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magouille et compagnie - Page 1952

  • Le néo-négationnisme en temps réel du génocide chrétien – au nom de la Shoah

    Un génocide est en cours, appuyé sur une théorie du génocide, basée sur une partie des textes sacrés de l’islam : le génocide des chrétiens d’Orient. Certains ne veulent pas que le public occidental le comprenne.

    « “Nous sommes venus pour tuer et nous faire tuer.” C’est ce qu’ils criaient », raconte une femme, rescapée du massacre de l’université de Garissa au Kenya (RFI, 4/4/2015).

    Les chebab criaient donc la parole du dieu de Mahomet : « Le musulman tue et il est tué », Coran, sourate 9. Cette parole est enseignée à des enfants ici en France.

    Un génocide est en cours, appuyé sur une théorie du génocide, basée sur une partie des textes sacrés de l’islam : le génocide des chrétiens d’Orient. Certains ne veulent pas que le public occidental le comprenne. Et par une forme de cynisme insupportable, c’est au nom de la Shoah que ces « néo-négationnistes » nient ou occultent le génocide en cours des chrétiens d’Orient, et le projet de génocide des juifs du monde entier, voulus par les musulmans les plus proches de la pensée de Mahomet.

    Au nom de la Shoah, ils persécutent les donneurs d’alerte, s’alarmant des livres musulmans où des propos similaires à ceux de Mein Kampf sont tenus.

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  • Entre potes : les députés européens vont se voter une augmentation qui coûtera 13 millions d’euros pour 2016

    "Il n'y a pas de mal à se faire du bien" rétorqueront-ils à propos de ce petit tapis d'euros qui provoque l'accord des eurodéputés de gauche et de droite : 

    "Les eurodéputés s’apprêtent à augmenter de 18 000 euros par an l’enveloppe à disposition de chaque élu pour la rémunération de ses assistants. Cela représente une hausse, pour ce poste budgétaire, d’environ 13 millions d’euros pour 2016.

    Cette augmentation de 7 %, réclamée à l’origine par le PPE (droite, premier groupe du parlement, dont l’UMP), est désormais aussi soutenue par les sociaux-démocrates du S&D (dont le PS). À eux deux, ces groupes sont majoritaires dans l’hémicycle".

    Lahire

  • Affaire Lugan : l’épuration idéologique continue

    Le 14 avril 2015, le célèbre africaniste Bernard Lugan est contacté par téléphone par la direction de l’enseignement des Écoles de Saint-Cyr Coëtquidan (ESCC) qui lui signifie verbalement (!) l’annulation de toutes ses interventions programmées, ce, sans en préciser les motifs.

    Selon Jean-Dominique Merchet (ancien plumitif de Libération, proche des milieux de gauche, se vantant d’obtenir ses sources directement auprès du cabinet du ministre de la Défense), l’éviction de l’intéressé serait justifiée par « ses récentes déclarations sur le déplacement du secrétaire d’État aux Anciens combattants à Sétif, mettant formellement en cause le chef des armées François Hollande ».

    Dans un communiqué publié sur son blog, le 9 avril 2015, le professeur Lugan écrivait notamment que « la décision de François Hollande d’envoyer un membre de son gouvernement à Sétif [M. Jean-Marc Todeschini, secrétaire d’État aux Anciens combattants, du 19 au 21 avril] est une provocation. Ce faisant, le président de la République montre à la fois son aveuglement historique et son sectarisme politique puisqu’il cautionne la réécriture de l’Histoire faite par les autorités algériennes. Au prix d’une nouvelle humiliation de la France. » Pour lui, il ne s’agit rien moins que d’un « “voyage mémoriel” en Algérie. Une mémoire sélective puisqu’il est prévu un déplacement à Sétif, repentance oblige…, mais pas à Oran où des centaines de Français furent massacrés et enlevés le 5 juillet 1962. Le secrétaire d’État français n’ira pas davantage à la mine d’El Halia où, le 20 août 1955, 132 Européens furent assassinés ; ni d’ailleurs sur l’un des nombreux lieux de supplice des Harkis. »

    Pour être complet, l’entourage du ministre de la Défense précise que, loin de remettre en cause les compétences de Bernard Lugan, cette décision ne serait que la stricte application de la « consigne » diffusée, il y a un an, auprès des universitaires intervenant aux Écoles – en particulier de Saint-Cyr Coëtquidan –, les invitant à « ne déclencher aucune polémique et à ne pas nuire à l’image desdites écoles ».

