en France où l’on voit de l’antisémitisme partout, et surtout où il n’est pas. Comme en témoignent les fausses agressions antisémites. Ainsi un professeur d’une école juive marseillaise, qui assurait, mi-novembre, quelques jours après les attentats ayant ensanglanté Paris, avoir été agressé par trois hommes antisémites a été entendu fin février pour « dénonciation mensongère » et placé en garde à vue.

    « Le 18 novembre dernier, raconte La Provence, alors que la France est en pleine sidération post-attentats, un professeur d’une école juive de Marseille assure avoir été blessé à coups de couteau par trois hommes à scooter, dans le 13e arrondissement de Marseille. Selon son récit, ces derniers auraient proféré des menaces et des insultes antisémites, avant d’exhiber un tee-shirt estampillé Daech. Le soir des faits, le préfet de police des Bouches-du-Rhône rassure, précisant que de très importants moyens policiers avaient été déployés pour en retrouver les auteurs. La victime, blessée aux bras aux jambes et au ventre, est hospitalisée, mais son pronostic vital n’est pas engagé. Il s’en sort avec quelques plaies et quitte l’hôpital le soir même. Hollande avait appelé à une réponse impitoyable. L’affaire avait suscité une pluie de déclarations politiques et associatives. François Hollande avait vivement condamné cette agression, en appelant à une « réponse impitoyable ». L’enquête, confiée à la sûreté départementale, a finalement mis en lumière les incohérences du récit de l’enseignant » manifestement mythomane (voir plus de détails dans la chronique de Robert Spieler page 5).

    Cette mythomanie n’est pas un cas unique. On se souvient de Misha Defonseca qui dans Survivre avec les loups, livre publié en 1997, avait prétendu avoir survécu à la Shoah grâce à des loups et ayant notamment tué un soldat allemand. Defonseca avait admis en 2008 avoir inventé toute l’histoire en déclarant, de manière délicieuse : « Ce livre, cette histoire, c’est la mienne. Elle n’est pas la réalité réelle (sic), mais elle a été ma réalité, ma manière de survivre. » Et que dire des plagiats et de l’usurpation du titre d’agrégé perpétrés par le rabbin Gilles Bernheim ? Et de la fausse agression du rabbin Gabriel Fahri ? Les rabbins violeraient-ils impunément le huitième commandement de Dieu « Faux témoignage ne diras, Ni mentiras aucunement » ? Dieudonné aurait-il raison lorsque, dans son spectacle interdit Le Mur, il s’interroge tout haut sur les liens entre mensonge et judaïsme ? On n’ose le croire de crainte de sombrer dans un antisémitisme sanctionné par la loi ! Ces dernières années se sont multipliées des affaires aussitôt présentées par la presse écrite et audiovisuelle, par les milieux politiques, le gouvernement, le président de la République et les représentants des différentes religions, comme une abominable résurgence de l’antisémitisme. Or, à chaque fois, sans la moindre exception, l’enquête policière a prouvé, et en général assez rapidement, que les divers incendies et agressions criminels n’étaient ni de près ni de loin liés à une quelconque haine des juifs. Il s’agissait soit de déséquilibrés qui dans notre société déstructurée sont hélas de plus en plus nombreux, soit d’individus avides de faire parler d’eux dans les grands media, soit carrément de juifs eux-mêmes désireux de susciter une intense émotion populaire en se faisant passer pour des victimes de la Bête immonde.

    Retour sur quelques faits troublants (parmi tant d’autres) : en janvier 2003 le rabbin Gabriel Farhi prétend avoir été blessé d’un coup de couteau dans sa synagogue et indique que son agresseur lui a crié : « Allahou Akbar ». L’enquête prouvera que le couteau de cuisine venait directement de la synagogue et qu’il s’agit d’une automutilation. Quelques mois plus tard, Alex Moïse, le porte-parole du Likoud en France, qui a été en pointe dans la campagne anti-Dieudonné, menaçant de faire sauter les théâtres où l’humoriste devait se produire, affirme recevoir sur son téléphone portable des appels anonymes avec menaces de mort et insultes antisémites. Là encore, les policiers qui ne s’en laissent pas conter — ils sont habitués aux affabulateurs ! — s’aperçoivent très vite que c’est A. Moïse lui-même qui s’envoyait ces messages haineux. Le mythomane (et/ou provocateur) a d’ailleurs été condamné le 4 mai 2004 par le tribunal correctionnel de Paris à une (faible) amende et à deux mois de prison assortis du sursis.

