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magouille et compagnie - Page 2191

  • La librairie Facta d'Emmanuel Ratier vandalisée à Paris, attaque non revendiquée

  • Remise à plat fiscale : un miroir aux alouettes de plus.

    par Jean-Marc Ferrand

    Dans la longue cohorte des polémiques déclenchées par les actions, intentions ou omissions de l’actuel gouvernement de la France s’est invité un nouveau débat : la réforme de deux impôts fondamentaux, la Contribution sociale généralisée (CSG) et l’impôt sur le revenu (IR).

    La manière dont le sujet a été lancé est un débat à elle seule : Jean-Marc Ayrault a annoncé la réforme à venir dans une entrevue au quotidien Les Echos (peu connu pour être l’organe de liaison de la gauche prolétarienne), et sans en avoir préalablement informé le titulaire de Bercy, Pierre Moscovici, quelque peu concerné par ce projet. Un court-circuitage en règle que n’aurait pas renié Nicolas Sarkozy, orfèvre en la matière. Certes, la fusion de la CSG et de l’IR faisait partie des soixante engagements de campagne de « Moi, président… », mais il est difficile de ne pas voir dans ce coup d’éclat (réussi) une tentative désespérée, voire pathétique, de reprise en main des affaires de l’Etat par un premier ministre singulièrement démonétisé, entraîné dans la débâcle opinionesque de son président, qui a lui définitivement endossé le costume d’un président de conseil général entré par erreur à l’Elysée et n’en trouvant pas la sortie. Spangh’Ayrault joue son va-tout sur cette réforme : un cafouillage de plus le mettrait personnellement dans une situation difficilement tenable aux yeux du public et de son propre camp. L’avenir nous dira si le Nantais s’est révélé fin stratège ou tête brûlée.

    Le fond du dossier, quant à lui, ne manque pas d’intérêt. La CSG et l’IR sont en effet deux impôts que tout oppose : le premier, qui rapportera cette année 90 milliards d’euros, est prélevé à la source, l’année de la perception des revenus, universel et à taux unique quel que soit le revenu du contribuant (tout comme la TVA, soit dit en passant). Le second, qui rapportera quant à lui 70 milliards d’euros, fait l’objet d’un paiement différé d’un an, n’est payé que par un Français sur deux, est progressif, et est pollué par une multitude d’exemptions (« niches »), certaines justifiées (politique familiale), d’autres plus ou moins fantaisistes (investissements dans les DOM-TOM, dans le cinéma…). Le projet du premier ministre comporte deux volets principaux : la fusion de ces deux impôts, d’une part, et la progressivité de la CSG d’autre part, de manière à ce que « les ménages les plus aisés » paient un taux supérieur. Ce second point est une ritournelle bien connue, et nous sommes d’accord sur le principe. Mais, pour le gouvernement socialiste, à partir de quel revenu devient-on un « ménage aisé » ? Toute la question est là. Les réformes précédentes ont montré que ce seuil ne correspondait pas vraiment au train de vie de Mme Bettencourt. Il est à craindre (loin de nous tout procès d’intention) que les classes dites moyennes seront une fois de plus lourdement mises à contribution, et ce d’autant plus qu’elles n’ont jusqu’à présent guère manifesté leur mécontentement, sans doute faute de prise de conscience.

    La fusion de ces deux impôts posera quant à elle une foultitude de problèmes dont on doute que l’équipe actuelle (au vu de ses performances) soit en mesure de les résoudre. Le nouvel impôt sera-t-il prélevé cette année ou l’année prochaine ? Le quotient familial, non pris en compte dans le calcul de la CSG, comme des impôts locaux, sera-t-il maintenu ? Par ailleurs, l’impôt étant collecté par l’employeur, celui-ci peut-il espérer bénéficier d’une ristourne au regard du gain de productivité généré au sein de l’administration fiscale ? Est-il normal qu’un employeur ait accès à la déclaration de revenu d’un de ses salariés (voire de sa parentèle) ? Enfin, la CSG étant à l’origine destinée au financement des dépenses sociales (santé, vieillesse, famille…), est-il opportun de la mêler à l’IR, qui est normalement destiné au budget gouvernemental, et à son premier poste, le service de la dette ? Le conseil constitutionnel serait avisé de se prononcer sur ce qui nous apparaît comme un détournement de fond. Faute de réponse concrète et précise à ces questions, nous sommes contraints de manifester notre scepticisme envers ces projets de réforme. Depuis quelques semaines se font connaître dans le pays diverses contestations anti-fiscalistes : agriculteurs d’Ile de France, Bonnets rouges, chauffeurs routiers… Il n’est pas dans notre ligne d’appuyer telle ou telle revendication régionaliste ou professionnelle. Toutefois, notre gouvernement (qu’on n’ose plus appeler « pouvoir ») a si bien montré son incapacité à entendre la voix de la foule qu’il nous semble qu’une leçon supplémentaire lui serait bénéfique. Un peu de charité que diable ! Nous invitons tous nos lecteurs, sympathisants, amis plus ou moins lointains à prendre part aux initiatives d’opposition à la politique hollandienne. La cravate de travers, le pays à l’envers, ça suffit !