    Évidemment, on ne peut s’empêcher d’opérer un rapprochement avec la révocation, en 2009, du géopolitologue Aymeric Chauprade du Collège interarmées de défense (ex-École de guerre). À l’époque, son ministre de tutelle, Hervé Morin, lui reprochait ses pages « conspirationnistes » – publiées dans son ouvrage Chronique du choc des civilisations, remettant en question la version officielle des attentats du 11 septembre.

    De fait, on ne peut, non plus, s’empêcher de conclure que cette censure au plus haut niveau de l’État, ostracisant des spécialistes intervenant auprès de nos officiers et sous-officiers, est tout simplement idéologique. L’on connaît l’approche ethniciste de Lugan, comme celle, « multipolaire » de Chauprade, soit deux thèses « réalistes » aux antipodes de la doxa éthérée, droit-de-l’hommiste et américano-alignée des gouvernements Fillon-Ayrault-Valls.

    Il ne s’agit pourtant, là, que d’épurations visant des personnalités en vue. C’est sans compter, en effet, sur les véritables purges dont sont victimes d’autres chercheurs (notamment dans le domaine des sciences humaines et sociales) anonymes non moins méritants, dont les travaux, tout aussi rigoureux, s’écartent des sentiers battus de la pensée dominante.

    C’est ainsi que l’on sape consciencieusement, depuis des décennies, les fondements intellectuels et moraux de notre nation.

    Aristide Leucate Boulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dt_autres/EukAFukEEVAbezEyqL.shtml

  • Vote obligatoire : pour récupérer l’abstention des musulmans ?

    Rendre obligatoire le vote ? François Hollande, qui a reçu hier matin le rapport de Claude Bartolone sur « l’engagement citoyen et l’appartenance républicaine » dit ne pas avoir tranché en laissant le débat ouvert.

    Pour sa part, Jean-Marie Le Guen défend vigoureusement cette idée : « La démocratie ne doit pas être une valeur commerciale: on consomme ou on ne consomme pas, j’y vais si ça me rapporte. La démocratie, ce sont des droits et aussi des devoirs, des gens sont morts pour avoir le droit de vote, que l’on considère aujourd’hui avec trop de légèreté et une vision individualiste ».

    Cliquez sur l’image pour l’agrandir.

    Est-ce pour tenter de récupérer des électeurs qui leur ont fait défaut aux trois derniers scrutins que les socialistes font cette demande de circonstance par la voix de Claude Bartolone ?

    Il est à se demander si quelques zélés membres du parti socialiste pour palier au manque d’électeurs n’ont pas compulsé quelques statistiques religieuses, voire ethniques avant de proposer que le vote devienne obligatoire.

    En effet, si les musulmans votent traditionnellement surtout à gauche (86% des musulmans ayant voté l’on fait pour Hollande en 2012), c’est une population qui est largement abstentionniste (79%, cf tableau joint).

    http://fr.novopress.info/

  • Sarkozy : du neuf avec de l’ancien

    Malgré tout son talent, malaisé de réussir à nous faire prendre des vessies démasquées pour des lanternes magiques.

    Depuis sa brillante élection comme président de la République en 2007, du temps a passé sur Nicolas Sarkozy.

    Un quinquennat, à mon sens discutable, pour rester mesuré.

    Une défaite en 2012, qui a entraîné la droite dans un naufrage dont elle n’est pas encore remise malgré ses succès électoraux relatifs.

    Un ostensible effacement qui laissait en permanence apparaître que Nicolas Sarkozy bouillait d’impatience et d’envie pour obtenir une session de rattrapage en 2017.