    En décembre 2003, l’école Marzaka Thora de Gagny en région parisienne prend feu. Les media s’enflamment, le Premier ministre de l’époque, Jean-Pierre Raffarin, sans attendre le résultat de l’enquête, connaît le mobile du crime : l’antisémitisme bien sûr. Et sur-le-champ le chef du gouvernement crée un Comité interministériel de lutte contre l’antisémitisme. Quelques semaines passent et Le Figaro puis L’Express laissent clairement entendre qu’il s’agirait d’une escroquerie à l’assurance. Les responsables loubavitch de l’établissement sont en effet perclus de dettes ; l’incendie est providentiel.

    Mais c’est sans aucun doute l’affaire du RER D en juillet 2004 qui suscita la plus folle effervescence. Le président de la République d’alors, Jacques Chirac, dénonce aussitôt « un acte inqualifiable » de concert avec le ministre de l’Intérieur de l’époque, Dominique de Villepin. Pourtant, dès le départ, les enquêteurs ont des doutes très sérieux sur la véracité du témoignage de Marie Leblanc, une jeune femme qui prétend avoir été déshabillée par un groupe de Beurs et de Blacks qui l’ont prise pour une juive (ce qu’elle n’est pas) parce qu’elle habitait le XVIe arrondissement, avant que ces derniers ne lui dessinent des croix gammées sur le ventre, et tout cela sans qu’aucun voyageur ne réagisse alors même que la scène aurait duré une quinzaine de minutes. Or non seulement aucun témoin ne confirme sa version des faits mais encore la donzelle est connue pour être mythomane. La sépharade Nicole Guedj, alors secrétaire d’Etat aux droits des victimes, fait encore plus fort en rencontrant la prétendue victime, en lui téléphonant et en accordant crédit à une histoire inventée de toutes pièces.  […] Lire la suite…

    RIVAROL.

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/antisemitisme-lhysterie-seule-etait-vraie_155067.html#more-155067

  • La chasse à la croix est ouverte

    La dhimmitude s'étend et devient pour l'Europe une seconde nature; la croix est progressivement interdite un peu partout pour ne pas "choquer les musulmans", qui ne se font pas faute, eux, d'afficher en toute quiétude leurs barbes et leurs voiles :

    "La croix du drapeau de la Suisse fâche les musulmans. Les grandes marquent cèdent. En suisse alémanique : « Kreuz ist Trumpf ». En français : «La croix est un atout » (Jeu de mot : littéralement « trèfle atout », formule employé quand on joue au « Jass », un jeu typiquement suisse). En réponse à ce slogan publicitaire de la campagne des lignes aériennes Swiss Air, les organisations islamiques ont réagi en demandant que le drapeau suisse avec la croix soit supprimé. Des groupes de musulmans protestent, tant sur Internet que dans les médias helvétiques, au motif que cette publicité serait « une attaque contre l’islam », comme l’était le film sur Mahomet (L’Innocence des Musulmans). [...]

    Dans de nombreux cas la croix blanche sur fond rouge a été remplacée par « Swiss Made ». Victorinox, la célèbre marque de couteaux, a remplacé la croix par la lettre « V ». Swatch s’est justifié en disant que « dans les pays musulmans il est interdit de montrer publiquement la croix ». Autocensure donc. Une campagne a débuté pour supprimer la croix du drapeau, surtout après l’interdiction des minarets dans le pays. Ivica Petrusic, présidente de Secondos-Plus, un groupe de pression d’immigrants musulmans de seconde génération avait alors indiqué que : « Le drapeau suisse ne correspond plus à la Suisse multiculturelle actuelle ». Elle propose un drapeau vert, rouge et jaune, qui est celui de la République Helvétique de 1799, pour « une Suisse plus progressiste et ouverte ».

    Dans le pays, suite à la bataille et à l’interdiction des minarets, la Commission Pédagogique de Roggwill, en suisse allemande, avait interdit aux étudiants de porter des « gadgets provocateurs », tels que la croix blanche sur fond rouge.

    Une mesure semblable, en Angleterre, a porté à la disparition de la Croix de Saint Georges sur plusieurs portes d’embarquement à l’aéroport de Heathrow ou sur les taxis de Blackpool et Cheltenham.