    Qu’on se le dise.

    L’AF 2875

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Remise-a-plat-fiscale-un-miroir

  • Municipales 2014 : la chasse aux dissidents UMP est ouverte

    PARIS (NOVOpress) - L’UMP vient de suspendre pas moins de seize candidats dissidents qui ont décidé de présenter leurs propres listes aux municipales parisiennes.

    Parmi eux, Dominique Tibéri, qui compte bien succéder à son père Jean dans le 5ème arrondissement, Marie-Claire Carrère-Gée, qui refuse de céder sa place de candidate à NKM dans le 14ème, et Géraldine Poirault-Gauvin, élue du 15ème qui défie ainsi le maire sortant Philippe Goujon et ne tarit pas de critiques sur la politique menée à Paris jusqu’à présent.

    Interviewée lundi sur BFM Business, elle a notamment préconisé que les caméras de vidéosurveillance soient quintuplées dans la capitale et a vivement déploré que certains logements hlm soient occupés par des élus de l’UMP.

    http://fr.novopress.info/148736/municipales-2014-la-chasse-aux-dissidents-ump-est-ouverte/

  • Trancher la question ukrainienne

    L’Ukraine a toujours été un territoire à enjeux. Aujourd’hui, c’est un champ de bataille décisif sur lequel s’affrontent l’Occident capitaliste et l’Alternative Russe. Comme en Syrie, il s’agit d’un affrontement pyramidal et multi scalaire (à plusieurs échelles) entre ces deux pôles de puissance.

    -International : deux blocs face à face.

    -National, concernant l’avenir de ce pays artificiel et divisé qu’est l’Ukraine.

    -Communautaire et politique, au niveau de la myriade de groupes, de militants et de personnages individuels.

    -Mais aussi symbolique, illustré par la destruction de la statue de Lénine par des militants agitant des drapeaux de l’Union Européenne. Nous assistons à tout cela depuis la France, en nous interrogeant. Sommes-nous concernés ? Oui, définitivement. Aussi concernés que des français maréchalistes ou communistes lisant les nouvelles de la bataille de Stalingrad. Dans une guerre mondiale, tout le monde est concerné. Nous devons juger, réagir et  nous positionner en temps que nationalistes français, tout simplement.

     Juger avec recul…

    Nous n’avons aucune raison de haïr les ukrainiens. Au contraire, ils nous sont plutôt sympathiques, comme la majorité des slaves le sont pour les français. Les ukrainiens,  blancs et orthodoxes, sont encore largement préservés de la décadence culturelle et des invasions ethniques résultant du règne capitaliste que nous connaissons dans l’Ouest. Les ukrainiens sont courageux et rebelles : on pourrait s’étendre sur leur anarchisme si particulier durant la Révolution Bolchevique, sur leur lutte au côté de l’Allemagne National-socialiste contre Staline et sur la résistance des guérilleros de l’UPA jusque dans les années 60. Les Ukrainiens sont régulièrement martyrs : l’Holodomor (l’extermination stalinienne par la faim) l’esclavage, et aujourd’hui le dépeçage par les oligarques mafieux… Inutile de s’étendre sur la corruption du gouvernement ukrainien actuel ou sur ses lois anti-SDF complètement absurdes. La révolte et l’indignation d’une partie des ukrainiens a ses des raisons légitimes. Loin de nous l’idée de chanter les louanges du gouvernement Ianoukovitch. Au contraire, il faut réfléchir en connaissance de cause. Beaucoup d’ukrainiens ont vécu avec espoir l’écroulement de l’URSS, mais l’anarchie libérale qui s’est emparé de l’Est les a vite fait déchanter. Sur un autre plan, il est compréhensible que nombre d’ukrainiens se sentent étouffés par cette Russie gigantesque dans l’ombre de laquelle ils vivent. D’où la dimension identitaire très présente dans les émeutes de Kiev, identité arborée comme un fanion par les groupes nationalistes qui sont en tête des affrontements.
    …mais en évitant le relativisme paralysant.