    Une présidence de l’UMP qui, par rapport à la période antérieure, est parvenue à afficher facilement un apaisement et une volonté de rassemblement.

    Un Nicolas Sarkozy qui se domine, parle bas, joue à contre-emploi, à contre-caractère, mais qui, dans l’intimité et des échanges prétendument officieux mais voués à être rapportés, se lâche avec aigreur et mépris sur certains de ses proches et alliés.

    Ce ne serait pas trop grave car qui peut soutenir que dans l’entre-soi il demeure toujours convenable dans le fond et dans la forme ?

    Mais il y a plus préoccupant.

    Le hasard de la semaine écoulée a permis une confrontation passionnante et éclairante entre trois interventions médiatiques qu’il est bon de jauger, de juger, chacune par rapport aux deux autres, principalement celle de Nicolas Sarkozy (Le Journal du Dimanche) au regard d’un long entretien remarquable avec Alain Finkielkraut et de la vigoureuse réplique de François Bayrou à ceux qui le prennent de haut (Le Point). Comparer les proclamations et engagements du premier avec les vérités salubres des seconds offre un enseignement qui ne manque pas de pertinence.

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  • Etat et grandes villes se renvoient la balle de la hausse des impôts locaux

    Plusieurs municipalités, de droite comme de gauche, justifient des hausses d'impôts locaux par la baisse des dotations de l'Etat, qui accuse lui les collectivités locales, notamment celles passées dans l'opposition il y a un an.

    Depuis janvier, municipalités et intercommunalités votent leurs budgets avec cette contrainte: disposer de 2 milliards d'euros en moins du fait de la cure d'austérité imposée par l'Etat (3,7 milliards au total pour les collectivités). Et certaines n'échappent pas à une hausse de la fiscalité.

    Ainsi, Toulouse, passée à l'UMP en mars 2014, a voté une hausse de 15% des impôts locaux (taxe d'habitation et foncière). Le maire, Jean-Luc Moudenc, avait prévenu début avril qu'il ne pourrait pas tenir sa promesse de stabilité fiscale.

    Interrogé en marge d'une conférence de presse mardi, le ministre des Finances, Michel Sapin, a renvoyé la responsabilité aux collectivités territoriales.

    "Ce n'est pas moi qui vais expliquer à la place du maire de Toulouse pourquoi il a augmenté les impôts alors qu'il a fait campagne sur la stabilité des taux !", a réagi le ministre, incitant "l'opposition" qui demande "baisse des dépenses" et "baisse des impôts", à "montrer l'exemple" dans les collectivités qu'elle dirige.

    A Marseille, la municipalité UMP, qui a voté son budget lundi avec une hausse de 4,9%, met en avant la baisse de dotation générale de fonctionnement de l'Etat (-20,4 millions d'euros). Yves Moraine, le président du groupe UMP au conseil municipal, a fustigé devant la presse la politique du gouvernement, qualifiée de "scandaleux transfert de l'impopularité fiscale".

    Idem à Bordeaux, ville dirigée par Alain Juppé, où la hausse a été fixée à 5%. L'ancien Premier ministre UMP avance aussi la baisse des dotations de l'Etat. En face son opposition (Verts, PS, FN) lui renvoie des projets "pharaoniques" entre le stade de foot et la cité des civilisations du vin.

    Début mars, c'est le tout nouveau président de l'Association des maires de France (AMF), l'ancien ministre de l'Economie François Baroin, qui prédisait un "désastre", "un effet de souffle" dans les budgets et demandait à Manuel Valls un report de la baisse des dotations.

    Pour le député UMP Thierry Solère, l'Etat est "hypocrite" "en fermant le robinet de l'argent" aux collectivités locales, dont certaines utilisent "la facilité" d'une hausse fiscale. "Les collectivité paient l'incurie du gouvernement", a dénoncé officiellement l'UMP de son côté via le maire de Mulhouse, Jean Rottner.