    Il y a quelques mois, le Real Madrid en vue de l’ouverture du gigantesque parc hôtelier-musée destiné aux fans du Club à Ras-al-Khaimah dans les Emirats Arabes, a supprimé des armoiries de son logo, la petite croix au-dessus de la couronne. Le Barcelona à son tour, pour une finale de foot à Abu Dhabi, a enlevé sur son écu la croix de Sant Jordi. Il y a deux semaines, la Cour Européenne des Droits de l’Homme a débouté l’action en dernière instance présentée en Angleterre par Nadia Evedia, licenciée de son poste au check-in de la British Airways où elle travaillait parce qu’elle portait au cou une croix. La même chose est arrivée, toujours au Royaume Uni, à Shirley Chaplin, une infirmière.

    Londres s’est donc nettement placé du côté des employeurs, mais la Cour de Strasbourg est allée plus loin, en discriminant la liberté de certaines confessions. Sur ce dossier des licenciements de femmes, le gouvernement anglais a statué déclarant que la religion chrétienne devait y mettre du sien en vertu de son caractère libéral et, dans le même temps, que la religion islamiste doit être respectée dans ses normes qui pour ses fidèles sont obligatoires. En fin de compte, l’on peut interdire les croix, mais pas le voile ni le niqab. (Giulio Meotti)"

    Marie Bethanie

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le président turc fait chanter l’Europe

    ource : Sputnik
    La dernière fois que les pays européens ont payé un tribut à la Turquie remonte aux sultans de la fin du XVIe siècle.

    Mais cette « tradition » sera certainement ranimée lors du prochain sommet UE-Turquie lundi 7 mars — on ne pourrait qualifier autrement les 3 milliards d’euros déjà promis par la chancelière allemande Angela Merkel à ses interlocuteurs turcs. Non content, le président turc Recep Tayyip Erdogan affirme toutefois que cette somme est insuffisante. Après tout, il doit aussi compenser les pertes budgétaires liées à l’absence de touristes russes dans son pays. Il a donc exigé de l’Europe qu’elle porte le montant des aides destinées au logement des réfugiés à 5 milliards d’euros.

    Pour que le futur « tribut » obtenu par Ankara ne soulève pas de fortes indignations de la part des Européens, le premier ministre turc Ahmet Davutoglu a expliqué que son pays aurait dépensé 8 milliards de dollars pour l’accueil de 2,2 millions de migrants. Pourquoi « aurait » ? Parce que personne n’a vérifié ces chiffres qui circulent dans la presse turque. Le président Erdogan a mis en garde les dirigeants européens qui ne seraient pas prêts à payer les descendants des « sultans » : « Jusqu’à présent, nous faisons embarquer les réfugiés dans des bus à Edirne, à la frontière grecque, pour les renvoyer. On peut le faire encore une fois ou deux mais par la suite, nous ouvrirons la frontière en leur souhaitant bon voyage ».

    On ignore encore si la Turquie recevra bien les milliards promis lors du prochain sommet — certains hommes politiques européens sont convaincus qu’Ankara ne remplit pas ses engagements et ne contribue pas à réduire le flux migratoire vers l’Europe. De leur côté, les autorités turques agissent en appliquant le principe « l’argent d’abord » et refusent d’entreprendre quoi que ce soit vis-à-vis des réfugiés tant que le Vieux Continent n’aura pas payé.

    Pour que personne n’intervienne dans cette négociation politique, les Turcs ont interdit de traverser leurs eaux territoriales à un groupe naval de l’OTAN qui s’apprêtait à lutter contre le transport illégal de migrants en mer d’Égée. Au final, la direction de l’Alliance continue de mettre au point les détails des opérations à venir et tente de régler les litiges entre la Turquie et la Grèce concernant les frontières maritimes.

    Pendant ce temps, les chiffres qui illustrent la « bonne foi » avec laquelle Ankara tient ses promesses parlent d’eux-mêmes : selon l’agence européenne Frontex, 68 000 migrants sont arrivés sur le territoire de l’UE en janvier depuis la Turquie, soit 38 fois plus qu’en janvier 2015. En échange des 5 milliards d’euros susmentionnés, la Turquie pourrait accepter l’initiative des 11 pays de l’UE qui voudraient mettre en place un mécanisme d’envoi direct des réfugiés de Turquie sur le Vieux Continent.

    Mais d’ici là, Ankara continuera d’observer avec un sourire moqueur l’incapacité de l’UE à rétablir le contrôle des frontières extérieures par la force en abandonnant ses notions humanistes. Et les autorités turques continueront d’envoyer sur le Vieux Continent des réfugiés par milliers, qui changent peu à peu sa démographie et sa composition religieuse.

    http://fr.novopress.info/199080/president-turc-fait-chanter-leurope/#more-199080