    On dit avec raison que la définition d’une ligne politique commence par la délimitation entre l’ami et l’ennemi. Nous ne le cachons pas, nous sommes fermement positionnés du côté de l’Alternative Russe (pour des raisons que nous avons déjà largement commenté). Nous ne refusons pas de voir ses imperfections mais nous avons choisi notre camp. Nous, français, connaissons trop bien le poids de la dictature de l’Union Européenne pour vouloir autre chose que sa destruction complète et la reconquête de notre liberté nationale. Chaque nouveau pays gagné à l’Union Européenne prolonge un peu la durée de vie de cette entité vampirique. De surcroît, l’Union Européenne soumet automatiquement ses nouveaux esclaves à son régime mondialiste, autant sur le plan économique que moral ou culturel. Les gay-pride, les FEMEN ou les différentes plateformes militantes pour la  « liberté »  sont des instruments du soft-power européen dans son entreprise de conquête de l’Est et de réduction du dernier bastion blanc et libre. Ces instruments sont coordonnés par des réseaux de type OTPOR, organisateurs professionnels de « révolutions oranges », financés par George Soros et mandatés par la CIA. Nous avons pu le voir en Russie, en Serbie ou en Croatie. La guerre est ouverte et totale.
    Les nationalistes ukrainiens, instruments de la mondialisation capitaliste.

    natio ukrainien.jpg

    Il est triste, cruel et à la fois doucement ironique de retrouver en tête de ces manifestations ennemies des nationalistes. Certes, il s’y trouve aussi des SDF payés 1 euro de l’heure pour occuper la place, certes il y a divers partis démocrates. Mais l’image qui nous marque le plus, c’est celle de ces jeunes gens aux tempes rasées, masque sur la figure, brassard et drapeaux frappés de runes, gantés, armés de chaînes, et se mesurant courageusement à la police anti-émeute du gouvernement. Colère légitime, mais instrumentalisée cyniquement par les pires ennemis des Nations.

    Nous mettions souvent en garde les nationalistes français contre de telles récupérations, et il est vrai que c’est notre obsession, mais les faits nous donnent raison. Tout le passif du nationalisme ukrainien le prédisposait à une telle erreur. Construit exclusivement sur l’anticommunisme rabique (compréhensible sous Staline peut-être), sans autre horizon que l’opposition systématique à l’Est et l’alignement sur l’Occident, et se nourrissant de romantisme plutôt que de réflexion politique. Depuis les années 50, ou l’OTAN armait les maquis de la RONA jusqu’en 2008, année ou l’on retrouve des combattants nationalistes ukrainiens affiliés à la même RONA… dans l’armée Georgienne, volontaires russophobes. Quelle ironie ! Ces antisémites de traditions, qui s’enorgueillissent des souvenirs du volontariat ukrainien dans la Waffen SS, et qui servent par anti-communisme/anti-russisme anachroniques, de fantassins gratuits à l’Union Européenne Sioniste. Voilà où mènent le romantisme, le fétichisme, et l’obsession anticommuniste dépassées. Voilà aussi où mène une vision exclusivement identitaire lorsqu’elle est dépourvue de lecture géopolitique ou économique. Ces militants néo-païens racialistes, judéophobes et partisans du retour à la terre, servent de chair à canon à ceux qui veulent imposer le mariage gay, l’espace Schengen, le marché libre avec son cortège d’immigration massive, et le soutien inconditionnel à Israël.

    Ces gens-là prétendent troquer le rhume pour la lèpre…

    Tranchons dans le vif.

    L’Ukraine reste un assemblage de deux patries. L’une est la  périphérie de l’espace slave orthodoxe, grenier à blé de l’est, « petite Russie ». Une autre partie constitutive de l’Ukraine est vulnérable aux influences germaniques et considérée par l’Allemagne comme son pré carré (comme l’a été la Slovénie durant la désintégration de la Yougoslavie). Une large partie des ukrainiens, cosaques en tête, soutient la Russie et s’oppose à l’UE. En conséquent, l’Ukraine est vouée à la partition : la partie Ouest étant absorbée par l’espace germanique et l’Union Européenne, sa partie Est à rejoindre la Russie dont elle est une périphérie et qu’elle n’aurait jamais dû quitter. Une autre alternative, catastrophique pour nous, serait le triomphe de la révolution orange et l’absorption de l’Ukraine par l’UE. Il risque d’en résulter une véritable situation de guerre civile, comme en Yougoslavie dans les années 90. Les nationalistes français prendront-ils le train pour aller défendre l’Ouest (comme ils le firent en Croatie) ou s’engageront-ils dans la reconquête de l’Europe par l’Est ? Quoi qu’il en soit, les images qui nous parviennent de Kiev sont cruelles à nos cœurs.