    - 'Bonne motivation' -

    "Qu'on ne vienne pas nous refaire le coup de la baisse des dotations locales! L'UMP veut diminuer de 150 milliards les dépenses publiques mais ses élus ne sont pas capables de faire des économies", a réagi pour sa part le porte-parole du groupe PS à l'Assemblée, Hugues Fourage.

    Toujours difficile d'établir des comparaisons. Ainsi à Paris, la maire socialiste n'a pas touché aux impôts locaux stricto sensu mais il y a eu une hausse de la taxe de séjour, de la taxe sur les résidences secondaires, de la taxe sur les bureaux vides, une hausse des tarifs de stationnement...

    Début janvier, la métropole de Lyon a voté une hausse de 5% pour les taxes foncières et impôts locaux, justifiée selon le président PS de la métropole, Gérard Collomb, par la baisse des dotations. A Strasbourg, qui n'avait pas connu de hausse depuis dix ans, l'augmentation atteint 3%, avec en parallèle des baisses de dépenses de personnel décidée par la municipalité PS.

    Pour Michel Sapin, si ces hausses permettent des investissements, alors il y a "une bonne motivation".

    A Lille, où la taxe foncière augmente de 10,5%, le premier adjoint chargé des Finances, Pierre de Saintignon, a expliqué à l'AFP que la ville était parmi les villes de 100.000 habitants qui en demandaient le moins aux propriétaires. La taxe d'habitation est elle maintenue mais la ville a réduit ses investissements (91 millions d'euros en 2014 contre 75 millions en 2015).

    "Si le gouvernement, donc, comme il semble décidé à le faire, augmentait de nouveau ses dotations aux collectivités, nous sommes prêts de notre côté à revoir à la hausse le niveau de nos investissements", a-t-il dit.

    source : Afp via nouvel obs :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EukApVpVVFRPFHoKqV.shtml

  • Le hold-up de Mme Lebranchu sur le traitement des fonctionnaires

    Madame Lebranchu donne un coup de canif mais le gouvernement n’établit pas un nouvel impôt et ne s’en prend qu’à un million de fonctionnaires. Le pouvoir peut donc jurer, les yeux dans les yeux, qu’il tient ses promesses.

    Non seulement le pouvoir socialiste se sert sans vergogne dans les poches de ses administrés, mais en plus il prend un ton outragé et traite de voleurs ceux qu’il dépouille. Ainsi vient d’agir madame Lebranchu, ministre de la Fonction publique. En 1998, Lionel Jospin avait fortement augmenté le taux de la CSG. Or, cette taxe s’applique à tous les revenus quels qu’ils soient. En échange, les cotisations qui pesaient sur les seuls salaires étaient abaissées. Or, les fonctionnaires touchent une part non négligeable de leur traitement en primes. Un grand nombre d’entre eux étaient donc perdants.

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  • Commission d’enquête sur le financement du Front National ?

    La République gouverne mal mais se défend bien : un groupe de députés de gauche, emmenés par Bruno Le Roux a déposé une proposition pour créer une commission d’enquête sur le financement du Front National. Ils expliquent :

    "Fin novembre 2014, la presse d’investigation se faisait l’écho d’un prêt de 9 millions d’euros contracté quelques semaines auparavant par le Front National, auprès de la banque russe First Czech Russian Bank (FCRB). Au mois d’avril de la même année, une association de financement présidée par M. Jean-Marie Le Pen avait quant à elle reçu la somme de 2 millions d’euros d’une société chypriote détenue par des fonds russes. Les deux millions d’euros seront utilisés dans le cadre du financement de la campagne des européennes du Front National.

    Les conditions de ces prêts, les détails du remboursement, l’origine exclusivement russe des fonds ainsi que les relations ambigües qu’entretiendraient les dirigeants du Front National avec le pouvoir russe, posent une question majeure dont nous devons nous saisir : celle du financement des partis politiques par le biais de prêts étrangers, et ce faisant de leur autonomie à l’égard de leur créancier. L’indépendance du débat politique national est en jeu.