    On ne peut s’empêcher de les comparer avec notre souvenir des jeunes nationalistes français, qui en mai 2013, chargeaient avec vaillance les rangs des flics de l’UMPS, dispersant la racaille journalistique et appelant Poutine à l’aide devant l’ambassade de Russie. Les fanions noirs eurasiens côtoyaient les drapeaux rose et bleus de la Manif Pour Tous. Deux jeunesses, des combats radicalement antagonistes.

    Le refus du « mariage » homobourgeois participait à une dynamique de réaction des peuples à la mort programmée par nos ennemis capitalistes, réveil glorieux qui a débuté en Russie, avec la réanimation de la Sainte Eglise Orthodoxe, réveil relayé par les Serbes, les Biélorusses, la fantastique résistance Syrienne, les victoires diplomatiques de l’Iran et jusqu’au Venezuela de Nicolas Maduro. Au contraire, le combat des nationalistes ukrainiens s’inscrit dans une logique anachronique, un folklore d’arrière-garde détourné cyniquement par les pires ennemis des peuples et des identités que la terre puisse porter .

    Comme le dit si bien Aymeric Chauprade :

    « Se tourner vers l’Union Européenne en 2013, c’est aussi absurde que d’en appeler à l’URSS en 1991. »

    AUCUN SOUTIEN A LA SUBVERSION ORANGISTE EN UKRAINE !

    A BAS L’UNION EUROPÉENNE CAPITALISTE!!!

    Guillaume Lenormand pour le Cercle Non Conforme

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/archive/2013/12/10/trancher-la-question-ukrainienne-5243434.html

  • Éboueurs de Marseille (envahie par les rats) : 15 heures payées 35, qui dit mieux ?

    « Sur Causeur, Jean-Paul Brighelli se plaint de la prolifération des rats à Marseille. Fort bien, mais allons jusqu’au bout.

    S’il y a des rats, si nos rues sont si sales, c’est parce que les ordures jonchent les trottoirs et si les ordures prolifèrent, c’est parce que les camions-bennes qui sont supposés les ramasser ne le font pas. C’est le fameux fini-parti, maintes fois dénoncé, notamment par la Cour des Comptes, qui permet à nos sympathiques « agents de surface » de rentrer chez eux quand ils estiment avoir accompli leur tâche. En pratique, cela signifie qu’ils ne ramassent qu’une poubelle sur deux – quand ils ne sont pas en grève, bien sûr – et bouclent leurs tournées en 3h30 au lieu des 7h00 sur la base desquelles ils sont payés (chiffre de la Chambre régionale des comptes de Provence-Alpes-Côte d’Azur pour 2007).

    Saviez-vous que la Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères (TEOM) dont s’acquittent les Marseillais est la plus élevée de France ? En 2011, à Lyon, s’était 70 euros la tonne par habitant tandis qu’à Marseille c’était 149 euros ; 5 euros de plus qu’à Paris ; plus du triple de ce que payaient les Brestois.

     

    L’origine de cette peste, c’est le système Defferre. Né en 1953 lorsque « Gastounet », qui n’aimait pas les communistes de la CGT, a donné les clés de la ville à la toute nouvelle CGT-FO, Force Ouvrière, le syndicat majoritaire qui fait la pluie et le beau temps à Marseille.

    Ce ne sont pas les rongeurs qui coulent la ville ; c’est une toute autre espèce de nuisibles qui a pris le pouvoir à tel point que Gaudin, comme Vigouroux avant lui, n’imaginent même pas les défier et que les frères Guérini en ont fait les chevilles ouvrières de leurs petits systèmes. Voilà les véritables rats ! Ils se cachent encore moins que les rongeurs ; ils défilent même régulièrement au grand jour en chantant l’hymne de la justice sociale et de l’intérêt général.

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    Via Thomas Joly

  • 29e veillée parisienne vendredi prochain

    Rendez-vous à 20h, vendredi 13 décembre, pour participer à cette 29e veillée parisienne, qui portera sur le thème : "Economie et dignité". N'hésitez pas à inviter vos amis ! Le lieu sera communiqué le jour même à midi, sur Facebook et le site des veilleurs.

    Il est possible de préparer la veillée en découvrant une sélection de textes ici.

    Louise Tudy

  • Machine arrière sur le jour de carence dans la fonction publique !

    Pourquoi faire machine arrière alors que la loi était votée, l’impopularité de la chose endossée par un autre gouvernement, la pilule avalée ?