    Notre droit positif lie le financement public des partis politiques aux résultats électoraux de ses derniers et donc de leur représentativité. Au cours des 25 dernières années, le législateur s’est appliqué à le faire évoluer afin de garantir la plus grande neutralité et la plus grande transparence conformément à l’article 4 de la Constitution qui dispose que : « la loi garantit les expressions pluralistes des opinions et la participation équitable des partis et groupements politiques à la vie démocratique de la Nation ».

    Le financement public des partis politiques n’interdit pas les financements privés. Celui-ci est cependant strictement encadré. La loi n° 88-227 du 11 mars 1988 relative à la transparence financière de la vie politique en définit les principes. En effet, l’article 11-4 de ladite loi modifiée par la loi n° 2013-907 du 11 octobre 2013 relative à la transparence de la vie publique interdit non seulement aux personnes morales de participer au financement des partis et groupements politiques mais également les contributions ou aides matérielles d’un état étranger. Cette interdiction est étendue au financement des campagnes électorales aux termes de l’article L. 52-8 du code électoral qui dispose qu’« aucun candidat ne peut recevoir, directement ou indirectement, pour quelque dépense que ce soit, des contributions ou aides matérielles d’un état étranger ou d’une personne morale de droit étranger ».

    LS’il n’interdit pas expressément la souscription d’un prêt auprès d’un établissement de droit étranger, l’intention du législateur tend bien à soustraire les élus à toute influence étrangère par le biais du financement. Il convient par conséquent de déterminer si des taux avantageux et autres facilités financières ne sont pas équivalents à des avantages en nature.

    L’enjeu ici est celui de la souveraineté nationale car, comment un parti représenté à l’Assemblée Nationale peut-il aborder, à titre d’exemple, des enjeux d’ordre stratégique et de politique internationale lorsque son financement tient de banques étrangères dont la dépendance politique vis-à-vis du pouvoir de son État est avérée ?

    Demain, à l’Assemblée Nationale comme au Sénat, quelle garantie pourra être donnée aux citoyens afin d’assurer que les positions en terme de politique étrangère des partis français dépendent de l’intérêt national et européen et non de leur financement ?

    Le taux d’intérêt d’un emprunt ne saurait être soupçonné d’influencer l’intérêt national.

    Un amendement d’appel, signé par 36 de nos collègues a été déposé et défendu dans le cadre du projet de loi de finances rectificative début décembre 2014.

    Dans ces conditions, il semble nécessaire que la représentation nationale se saisisse de la question du financement du Front National par le biais de prêts russes, et que le cas échéant, elle en tire toutes les conséquences afin de faire évoluer notre droit. L’esprit des textes doit être respecté. C’est pourquoi, je vous propose d’adopter la proposition de résolution suivante."

    Vu le nombre de députés signataires, il est fort probable que cette commission voit le jour. Comme Manuel Valls a déclaré il y a quelques jours qu'il est hors de question que le FN accède au pouvoir, faut-il comprendre que le régime socialiste mettra tout en oeuvre pour rendre inéligible les candidats du FN ? Au même moment, Nicolas Crochet, le commissaire aux comptes du FN, est poursuivi pour complicité d’escroquerie lors des législatives de 2012, financement illégal de parti politique, recel d’abus de confiance et blanchiment d’abus de biens sociaux. Difficile de croire à une coïncidence.

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • UMP : pourquoi remplacer le nom du parti par “Les Républicains” ?

    Le bureau politique de l’UMP devrait rebaptiser son parti “Les Républicains”, le 5 mai prochain.

    Elizabeth Martichoux, rédactrice en chef du service politique de RTL, apporte son analyse sur ce projet de changement de nom.

    Alors, pourquoi “Les Républicains” ?

    Ça n’est plus comme le RPR ou l’UMP. On arrête avec ces noms de partis qui sont des acronymes, des sigles facilement détournables en particulier par le Front National.

    UMPS ? Il fallait rompre avec cette possibilité.

    http://fr.novopress.info/