    C’est le site Internet des Échos qui vient de le révéler : en 2012, l’absentéisme a diminué de 43,2 % dans les collectivités territoriales et de 40,6 % dans les établissements de santé. Pour la première fois depuis 6 ans, le nombre d’arrêts-maladie a diminué, une baisse liée, de toute évidence, à l’instauration, début 2012, par le gouvernement Fillon, du jour de carence dans la fonction publique. Une tendance qui devrait être confirmée en 2013… avant de s’inverser en 2014, puisqu’à partir du 1er janvier, ce premier jour d’arrêt-maladie non rémunéré ne sera plus qu’un souvenir. Le gouvernement a en effet décidé, il y a quelques mois, de le supprimer.

    Pour justifier cette abrogation, le ministre de la Fonction publique, Marylise Lebranchu, avait parlé d’une mesure « injuste, inutile, et inefficace ». « Inutile et inefficace »… Oui, tout de suite, on voit, c’est vraiment très clair, ça vous saute à la figure. Quant au caractère injuste de ce jour non rémunéré, nul n’en disconvient : la moindre des équités aurait été d’imposer non pas un, mais trois jours de carence, comme dans le secteur privé.

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  • Hollande démission : "nous le forcerons à partir par la désobéissance civique"

    David van Hemelryck déclare à Novopress :

    "Le départ de François Hollande, que nous pouvons obtenir “en douceur” par un référendum d’initiative partagée, ce qui est purement constitutionnel, ou bien si François Hollande continue la répression pour garder sa place envers et contre la volonté populaire, et s’il continue de bafouer les libertés individuelles, nous le forcerons à partir par la désobéissance civique massive. Dans la non-violence mais courageusement, de manière déterminée. Cela a été fait ailleurs, c’est faisable en France. Les Français savent être courageux …quand cela en vaut la peine. Il s’agit de montrer l’exemple, pour montrer que c’est possible. C’est ce que nous faisons, et nous ne sommes pas les seuls.

    [...] Nous avons donc lancé une collecte pour pouvoir confectionner une nouvelle banderole aérienne. Nous avons besoin de collecter encore 2000 € en trois jours pour pouvoir réaliser la banderole à temps pour Noël… Moi j’y crois. Les Français sont incroyablement généreux quand ils pensent qu’un projet peut réellement servir leur beau pays. Alors, si Dieu veut, nous aurons la Banderole Hollande-Demission.fr 2 qui volera le jour de Noël.

    [...] L’action phare des prochaines semaines, c’est de rendre 2014 HISTORIQUE. Et ce, Dès la première heure. Pour cela, nous proposons de terminer 2013 avec courage en réalisant le boycott du discours de fin d’année de François Hollande, boycott le plus sonore et le plus bruyant possible pendant quelques minutes. Cela donnera du courage à tous, et personne ne risque rien, en restant à sa fenêtre, entre amis. Mais bien plus, dès la première heure du premier jour du premier mois de la nouvelle année, nous irons faire la première manifestation 2014 sur ce thème de première importance : destituer pour la première fois un président incompétent, et vous l’avez compris : c’est une première. Concrètement, à Paris, ce sera proche de l’Élysée, place de la Concorde. Rendez-vous donc à 1 heure du matin, le 1er janvier ! [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Brice Hortefeux : l’inspecteur Clouseau place Beauvau…

    Ce fait divers est révélateur du degré d’aveuglement dans lequel nos prétendues "élites" sont désormais engluées.

    Comme on le dit parfois sur le zinc de nos derniers bistrots de province : « C’est à se la prendre et à se la mordre… » Ainsi, Brice Hortefeux, ancien ministre de l’Intérieur, vient-il une nouvelle fois de se faire choper la main dans le pot de confiture. Brice Hortefeux, il faut bien l’avouer, c’est un peu Fernandel qui se prendrait pour Charles Pasqua, oubliant au passage que ce n’est pas parce qu’on fut premier flic de France qu’il faut se comporter comme le dernier des ahuris.

    Et le voilà qui tombe aujourd’hui de l’armoire, s’étonnant d’avoir été mis sur écoute. Ce, dans le cas de deux affaires distinctes mais concomitantes : l’éventuel financement de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007, campagne qui aurait pu être financée par le défunt colonel Kadhafi. Dans le premier volet de cette enquête, Brice Hortefeux, suspecté de s’être rendu à Tripoli pour y chercher valises de pognon. Le second concerne un document « officiel » libyen ayant été censé officialiser cette transaction de coulisses.

    Promis à être entendu par la justice, Brice Hortefeux aurait été prévenu de l’échéance par Christian Flaesch, directeur de la police judiciaire parisienne, policier émérite mis en place par Nicolas Sarkozy et maintenu à son poste par son désormais ministre de tutelle, Manuel Valls.

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